70 ans
Charente Maritime
3080
La question serait plutôt pour moi de savoir pourquoi ton chirurgien est dans cette situation.
Il y a eu un décès au cours d'une opération de chirurgie bariatrique, et l'hopital a donc engagé une procédure pour savoir ce qui est exactement passé, en suspendant, au moins le temps de l'enquète, les opérations.
Il faut savoir qu'un décès dans le cadre de la chirurgie bariatrique n'est pas une chose anormale. Un chiurgien est censé faire un minimum de 50 opératins par an pour maintenir son agrément sécu, beaucoup en font beaucoup plus, souvent plus de 4 par semaine quand ils se spécialisent dans cette branche uniquement. Avec un nombre de décès opératoire et périopératoire de 1 pour 1000, pour l'anneau et 1 pour 500 dans le cadre du bypass, il est normal que ce genre d'accident arrive, rn fonction de la fréquence eopératoire et le type d'acte.
S'il s'agit de cela, que ton chirurgien t'en a ouvertement parlé et comprenne que tu sois affolée de passser à l'idée de passer après que quelqu'un soit mort, sa démarche est normale. Personnellement, ce n'est pas cela qui m'affolerait. Bien sûr, cela fait prendre conscience du danger de la chiurgie, et si tu connais la personne, si tu as eu l'occasion de parler avant avec elle, cela est encore plus difficil à accepter. Mais c'est la réalité qu'il faut voir pris en considération avant l'opération. C'est un acte dangereux certe, mais la plus part du temps, il a un résultat positif.
Maintenant, le cadre est différent si la suspension est liée au fait que ton chirurgien a opéré des perosnnes avec un IMC inférieur aux normes ou sans suivi préalable (ce qui de mémoire n'est pas ton cas), avec des dossiers plus ou moins falsifiés, et qu'il soit en cours de procédure d'interdiction par la sécu. Là, oui, je m'inquiéterais. Car les résultats de n'importe quelle chirurgie de l'obésité sont fonction du suivi, et non de l'acte opératoire lui même.
Il y a eu un décès au cours d'une opération de chirurgie bariatrique, et l'hopital a donc engagé une procédure pour savoir ce qui est exactement passé, en suspendant, au moins le temps de l'enquète, les opérations.
Il faut savoir qu'un décès dans le cadre de la chirurgie bariatrique n'est pas une chose anormale. Un chiurgien est censé faire un minimum de 50 opératins par an pour maintenir son agrément sécu, beaucoup en font beaucoup plus, souvent plus de 4 par semaine quand ils se spécialisent dans cette branche uniquement. Avec un nombre de décès opératoire et périopératoire de 1 pour 1000, pour l'anneau et 1 pour 500 dans le cadre du bypass, il est normal que ce genre d'accident arrive, rn fonction de la fréquence eopératoire et le type d'acte.
S'il s'agit de cela, que ton chirurgien t'en a ouvertement parlé et comprenne que tu sois affolée de passser à l'idée de passer après que quelqu'un soit mort, sa démarche est normale. Personnellement, ce n'est pas cela qui m'affolerait. Bien sûr, cela fait prendre conscience du danger de la chiurgie, et si tu connais la personne, si tu as eu l'occasion de parler avant avec elle, cela est encore plus difficil à accepter. Mais c'est la réalité qu'il faut voir pris en considération avant l'opération. C'est un acte dangereux certe, mais la plus part du temps, il a un résultat positif.
Maintenant, le cadre est différent si la suspension est liée au fait que ton chirurgien a opéré des perosnnes avec un IMC inférieur aux normes ou sans suivi préalable (ce qui de mémoire n'est pas ton cas), avec des dossiers plus ou moins falsifiés, et qu'il soit en cours de procédure d'interdiction par la sécu. Là, oui, je m'inquiéterais. Car les résultats de n'importe quelle chirurgie de l'obésité sont fonction du suivi, et non de l'acte opératoire lui même.