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fête de Noël garde alterné compliquer

44 ans Dans un arbre à Tecolotlan 962
a-nonyme a écrit:
Noémimie a dit qu'il avait les enfants un week end sur deux et la moitié des vacances… je sais plus où par contre

Merci, je suis passée  
à côté !
93 ans 9582
en tout cas Noémimie, ce n'est pas à toi de "régler" le problème. Je ne donne pas cher de votre relation si tu viens jeter de l'huile sur le feu. Et appeler les flics pour non présentation d'enfant… tu n'es rien pour eux vis à vis de la loi, tu ne penses pas que les gendarmes se déplacent sur appel de la petite amie du père ?
34 ans Vallet 2805
Quand je disait appelé les flic je pense plus que c'est la colère du moment qui parlait.

En tout cas ce soir quand il a ramener les enfants, il à dit à mercredi, elle à juste dit "oui, mais tu me les ramène jeudi soir"
Il à pas eu le temps de répondre qu'il se retrouver la porte claquer au nez.

On en à reparler tout les deux, et quand je lui ai repréciser (sous vos conseil) que ça ne pouvait pas être possible que le juge est juste dit "moitié des vacances" sans en preçiser plus que ça.

Il va donc appelé son avocat demain pour avoir conseil, sur ce qu'il à vraiment le droit de faire ou pas, ce qu'il peut faire pour contester ou pour faire chier.
En tout cas tout les ans il les prend une semaine soit la semaine de Noël soit la semaine du nouvelle an.
En l’occurrence 3 ans de suite il les as eu au nouvelle an, et de base elle été d'accord pour qu'il les aient à Noël.

Si jamais on ne les a pas à Noël, on ne ferra pas venir les flic bien sur, mais on va devenir disons "procedurieux" "pointilleux" pour lui montrer que la loie c'est pas que Elle qui la fait.
49 ans région parisienne 5831
Tecolote a écrit:
Je ne sais pas du tout si ce message répond à mes observations, mais si c'est le cas, je tiens à rappeler que je n'ai pas parlé de droit de veto, mais de ressenti que je pouvais comprendre chez la mère. Sans connaître le contexte que Noémimie a expliqué par la suite, je n'ai pas envie de mettre d'emblée dans la catégorie "chieuse" une femme (ou un homme d'ailleurs) qui s'inquiète ou qui a des réticences sur qui rencontrent ses enfants l'autre moitié du temps où ils ne sont pas avec elle (/lui). Je trouve ça humain, que ces inquiétudes soient justifiées ou pas. Et parfois, dans le cas de parents responsables, la prise en compte de ce genre de ressenti avec un vrai dialogue peut débloquer les situations conflictuelles autrement qu'en menaçant d'envoyer les flics sous prétexte qu'on a la loi pour soi (je pense à un cas similaire dans mon entourage qui s'est réglé comme ça, la mère avait juste besoin d'être rassurée).


Ce que je disais ne se rapportais pas spécialement à toi, Tecolote (sinon, je t'aurais citée ;) ).

Ceci dit, perso, je trouve quand même l'attitude de la mère abusive, même si c'était une mère normale (car comme tu l'as dit, avec les précisions apportées par Noemimie, c'est clair qu'elle fait cela pour emm** le père et pas par inquiétude).

Pour moi, même si la mère avait un comportement nickel par ailleurs, elle n'a pas à exiger que le père n'emmène pas les enfants voir la famille de sa copine, pour la simple raison que ce serait traiter le père en irresponsable. Si le père a décidé que les enfants pouvait aller voir la famille de sa copine, c'est qu'a priori il a réfléchit et qu'il a pensé que les enfants seraient bien là bas et pas en danger.

De mon point de vue, si la mère a des inquiétudes, elle peut en parler au père pour demander des précisions: où seront les enfants? comment cela va-t-il se passer? Qui sont ces gens chez qui ils vont aller, ça, ça me parait coller avec une inquiétude maternelle, mais le fait d'exiger que les enfants ne voient pas la famille de Noemimie, de mon points de vue (et dans un contexte "normal"), c'est abusif du point de vue de la mère, parce que cela sous-entend qu'elle seule sait ce qui est bon pour ses enfants, et qu'elle seule a le droit de décider de ce qu'ils vont faire, parce que le père n'en est pas capable.

Après, je suis d'accord avec toi pour dire que la première chose à faire, c'est de dialoguer avec la mère pour apaiser ses angoisses, pas de faire directement appel aux flics (dans un contexte "normal", pas ici), mais je pense que le père ne doit pas se laisser traiter comme quelqu'un qui est incapable de décider des endroits où les enfants doivent aller. ;)
34 ans Vallet 2805
Revirement de situation.

Nous venons d'apprendre par le biais des parents de mon chéri que son ex femme n'a jamais prévu de laisser les enfants à mon chéri pour Noël, et que le fait qu'ils viennent dans ma famille n'est qu'une excuse.

Comment ont le sait ?

Parce que les parents de mon chéri et les parents de son ex femme sont amis et que la mère entends sa fille dire depuis des semaines qu'elle aura les enfants à Noël (en gros avant même qu'elle sache qu'on allait dans ma famille)

Du coup mon chéri est très remonter, et il a rendez vous avec son avocat demain pour voir quoi faire.

