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Post inutile, besoin de me vidé

46 ans Dans le Nord 48
Pour répondre à ton dernier message et peut-être te donner un conseil qui m'a bien aidée : sois bienveillante avec toi-même. Tout ne s'est pas fait en un jour. Tu  
as le droit d'être en colère, fatiguée, de ne pas avoir le courage de faire certaines choses à certains moments. C'est ça aussi, prendre soin de soin...et c'est normal d'avoir peur à certains moments, surtout quand on est au seuil de certains moments de notre vie, c'est même sain je dirais.
Et la colère est aussi une énergie, il faut juste éviter de la laisser sans but et sans issue. Je le répète, en aucun cas tu ne crées que des problèmes. La situation que vous vivez est problématique, c'est différent. C'est comme une naissance, si tu prends ça avec beaucoup de recul : c'est douloureux des 2 côtés et ce sont des transformations à tout va, mais sans ce passage il y a la mort...attention, hein, je dis juste que chaque naissance (physique ET psychologique) implique la mort d'une part de soi d'avant pour pouvoir évoluer.
C'est fatiguant. Extrêmement. Et crois-moi, je travaille parfois encore la-dessus : tu n'as pas à te justifier pour expliquer à tes proches le pourquoi du comment. S'ils ne comprennent pas, fais le tri dans tes amis. Je suis peut-être (très) dure, mais pendant des années je me suis demandé ce qui avait encore ce goût de culpabilité dans mes relations avec les autres, et c'était le fait de devoir me justifier encore et encore. Mais mes vrais amis ne me l'ont jamais imposé. Un ami t'accepte comme tu es, pour ce que tu es.
C'est ce que je te souhaite maintenant, de pouvoir compter avec eux.
Ne baisse pas les bras!
30 ans Ici 284
Amnesia a écrit:
Ma mère fait la tête et ça me rend coupable. C'est encore de ma faute, encore un souci en plus à cause de moi. Je ne crée que des ennuis.


J'appuie les dires du dernier message de Mamykro, surtout en relation avec la partie que je viens de mettre en évidence. Il serait intéressant que tu voies quelqu'un qui puisse te permettre de ne plus être affectée par le chantage affectif de tes parents. Je connais bien ça et c'est un combat de tous les jours pour ne pas retomber dans le panneau. Dans mon cas, voir un thérapeute est un vraie bouffée d'air frais, d'ailleurs en ce moment il est en vacance et c'est très très dur de gérer ma relation avec mes parents.

Et je suis d'accord aussi avec ce que dis Mamaykro sur la dépression, se sentir nié pas ses parents ça peut y amener vachement vite (encore plus s'ils t'enferment comme ils le font) et c'est normal, fais attention! Pour être honnête, étant en dépression dans une situation similaire, il est extrêmement dur d'en guérir dans un tel climat, tout simplement parce qu'on ne reçoit pas le support nécessaire de ses proches.

Prends soin de toi malgré tout, et si tu le peux consulte quelqu'un , ça devrait te faire énormément de bien!

:kiss:
30 ans 34 124
Mamykro: Ma famille ne me laissera pas voir un psychologue, et vu qu'on ne me laisse aucune autonomie je ne peux pas aller en consulter un de moi-même sans qu'ils le sachent.
J'ai des amis à qui je parle non pas régulièrement mais parfois. Ils me soutiennent, tout mon entourage autre que familiale me soutien.
Mais je ne connais personne ici, je n'ai aucun amis, je n'ai pas le temps de m'en faire vu le peu de moment que je passe dehors (si l'on peut dire ça comme ça, vu que c'est maison-salle de sport uniquement)

