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Comme une poule devant un scalpel

42 ans Sous les pins!!! 7782
le principal étant que toi tu sois contente et que tu en vois les bénéfices ;)
en tout cas contente de voir que tu rayonnes et que ton opération a été  
bénéfique pour toi.
49 ans Paris 9874
ladybugette a écrit:
Tu n'as aucun désagrément avec ta sleeve ?


Faut vraiment que je cherche pour trouver un truc!
- j'aime plus la glace et je sais pas pourquoi
- je dois faire plus gaffe au trop plein avec le riz et les pâtes qu'avec les autres aliments
- les boissons gazeuses ne m'attirent plus (sauf 1/2 coupe de champagne quand truc à fêter!)... en somme rien de bien embêtant.

Merci les filles :D
51 ans 24 777
Très contente d'avoir de tes (bonnes) nouvelles! Bon anniversaire et bienvenue chez les quadras ;-)
S
53 ans suisse 993
Bravo Poupoule pour ce rayonnement!
37 ans 1547
Pareil que ladybuguette, j'étais impressionnée qu'une année soit déjà passée !
C'est intéressant d'avoir de tes nouvelles, merci pour ce partage.

Est-ce que le corps médical a envisagé que le risque de reprise était moins important du fait que ta perte soit relative et sans changement majeur de tes habitudes ? (ce qui pour moi équivaut à quelque chose de probablement très stable du coup, si ça ne dépend pas trop de facteurs extérieurs).

Ton expérience de perte de poids relative du fait que tu étais déjà dans des quantités très très modérées me fait penser qu'un facteur probablement opérant pour des personnes dans ta situation serait davantage une action sur ton métabolisme basal que sur les quantités d'apports nutritionnels. Je pense à l'activité physique (car pour moi et grossièrement si on joue sur les quantités de nourriture on favorise surtout sur la baisse du métabolisme, c'est à dire que le corps se met à l'économie et freine l'utilisation des apports, et je n'y connais pas grand chose mais je ne connais pas d'autre facteur que l'activité pour augmenter le métabolisme). Je ne dis pas cela par rapport à toi car tu as bien dit que tu ne souhaitais pas favoriser particulièrement une autre perte de poids que celle déjà connue, mais je me demandais si les professionnels qui t'ont rencontré en vue de l'opération t'ont parlé de cette alternative en focalisant plus sur ton fonctionnement organique que sur ce que tu allais ingérer vu tes faibles quantités de départ ? (ils ont dû te parler d'activité en complément de la chirurgie j'imagine).

J'ai aussi une autre question: as-tu vu des différences sur tes prises de sang qui pourraient être qualifiées d'améliorations ?

Et enfin je voulais dire que j'ai trouvé très intéressante la partie de ton message sur le regard porté sur toi au cours de la perte de poids et la recrudescence de pensées auto-agressives. Avais-tu connu ça aussi dans tes périodes de pertes passées ?

Toutes ces personnes pro ou non qui considèrent que l'opération n'est pas aboutie parce que perte relative, ne le font pas au vu des risques encourus j'imagine puisque ça semble bien parti pour toi niveau éventuelles complications (j'imagine que le gros risque est plutôt près de l'opération elle même). Pour moi ça fait écho à la nuance entre vouloir maigrir et vouloir être mince. J'imagine par exemple que pour beaucoup de gens, dans le sens inverse c'est ne pas vouloir grossir pour ne pas être gros.
Enfin bon je m'égare un peu mais ça m'interpelle, au delà du fait que ce sont des représentations courantes des chirurgies que d'obtenir des résultats très contrastés.
49 ans Paris 9874
papille a écrit:
Pareil que ladybuguette, j'étais impressionnée qu'une année soit déjà passée !
C'est intéressant d'avoir de tes nouvelles, merci pour ce partage.

C'est gentil Papille!


Est-ce que le corps médical a envisagé que le risque de reprise était moins important du fait que ta perte soit relative et sans changement majeur de tes habitudes ? (ce qui pour moi équivaut à quelque chose de probablement très stable du coup, si ça ne dépend pas trop de facteurs extérieurs).

