37 ans
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Je trouve que c'est une bonne idée de sujet de pouvoir échanger sur nos consultations "spécialisées".
Citation:
Je me questionne beaucoup sur la façon dont bien/mal manger au sens du régime se teinte du côté santé,à la fois sur le plan nutrition qui est énormément abordée de ce côté là (ça c'est bon pour ci, ça c'est mauvais pour ça ; nourriture saine au sens origine/cuisson/effet sur l'organisme et plus seulement sur une seule idée de calorie ou de type d'aliment), à la fois sur le côté corporel (être en bonne santé = ne pas être gros ?) (et aussi comment beauté/santé sont devenus si étroitement liés)...bref... tout ça pour dire que je trouve aussi que c'est une piste très intéressante et je serai attentive si tu as envie de partager des choses autour de cela.
De mon côté depuis quelques mois j'ai consulté une nouvelle professionnelle affiliée au G.R.O.S. avec qui je tâtonne et qui tâtonne avec moi je dirais. Je n'aime pas la façon un peu mésajustée dont elle me salue quand elle m'accueille dans son bureau (une sorte d'enthousiasme un poil trop marqué qui ne correspond pas à la situation de se retrouver, ça me paraît "trop aigu pour être vrai" - j'y peux rien je suis très sensible sur le plan sensoriel/relationnel) et j'apprécie sa qualité d'écoute et sa capacité à me guider à d'autres moments.
Trois choses me viennent à l'esprit à ce sujet:
- l'effet incroyable de ma qualité de vie/rythme de vie sur mon alimentation
- l'importance de la dimension ludique dans ce qui m'aide. J'ai l'impression que se dessine de plus en plus cette voie d'accès pour moi: apprendre, jouer, partager, découvrir avec la nourriture et en se faisant, expérimenter, ne serait ce que partiellement, autre chose que la restriction cognitive ancrée en moi.
- la force de ma peur de mourir si je ne mange pas (forcément c'est pas comme ça que ça s'exprime au quotidien mais c'est l'idée sous jacente)
Citation:
Grosse surprise: elle pense que je suis encore en restriction cognitive;) qu'à force de me focaliser sur ma santé le plaisir est passé en second plan. Piste intéressante.
Je me questionne beaucoup sur la façon dont bien/mal manger au sens du régime se teinte du côté santé,à la fois sur le plan nutrition qui est énormément abordée de ce côté là (ça c'est bon pour ci, ça c'est mauvais pour ça ; nourriture saine au sens origine/cuisson/effet sur l'organisme et plus seulement sur une seule idée de calorie ou de type d'aliment), à la fois sur le côté corporel (être en bonne santé = ne pas être gros ?) (et aussi comment beauté/santé sont devenus si étroitement liés)...bref... tout ça pour dire que je trouve aussi que c'est une piste très intéressante et je serai attentive si tu as envie de partager des choses autour de cela.
De mon côté depuis quelques mois j'ai consulté une nouvelle professionnelle affiliée au G.R.O.S. avec qui je tâtonne et qui tâtonne avec moi je dirais. Je n'aime pas la façon un peu mésajustée dont elle me salue quand elle m'accueille dans son bureau (une sorte d'enthousiasme un poil trop marqué qui ne correspond pas à la situation de se retrouver, ça me paraît "trop aigu pour être vrai" - j'y peux rien je suis très sensible sur le plan sensoriel/relationnel) et j'apprécie sa qualité d'écoute et sa capacité à me guider à d'autres moments.
Trois choses me viennent à l'esprit à ce sujet:
- l'effet incroyable de ma qualité de vie/rythme de vie sur mon alimentation
- l'importance de la dimension ludique dans ce qui m'aide. J'ai l'impression que se dessine de plus en plus cette voie d'accès pour moi: apprendre, jouer, partager, découvrir avec la nourriture et en se faisant, expérimenter, ne serait ce que partiellement, autre chose que la restriction cognitive ancrée en moi.
- la force de ma peur de mourir si je ne mange pas (forcément c'est pas comme ça que ça s'exprime au quotidien mais c'est l'idée sous jacente)