Madchat: Cette notion de naissance me parle oui. Je sais que les choses changent, en tout cas dans ma tête plus qu'ailleurs, pour le moment. En tout cas, cette notion de mort d'une part de soi se concrétise. Je ne pourrais plus être la même que quand je suis arrivée ici, ça c'est certain.
Pour mes amis, je n'ai pas à me justifier. J'ai vraiment beaucoup de soutien de ce côté là et je peux compter sur eux. Ils m'ont conseillés, donnés des solutions. Ce n'est qu'à moi que ça tiens de les mettre en pratique. Ils ne me forcent en rien, ils essayent vraiment de m'épauler comme ils peuvent.
Mais c'est surtout ma propre solitude ici qui me pèse et qui me fait me renfermer. Mes amis essayent d'être présents, mais physiquement, personne n'est présent.
46 ans Dans le Nord 48
Amnesia, quand je récapitule, dans ma tête j'en arrive au point ou tu as l'air devant le seuil d'une décision importante : clasher une bonne fois avec ta famille et te battre pour pouvoir continuer ton année d'études avec l'énergie que cela demande ou rassembler tes forces et faire le gros dos encore le temps de pouvoir être libre. Si je me trompe, n'hésite pas a me le dire. L'avantage de la première solution, c'est que tu peux prendre ta vie en mains, que personne ne sera plus là pour dénigrer tes choix et t'enfermer et tu pourras respirer et prendre confiance en toi petit a petit. Les désavantages : la peur, l'inconnu, la fatigue que cela engendre et une bonne préparation en amont pour éviter de se retrouver dans la dèche...la deuxième solution à l'avantage d'être en terrain connu : pas de surprise, mais elle te mange ton énergie vitale, tu es niée tous les jours, tu dois te battre pour exister et imposer tes choix et ta liberté est restreinte. Et demain, qu'est-ce qu'on te demandera?
J'ai fait un peu le topo de ce qui m'a l'air d'être la situation pour le moment, mais tu sais comme moi que toi seule peut voir en fonction d'où tu en es pour le moment. Ça ne va pas tellement te remonter le moral, mais j'ai connu aussi la privation de contact avec l'exterieur et ça a failli me rendre folle. Un jour, l'accumulation a fait que je suis partie. Ménage-toi des bouffées d'air le plus possible pour tenir le coup et avoir des contacts avec l'extérieur réguliers.
A-tu déjà checké pour obtenir de l'aide en ligne? Est-ce que quelqu'un sait si ça existe?
30 ans 34 124
madchat a écrit:
Amnesia, quand je récapitule, dans ma tête j'en arrive au point ou tu as l'air devant le seuil d'une décision importante : clasher une bonne fois avec ta famille et te battre pour pouvoir continuer ton année d'études avec l'énergie que cela demande ou rassembler tes forces et faire le gros dos encore le temps de pouvoir être libre. Si je me trompe, n'hésite pas a me le dire. L'avantage de la première solution, c'est que tu peux prendre ta vie en mains, que personne ne sera plus là pour dénigrer tes choix et t'enfermer et tu pourras respirer et prendre confiance en toi petit a petit. Les désavantages : la peur, l'inconnu, la fatigue que cela engendre et une bonne préparation en amont pour éviter de se retrouver dans la dèche...la deuxième solution à l'avantage d'être en terrain connu : pas de surprise, mais elle te mange ton énergie vitale, tu es niée tous les jours, tu dois te battre pour exister et imposer tes choix et ta liberté est restreinte. Et demain, qu'est-ce qu'on te demandera?
J'ai fait un peu le topo de ce qui m'a l'air d'être la situation pour le moment, mais tu sais comme moi que toi seule peut voir en fonction d'où tu en es pour le moment. Ça ne va pas tellement te remonter le moral, mais j'ai connu aussi la privation de contact avec l'exterieur et ça a failli me rendre folle. Un jour, l'accumulation a fait que je suis partie. Ménage-toi des bouffées d'air le plus possible pour tenir le coup et avoir des contacts avec l'extérieur réguliers.
A-tu déjà checké pour obtenir de l'aide en ligne? Est-ce que quelqu'un sait si ça existe?