Non, je crois même qu'ils ont la crainte contraire: peu de kg perdus donc facile de les reprendre. Je dois prendre le rv de contrôle à un an post op... me réjouis d'avance de voir leurs mines déçues! (j'exagère, c'est peut-être du procès d'intention...)


Ton expérience de perte de poids relative du fait que tu étais déjà dans des quantités très très modérées me fait penser qu'un facteur probablement opérant pour des personnes dans ta situation serait davantage une action sur ton métabolisme basal que sur les quantités d'apports nutritionnels. Je pense à l'activité physique (car pour moi et grossièrement si on joue sur les quantités de nourriture on favorise surtout sur la baisse du métabolisme, c'est à dire que le corps se met à l'économie et freine l'utilisation des apports, et je n'y connais pas grand chose mais je ne connais pas d'autre facteur que l'activité pour augmenter le métabolisme). Je ne dis pas cela par rapport à toi car tu as bien dit que tu ne souhaitais pas favoriser particulièrement une autre perte de poids que celle déjà connue, mais je me demandais si les professionnels qui t'ont rencontré en vue de l'opération t'ont parlé de cette alternative en focalisant plus sur ton fonctionnement organique que sur ce que tu allais ingérer vu tes faibles quantités de départ ? (ils ont dû te parler d'activité en complément de la chirurgie j'imagine).

Ils conseillent le sport à tout le monde, pour "booster" la perte de poids, sans distinction entre petits mangeurs au départ ou pas (à ma connaissance).


J'ai aussi une autre question: as-tu vu des différences sur tes prises de sang qui pourraient être qualifiées d'améliorations ?

Je n'avais ni diabète ni cholesterol, donc pas grand chose à corriger.


Et enfin je voulais dire que j'ai trouvé très intéressante la partie de ton message sur le regard porté sur toi au cours de la perte de poids et la recrudescence de pensées auto-agressives. Avais-tu connu ça aussi dans tes périodes de pertes passées ?

Oui, je crois que les périodes de perte sont l'occasion d'un délire de méchanceté: tu n'es pas encore assez bien, comment pouvais-tu vivre avec X de plus, etc.


Toutes ces personnes pro ou non qui considèrent que l'opération n'est pas aboutie parce que perte relative, ne le font pas au vu des risques encourus j'imagine puisque ça semble bien parti pour toi niveau éventuelles complications (j'imagine que le gros risque est plutôt près de l'opération elle même). Pour moi ça fait écho à la nuance entre vouloir maigrir et vouloir être mince. J'imagine par exemple que pour beaucoup de gens, dans le sens inverse c'est ne pas vouloir grossir pour ne pas être gros.
Enfin bon je m'égare un peu mais ça m'interpelle, au delà du fait que ce sont des représentations courantes des chirurgies que d'obtenir des résultats très contrastés.
37 ans 1547
Sans parler de corriger des choses, d'avoir du diabète ou du cholestérol, et sans que les taux ne soient en dehors des normes, on peut observer des changements favorables. Je me demandais si ça faisait partie de modifications internes que tu avais pu connaître.

Pour l'activité, je me demandais plutôt si ça pouvait être pensé en alternative au parcours chirurgical dans le cas précis de petits mangeurs (j'imagine que c'est une faible proportion). C'est à dire si ça vient à l'idée de certains que si les quantités sont déjà très faibles, le facteur qui favoriserait davantage une perte serait de modifier le fonctionnement métabolique et pas uniquement la variable "quantité ingérable". Mais j'imagine que c'est forcément un peu réducteur car rien ne dit que ça serait suffisant.

Si ce sont des vécus que tu as déjà eu, t'es-tu déjà demandée si tu avais associé maigrir à "ne pas t'aimer"/"te faire du mal", qui puisse jouer contre la volonté qu'on peut avoir de maigrir pour se faire du bien/se soulager de certains trucs ?
Je trouve que les périodes de changement corporel peuvent être très précarisantes en tout cas alors que quel que soit le poids, quand on est stable, il y a quelque chose de moins "intense" (même si on ne le vit pas forcément bien, comme un truc au repos).

