38 ans
Sud Ouest
39
Je crois que je suis un peu dans la même situation que toi, je sors d'une dépression et me reconvertie professionnellement.
Il me manque beaucoup d'énergie pour vivre une vie normale, je suis boulimique depuis x années.
Pour ma part, lorsque je travaille, j'ai des crises de boulimie quasiment tous les soirs donc je dors très mal. Le lendemain, je suis fatiguée, lente, donc je crise à nouveau. Voilà, je n'ai jamais réussi à tenir un boulot à cause de tout ça. Dans ces périodes là, je fais le vide autour de moi et me rempli par la nourriture.
Je pense que la vie professionnelle ne doit pas être une priorité quand on sort d'une dépression et quand on souffre de tca.
Se reconstruire après une dépression c'est long, par moment, je me dis aussi que c'est une merveilleuse opportunité pour se connaître soi-même. Déjà, retrouver le plaisir pour des petites choses comme la couleur d'un ciel, un sourire, manger un fruit juteux...ça me paraît primordial.
Très franchement, je ne pense pas qu'on puisse concilier les tca avec une vie sociale, familiale épanouissantes parce qu'on reste enfermer en nous-même. Je préfère l'idée de me réconcilier avec moi même, le reste vient tout seul.
Il me manque beaucoup d'énergie pour vivre une vie normale, je suis boulimique depuis x années.
Pour ma part, lorsque je travaille, j'ai des crises de boulimie quasiment tous les soirs donc je dors très mal. Le lendemain, je suis fatiguée, lente, donc je crise à nouveau. Voilà, je n'ai jamais réussi à tenir un boulot à cause de tout ça. Dans ces périodes là, je fais le vide autour de moi et me rempli par la nourriture.
Je pense que la vie professionnelle ne doit pas être une priorité quand on sort d'une dépression et quand on souffre de tca.
Se reconstruire après une dépression c'est long, par moment, je me dis aussi que c'est une merveilleuse opportunité pour se connaître soi-même. Déjà, retrouver le plaisir pour des petites choses comme la couleur d'un ciel, un sourire, manger un fruit juteux...ça me paraît primordial.
Très franchement, je ne pense pas qu'on puisse concilier les tca avec une vie sociale, familiale épanouissantes parce qu'on reste enfermer en nous-même. Je préfère l'idée de me réconcilier avec moi même, le reste vient tout seul.