Je...c'est exactement ça.
Le seul problème c'est que je suis (j'étais) dans une école privée. Je n'ai aucun moyens de financer cette dernière année. Je me suis renseignée sur les crédits étudiants, mais il faut une caution parentale ou autre. Je n'ai vu aucun témoignages de personnes qui n'en ont pas eu besoin. La seule personne que je connaisse qui travaille, c'est mon copain. Mais il a déjà des problèmes financiers importants (bien avant qu'on se rencontre) et je ne souhaite pas l'embarquer là dedans.
Si je m'en vais, ma mère sera obligé de me payer l'école. Et cette notion d'obligation ne me plaît pas du tout. Ils ont financés mes études ces dernières années parce-qu'ils le voulaient. Là, je leur impose. C'est vraiment ça dont je n'ai pas envie. Quitte à partir, je préfère le faire sans demander en plus des sous.
Et tous les désavantages que tu cite pour cette option... C'est tout ce dont j'ai peur. Une peur panique de ne pas réussir, de ne pas y arriver.
J'ai des amis qui me viendront en aide, mais ils ne pourront pas m'aider indéfiniment.
La deuxième option... c'est celle que je fais actuellement. Jusqu'à combien de temps avant qu'un boulon ne pète? Je n'en sais rien.
J'ai conscience que vu qu'on arrive à me dicter ma vie entièrement à l'heure actuelle, ça ne s'arrêtera pas là. Je ne sais même pas si quand j'aurais atteins un poids plus "convenable", ce seras vraiment suffisant?
C'est assez désespérant à dire mais j'attends le trop plein d'accumulation et partir.

Je sais qu'il y a de l'aide en ligne mais généralement c'est payant (oui bon, je savais que ce ne serait pas gratuit) et financièrement parlant, j'ai très peu de sous, et je souhaite vraiment les garder.
30 ans 34 124
*C'est assez désespérant à dire mais j'attends le trop plein d'accumulation pour partir.
46 ans Dans le Nord 48
Bon, disons que dans la situation actuelle tu as plusieurs cordes à ton arc ( toujours voir ses ressources!) : tu as des petits sous de côté, préserve-les, mets le + possible d'argent de côté au cas ou tu devrais un jour partir, sur un compte ou toi seule a acces. Je comprends pour ton copain: le fait qu'il te soutienne est déjà hyper important et lui imposer une charge financière n'est pas idéal dans sa situation. Dans ton ancienne école, as-tu les moyens de contacter le service social ou d'aide aux étudiants? Tu es une étudiante brillante, je suppose qu'ils feront le nécessaire pour te venir en aide si tu leur expliques tu souhaites poursuivre tes études mais qu'on te l'empêche?
Et pour le fait d'obliger tes parents a payer tes études, disons que ça, c'est la théorie. Oui, tu peux exiger de tes parents un revenu tant sur tu n'es pas parvenue à te débrouiller par tes propres moyens, c'est-à-dire au minimum avoir fini ton parcours scolaire. En pratique, je voulais partir comme toi sans rien leur demander et le CPAS (Smic) s'est retourne contre eux mais sans succès...
Donc j'estime que je ne leur dois rien. Mais mon histoire n'est pas ton histoire et les choix que j'ai pu faire à un moment de ma vie ne sont pas tes choix.
Je t'envoie plein de pensées. Tout ce que je peux te dire c'est qu'un jour, tout simplement un matin, j'ai arrêté d'avoir peur.
Gros bisous
30 ans Ici 284
Dans un sens tu as raison de te méfier du fait de partir du jour au lendemain... de mon côté c'est pareil: partir je saurais, j'ai des amis prêts à m'aider aussi, mais concrètement j'aimerais partir en ayant le plus de chance de 1, ne pas devoir revenir à moyen ou long terme (gros coup au moral en perspective!), 2, ne pas me retrouver à nouveau malheureuse dans certes une situation différente mais une situation remplie de galères. J'ai aussi le problème de m'être toujours imaginée un jour "libérée" (= hors de chez moi), mais aussi exempte de tout lien avec mes parents (financier par exemple) et encore moins d'un lien forcé (obliger mes parents à financer quelque chose). Après, je suis consciente que partir ne s'accompagne rarement d'une garantie à 100% que l'on ne galérera pas et qu'on ne devra pas retourner chez ses parents.