Sinon je trouve ça bien que tu sois à l'aise avec tes choix et tes besoins, je me sens beaucoup plus fragile face au corps médical et à son regard que j'imagine toujours insatisfait de voir une si grosse devant lui, ce qui me paraît relativement logique tout en étant difficile à accepter (parce que les dimensions du jugement sont parfois confuses entre le regard médical et personnel).
Je peux comprendre que les pro soient déconcertés que tu veuilles laisser ton corps te stabiliser tout seul, ça semble à l'inverse de la démarche de prime abord (dans l'idée que ça permet d'aller à un poids plus bas que notre set point avec moins d'efforts). Et de l'autre côté, j'ai plutôt l'impression que jusque là tes choix et tes démarches par rapport à ces questions ont été plutôt favorables, bien choisies et bénéfiques. Eux ils ne peuvent pas imaginer tout ce parcours en amont alors que tes positions d'aujourd'hui ne sont pas juste là comme ça.
A moi ça me donne en tout cas l'idée que le parcours chirurgical est surtout ce que l'on en fait et comment on s'approprie ça dans un processus d'ensemble. Et c'est intéressant d'avoir un témoignage différent de ceux habituels.
49 ans Paris 9874
papille a écrit:
Sans parler de corriger des choses, d'avoir du diabète ou du cholestérol, et sans que les taux ne soient en dehors des normes, on peut observer des changements favorables. Je me demandais si ça faisait partie de modifications internes que tu avais pu connaître.

Pour l'activité, je me demandais plutôt si ça pouvait être pensé en alternative au parcours chirurgical dans le cas précis de petits mangeurs (j'imagine que c'est une faible proportion). C'est à dire si ça vient à l'idée de certains que si les quantités sont déjà très faibles, le facteur qui favoriserait davantage une perte serait de modifier le fonctionnement métabolique et pas uniquement la variable "quantité ingérable". Mais j'imagine que c'est forcément un peu réducteur car rien ne dit que ça serait suffisant.

Si ce sont des vécus que tu as déjà eu, t'es-tu déjà demandée si tu avais associé maigrir à "ne pas t'aimer"/"te faire du mal", qui puisse jouer contre la volonté qu'on peut avoir de maigrir pour se faire du bien/se soulager de certains trucs ?

Je n'ai pas vraiment creusé cette piste... mais oui, pour moi maigrir s'est toujours fait au prix d'un certain masochisme, presque d'auto-mutilation. Peut-être même la sleeve peut-elle être comprise comme ça?


Je trouve que les périodes de changement corporel peuvent être très précarisantes en tout cas alors que quel que soit le poids, quand on est stable, il y a quelque chose de moins "intense" (même si on ne le vit pas forcément bien, comme un truc au repos).

Sinon je trouve ça bien que tu sois à l'aise avec tes choix et tes besoins, je me sens beaucoup plus fragile face au corps médical et à son regard que j'imagine toujours insatisfait de voir une si grosse devant lui, ce qui me paraît relativement logique tout en étant difficile à accepter (parce que les dimensions du jugement sont parfois confuses entre le regard médical et personnel).

Je ne suis pas 100% à l'aise, je préférerais tant ne pas avoir affaire au corps médical et encore plus ne pas avoir à remettre en cause certaines de leurs représentations. Je ne suis pas à l'aise avec mon histoire, mon obésité, mes conneries passées, etc. Mais bon, j'ai au moins pris quelques années de thérapie pour y réfléchir et me suis juré de ne pas reproduire certaines âneries, c'est déjà ça! ;)


Je peux comprendre que les pro soient déconcertés que tu veuilles laisser ton corps te stabiliser tout seul, ça semble à l'inverse de la démarche de prime abord (dans l'idée que ça permet d'aller à un poids plus bas que notre set point avec moins d'efforts). Et de l'autre côté, j'ai plutôt l'impression que jusque là tes choix et tes démarches par rapport à ces questions ont été plutôt favorables, bien choisies et bénéfiques. Eux ils ne peuvent pas imaginer tout ce parcours en amont alors que tes positions d'aujourd'hui ne sont pas juste là comme ça.
A moi ça me donne en tout cas l'idée que le parcours chirurgical est surtout ce que l'on en fait et comment on s'approprie ça dans un processus d'ensemble. Et c'est intéressant d'avoir un témoignage différent de ceux habituels.
51 ans 24 777
C'est très intéressant ces échanges avec Papille. Et c'est très honnête de ta part de répondre sur certains points très personnels.
49 ans Paris 9874
Beline a écrit:
C'est très intéressant ces échanges avec Papille. Et c'est très honnête de ta part de répondre sur certains points très personnels.


