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Votre état d'esprit du moment... en RA ? (bis)

S
53 ans suisse 993
Quelques jours de formation avec notamment une personne qui vient de perdre 30 kilos et en pleine euphorie post-régime en mangeant ses petites barres port beurk.

Du coup moi à côté  
la grosse qui n'a rien à dire, rien à vendre.......pffffff. je ne me suis pas trop écoutée. En plus repas aux horaires imposés et menus aussi. Du coup le soir grosse fatigue et je me suis retrouvée dans des situations passées à boulotter devant le frigo vide juste pour essayer de retrouver un bon gout de quelquechose que j'aime et un réconfort face au vécu de ma journée.

Bon ouf c'est el week end j'ai pu me délecter de mes endives au jambon, j'ai de bonnes choses chez moi, une belle balade au soleil et ce soir un repas copines avec chorale dans un restau que j'aime.

J end m'inquiète pas mais je suis étonnée de la violence de ces quelques jours avec beaucoup moins d'écoute de soi. La perspective du retour aux 42 heures semaines et à plein douter choses désagréables en terme de procédure de job.

Et puis bon un mois que j'ai postulé un téléphone et je me retrouve là à attendre en vain ma réponse hautement probablement négative...........tensions nervosité and co.
37 ans 1547
Bonne balade et resto :)

sirelle a écrit:
Du coup le soir grosse fatigue et je me suis retrouvée dans des situations passées à boulotter devant le frigo vide juste pour essayer de retrouver un bon gout de quelquechose que j'aime et un réconfort face au vécu de ma journée.

Ça ne semble pas être un contexte habituel mais je trouve que ça vaut le coup quand on sait qu'on aura sûrement besoin de réconfort alimentaire et sensoriel, de se réserver quelques petites choses qu'on aime dans ces moments là, pour ces moments là, quelle que soit notre faim, voire de demander à quelqu'un de les faire/acheter pour nous car on aura aussi le plaisir que quelqu'un prenne soin de nous quand on n'a plus trop la force soi-même.

Sinon pour les changements de rythme à venir, est-ce que tu penses pouvoir aménager des choses dans les autres impératifs pour ne pas trop être déstabilisée ?

De mon côté aussi "ouf" de soulagement depuis que j'ai pu acheter et me préparer ce dont je rêvais et aussi en nageant.
Il ne me reste plus qu'à trouver de bonnes clémentines/mandarines, car je suis assez exigeante, je n'aime pas si la peau entre les quartiers est trop épaisse, si c'est trop acide, par contre j'en suis dingue si elles sont comme j'aime. Je trouve ça dur à choisir car ça varie beaucoup et je n'ai pas toujours l'occasion de les goûter avant. C'est un peu hors sujet mais si vous avez des conseils en la matière je suis preneuse ;)

Consultation avec la diététicienne ce matin, je me sens comme une enfant qui découvre plein de choses et qui le raconte à quelqu'un. Je découvre l'eau chaude, clairement, mais par ma propre expérience, même si ça faisait déjà longtemps que je le savais que 1+1=2. Je me sens en mouvement ces derniers mois et ça me fait du bien par rapport à avant, même si je retombe quand même sur les mêmes points sensibles: attendre la faim un peu plus systématiquement, ajuster les quantités, pouvoir n'être qu'à ce que je mange sur un repas entier.
Je regrette qu'il n'existe pas plus de groupes/ateliers permettant le partage d'expérience autour de l'alimentation sensorielle, d'expression corporelle par le mouvement, par chez moi. Des fois j'ai drôlement envie de monter une asso, de solliciter des intervenants, de regrouper des gens, d'expérimenter à plusieurs.
S
53 ans suisse 993
J'ai clairement des difficultés en période de grande charge à tout concilier, mes heures de travail , tous les transports, le suivi de fiston niveau scolaire fin de trimestre catastrophique pour sa rentrée en 6ème etc...etc.....

J'ai du coup repris un outil vu en cours "concilier vie familiale et professionnelle" valable pour tous avec ou sans enfant. C'est juste sur une page a4 7 jours de la semaine en colonnes. les heures sont spécifiées par tranches d'une heure de 6h à 05 h (donc 24 h).

