Les pires défauts des filles au lit

Ai-je dit que tu étais idiote merci de ne pas sauter sur des conclusions hâtives...

Et si tu fais effectivement de la psycho et de la socio tu devrais donc comprendre que ton éducation, et ton entourage c'est pas juste tes parents et tes amis.

Et aussi que justement tes expériences passées ton aidées a faire des déductions sur certains sujets.

Alors pas idiote oui et de toute façon je le répète je n'ai rien dit de tel, mais dans ce cas là je trouve que tu t'exprimes maladroitement et me laisse entendre que tu es persuadée de t'être intégralement faite toute seule sur le plan de ta sexualité. Ce qui est faux pour tout le monde et le resteras pour tout le monde à jamais...

Grrr foutu bug de souris

Du coup que tu le veuilles ou pas quelque part tu as eu de la chance et ce que j'expérimente en ce moment dans une succession de partenaires qui encore victime de vision patriarchale archaïques du le place de l'homme et de la femme y compris dans la chambre en terme de sexualité me montre qu'il est temps et plus que temps de se mettre à jeter un bon coup de pied dans la fourmillière d'un ensemble d'idées reçues complètement fausse qui rejaillit sur notre sexualité et pourrissent nos ébats et donc nos vies amoureuses en tant que société...

Bof, les études parfois...

Je me souviens d'un sexologue qui a divorcé, comme quoi... :lol:


("succession de partenaires", ça va chercher dans les combien ?...)

RuleSpider a écrit:

Je m'exprime maladroitement ce soir, je l'avoue. Ce n'est pas dans mes habitudes en plus.

Vu ta façon d'exprimer la chose tout à l'heure, on aurait pu croire que c'était l'entourage seul, ou presque, qui formait la vision de la sexualité, et c'était avec ce principe que je n'étais pas d'accord, tout simplement. Il y a bien une influence, mais je tenais à rajouter que l'on pouvait aussi se forger sa propre vision de la chose, avec ses ressentis par exemples. Et que ces deux éléments vont de pair.

RuleSpider a écrit:

De toute façon, les idées reçues ne sont jamais bien positives.

Dark-M a écrit:

+ 1.

Je ne comprends pas trop l'intérêt de prôner la libération sexuelle à tout va, au nom d'une lutte contre le puritanisme... Il y a de la nuance en toute chose, des individus et des vécus différents. Pourquoi hiérarchiser ? Certes, les déterminismes culturels et sociaux jouent beaucoup et gagnent à être déconstruits, mais de là à tomber dans l'excès inverse ? Je trouve que c'est renverser la culpabilisation, mais c'est de la culpabilisation quand même ("bouuuh, tu as des limites ? pauvre coincé(e) !" Ah pardon, on emballe ça philosophiquement : "pauvre ignorant des déterminismes inconscients qui t'empêchent de connaître l'éclate totale" :roll: )

Et tous les tabous ne sont pas "futiles". Et on peut s'éclater au pieu en ayant des tabous. Autant de vies sexuelles que de partenaires et de gens sur terre... Incroyable non ?

1 - Les filles, et elles sont nombreuses, qui se contentent de faire l'étoile de mer...... Comme si la simple vision de leur corps nue devait naturellement suffire a satisfaire leur homme

2 - Les filles qui commentent à la fin, c'était pas mal, nul ou bien..... Comme si le mec était le seul responsable.

3 - Les filles qui veulent que sa dure ..... plus votre homme est excité, plus vous vous y prenez bien, et moins sa durera..... Donc si ca dure c'est que votre homme s'emmerde.....

4 - Les filles qui "exigent" qu'on aime chaque partie de leur corps, mais qui trouve le sexe d'un homme dégoutant

5 - (Mais beaucoup moins grave, juste dommage....) Les filles qui s'occupent de la queue de leur homme mais qui oublient de s'occuper des testicules

Voila.... je vais encore me faire des amies moi :D

_Aphasie_ a écrit:


Les tabous bases sur des pulsions irrationnels sont futiles puisque n'ont aucune raison d'exister, il faut le savoir. La libération sexuelle n'apporte strictement rien de mauvais, au contraire, par contre, l'inverse, oui en limitant ton potentiel.
Tu peux en avoir des tabous et rester dans la triade des pratiques de base, c'est juste dommage de se limiter a des trucs basiques toute ta vie sans jamais essayer de transcender cela alors que tu pourrais aimer.
La curiosite et l'imagination sont une qualité.

