Votre enfant sèche les cours !

Eh bien, ma fille a 10 ans, mon fils 6, j'espère être épargnée par ça pendant encore un petit moment.
Je n'ai moi même jamais séché, sauf en fac !! :lol:

J'ai séché les cours au lycée :sifl:
Et surtout j'avais des copines de classes qui séchait les cours dès le collège, souvent après le sport !

Je n'ai jamais séché de cours, ni au collège ni au lycée ni même après...
J'avais un tel frousse que mon père l'apprenne que ça me coupait toute envie :lol: je me contentais de somnoler au fond de la classe :sleeping:

Bataille a écrit:

Idem, par peur de mon pere j'ai jamais osé :)

Comme quoi la présence d'un père peut avoir des intérêts insoupçonnés ;)

J'ai commencé à seché les cours en 2nde mais pas qu'un peu... j'avais des appreciations sur mon bulletin comme "l'eleve est elle vraiment inscrite dans notre établissement?". je preferai aller au bar ou fumer!

Et j'ai jamais arreté tout le long de mes études.

Ca ne m'a pas enpeché n'avoir mon Bac et de faire des études et je ne suis ni alcoolique ni droguée (pour le moment).

Pour la réaction de mes parents, aucune ! Si je ratait mes études c'était tant pis pour moi.

J'aurais préféré une réaction (une engueulade, une punition mais pas l'indifférence).

Moi en ce moment je suis pas très assidue... :roll: :sifl:

Les peu de fois où j'ai séché au lycée, mon père l'apprenait bien sur (les fameux mots d'absence :x ). Il me questionnait pour savoir si j'avais un petit copain. Mais au fait, je séchais pour pouvoir réviser ou rattrapper des cours quand j'avais été malade... Du coup, ça passait bien auprès de mon père. Ma mère ne savait rien, elle en ferait tout un plat. Pareil quand j'étais collé, seul mon père le savait. Il était plus cool. :P
En BTS, je séchais quand tout le monde séchait. Gt dans un lycée très catho (croix dans les salles et tout). Je suivais le mouvement de masse.
En école de commerce, soit je séchais pour bosser ou les lendemains de fêtes. On avait l'habitude d'organiser des fêtes en pleine semaine. Les lendemains, je restais au lit. :lol:
Mais je restais raisonnable quand même, enfin, comparé aux autres ;) .
Si dans l'avenir mes enfants séchent les cours, j'essaierai de comprendre pourquoi et de trouver un compromis.

alekssia a écrit:

Depuis la 3ème (je suis en 2nde) j'ai eu beaucoup de problème et j'ai fais une très grosse dépression, allant jusqu'à me mutiler. Et bien vous savez quoi? Personne ne s'en rendait compte :roll:
Je me sentais vraiment seule, et je me suis rendu compte bien longtemps après que je me complaisais dans cette solitude. Petit à petit je me coupais du monde, même pour sortir mes chiens c'était limite.

Bien sur, je séchais les cours puisque je ne voulais pas y aller. C'est simple: dès que je rentrais dans l'enceinte du lycée j'avais les larmes aux yeux qui montaient ainsi que des bouffées de chaleur, et au final je repartais en courant... :oops:

Et tous les soirs ma mère rentrait, et ne voyait rien...

Et quand elle l'apprenait, elle non plus me disait rien... pourtant j'aurais tellement aimé qu'elle essaye de dialoguer avec moi, d'essayer de comprendre... mais calmement. Ca m'aurait beaucoup plus aidé, mais au contraire je me sentais encore plus incomprise et tellement seule. C'est horrible de voir que les gens que vous aimez ne se rendent même pas compte lorsque vous êtes au plus profond du trou. :(

3e année de fac... ras le bol... ça ne me plaît plus... et l'assiduité est rayée de mon vocabulaire depuis qques mois :oops: :?

Je n'ai jamais seché en secondaire, par contre ça m'arrive à la fac, dans mes moments de déprime ou j'ai tout sauf envie de sortir de ma chambre...