On doit les recuperé demain soir, mais on le sent mal (elle se sera surement baré chez sa mère, qui n'est pas très loin, mais recuperé les enfants sur un scandal la vielle du reveillons c'est pas génial)
49 ans région parisienne 5831
Si tu veux mon avis, si il n'agit pas un grand coup, si il se laisse marcher sur les pieds cette fois-ci, elle n'a pas fini de lui en faire baver... Il faut qu'il mette les choses au clair, sur papier, et qu'il la force à respecter le contrat.
34 ans Vallet 2805
D ou la consultation de l avocat. ..
Voir si on peut officiellement définir des choses bien précise les recours possible etc ..
34 ans Vallet 2805
Bon conclusion de l'histoire :

cette grognasse à gagné une bataille
Elle est partie chez sa mère avec les enfants pour pas qu'on les aient.

Il y aura donc un notification à l'avocat, elle sera convoquer pour un rappel à la loi et il lui conseil de lui faire signé à l'avenir les plannings qu'ils etablissent entre eux.

Au passage on va egalement notifier au assistante social que nous sommes inquiet pour la securité des enfants car son bonhomme boit et est à tendance à être violent, pour qu'il fasse une enquête.

Et si elle nous refait chier sur un truc du genre, on demandera à passer devant le JAF pour voir ce qu'on peut faire.
K
46 ans 728
Ce n'est pas l'avocat qui lui fera un rappel à la loi. Son avocat peut lui rappeler ses droits et devoirs. Mais le rappel à la loi est une prérogative du procureur. Donc elle ne risque rien par rapport à la justice.

J'ai le sentiment que ton conjoint à toujours dû se laisser écraser par son ex. Pour les enfants, il est bien de remettre les choses à plat mais il faut espérer que cela ne tourne pas à la guerre.
93 ans 9582
Je ne comprends pas bien cette histoire de voir l'avocat pour savoir comment ça devrait se passer… il a forcément une copie du jugement de divorce, et le jugement, il dit tout, quand il a le droit de prendre les enfants, combien il paie, tout tout…les deux parents ont forcément ce papier, indispensable pour toutes les formalités de la vie courante, inscription scolaire en tête…
34 ans Vallet 2805
Oui bin le jugement en l'occurence il la pas sous la main, c'est dans un coffre à la banque, d'ou l'idée d'avoir appelé l'avocat.

Et justement, sur ce dis jugement, il y a la moitié des vacances scolaire, avec respectivement Noël et nouvelle an un sur deux.

Après ils peuvent s'arranger comme il veut, c'est aussi ça le concepte d'un divorce par consentement mutuelle c'est que ça va vite justement parce que les epoux s'entendent sur tout dont la garde
K
46 ans 728
Consentement mutuel = d'accord sur tout au moment du divorce

Mais les règles sont quand même fixées par écrit.
93 ans 9582
ça c'est que que ton copain te dit Noémimie. Aie la curiosité de lire le jugement s'il le récupère. Je sais un peu de quoi je cause vu que divorce par consentement mutuel avec un seul et même avocat, et pourtant tout est notifié sur le jugement, jusqu'à l'heure à laquelle les enfants doivent être amenés, ramenés, etc. Même si on ne s'y est jamais fiés, tout est écrit.
60 ans 91 25732
J'ai divorcé par consentement mutuel. Ca ne veut pas dire du tout qu'on est d'accord sur tout et qu'on peut faire ce qu'on veut par la suite, mais qu'on est d'accord sur les termes d'une convention relativement précise, qu'on signe et qu'on s'engage à respecter.

Au contraire, le juge veut une convention claire, surtout pour les choses importantes.

Je n'ai pas d'enfant, donc nous n'avons pas eu à décider d'un mode de garde, mais dans mon jugement il est clairement dit que c'est monsieur qui garde la voiture sans contrepartie financière de ma part, que c'est moi qui garde les crédits en cours (avec le montant indiqué) sans contrepartie de monsieur et que je rachète à monsieur sa part de la maison en Bretagne pour le montant de x €, qu'il n'y a pas de pension alimentaire, ni de prestation compensatoire...

Donc tu imagines que si on prend le temps de tout indiquer pour des biens matériels, le juge prend encore plus de précautions pour les conditions de garde des enfants.

Cela étant, les contrats mal faits, ça existe. Mais de que ce j'ai vu au Tribunal, le JAF est vraiment très pointilleux sur tout ce qui concerne les enfants et tout est écrit dans la convention, très précisément.

Le couple qui était devant nous au Tribunal a vu son divorce reporté parce qu'ils n'étaient plus d'accord sur un aspect du mode de garde des enfants (un problème d'horaire, monsieur voulait récupérer les enfants le vendredi soir, madame ne voulait qu'il les prenne qu'à partir du samedi matin). Le juge leur a dit de revoir la convention avec leur avocat, que le divorce ne serait prononcé que quand tout serait précisément acté.

Pour le nôtre, il manquait une mention relative à une donation, le juge l'a ajoutée à la main et nous a fait signer. Pas de report.

Donc normalement, pour le bien des enfants (et des parents) et pour pouvoir facilement trancher en cas de litige, la convention est normalement très précise pour tout ce qui concerne les enfants.
K
46 ans 728
Donc, dans l'histoire de Noemimie, quelqu'un raconte des sornettes ?
B I U