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Consultations RA

S
53 ans suisse 993
Je reviens dans cette section avec un post plus spécifique RA.

Cela fait suite à une consultation de santé ou à nouveau le poids est vu comme facteur de risque et  
ou l'on m'encourage à me tourner vers la chirurgie. Ce que je ne souhaite pas pour le moment.

Je suis donc repartie à la recherche d'une perle rare. Une diététicienne formée au GROS et qui consulte dans un cabinet multidisciplinaire ou tous les intervenants sont formés dans cette optique. Ils proposent aussi d'autres services de coach de sport etc....

J''ai été à 2 premières consultations qui ont eu pour but de reprendre mon parcours de régimes, yoyo, mes histoires de santé, de vie etc. la diét est aussi en train de passer son master de psycho et on sent le sérieux de la chose.

Pour le moment je suis satisafaite. J'ai eu à remplir 5 jours de carnet alimentaire ca m'a gonflée un peu mais bon.....normal de son point de vue de voir ma "strucutre alimentaire" les envies de manger émotionnelle etc..

J'aime beuacoup son honnêteté, le fait qu'elle ne garantisse pas de perte de poids du tout vu mon parcours (je suis stable depuis tellement longtemps) mais qu'elle aie à coeur de m'accompagner dan mon non-désir de chirurgir tout en restant en meilleure santé possible.

Grosse surprise: elle pense que je suis encore en restriction cognitive;) qu'à force de me focaliser sur ma santé le plaisir est passé en second plan. Piste intéressante.

Il y aura pour les prochaines consultations un travail sur la satiété (la faim je connais bien) la restrciction cognitive, un peaufinage sur les sensations alimentaires.

Sachant que de mon côté je fais beuaocup de méditations et de formations sur lea gestion des émotions et du stress (principales sources d'envie de manger émotionnelles chez moi) je n'aborderai pas ces points en détails avec elle.

Et vous ou en êtes vous niveau RA?
37 ans 1547
Je trouve que c'est une bonne idée de sujet de pouvoir échanger sur nos consultations "spécialisées".

Citation:
Grosse surprise: elle pense que je suis encore en restriction cognitive;) qu'à force de me focaliser sur ma santé le plaisir est passé en second plan. Piste intéressante.

Je me questionne beaucoup sur la façon dont bien/mal manger au sens du régime se teinte du côté santé,à la fois sur le plan nutrition qui est énormément abordée de ce côté là (ça c'est bon pour ci, ça c'est mauvais pour ça ; nourriture saine au sens origine/cuisson/effet sur l'organisme et plus seulement sur une seule idée de calorie ou de type d'aliment), à la fois sur le côté corporel (être en bonne santé = ne pas être gros ?) (et aussi comment beauté/santé sont devenus si étroitement liés)...bref... tout ça pour dire que je trouve aussi que c'est une piste très intéressante et je serai attentive si tu as envie de partager des choses autour de cela.

De mon côté depuis quelques mois j'ai consulté une nouvelle professionnelle affiliée au G.R.O.S. avec qui je tâtonne et qui tâtonne avec moi je dirais. Je n'aime pas la façon un peu mésajustée dont elle me salue quand elle m'accueille dans son bureau (une sorte d'enthousiasme un poil trop marqué qui ne correspond pas à la situation de se retrouver, ça me paraît "trop aigu pour être vrai" - j'y peux rien je suis très sensible sur le plan sensoriel/relationnel) et j'apprécie sa qualité d'écoute et sa capacité à me guider à d'autres moments.

Trois choses me viennent à l'esprit à ce sujet:
- l'effet incroyable de ma qualité de vie/rythme de vie sur mon alimentation
- l'importance de la dimension ludique dans ce qui m'aide. J'ai l'impression que se dessine de plus en plus cette voie d'accès pour moi: apprendre, jouer, partager, découvrir avec la nourriture et en se faisant, expérimenter, ne serait ce que partiellement, autre chose que la restriction cognitive ancrée en moi.
- la force de ma peur de mourir si je ne mange pas (forcément c'est pas comme ça que ça s'exprime au quotidien mais c'est l'idée sous jacente)
49 ans région parisienne 5831
papille a écrit:
la force de ma peur de mourir si je ne mange pas


C'est assez étonnant, je trouve (dans le sens où je n'ai pas l'impression d'avoir cette peur là en moi, et je n'y avais donc jamais réfléchi). As-tu expérimenté le fait de ne pas manger pendant plusieurs jours?
37 ans 1547
C'est sûr que dit comme ça, c'est déjà bien transformé. Je le relie beaucoup à des vécus fréquents de peur de manquer/de ne pas pouvoir manger/d'avoir faim/de ne plus avoir de force/de ne plus tenir.