Il s'agit sur la semaine à s'engager à:

POSER strictement des temps pour soi, rêver, loisirs, bien être sport.
Ne pas surcharger chaque jour et systématiquement laisser des plages pour les imprévus (environ 40 sur 100 c'est de l'imprévu).
Agender son sommeil en fonction de ses besoins et s'y tenir.


Dans le mesure du possible je vais aussi inclure là dedans une partie de mes repas prévisibles.

Papille pour les groupes je te rejoins. Difficile à organiser mais on pourrait imaginer un groupe virtuel sur skype ou autre plateforme.......

je revois ma dit dans 10 jours pour un bilan avant 3 dernières séances.Elle aimerait bien quelques jours de carnet qui ne m'enchantent guère mais bon.
37 ans 1547
sirelle a écrit:
J'ai du coup repris un outil vu en cours "concilier vie familiale et professionnelle" valable pour tous avec ou sans enfant. C'est juste sur une page a4 7 jours de la semaine en colonnes. les heures sont spécifiées par tranches d'une heure de 6h à 05 h (donc 24 h).

Il s'agit sur la semaine à s'engager à:

POSER strictement des temps pour soi, rêver, loisirs, bien être sport.
Ne pas surcharger chaque jour et systématiquement laisser des plages pour les imprévus (environ 40 sur 100 c'est de l'imprévu).
Agender son sommeil en fonction de ses besoins et s'y tenir.


Je ne connaissais pas cet outil. J'ai de plus en plus l'impression que je devrais faire mes activités en fonction de mon sommeil et pas avoir une heure de coucher en fonction de mes activités, mais ce n'est pas évident à inverser car j'aime bien le moment du soir. En tout cas je me dis de plus en plus que c'est la base d'un certain équilibre.
Tu nous diras si l'outil t'a aidé ?

Citation:
Papille pour les groupes je te rejoins. Difficile à organiser mais on pourrait imaginer un groupe virtuel sur skype ou autre plateforme.......

Je suis sûre qu'il y aurait quelque chose de sympa à faire, dans un cadre différent d'un forum et à défaut d'un groupe de proximité.
49 ans Paris 9874
RA et terrorisme: en boule sur le canapé tout le we, plaids à foison, nourriture doudou en perfusion :cry:
S
89 ans 4951
poupoule a écrit:
RA et terrorisme: en boule sur le canapé tout le we, plaids à foison, nourriture doudou en perfusion :cry:


:kiss: :kiss:
44 ans Dans un arbre à Tecolotlan 962
poupoule a écrit:
RA et terrorisme: en boule sur le canapé tout le we, plaids à foison, nourriture doudou en perfusion :cry:


Hier, j'ai fait un repas de chocolat, aujourd'hui, je me suis jetée sans faim sur du fromage fondu en rentrant du boulot....mais ça m'a fait du bien, et c'est l'essentiel.
P
34 ans 116
coucou ici,

Comme dit poupoule tant que ca fais du bien de manger et que ca "apaise" cest lessentiel.

Moi malgres le climat de tension actuel, ca va plutot bien.
Les vacances etaient super et je trouve que je suis dans une periode plutot "equilibré" dans mon alimentation, jarrive pas vraiment ou peu a attendre la faim mais jarrive a retarder les prises alimentaires sans faim :D P
Jai vu la dieteticienne hier et ce fut tres tres riche avec plusieurs sujet abordé, dont ma maman car jai du mal a accepter son manque de soutien. Cest simple pour elle je fais rien pour me prendre en main. Cest dur mais comme la dieteticienne dit, je ne peux pas compter sur elle pour maider puisquelle me pousse du mauvais coté(regime....), elle ne peut pas entendre ou comprendre ma demarche, et apres 20 ans de regime cest normal que ce soit dur pour elle, mais le principal cest que moi je sois convaincue de ce que je fais et je le suis :D.
Sinon elle ma dit que javais raison davoir des projets perso, de ne pas attendre lamour pour vivre, et que ca viendra quand ca viendra. Elle ma dit que jetais une jeune femme moderne et independante :shock: sauf que moi la femme moderne et independante je limagine mince.... Et on a echangé sur le fait que cest la mode et les medias qui nous renvoient cette image qui ne reflete pas la realité.