Bon après, je conçois que certains préfèrent une vie monotone sur un schéma simple sans se poser de questions, mais toutes les personnes que j'ai connu ont préféré le cote de la vie pleine de surprise et variée une fois qu'elles l'ont essaye ;)

Pyflo a écrit:

http://www.psychologie...-devenez-un-amant-inlassable/4
et oui, vous aussi messieurs vous pouvez travailler des choses de l'intérieur po!r faire durer le plaisir... l'homme multiorgasmique, à lire et faire passer entre les mains de ces messieurs!

Rien que la lecture m'épuise.

tu peux pourtant lire en buvant du lait chocolaté...

OlivierRP a écrit:

Allez bam : jugement de valeur + caricature, le duo gagnant.

Il y a un entre-deux tu sais : les gens qui s'amusent et testent des choses, mais qui pour autant ne voudront pas tester d'autres choses. Si une femme ne veut pas tester quelque chose, ce n'est pas forcément qu'elle n'est pas "curieuse" ou qu'elle refuse par ignorance... Je n'aime pas la pression que l'on met en sens inverse sur les gens, qui font bien ce qu'ils veulent. J'ai des amies très très ouvertes qui ont refusé des trucs très (trop) trash pendant l'acte, ou qui ont regretté par la suite. C'est la où la culpabilisation joue à l'inverse :"Je vais pas dire non / je ne vais pas dire que ça m'a choquée, je vais paraître coincée". Si si, ça arrive, et à beaucoup de jeunes gens à qui l'on martèle qu'il faut être "libéré". C'est, au final, substituer une norme à une autre, une souffrance à une autre.

Souvent, ce qui compte pour s'épanouir et s'amuser sexuellement, ce n'est pas tant ton ouverture ou ta connaissance du kama sutra, mais l'alchimie et la confiance que tu instaures avec ton partenaire. Un petit couple amoureux que tu jugeras "classique" dans sa vie sexuelle aura peut-être beaucoup plus de plaisir que toi. On ne sait pas, on ne peut pas évaluer le plaisir des gens, ni parier sur le fait que tels ou tels trucs leur plairont.
Vous allez me dire "ah mais oui, mais moi je suis pédagogue, je suis doux et sensible etc." Sans doute, je veux bien vous croire. Mais c'est quand même de l'arrogance de croire que l'on convient à tout le monde, et que sa vision du monde, et du sexe en particulièrement, convient à tout le monde.

Une fille ne veut pas d'un cuni après une pénétration ? Ben c'est son droit le plus strict, y'a pas à décortiquer le truc pendant des heures. C'est là qu'il n'y a pas à "se poser de questions". Elle ne veut pas ? Elle ne veut pas, point. Ca s'appelle le respect. Essayer de comprendre, je veux bien, mais pourquoi juger et faire une hiérarchie de valeurs ? Après on peut gérer sa déception en se disant que c'est l'autre qui a un problème, c'est humain. Mais doit-on pour autant croire qu'on est absolument dans le vrai ?

Bref, les discours "ah la la, tu sais pas ce que tu perds à pas essayer tel truc" m'énervent profondément. Parce qu'ils sont culpabilisateurs, condescendants, et faux. Pour moi c'est limite de la manipulation.

Pyflo a écrit:

C'est peut-être ton cas, mais c'est loin d'être le cas de tous les hommes. Beaucoup préfèrent quand ça dure, et gèrent très bien leur excitation.

_Aphasie_ a écrit:

D'accord avec toi.. je ne vois pas non plus l'intérêt d'aller prêcher pour sa paroisse en matière de sexe chez les autres si on est à l'aise avec sa vie sexuelle. Et ce n'est pas très sympa parfois. Ca m'est déjà arrivé de penser que tel ou telle avait l'air un peu coincé(e), mais jamais je ne me serais permise de faire une remarque!

_Aphasie_ a écrit:

+1 encore une fois. Bien qu'il y aie d'une certaine manière un fond de vérité, ce n'est pas pertinent d'en faire une généralité (comme presque toujours quand on parle de sexe)