J'ai expérimenté d'attendre ma faim pendant plus de 30h et d'autres fois pendant plus de 20h par exemple.
Ça ne suffit pas forcément à me rassurer car intellectuellement et dans la réalité je tiens très bien sans manger.
La peur est plus insidieuse car je pourrais avoir peur par exemple de ne pas avoir mangé les choses dont mon corps a besoin ou d'être affaiblie sur le long terme (carence, blessure, etc) de ne pas manger autant que j'en aurais besoin et/ou les choses dont j'aurais besoin.
49 ans région parisienne 5831
Et tu relies cela à quoi? Y a-t-il un discours spécifique qui t'aurait été tenu dans ta jeunesse et que tu pourrais relier à cette peur?
37 ans 1547
C'est relativement récent ce cheminement là donc je supporte encore pas mal de confusion à ce sujet. J'effleure (je ne sais pas comment le dire mieux car ce n'est pas tout à fait ce que je "pense", ni ce que je "ressens", c'est un peu ça mais pas encore tout à fait ça) une sorte de transformation-combinaison entre l'injonction de devenir une femme forte / le besoin de force face à l'impuissance vécue / la question de mourir-tuer déjà très présente. Donc un mélange entre des discours et des vécus. Déjà enfant j'étais déjà "forte" à différents niveaux et je me demandais de l'être pour ce qui me faisait peur. C'est comme s'il y avait une nécessité installée déjà assez tôt.
En tout cas en terme de discours, il y avait vraiment l'idée que je devais devenir une femme forte et dans les actes, une façon d'investir l'oralité comme un mode de survie émotionnelle/mode de régulation affective. Je m'en suis probablement imprégnée.
49 ans région parisienne 5831
C'est intéressant. Pour ma part, j'avais aussi intégré l'idée qu'il fallait que je sois "forte" quand j'étais petite, mais ça n'est, à ma connaissance, jamais passé par la nourriture, plutôt par le fait de contrôler ses émotions (ne pas pleurer surtout) et par le fait de faire du sport pour être musclée.

Qu'est-ce qui a pu t'amener à l'idée "pour avoir de la force il faut manger"? Connaissais-tu quelqu'un de "fort" qui mangeait beuacoup? Ou alors as-tu plutôt subi des discours type "il faut manger ta soupe pour avoir des forces"?

(Bon, t'es pas obligée de répondre non plus, hein, c'est pas un interrogatoire, c'est juste des questions que je me pose, mais si cela te dérange, ce n'est pas un problème, je comprends parfaitement ;) )
S
101 ans 4480
sirelle a écrit:


Grosse surprise: elle pense que je suis encore en restriction cognitive;) qu'à force de me focaliser sur ma santé le plaisir est passé en second plan. Piste intéressante.


C'est très intéressant ce qu'elle te dit. Je veux bien que tous explique plus au fur et à mesure de tes consultations.

Je mange "sain" depuis plusieurs mois, suite à une RA qui s'est mise en place toute seule finalement. Pour faire simple, grosse prise de conscience de ma manière de m'alimenter et du fait que je ne pouvais plus rester comme ça... 151 kg, c'était le max que je pouvais supporter émotionnellement parlant.
Je ne me nourrissais que de malbouffe et je n'avais même plus de plaisir avec mes aliments "doudous" comme je les appaelle.

Je me suis forcée au début à réintroduire des aliments de meilleure qualité (parce que RA ou pas, on ne peut pas à vie se nourrir uniquement de pizza, fromage, chocolat et coca... c'était ça ma vie avant et ce depuis de longs mois)

Et finalement, à force d'écouter mon corps et ses sensations, de me rendre compte que manger mieux faisait que j'étais en meilleure forme, que ma peau était en meilleur état (plus de boutons quasiment), mes gouts se sont modifiés.
Et maintenant, je prends un plaisir fou à manger une salade composée avec des crudités à foison (alors qu'avant, ça n'aurait été que du dégout).
Et à coté de ça, je prends à nouveau du plaisir quand je mange une pizza 4 fromages (mon pêché mignon), je la savoure et je ne culpabilise absolument pas.