Merci Beline.
Conrairement aux apparences peut-être, je ne suis pas forcément une grande exhib... mais ce que d'autres filles ont partagé sur ce site m'a beaucoup aidée, alors on ne sait jamais je partage mon petit vécu au cas où ça en aiderait d'autres ;)
49 ans région parisienne 5831
Merci pour le partage poupoule (après ma demi-journée de route, je ne suis pas assez en forme pour avoir tout lu dans les détails, mais je reviendrais le faire plus tard ;) ).

Je suis contente de voir que le bilan est positif pour toi, et c'est bien l'essentiel.

J'ai une question: dans une sleeve, si j'ai bien tout compris, il y a une période de perte, puis une période de reprise. Donc les médecins ont peur que tu entames ta période de reprise sans être tombée "assez" bas, et que du coup, le bénéfice soit, nul, c'est bien cela? Mais vu le travail que tu as effectué auparavant, tu peux espérer ne pas avoir de période de reprise...

Ma question est la suivante: d'habitude, en comptant la perte puis la reprise de poids, quel est le pourcentage de perte de poids dans une sleeve?
49 ans Paris 9874
mamykro a écrit:
Merci pour le partage poupoule (après ma demi-journée de route, je ne suis pas assez en forme pour avoir tout lu dans les détails, mais je reviendrais le faire plus tard ;) ).

Je suis contente de voir que le bilan est positif pour toi, et c'est bien l'essentiel.

J'ai une question: dans une sleeve, si j'ai bien tout compris, il y a une période de perte, puis une période de reprise. Donc les médecins ont peur que tu entames ta période de reprise sans être tombée "assez" bas, et que du coup, le bénéfice soit, nul, c'est bien cela? Mais vu le travail que tu as effectué auparavant, tu peux espérer ne pas avoir de période de reprise...

Ma question est la suivante: d'habitude, en comptant la perte puis la reprise de poids, quel est le pourcentage de perte de poids dans une sleeve?


Coucou Mamykro!

Personne (ni Apfel, ni l'hosto) n'a pu ou voulu me donner de stats.
Ils disent tous qu'on trouve tous les cas de figure: de la personne qui reprend 2-3 kg puis se stabilise à celle qui reprend tout.
Certains disent qu'on reprend en moyenne 50% du poids perdu (d'où la folie de vouloir faire perdre aux gens 50kg! comme ça "au moins" on aura "engrangé" une perte de 25).
Donc pas de stats officielles, ni pour la perte, ni pour la reprise.
Je suis certaine qu'il existe des articles scientifiques divers avec des données par hosto ou par pays, mais pas de grande étude générale qui permettrait de livrer au public quelques chiffres globaux. Probablement pas encore assez de recul.
D'un autre côté, je ne passe pas (plus) mon temps dans la recherche de ces données... donc je ne sais pas du tout où on en est.

Un truc quand même important que j'ai oublié de mentionner: même sans faire de sport en salle (juste l'effet de la sleeve + éviter les escalators dans le métro), mon % de masse maigre avait bien augmenté (je n'ai plus les chiffres en tête). J'avais fait le calcul et pouvais en conclure que je n'avait perdu que des kg de gras. Ils ont très attentifs à l'hosto qu'on ne perde pas de MM.
Ou plutôt qu'on n'en perde pas trop: on m'avait dit que pour X kg perdus on pouvait considérer qu'on perd environ 75% de kg de gras et 25% de kg de MM (= les muscles qui permettaient de mouvoir les kg gras désormais perdus).
J'imagine qu'on peut arriver à ne perdre que du gras en augmentant l'activité physique. Pour ma part, ça s'est fait naturellement et sans sport particulier, juste par envie de bouger plus dans la ville du fait du plaisir d'un pas plus léger retrouvé. Je pense.

