Problème de coeur

clac! Le piège s'est refermé...
Tout ce que tu retiens de ce que j'ai écrit, c'est uniquement ma devinette à 3 balles (snif bouh..)

Ce n'est pas grave, ceci dit! >> "bonne réponse"!
Quand on a la moutarde qui monte au nez, on retrousse ses manches, ça va barder!! On va expédier les affaires en cours, ça va viauner!!

Pour une tite conclusion sans pirouette, le point d'orgue, c'est que tu saches vraiment ce que tu souhaites dans ta vie sentimentale... Y'en a qui restent célibataires... Très longtemps... Qui hésitent, qui envisagent, qui tergiversent, [ok on a compris l'idée]...

Voilà, à toi de décider

Hello again,

Cela fait maintenant un mois et demi que j'ai coupé les ponts.
Après un sentiment mitigé de libération et de manque, je commence à surtout ressentir du manque, et du regret. Je ne ferai toutefois pas l'erreur de le recontacter, mais je pense très souvent à lui, surtout le week-end.

Auriez-vous des astuces pour adoucir cette peine de coeur ?

J'essaie de prendre soin de moi, de penser à autre chose, mais plus le temps passe, et plus cela me semble difficile.

Frenchiefreak a écrit:

Hello Frenchie,

Je comprends ton ressenti ! La proposition que je vais te faire est primaire mais je pense qu'on oublie une relation en en commençant une autre ! Bon courage à toi et surtout ne cède pas !

Il faut que prendre soin de toi devienne aussi simple que de respirer hein.

Penser à autre chose ce n'est pas évident d'autant que le manque que tu ressens est réel. Mais c'est le fait d'y penser dans ces moments qui accentue le manque. Essaie d'écrire si tu as l'amour de la plume, couche tes sentiments sur papier, c'est assez libérateur, du moins pour moi ça l'est.

Il faut que tu parviennes à envisager l'avenir sans lui, ça fais tout juste un mois et demi, ça va faire mal encore un moment, tu vas vaciller parfois, hésiter sur ce que tu dois faire, le tout c'est de pas craquer, si tu as mis fin à ça c'est que ce n’était pas bon pour toi, tout simplement, arrivée un moment ça fera moins mal, les souvenirs deviendront nostalgie.

Et tu auras fais le deuil de cette relation. Sois bien dans tes pompes, te laisse pas abattre, continue de parler de ce que tu ressens, ça passera bientôt et tu pourras entamer une nouvelle relation bien plus saine pour toi de celle qui remplisse le cœur de joie et non pas d'espoir inassouvie.

Merci pour ces conseils encourageants et optimistes. En effet, je devrais écrire plus souvent, ça me fait du bien en général !

zezetteepouseX j'adore ton pseudo :lol:

Frenchiefreak a écrit:

Merci ;-)

Laisse toi du temps. Ca ne se fait pas du jour au lendemain. Ca ira petit à petit. Après... Chacun son rythme, chez certaines personnes ça met plus de temps que pour d'autres, mais si on s'en donne les moyens assez longtemps, on finit toujours par passer à autre chose.

Frenchiefreak a écrit:

week-end signifie fin de la semaine...

C'est curieux (et pas que!!) de rester bloquée sur une fin,
alors que ces 2 jours sont souvent l'occasion de voir du nouveau, de faire du nouveau, de changer du traintrain de la semaine...

Sibell a écrit:

Pour être franc, je suis resté bloqué, vraiment bloqué sur cette phrase!!
Cette phrase est tout-à-fait juste : je ne puis que l'agréer, mais...