Bref, c'est un peu flou ce que j'essaie d'expliquer ;) Mais la tête joue pour beaucoup. Et vraiment, il faut écouter son corps, il a bcp de choses à nous dire.
Bon courage dans ton nouveau parcours :)
S
101 ans 4480
(après, je suis consciente que je ne fais pas une RA au sens propre du site et c'est bien pour ça que je ne détaille pas trop...)

Pour autant, n'ayant aucune restriction et pouvant manger absolument tout ce que je veux, selon mes envies du moment, je pense être dans la bonne direction.

Et sincèrement, je me suis réconciliée avec la nourriture. Et rien que ça, c'est un sacré pas en avant pour moi. Et retrouver le plaisir de manger, je ne pensais pas en être capable un jour.

J'étais nauséeuse en mangeant certains légumes et je n'avalais aucun fruit... Maintenant, si je n'ai pas un fruit au petit dej, ça ne va pas :)
S
53 ans suisse 993
ma 3ème consultation aura lieu mercredi.

Le fait de consulter a un effet que je n'avais pas imaginé: je me sens beaucoup plus relax avec mon poids.Je le suis depuis des années, à moi les fringues le bikini etc. je ne m'interdis rien (je ne comprends pas quand quelqu'un me dit non pas de manches courtes.....)

Mais là c'est un effet encore plus profond de réconciliation très forte, encore plus forte comme une intimité avec la nourriture. Difficile à expliquer cela va avec une intimité plus forte avec toutes les sensations, j'aime beaucoup de message de papille sur l'autre poste...les textures, le mou le dur, une étoffe chatoyante, les goutelettes de pluie sur la peua.

j'attribue cela en grnde partie à mon parcours de pleine conscience vu que c'est l'objectif de la chose.

Pour la restriction alimentaire: je sais pouvoir manger de tout et je le fais. Mais j constate effectivement une tendance à manger "sain" qui s'est installée avec les années et mes soucis de santé. Constatant que ce que je mange influence mes apnées, que si je mange telle chose à telle heure j'ai de monstres coups de barres etc...et aussi avec tous mes proches souffrant de cancer et autres maladies inflammatoires. Bref nous achetons local, bio si possible, au marché etc et dans une optique assez "produits non transformés".

Du coup cela a pu me maintenir dans une forme de restrcition? je vais en parler avec elle car pour le moment je ne me sens pas frustrée et si j'en ai vraiment envie je vais aussi acheter un truc genre le surimi ca me prend une fois par mois j'ai envie de ce machiin (comment appeler ca autrement?)

Sinon j'ai repris un carnet je pensais que ca me saoulerait mais non. J'ai pu cerner les moments les plus difficiles qui sont en lien avec mes grosses journées de travail. Genre mon 7ème jour de travail hier et bine bonjour les émotions les envies de manger sans fin etc.

Maintenant sur cet aspect j'ai repris une formation fini un bilan de compétence postulé et y a plus qu'à trouver le job.....

Bon je me réjouis de voir ce qui va se passer.
37 ans 1547
C'est vraiment un récit qui fait plaisir à lire.
J'espère que tes démarches de "reconversion" aboutiront.

Niveau carnet, je me surprends depuis quelques temps à avoir réinvesti le mien. Pas pour noter mes menus mais plutôt mes ressentis, observations et idées. Ca me plaît bien et j'ai l'impression que ça m'aide. Ca me sert aussi parfois pour faire le point d'une consultation à l'autre.
Aujourd'hui pour la première fois j'ai eu envie de réécrire mes prises alimentaires/contextes/sensations pour avoir des repères globaux, on verra bien.
S
53 ans suisse 993
Reprise des consultations après l'été.

Une consultation a consisté à reprendre el carnet que j'ai rempli et à sélectionner "ma journée parfaite" en terme de plaisir bien être appétit etc et "ma journée la plus horrible".

Exercice limpide: quand je suis en congé relax que je fais de la gym ou de la marche que j'ai le temps de méditer de me faire du bien de partager du temps avec mes amours........je mange en suivant ma faim mes sensations . J'ai aussi le temps de cuisiner, de savourer de trainer. Et je mange moins en en profitant au max.