Pour le trop plein d'accumulation, attention il peut vraiment tarder à venir! Et pour l'aide en ligne je ne m'y connais pas trop, je sais que parfois certains thérapeutes qui ont déja suivi irl une personne proposent un suivi par video-conférence, je ne sais pas s'il est vraiment efficace/pertinent de commencer une relation patient-thérapeute de la sorte (je peux me trompe bien évidemment).

C'est peut-être un coup un peu tordu, mais si tu expliquais à tes parents que voir un thérapeute pourrait t'aider dans la perte de poids qu'ils veulent tant, ils ne seraient pas plus enclins à te laisser en consulter un? :oops: (je suis pas adepte du mensonge -je ne sais pas mentir personnellement-, mais je pense vraiment que voir quelqu'un pourrait te faire du bien et te permettre de tenir le coup voire te préparer à partir)
En plus, si tu arrive à en consulter un irl et avec "l'accord" de tes parents ce serait mieux que de le faire en cachette par internet, s'ils remarquent ils pourraient le prendre mal et du coup d'emprisonner un peu plus. :(
30 ans 34 124
madchat a écrit:
Dans ton ancienne école, as-tu les moyens de contacter le service social ou d'aide aux étudiants? Tu es une étudiante brillante, je suppose qu'ils feront le nécessaire pour te venir en aide si tu leur expliques tu souhaites poursuivre tes études mais qu'on te l'empêche?


Je ne suis pas une élève brillante, loin de là. J'ai réussi à enfin m'améliorer lors de l'année passé, et je doute très fortement qu'ils m'aideront dans mes démarches. C'est difficile à expliquer mais ils ne feront pas grand chose pour m'aider je pense.
Je pourrais m'arranger pour le paiement de l'école par exemple, mais c'est à supposer que j'ai ne serait-ce que l'argent pour.
Si je décide de partir, ce seras pour trouver du travail directement. Je n'aurais pas de quoi financer ma dernière année d'étude.

madchat a écrit:
Je t'envoie plein de pensées. Tout ce que je peux te dire c'est qu'un jour, tout simplement un matin, j'ai arrêté d'avoir peur.
Gros bisous


J'espère que ce jour arrivera vite, pour ma part.
Merci de tes conseils et de ton soutien :kiss:
30 ans 34 124
Black-Leather a écrit:
Dans un sens tu as raison de te méfier du fait de partir du jour au lendemain... de mon côté c'est pareil: partir je saurais, j'ai des amis prêts à m'aider aussi, mais concrètement j'aimerais partir en ayant le plus de chance de 1, ne pas devoir revenir à moyen ou long terme (gros coup au moral en perspective!), 2, ne pas me retrouver à nouveau malheureuse dans certes une situation différente mais une situation remplie de galères. J'ai aussi le problème de m'être toujours imaginée un jour "libérée" (= hors de chez moi), mais aussi exempte de tout lien avec mes parents (financier par exemple) et encore moins d'un lien forcé (obliger mes parents à financer quelque chose). Après, je suis consciente que partir ne s'accompagne rarement d'une garantie à 100% que l'on ne galérera pas et qu'on ne devra pas retourner chez ses parents.


Tu as PARFAITEMENT résumé mes pensées !
Je veux partir, plus que tout. Mais quitte à le faire, je veux le faire bien.

Black-Leather a écrit:
Pour le trop plein d'accumulation, attention il peut vraiment tarder à venir! Et pour l'aide en ligne je ne m'y connais pas trop, je sais que parfois certains thérapeutes qui ont déja suivi irl une personne proposent un suivi par video-conférence, je ne sais pas s'il est vraiment efficace/pertinent de commencer une relation patient-thérapeute de la sorte (je peux me trompe bien évidemment).

