40 ans
Niort
1336
Kuro_Hime a écrit:
Ex perso : j'adore les fleurs du mal ou les comédies du 17 e siècle mais j'adore aussi les polars et j'en lis beaucoup de Donna León ou Ian Rankin qui sont contemporains et bien vivants hein .... Et je ne pense pas être la seule ça aimer des lectures différentes !
Oh ! Ian Rankin ! Ma soeur en a traduit un pour fleuve noir !
Et tout le théatre du 17ème... Love...
J'ai des pages et des pages de retard, mais je réagis quand même : ma mère était spécialiste du Polar, et tout ce que cela englobe (policier, thriller, roman noir......). Eh bien elle a eu à lutter des années contre l'idée que le polar était un roman de gare ! Et quand bien même, Fred Vargas, que du coup j'ai la chance de connaître, en est très satisfaite d'être une auteur "de gare", ou "de plage" !
Et si j'ai envie de citer un auteur contemporain qui a tant fait, et un livre de cet auteur, je citerais Pennac, et Chagrin d'école, excellentissime. Devrait tous nous mettre d'accord. Rappelons pour mémoire que Pennac était un cancre. Un vrai, paniqué par les mots.
Ex perso : j'adore les fleurs du mal ou les comédies du 17 e siècle mais j'adore aussi les polars et j'en lis beaucoup de Donna León ou Ian Rankin qui sont contemporains et bien vivants hein .... Et je ne pense pas être la seule ça aimer des lectures différentes !
Oh ! Ian Rankin ! Ma soeur en a traduit un pour fleuve noir !
Et tout le théatre du 17ème... Love...
J'ai des pages et des pages de retard, mais je réagis quand même : ma mère était spécialiste du Polar, et tout ce que cela englobe (policier, thriller, roman noir......). Eh bien elle a eu à lutter des années contre l'idée que le polar était un roman de gare ! Et quand bien même, Fred Vargas, que du coup j'ai la chance de connaître, en est très satisfaite d'être une auteur "de gare", ou "de plage" !
Et si j'ai envie de citer un auteur contemporain qui a tant fait, et un livre de cet auteur, je citerais Pennac, et Chagrin d'école, excellentissime. Devrait tous nous mettre d'accord. Rappelons pour mémoire que Pennac était un cancre. Un vrai, paniqué par les mots.