Les journées les pires sont les journées ou je travaille 8 h en horaires coupés étalés entre 7h et 21h. Et là ne pas pouvoir manger quand on a faim, courir dans tous les sens, engoufrer mon repas en 20mn.....bonjour le stress. Une fois de plus dans mon cas l'aspect environnement et comportement en lien avec ce facteur jour un max.

Donc pour les 2-3 consultations suivantes nous allons travailler spécifiquement sur ces journées difficiles. C'est l'intérêt de cette consultation personnelle finalement de faire du sur mesure, d ela haute couture. Je me retrouve un peu par rapport à linecoaching qui pour le cas faisait dans le prêt à porter voir supermarché. En même temps une huere en tête à tête avec un pro ne peut pas être remplacé (dans mon cas) par un abonnement d'une centaine d'euros sur 6 mois sans vis à vis.

POur la prochaine quinzaine je travaille seule certains aspects et je lui en fait des retours:

Manger des collations plus importantes . Quand je mange rapide un truc à la pause j'arrive avec une faim trop importante à 13h et je mange vite sans avoir de temps de déguster et en plus dans uen ambiance assez stressante de tous mes collègues au bout du rouleau. Je vois aussi pour trouver d'autres lieux pour manger.

Anticiper mes repas et collations: je vais me fournir en bon pain que je congèlerai en tranches pour pouvoir me faire mes supers snadwichs délicieux que j'emmènerai. Et aussi congeler des plats maison que je pourrai sortir le matin en arrivant ua boulot quand je suis un peu short sur le temps.

Rapport à mes restes de restrictions cognitive sur l'aspect "santé": invitation à lâcher du lest, à me répéter que l'organisme fait avec ce que je lui donne qu'il gère sur la semaine et arrêter de psychoter parce que mon sélénium est bas (ce qui est vrai j'ai des carences en micro nutriments de ce type). RELAX. Bon pour autant je sais que j'achèterai pas de pack de viande en promo à prix qui te fais te demander ce que tu manges.....je préfèrerai toujours aller moins souvent chez le boucher mais mange un truc qui a du goût et dont je sais d'ou il vient.

Bpn bref je me sens plutôt en pleine forme. Les cours de pleine conscience suivnet leur cours et ensuite ils enchaineront avec un cours de gestion des émotions 2 fois par mois. Je m'y tiens je pratique tous les jours mes exercices.

En fait tout cela me réjouit. Au pire il ne se passera rien (vu que je suis super stable depuis longtemps). Au mieux je peux espérer selon elle et vu mon parcours de vie une perte de l'ordre de 10% de mon poids. Ca ne fait pas grand chose en terme de chiffre mais en terme de santé surtout sur l'apnée pour moi et les risques de prédiabète ca peut suffire à maintenir un équilibre de bonne santé relative.

J'ai repris l'aquagym le qi gong les grandes balades en forêt. Tout va bien quoi.

De gros changements non choisis niveau boulot se profilent mais je ne veux plus me contraindre à un travail très stressant et éprouvant et mettre ma santé en danger. J'ai une certaine confiance de pouvoir trouver autre chose de moins fatiguant quitte à gagner moins mais en étant en meilleure forme. J'ai 20 ans de boutot devant moi si c'est pour arriver à la retraite en mille morceaux en n'ayant pas vécu tellement j'étais toujours naze c'est pas la peine.
49 ans région parisienne 5831
Je suis complètement d'accord avec ta dernière partie, c'est l'état d'esprit dans lequel je suis en ce moment, moi aussi. ;)

Merci pour ces nouvelles, en tous cas (positives, je trouve)
37 ans 1547
sirelle a écrit:
Une fois de plus dans mon cas l'aspect environnement et comportement en lien avec ce facteur jour un max.
/
Donc pour les 2-3 consultations suivantes nous allons travailler spécifiquement sur ces journées difficiles.
/
Anticiper mes repas et collations: je vais me fournir en bon pain que je congèlerai en tranches pour pouvoir me faire mes supers snadwichs délicieux que j'emmènerai. Et aussi congeler des plats maison que je pourrai sortir le matin en arrivant ua boulot quand je suis un peu short sur le temps.