;)
49 ans Paris 9874
mamykro a écrit:
quel est le pourcentage de perte de poids dans une sleeve?


Ah oui, un truc important aussi!
Personne dans le milieu hospi ne compte en % de poids perdu (sauf moi, quand je dis que j'ai perdu 10% de mon poids).
La règle est de compter en % de surpoids perdu!!
Or, pour déterminer un "surpoids", il faut faire une soustraction entre poids avant l'opé et poids "idéal".... tout ça pour dire qu'on est encore TRES LOIN de l'esprit RA.
49 ans région parisienne 5831
Ok, je comprends à quel point c'est difficile de se retrouver dans tout cela.

Je suis étonnée qu'il n'y ait pas de chiffres, de moyennes statistiques calculées: cela me semble être la base lorsqu'on veut évaluer si une méthode est performante ou pas (même si, bien sûr, le % de poids perdu n'est pas le seul facteur d'évaluation de la réussite de la sleeve, c'est clair, mais il en fait partie)... Enfin, peut-être qu'il y en a, mais qu'elles ne sont pas disponibles pour le "public"... :roll:

Bref, de toutes façons, ton parcours sort des normes habituelles, donc il est difficile de l'évaluer à l'aune des parcours des autres personnes. Il est tout à fait possible que ta sleeve t'ait fait perdre énormément de masse grasse, et que la période de perte ne soit suivie d'aucune reprise, ce qui t'apporterait le même bénéfice qu'une personne ayant perdu 20% de son poids, puis en ayant repris la moitié.
50 ans ici 223
poupoule a écrit:

Personne (ni Apfel, ni l'hosto) n'a pu ou voulu me donner de stats.
Ils disent tous qu'on trouve tous les cas de figure: de la personne qui reprend 2-3 kg puis se stabilise à celle qui reprend tout.
Certains disent qu'on reprend en moyenne 50% du poids perdu (d'où la folie de vouloir faire perdre aux gens 50kg! comme ça "au moins" on aura "engrangé" une perte de 25).
Donc pas de stats officielles, ni pour la perte, ni pour la reprise.


Ah Poupoule, je suis tellement contente de te voir rouvrir ce post!
Je viens de lire toutes les dernières interventions sur ton post et tous les thèmes évoqués sont très intéressants alors merci à vous toutes (par sur que je sois aussi pertinente car je n'écris pas comme je pense et du coup, mon discours est très brouillon mais tant pis)!

Je voulais parler plus particulièrement de la reprise de poids avec la sleeve et vous engager à écouter la conférence du GROS de décembre 2014 (dispo sur youtube) qui traitait de la chirugie bariatrique justement.
Il y avait plusieurs intervenants (de qualité) et quelques témoignages audio de sleevées et ils avaient l'air de dire qu'après 2 années de "lune de miel" (je n'invente rien, c'est le terme employé lors de la conférence) venait une phase ou l'on reprenait un peu...Ils parlaient d'une dizaine de kilos environ (en général) si je me souviens bien...
Je pense qu'avec le parcours RA et psy que tu sembles avoir, il me parait peu probable que tu reprennes ce poids sauf si (comme tu l'évoques toi même), tu te mettes à manger/arrêter/ attendre que le dumping passe/ remanger/rearrêter...

Je ne suis toujours pas convaincue par la chirurgie et encore plus aujourd'hui car ma sœur s'est faite opérer il y a 2 mois maintenant(en secret pour pas que je la gronde...pfff!)et 2 situations particulières que j'ai pu observer depuis me font penser qu'elle fera probablement partie des personnes qui vont reprendre (mais j'espère vraiment VRAIMENT me tromper).

Félicitations pour ton parcours en tout cas et très bon anniversaire!Je plussoie ton témoignage: on s'aime mieux à 40 ans!J'ai moi aussi le sentiment que cette décennie sera plus sympa que la trentaine!
B I U


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