1. Je ne pense pas que Frenchiefreak se donne les moyens de passer à autre chose...
Merci à elle de confirmer.

2. "on finit..."
J'ai du mal avec cette idée de se résigner, d'abandonner : on rompt donc avec une idée ou un sentiment que l'on chérissait. Finalement on passe à autre chose, par dépit.
C'est une décision à prendre. Le tout est de la prendre, mais il faudrait savoir que l'on se réserve un temps + ou - long avant d'étudier la possibilité de se décider... Ou pas?
Me ne vois pas bien à quoi ça sert d'hésiter, de tergiverser...
Pour moi c'est "commencer" qu'il faut, ce n'est pas "finir"...


Sinon une très bonne idée, l'écriture...

~~j'espère qu'il n'échappera à personne que j'ai déclaré être "bloqué" sur la phrase, et plus précisément sur la compréhension de la phrase, et qu'il faut voir un parallèle avec la situation de la posteuse...

Car enfin : que signifie le "autre chose" de la citation?~~

Poirier a écrit:

Tu vois ça de manière très philosophique. L'explication la plus simple sera ici la plus cohérente et pragmatique: on se voyait surtout week end, c'est aussi la période où j'ai plus de temps pour penser, étant moins occupée que la semaine.

Poirier a écrit:

Moi, c'est sur cette dernière phrase que je suis restée bloquée.
Merci de ne pas me dire ce que je dois faire en utilisant cet impératif "merci de" ! Nous ne sommes pas au bureau, et même, cette formule me hérisse le poil au possible. J’apprécie le fait que vous preniez la peine d'intervenir, ce n'est toutefois pas une raison pour me donner l'ordre de répondre !

Je ne sais pas si je m'en donne les moyens, c'est compliqué à quantifier et surtout, c'est très subjectif.
Le fait de ne pas craquer en envoyant un sms et de continuer à sortir avec mes amis, à vivre ma vie, pour moi, c'est déjà m'en donner les moyens.
Pour d'autres, ce sera pas assez, parce que je ressasse, ou je continue un peu à espérer le recroiser etc...
Se donner les moyens, c'est vague et relatif, en partie, à la situation, à la personnalité de la personne concernée, et des personnes autour.
Il serait par exemple plus difficile de tout mettre en oeuvre pour me donner les moyens de l'oublier s'il continuait à me contacter.
Il serait par exemple plus facile pour moi de l'oublier si je n'avais pas des tendances à l'addiction. On est pas égaux face à une situation donnée, on a pas la même manière de gérer les événement, donc le concept de se donner les moyens est subjectif.



Poirier a écrit:

ça ne sert à rien, mais c'est lié au sentiment, qui n'est pas forcément rationnel, et qui ne se contrôle pas toujours. Si tout ce qu'on faisait servait à quelque chose, on serait des robots.

(le week-end)
Frenchiefreak a écrit:

Le penseur de Rodin?

Bon il est évident que si tu continues à penser à ce petit ami insaisissable, que c'est sans fin, ce sont des pensées bien pesantes et douloureuses... Surtout si tu le regrettes...
Car enfin : ne veux-tu pas que ta situation se décante, dans un sens ou dans l'autre?

Je pensais faire "mouche" avec ceci :
Pour moi c'est "commencer" qu'il faut, ce n'est pas "finir"...

Et donc le week-end ne serait pas là pour uniquement te laisser ruminer ton infortune, ton cas de conscience, mais ne voudrais-tu pas plutôt passer à l'action?

J'en reviens à mes interventions de la page 1...
Tu ne serais pas la 1ère à changer d'avis, à rompre pour mieux renouer!
Tout ça est bien hésitant...

Frenchiefreak a écrit:

wow j'ai juste repris la phrase des "moyens", je ne suis pas là à t'obliger à faire quoi que ce soit...

Et d'ailleurs, mon optique personnelle est d'être plutôt tenace!!

Si tu as quelqu'un dans la peau, tu dois arrêter de faire le "penseur de Rodin" à t'emmerder le week-end, et aller vite te pendre à son cou, et l'étouffer avec tes baisers...

Et j'espère qu'il ne se dérobera pas!
S'il se dérobe, c'est à toi de tirer les conclusions.