Je trouve qu'anticiper repas et collations aide vraiment particulièrement pour ces journées difficiles justement où on a le sentiment que le rythme va à toute allure et qu'il n'est pas ajusté au nôtre. Avec la diététicienne que je consulte, on fait souvent le point sur ces moments que je repère "à risque" i.e. l'occasion quasi systématique de me mettre à manger sans conscience ni plaisir et à en ressentir quelque chose de négatif après. On envisage chacun très concrètement, on échange sur les pensées qui me viennent dans ces situations et elle me fait chercher quelle solution "concrète" je pourrais trouver pour répondre à ma faim ou à mon envie de manger à ce moment là de façon plus satisfaisante. Et là on bute parfois sur les courants "oui mais" face à des changements qui, heureusement, cèdent assez facilement au final. :D

Citation:
Manger des collations plus importantes . Quand je mange rapide un truc à la pause j'arrive avec une faim trop importante à 13h et je mange vite sans avoir de temps de déguster et en plus dans uen ambiance assez stressante de tous mes collègues au bout du rouleau. Je vois aussi pour trouver d'autres lieux pour manger.

Ça serait vraiment chouette en effet que tu trouves un meilleur cadre pour manger. Plus propice au plaisir qu'à la plainte partagée. J'y suis plus vigilante aussi et notamment sur le temps disponible pour ma pause, et je ressens un certain bénéfice.

Citation:
Rapport à mes restes de restrictions cognitive sur l'aspect "santé": invitation à lâcher du lest, à me répéter que l'organisme fait avec ce que je lui donne qu'il gère sur la semaine et arrêter de psychoter parce que mon sélénium est bas (ce qui est vrai j'ai des carences en micro nutriments de ce type). RELAX.

Ce sont des choses qui me font écho. Qu'est-ce qui te fait peur dans l'idée que ton corps n'aurait pas tout tout tout ce dont il pourrait avoir besoin ?

Citation:
De gros changements non choisis niveau boulot se profilent mais je ne veux plus me contraindre à un travail très stressant et éprouvant et mettre ma santé en danger. J'ai une certaine confiance de pouvoir trouver autre chose de moins fatiguant quitte à gagner moins mais en étant en meilleure forme. J'ai 20 ans de boulot devant moi si c'est pour arriver à la retraite en mille morceaux en n'ayant pas vécu tellement j'étais toujours naze c'est pas la peine.

Mille fois d'accord. Perso, je pense à plus court terme à la "fin d'année" en me disant que si c'est pour finir dans l'état où j'étais avant mes congés, et avoir besoin de tous mes congés pour me restaurer, c'est qu'il y a un truc qui cloche. Et c'est vrai que j'ai aussi en tête le fait de pouvoir "durer", car je vois bien comment mes collègues plus expérimentés peuvent avoir été impactés par leur vie professionnelle.
S
53 ans suisse 993
Suite des consultations.

Une stagiaire en find e formation avait besoin de "cobayes" trop chou.....ca a été un plaisir de parler RA avec cette toute jeune femme qui bien qu'en formation ne croit pas un instant au pouvoir des régimes.


Bref consultation axée sur mes modifications de collation. Effectivement avec des collations anticipées riches en goût et qui tiennent assez au ventre je suis mon affamée au repas. Et pour ce qui est de l'ambiance des repas j'y travaille, je vais manger plus tard c'est plus calme. tant pis pour les conversations qui de toute façon sont stressantes et pas reposantes.


Pour les 15 prochains jour travail sur la satiété et donc exercices tous les jours de travail sur la vitesse du repas (poser de fourchette, finir en dernier à table etc). Et manger systématiquement dans des couverts à dessert, bien réfléchir sur ses sensations avant de me resservir et mieux cerner la satiété......


PPPPFFFFFF dur. La satiété c'est pas net chez moi. Dans le doute je me contente de ma mini portion et du coup 2 h après bien faim donc collation Donc au final je pense manger la même chose niveau quantité mais répartie différemment.

Par contre je me sens extrêmement mieux en attendant de revoir mon médecin de privilégier certains glucides, les trucs complets etc.....ca me convient au gout e the n'ai pas ses gros coup de barre digestifs après les repas.

Donc voilà je note juste ce que je ressens, quelques impressions et ensuite on en reparle.

Sinon dans le nouvelles on m'a mesuré et selon le truc de la diététicienne j'ai perdu 2cm ce qui indiquerait un sacré ratatinement vertébral. Snif.


Je ne sais pas ce qu'il en sera sur le mois à venir mais c'est chouette de consulter en privé et d'avoir quelqu'un qui s'adapte précisément à mon mode de vie, mon comportement en tenant compte de mon passé et qui ne parle jamais ni calories ni pesée de quoi que ce soit etc.
B I U