C'est peut-être un coup un peu tordu, mais si tu expliquais à tes parents que voir un thérapeute pourrait t'aider dans la perte de poids qu'ils veulent tant, ils ne seraient pas plus enclins à te laisser en consulter un? :oops: (je suis pas adepte du mensonge -je ne sais pas mentir personnellement-, mais je pense vraiment que voir quelqu'un pourrait te faire du bien et te permettre de tenir le coup voire te préparer à partir)
En plus, si tu arrive à en consulter un irl et avec "l'accord" de tes parents ce serait mieux que de le faire en cachette par internet, s'ils remarquent ils pourraient le prendre mal et du coup d'emprisonner un peu plus. :(


Je doute qu'ils payent pour une quelconque aide psychologique. C'est le genre de chose qu'ils considèrent comme du blabla, il n'y a pas de résultats physique. :roll:
Le sport, ça c'est concret pour eux.
La seule fois où j'ai faillie entamer une thérapie concernant mon poids (fin collège) conseiller par la CPE, ma mère a été convoqué pour lui en parler. En sortant, elle m'a dit que si la dame voulait m'aider c'est que je lui faisais pitié, et que j'avais de gros risques de santé, et qu'elle allait me prendre en main, pas la peine d'aller voir un quelconque docteur. Elle n'a rien compris à l'aide que la CPE voulait m'apporter. Elle n'y comprendra jamais rien.
49 ans région parisienne 5831
Et si tu leur présente cela comme un moyen pour toi de maigrir? Du style: "je pense que je fais un blocage dans ma tête sur le poids, j'aimerais voir quelqu'un pour m'aider à débloquer cela et maigrir davantage?" Bon, c'est un mensonge, mais tant pis... :roll:

Perso, j'ai avancé masquée pendant très longtemps, je ne disais rien, je faisais de la résistance passive et du mensonge par omission, je faisais les choses en secrêt. Tu sais, c'est déjà pas facile d'avancer par soi-même, donc si, en plus, la famille met des bâtons dans les roues, c'est encore moins simple... :?
30 ans 34 124
mamykro a écrit:
Et si tu leur présente cela comme un moyen pour toi de maigrir? Du style: "je pense que je fais un blocage dans ma tête sur le poids, j'aimerais voir quelqu'un pour m'aider à débloquer cela et maigrir davantage?" Bon, c'est un mensonge, mais tant pis... :roll:

Perso, j'ai avancé masquée pendant très longtemps, je ne disais rien, je faisais de la résistance passive et du mensonge par omission, je faisais les choses en secrêt. Tu sais, c'est déjà pas facile d'avancer par soi-même, donc si, en plus, la famille met des bâtons dans les roues, c'est encore moins simple... :?


Ils ne me croiront pas. J'ai l'air très négative en répondant comme ça, mais sincèrement, ils ne marcheront pas pour ça. Je les connais très bien, et tout ce qui touche à l'aspect psychologique ne les "intéressent pas". je ne sais pas comment formuler ça de façon compréhensible.
Ma mère est très superstitieuse, si je lui parle de blocage dans ma tête, elle me renverra plutôt à des prières.
Ce que je dis n'arrange pas ma situation, j'en suis très consciente. Et ce n'est pas que je ne tiens pas compte de ce que vous me dites !
Mentir n'est pas quelque chose qui me gênerais (tout dépend de l'ampleur certes...) mais je sais quel mensonge ils seraient susceptible de croire. Et celui d'une psy/thérapeute, ils ne tomberont pas dedans.
49 ans région parisienne 5831
C'est dommage... Mais bon, tu sais, c'est difficile pour nous de te donner de bonnes idées, vu qu'on en sait peu, finalement, on ne connait pas tes parents, on ne les as jamais vus, on ne vit pas avec eux. Toi, tu verras peut-être un jour une opportunité à exploiter, il faut garder l'oeil ouvert là-dessus.
30 ans 34 124
Oui, je sais qu'il est assez compliqué de me donner des conseils précis quand on ne vis pas la situation en soi ;)

Merci pour vos messages.

:kiss:
34 ans 2571
Salut Amnésia! Je viens aux nouvelles :)

Comment vas-tu ? L'ambiance à la maison évolue dans le bon sens ?
B I U