Aussi je lui ai raconté une petite experience : un soir devant la tv, javais une madeleine sous mes yeux qui me fesait tres envie, jessai dattendre car pas faim, jattend donc un bon moment et puis au bout de 15-30 min je craque, jen ai trop envie, je la prend et au moment de louvrir :shock: je vois quen fait elle est pas nappé de chocolat en dessous comme je le croyais, cest une madeleine nature toute simple.... Bhen je lai reposé direct et donc pas mangé :D, ma diete ma dit que ca marquais un grand pas en avant, et que je progressais.
Je lui ais dit que cetait de la gourmandise selon moi, mais elle ma dit que les VRAI gourmands ne mangent que quand ils ont faim pour avoir le plus de plaisir...donc elle ma demande de bien observer mes emotions quand je mange.
Car elle a dit que normalement on ne mange que pour deux raisons: soit parcque on a faim :roll: soit parcque on a des emotions....
Desole pour ce pavé, jarrive pas a venir regulierement pour de petits messages

Bon dimanche
S
89 ans 4951
super pavé prisci >!

J'aime beaucoup le discours de ta dièt, c'est tout à fait le genre de discours avec lequel j ai pu avancer.

T'as l'air d'etre bien tombée !

:kiss:
49 ans Paris 9874
Oui, bravo prisci et continue!! ;)
96 ans 229
Prisci, c'est chouette l'épisode de la madeleine. C'est fou comme on parvient à se découvrir quand on écoute un peu son corps. C'est vraiment dur de distinguer la faim, le type de faim quand on n'est pas un mangeur régulé. Et c'est ce genre d'étape qui nous fait avancer. Avant de découvrir la RA, j'avais déjà remarqué que certains gâteaux étaient plus ou moins délicieux quand j'en mangeais, mais je n'avais jamais pensé à associer cette sensation à ma faim. Depuis, ce signe est très important pour moi quand je mange.

Pour ma part, j'ai traversé quelques mois un peu chaotiques. Je pense réellement avoir mis en place des automatismes qui font que je saisis plus ou moins bien ma faim de façon générale. Depuis que j'ai découvert la RA et que mon déclic s'est produit, je n'ai plus jamais avalé des quantités importantes sans faim.
Mon souci, c'est que j'avais un peu repris depuis quelques mois. Vraiment pas grand chose (1 ou 2kg), mais sans raison apparente et je pense en avoir identifié la cause. J'ai deux moments dans la journée où je mange mes émotions : le matin vers 11h et au goûter. Depuis le début de l'année, je ne m'interrogeais plus sur ce besoin.
Depuis quelques semaines, je fais une expérience. A ces heures, je mange une pomme si j'ai faim (sinon, c'était gâteaux, bonbons etc). Étrangement, ça semble satisfaire mon corps (je précise que j'adore les pommes et que je ne me prive pas du tout de sucré le reste du temps), et depuis quelques jours, je ne ressens même plus systématiquement le besoin de manger à ces heures là.
Je me suis demandé pourquoi j'avais ce besoin de sucré, ça correspond le matin à une période de stress importante et le soir c'est quand je rentre du boulot. Visiblement, le simple fait de mâcher m'apaise, et je me sens repue très vite.

Lundi soir, c'était de la vraie faim, donc j'ai carrément décalé mon dîner (heureusement, j'étais seule ce soir-là), mais hier je suis rentrée tellement tard que je suis directement passée à table, sans avoir souffert de la faim au moment où je goûte habituellement. Ça m'a fait ça aussi plusieurs fois la semaine dernière.

Je suis contente d'avoir pris le temps de me reconnecter avec mon corps comme j'ai pu la faire avant le début de l'année, mais je réalise que je ne serai sans doute jamais une mangeuse régulée et j'ai du mal à vivre avec cette obsession/terreur/répulsion que j'éprouve vis à vis de la nourriture.
S
53 ans suisse 993
Petit coup de spleen. Cela faisait longtemps que je restais sous la barre des 3 chiffres. 4 mois de suivi diét, super dièt.

