Pour ma part, mon impatience me gêne surtout dans mes rapports avec les autres. Vis à vis du fait d'attendre, je me ronge c'est certain, mais j'identifie tout de suite le fait que ce qui me ronge c'est ma propre impatience (parfois je ne peux rien pour accélérer les choses !) :roll:
Par contre quand les autres m'impatientent, qu'ils ne vont pas assez vite dans leur raisonnement, qu'ils ne parlent pas assez vite, je prends assez vite la parole pour terminer leur phrase ou leur raisonnement à leur place, et ça les vexe (ce qui est très logique) :oops:
Parfois je m'en rends compte, et je me pince très fort pour ne pas finir en 3 mots ce qu'un interlocuteur laborieux dira en 10 phrases, mais bon, la plupart du temps je ne m'en rends pas compte, et puis, du coup je tire de temps en temps des conclusions un peu trop hâtives... :oops:
Enfin bon, je suis impatiente mais je me soigne ! Et puis, l'impatience sert aussi de moteur : quand c'est crucial je suis en capacité de faire certaines hoses très très vite et ça rend bien des services dans certaines situations :lol: