Yojik a écrit:NajeLem a écrit:
T'ES MORT !
Alors je vais m'excuser devant tout le monde de troller outrageusement.
Mais j'aimerais vraiment bien que tu répondes à ma question de l'autre jour.
C'est pas que j'aime pas tes posts, parce qu'en fait tes blagues un peu pipo sur la moustache de Boréale ou sur celle d'Emma, me donnent souvent l'occasion de me moquer de toi. Et c'est vrai que globalement, on se marre bien entre nous à leur donner des notes et à écrire ton best of.
Mais quand même, des arts martiaux, t'en maitrises combien ?
Parce que là c'est comme si tu me défiais un peu non ?
Alors tu sais pas ! Le 6 je comptais pas trop venir, vu que je serais en virée ailleurs.
Mais je suis quand même en vacances. Alors si tu viens, je crois que je ferais un crochet par Paris. (Pis en même temps, puisque tu insistes, je t'en mettrais un dans la machoire, de crochet).
Pis après, peut être que je te ferais un petit Nelson au bras.
Tu sais encore pas ce que c'est Tinounou ? Bon je te rèsplique.
Le Nelson c'est une sorte de clé qui fait très mal.
(Pis si on force, d'ailleurs le bras il peut même se casser).
Donc imagine, tu as très mal, et tu peux plus bouger.
En général, dans ces cas-là, c'est ton cerveau reptilien qui refait surface.
Tu penses à ta survie, tu te dis que ton bras droit et le poignet qu'il y a au bout, t'en auras besoin pour divertir tes longues nuits de célibataire. Donc le seul truc que tu diras, ça risque d'être : "Non, non, pitié ! Arrete !"
Alors comme je suis pas un vrai méchant et que je préfère penser que ta menace n'était qu'une fort maladroite tentative de faire croire que t'es un homme un vrai, ben je te tuerais pas et je te casserais pas le bras.
(Par contre pas impossible, que d'abord tu sois obligé de manger une crotte de caniche ou de hurler devant tout le monde que tu aimes faire des gateries aux Schtroumpfs).
Maintenant, à toi de jouer.
Soit tu fais des excuses publiques à Emma et à Boréale pour avoir un peu déraper sur leur tendre duvet que tu as qualifié de moustache (et pas que ça comme dérapage, si j'ai bien compris).
Soit je compte sur toi le 6 août.
Pis vous autres qui avez toujours voulu voir un agréable petit spectacle à une rencontre VLR, ben je vous encourage à venir. Ca sera pas le strip-tease dont vous avez rêvé mais ça risque d'être rigolo quand même.
(Quoique si vous insistez, plutôt que l'avalage d'excréments de caniche, on peut aussi tenter une mise à l'air ou une bite au cirage).
Allez ! Hasta la Vista Baby Nazebroque !
Ca y est ! J'ai fini de troller.
Là, je dis chapeau ! Si si... C'est de l'art, du très grand art, même. C'est net et presque sans bavure. Je dis "presque" parce que le correcteur syntaxique n'a pas été utilisé, mais c'est un détail comparé à la richesse spirituelle qui émane de ce texte. Il me faudrait des millénaires de travail pour arriver à une telle maîtrise, et encore, je ne compte pas les siècles pour apprendre l'humour.
Car ce texte déjà digne de passer pour un chef-d'œuvre, est rempli de morceaux d'humour. Des gros morceaux, pas trop subtils, mais encore relativement tendres sous la dent. Et il y a aussi des morceaux plus fins, plus épicés, plus goûteux et savoureux. Et là, c'est bon... C'est même franchement bon. Tellement bon que l'on s'en délecte.
Ce texte, ce n'est pas de la merde, c'est tout le contraire. Il a nécessité des minutes de préparation, mijoté avec soin par son auteur. Il mérite amplement ses cinq étoiles au Guide Académique des Lettres et des Arts de la Langue Française.
Je pourrais continuer ainsi pendant des heures à encenser ce texte et son auteur, mais il est déjà bien tard et je n'ai pas pour vocation de remplacer un quelconque animateur d'une non moins quelconque émission télévisée ou radiophonique programmée à une heure bien trop indue pour avoir le plaisir de l'écouter l'esprit encore suffisamment alerte et réveillé.
Alors je vous laisse relire, passionnés que vous êtes, ce chef-d'œuvre (oui, le terme n'est pas trop fort, n'en doutez pas), en requérant toutefois votre indulgence sur les quelques erreurs que vous pourriez trouver, ici et là, laissées sans doute par l'auteur dont l'esprit était peut-être fatigué par l'absorption trop répétée de boissons qui ne font malheureusement pas toujours bon ménage avec cet art divin qu'est la littérature, à moins que ce ne soit le fumage (ce terme est ma fois assez drôle et je m'amuse quelque peu à l'utiliser par-ci, par-là) de produits classés comme illicites par ceux qui sont en charge de veiller sur notre santé et notre bien-être.
Yojik, faut pas l'inviter... Il ne maîtrise pas assez !