Mais parallèlement une grosse réorganisation du travail dans l'équipe. Beaucoup plus de prestations, moins de flexibilité horaire et des séries de 7 jours. Le sécnario je le connais, moins de sport, plus de soucis de dos, de pieds de tendinites......fatigue, moins de sorties, la spirale se met en route. Et vlan les kilos reviennent. Kilos de lassitude de recherche de petits réconforts ici ou là, des thés au lait bine sucrés, un peu plus de chocolat, de pain beurré.

Bon au moins j'ai conscience du mécanisme. Mes postulations pour changer de job sont en route mais là aussi je fatigue. Alors oui la production augmente mais à quel prix? et mes collègues ce n'est pas mieux, des accidents, des maladies, des clopes et des clopes et des clopes pour gérer le stress.


Au final ma dièt elle est chou ellle trouve que j'aurai pu prendre encore plus de poids vu mon rythme de vie des 6 derniers mois.

Bon j'ai quelques jours de congé pour me retaper mais une fois de plus ce ne sera pas du temps ou je profite de tout mais surtout ou je tente de limiter la casse.

Ce soir pour le coup pour me réconforter quand j'aurai faim ce sera moules marinières (un de mes repas doudous) avec patates facon country au four et jolie salade. un carré de chocolat noir au cassis dégusté en dessert

Un peu triste de voir à quel point mon environnement a de l'influence sur mon poids via un comportement pour s'adapter.
37 ans 1547
Lillll a écrit:
Je suis contente d'avoir pris le temps de me reconnecter avec mon corps comme j'ai pu la faire avant le début de l'année, mais je réalise que je ne serai sans doute jamais une mangeuse régulée et j'ai du mal à vivre avec cette obsession/terreur/répulsion que j'éprouve vis à vis de la nourriture.


En te lisant je trouvais vraiment sympa la souplesse que tu as trouvé par rapport à ton besoin de réconfort, tes sensations et tes besoins comme lorsque tu as décalé ton repas. Du coup j'ai été étonnée de lire la fin de ton message qui m'a fait ressentir un peu de peine.
Qu'est-ce qui te fait douter de ne jamais devenir une mangeuse régulée ? Peut-être que dans ce qui est du comportement alimentaire quotidien tu as trouvé un certain équilibre mais que la restriction cognitive/culpabilité/peur ne sont pas parties, se sont justes calmées dans les périodes où ton équilibre quotidien est là ?
Je me penche de plus en plus sur des exercices spécifiques autour des aliments ou catégories d'aliments "connotés", plus que tabous ou interdits, mais ceux pour lesquels j'ai plein d'idées négatives ou angoissantes. Je vois que je ne suis pas encore prête à certains, mais peut être que des choses assez ciblées et qui ne concernent pas le comportement quotidien, pourraient t'aider à passer un cap ?
Est-ce que certaines d'entre vous ont fait des expériences spécifiques sur les aliments tabous ? (j'ai tenté de chercher sur le blog de poupoule où j'avais cru voir ça, mais impossible de retrouver tellement il y a de pages, après une overdose de vernis et de tenues poupoulesques pourtant ravissantes j'ai abandonné ;) )

Sirelle, ça a l'air dur ce que tu décris de ton quotidien professionnel.
En dehors de la nourriture, quelles sont les autres façons que tu as de trouver du réconfort pour tenir le coup ?
S
89 ans 4951
Lillll a écrit:


Pour ma part, j'ai traversé quelques mois un peu chaotiques. Je pense réellement avoir mis en place des automatismes qui font que je saisis plus ou moins bien ma faim de façon générale. Depuis que j'ai découvert la RA et que mon déclic s'est produit, je n'ai plus jamais avalé des quantités importantes sans faim.
Mon souci, c'est que j'avais un peu repris depuis quelques mois. Vraiment pas grand chose (1 ou 2kg), mais sans raison apparente et je pense en avoir identifié la cause. J'ai deux moments dans la journée où je mange mes émotions : le matin vers 11h et au goûter. Depuis le début de l'année, je ne m'interrogeais plus sur ce besoin.
Depuis quelques semaines, je fais une expérience. A ces heures, je mange une pomme si j'ai faim (sinon, c'était gâteaux, bonbons etc). Étrangement, ça semble satisfaire mon corps (je précise que j'adore les pommes et que je ne me prive pas du tout de sucré le reste du temps), et depuis quelques jours, je ne ressens même plus systématiquement le besoin de manger à ces heures là.
Je me suis demandé pourquoi j'avais ce besoin de sucré, ça correspond le matin à une période de stress importante et le soir c'est quand je rentre du boulot. Visiblement, le simple fait de mâcher m'apaise, et je me sens repue très vite.

Lundi soir, c'était de la vraie faim, donc j'ai carrément décalé mon dîner (heureusement, j'étais seule ce soir-là), mais hier je suis rentrée tellement tard que je suis directement passée à table, sans avoir souffert de la faim au moment où je goûte habituellement. Ça m'a fait ça aussi plusieurs fois la semaine dernière.

Je suis contente d'avoir pris le temps de me reconnecter avec mon corps comme j'ai pu la faire avant le début de l'année, mais je réalise que je ne serai sans doute jamais une mangeuse régulée et j'ai du mal à vivre avec cette obsession/terreur/répulsion que j'éprouve vis à vis de la nourriture.


lill, j ai fait le deuil d'être une mangeuse régulée, j ai repéré maintenant par contre, ce qui me fait manger sans faim, je panique moins, cela dure moins longtemps qu'avant.

Mais je ne suis plus obsédée par la bouffe par contre, j'y pense assez peu ou alors quand j'ai faim, quand je vais faire les courses ou si j'ai besoin de réconfort.

Quand tu dis que tu as du mal à vivre avec cette obsession/terreur/répulsion, c'est un sentiment que tu éprouves encore actuellement ?
S
89 ans 4951
sirelle a écrit:
Petit coup de spleen. Cela faisait longtemps que je restais sous la barre des 3 chiffres. 4 mois de suivi diét, super dièt.

Mais parallèlement une grosse réorganisation du travail dans l'équipe. Beaucoup plus de prestations, moins de flexibilité horaire et des séries de 7 jours. Le sécnario je le connais, moins de sport, plus de soucis de dos, de pieds de tendinites......fatigue, moins de sorties, la spirale se met en route. Et vlan les kilos reviennent. Kilos de lassitude de recherche de petits réconforts ici ou là, des thés au lait bine sucrés, un peu plus de chocolat, de pain beurré.

Bon au moins j'ai conscience du mécanisme. Mes postulations pour changer de job sont en route mais là aussi je fatigue. Alors oui la production augmente mais à quel prix? et mes collègues ce n'est pas mieux, des accidents, des maladies, des clopes et des clopes et des clopes pour gérer le stress.


Au final ma dièt elle est chou ellle trouve que j'aurai pu prendre encore plus de poids vu mon rythme de vie des 6 derniers mois.

Bon j'ai quelques jours de congé pour me retaper mais une fois de plus ce ne sera pas du temps ou je profite de tout mais surtout ou je tente de limiter la casse.

Ce soir pour le coup pour me réconforter quand j'aurai faim ce sera moules marinières (un de mes repas doudous) avec patates facon country au four et jolie salade. un carré de chocolat noir au cassis dégusté en dessert

Un peu triste de voir à quel point mon environnement a de l'influence sur mon poids via un comportement pour s'adapter.


:kiss: :kiss: pas évident de constater cela et de reprendre un peu de poids, la dièt me disait toujours qu'on doit etre pret à cela, personnellement, je suis angoissée chaque fois que je reprends car je n'arrive pas encore à croire que je ne suis pas condamnée a ne faire que grossir.

C'est une bonne idée de faire des repas qui te satisfont pleinement et qui font doudou également.

Ton travail a l'air bien lourd et pénible et j'espère vraiment que tu pourras avoir un changement de perspective de ce côté là.
:kiss:
B I U