C'est justement quand on veut quelque chose tellement fortement que la chose en question n'arrive jamais, ou alors qu'elle arrive mais qu'on est décu des résultats ou conséquences.
Je fais aussi partie de celle qui ont toujours grossi. Manifestement j'ai le mauvais gêne. Sauf que 20, 30 ans en arrière, tous les médecins considéraient que si on grossissait c'est qu'on mangeait trop. Aussi, orientée sur la mauvaise voie, ben non seulement je ne maigrissais pas, mais je continuais à grossir.
Bon, moi je parle de régime, vous de RA. Question de sémantique dont le but final est d'arrêter la spirale du grossissement et la culpabilisation à chaque bouchée. Si au passage quelques kg s'en vont en douceur, c'est un peu la cerise sur le gâteau sans mauvais jeu de mots. :mrgreen:
Je crois qu'il ne faut pas se fixer d'objetifs. Faut pas se lever un matin en se disant : "aujourd'hui je change tout et je veux atteindre x kg dans 6 mois ou Y dans un an".
Un peu comme les fumeurs. Certains vont choisir la méthode radicale de "zéro cloppe" du jour au lendemain. D'autres vont jouer plutôt sur la diminution progressive. Avec ou sans assistance médicale. Ce qui compte c'est quand même le résultat, et le bien-être qui aura mené au résultat.
Donc, je pense qu'il faut que ça se fasse en douceur et qu'il est important d'apprendre à se connaitre, à connaitre son corps, ses besoins, ses rebellions. Exemple : je sais que systématiquement 1 semaine avant mes règles, outre le fait que j'échappe tout ce que je touche, et que suis mal lunée 8) je constipe, je gonfle et manque de bol, double peine, mon appétit s'accroit :D . Donc je suis beaucoup plus vigilante à cette période. Sauf si suis sous pilule auquel cas, no souci, c'est le pied.
Et aussi, je suis devenue végétarienne, et très sincèrement, suis pas là pour en faire l'apologie, mais ça a changé ma vie.
LA solution parfaite n'existe pas, même en RA vu que tout est question de personne, de métabolisme, de rythme de vie. Ce qui est certain c'est que on devra être vigilant à vie.