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J'ai peur de vivre sans lui

37 ans 64
Bonjour à toutes

je lis tous les jours les différents sujets et j'essaie d'en tirer les lecons pour ma propre vie , mais la j y arrive plus , je  
c'est plus quoi faire ni quoi pensé , voila mon histoir , je suis avec quelqu un depuis mnt 4ans , pendant cette periode en c'est separé 2fois , la 1er fois il ma trompé , la 2eme fois il ma accusé de l avoir trompé sur messenger et c ete pas vrais ,on c 'est separé 11mois , apres il revenu on me disan qu il a changer et qu il vx qu on recommence a 0 , il avais eu quelque problem et a du vivre dans un autre ville que la mienne , pendant cette periode la je l ai aider , il ma montré qu il a changer j ai repris confiance en lui en notre couple , j ai du m adapter avec lui , il aimer pas des truc en mois que j ai du changer , ca va faire mnt 4moiis qu il a changer il est redevenu comme avan , c'est moi qui l appel , c'est moi qui fait tt pour que notre couple avance , il me blaisse et je dit rien , quand je lui parle et je lui dit pk tu te comprte comme ca , pk tu me fait ca , il me rep toi té malade tu dit n importe koi , a chaque fois il me dit la meme chose , il ya 1mois mnt ou il vien de s instaler dans la meme ville que moi , et il a changer encor plus , avan on a pris l habitude de se voir tt les jours , et la quand je le vois pas 1jours je lui dit :" tu ma manquer je té pas vue de toute la journeé" et lui il me rep : c'est ps la fin du monde comeme , et cette phrase me blaisse parceque moi je vx le voir tt les jours , et chaque secondes rester avec lui 24/24 , a chaque fois je lui dit c bon c terminer et le jour meme je l appel pr lui dire , dsl je disai n importe koi , et apres des heures et des heures je le suplie de reprendre avec moi , c'est dernier temps c tjr comme ca , je c pas j ai peur de vivre sans lui je tien tant a lui ,j ai peur d avoir male et de ne plus le revoir de ne plus le toucher ni voir son sourire , je vx pas de son amitier je px pas d ecrire mon sentiments , c'est de la peur melanger avec de la peine , j ai changer je ss plus la meme , j ai plus d ami(e)s j ai plus personne , ya que lui mon confidant mon ami ma famille tt tt , alor que lui c est le contraire parfois je vois comme si il c que je tien a lui alor il a pas faire des effort pr moi ni pr notre rlation , il c est que je vé l appelé et il c 'est tt il me connais tres bien .
bref je c'est plus quoi faire de ma vie , je vx recommencer a 0 sans lui mais je px pas .
Pardonnez moi pour la longueur de mon texte , je crois que j'avais besoin de me confier......ca m'a fait du bien de vider mon sac!

Merci à celles qui ont eu le courage de me lire et bon courage à celles qui en ont encore plus besoin!!
34 ans 495
Souna,

Je crois que ce que tu ressens (cette peur mêlée de chagrin) est normal. Cela fait 4 ans que tu es avec lui : il fait partie intégrante de ta vie, il tient une place considérable. Au cours de ces 4 ans, tu as eu plusieurs fois peur de le perdre, et c'est cette même peur qui revient aujourd'hui, et qui t'empêche de prendre la décision que tu voudrais pourtant prendre.
Ta relation, telle que tu la décris, semble largement à sens unique : peut-être bien qu'il t'aime, mais en tous cas, il ne fait pas grand chose pour te rendre heureuse, et ne culpabilise pas du tout de te blesser. C'est nocif pour toi, tu souffres de plus en plus, et tu t'abaisses à le rappeler à chaque fois, en n'étant pas très fière de toi-même visiblement.
De plus, tu restes pour de mauvaises raisons : la peur du changement et du chagrin.
Mais peut-il encore changer ? Si tu ne le rappelles pas, pour une fois : va-t-il rappeler, lui ? Fais le test!

Tu as l'air de vouloir vivre un amour fusionnel : est-ce qu'il a envie de ça, lui ?

Est-ce que ce qui te manque, ce n'est pas juste un peu de courage, pour prendre ta décision ?
37 ans 64
Eva22 a écrit:
Souna,

Je crois que ce que tu ressens (cette peur mêlée de chagrin) est normal. Cela fait 4 ans que tu es avec lui : il fait partie intégrante de ta vie, il tient une place considérable. Au cours de ces 4 ans, tu as eu plusieurs fois peur de le perdre, et c'est cette même peur qui revient aujourd'hui, et qui t'empêche de prendre la décision que tu voudrais pourtant prendre.
Ta relation, telle que tu la décris, semble largement à sens unique : peut-être bien qu'il t'aime, mais en tous cas, il ne fait pas grand chose pour te rendre heureuse, et ne culpabilise pas du tout de te blesser. C'est nocif pour toi, tu souffres de plus en plus, et tu t'abaisses à le rappeler à chaque fois, en n'étant pas très fière de toi-même visiblement.
De plus, tu restes pour de mauvaises raisons : la peur du changement et du chagrin.
Mais peut-il encore changer ? Si tu ne le rappelles pas, pour une fois : va-t-il rappeler, lui ? Fais le test!

Tu as l'air de vouloir vivre un amour fusionnel : est-ce qu'il a envie de ça, lui ?

Est-ce que ce qui te manque, ce n'est pas juste un peu de courage, pour prendre ta décision ?



Il me dit tt le temps qu il m aime parfois il me le fait ressentir c pour ca que a chanque fois je revien vers lui , quand il vx il px me rendre la femme la plus heureuse du monde et quand il vx il px me rendre la plus triste...., je n arrive pas a le comprendre , tt a l heur je lé applé je voulai lui parler il ma dit ecoute apres la je doit sortir on se conecte le soir mais a chaque fois il me dit la meme chose et il le fé pas , apres il me dit jtm mon coeur bye ca vx dire koi ? , je vé devenir folle ca c sur je c plus koi faire !!
C
49 ans là 2187
Les sentiments que tu décris, je les connais très bien.

Tu me diras si je me trompe. Mais tu sembles être tomber dans la dépendance affective.
Il n'est pas à ton écoute, n'est pas sensible à la peine que tu peux ressentir. Demande-toi pourquoi tu l'aimes ? Qu'est-ce qui fait que ce mec est génial, en dehors des moments où il décide de redevenir charmant ?

Es-tu encore amoureuse de lui ? Ou as-tu peur du changement ? De sacrifier des années d'efforts, de travail sur toi-même, de nuits à pleurer de peur de le perdre ou parce qu'il a fait une connerie ?

J'ai vécu une relation que je qualifie d'addictive. D'un homme que je pensais adorer, duquel je me sentais dépendante sans pouvoir m'en éloigner. La vie à fait qu'il y a qq années il n'a pu m'offrir que de l'amitié, il s'est même marié, et y'a 13 mois a eu un bébé avec elle.

Pourtant je n'arrivais pas à me sortir de ma dépendance, j'étais dans le combat pour atteindre les rêves pour lesquels je me suis tellement battu.

Il y a 2 ans, il m'a laissé durant 7 mois, j'ai cru mourir. Il est revenu pour me laisser à nouveau y'a 1 an, 1 mois après la naissance de son petit homme. La raison : parce que sa femme souffrait de sa relation avec moi (bizarrement il le concevait en devenant père), que moi aussi je souffrais et qu'il ne pouvait pas être le bon ami qu'il souhaitait être vu la situation. Qu'il était obligé de faire un choix.

Ca a été très dur, mais petit à petit je me suis retrouvée, je suis redevenu moi, cette relation avait débuté il y a bientôt 10 ans. J'ai maintenant mes propres projets, mon humeur ne dépend plus de son comportement ou de ses désirs d'amitié bcp trop distante à mon goût (je n'avais plus droit qu'aux e-mails car sa femme est très jalouse, avant il détestait les femmes comme ça, et j'avais tellement combattu ma jalousie bien petite comparait à celle de Madame). Je ne suis plus dans l'attente d'un hypothétique changement ou évolution de sa part.
Je l'ai aidé, j'ai apprit bcp de choses sur moi à son contact, mais aujourd'hui je ne peux plus rien faire pour lui, j'ai fait mon possible, et je ne me sacrifie plus pour lui.

Je suis bcp moins déprimée, je me sens mieux dans ma vie, et j'ai gagné en stabilité.

Je te cache pas que ça a été très dur de s'en sortir. Mais c'est possible. On en sort gagnante.

Bon courage.
37 ans 64
Passiflore a écrit:
Les sentiments que tu décris, je les connais très bien.

Tu me diras si je me trompe. Mais tu sembles être tomber dans la dépendance affective.
Il n'est pas à ton écoute, n'est pas sensible à la peine que tu peux ressentir. Demande-toi pourquoi tu l'aimes ? Qu'est-ce qui fait que ce mec est génial, en dehors des moments où il décide de redevenir charmant ?

Es-tu encore amoureuse de lui ? Ou as-tu peur du changement ? De sacrifier des années d'efforts, de travail sur toi-même, de nuits à pleurer de peur de le perdre ou parce qu'il a fait une connerie ?

J'ai vécu une relation que je qualifie d'addictive. D'un homme que je pensais adorer, duquel je me sentais dépendante sans pouvoir m'en éloigner. La vie à fait qu'il y a qq années il n'a pu m'offrir que de l'amitié, il s'est même marié, et y'a 13 mois a eu un bébé avec elle.

Pourtant je n'arrivais pas à me sortir de ma dépendance, j'étais dans le combat pour atteindre les rêves pour lesquels je me suis tellement battu.

Il y a 2 ans, il m'a laissé durant 7 mois, j'ai cru mourir. Il est revenu pour me laisser à nouveau y'a 1 an, 1 mois après la naissance de son petit homme. La raison : parce que sa femme souffrait de sa relation avec moi (bizarrement il le concevait en devenant père), que moi aussi je souffrais et qu'il ne pouvait pas être le bon ami qu'il souhaitait être vu la situation. Qu'il était obligé de faire un choix.

Ca a été très dur, mais petit à petit je me suis retrouvée, je suis redevenu moi, cette relation avait débuté il y a bientôt 10 ans. J'ai maintenant mes propres projets, mon humeur ne dépend plus de son comportement ou de ses désirs d'amitié bcp trop distante à mon goût (je n'avais plus droit qu'aux e-mails car sa femme est très jalouse, avant il détestait les femmes comme ça, et j'avais tellement combattu ma jalousie bien petite comparait à celle de Madame). Je ne suis plus dans l'attente d'un hypothétique changement ou évolution de sa part.
Je l'ai aidé, j'ai apprit bcp de choses sur moi à son contact, mais aujourd'hui je ne peux plus rien faire pour lui, j'ai fait mon possible, et je ne me sacrifie plus pour lui.

Je suis bcp moins déprimée, je me sens mieux dans ma vie, et j'ai gagné en stabilité.

Je te cache pas que ça a été très dur de s'en sortir. Mais c'est possible. On en sort gagnante.

Bon courage.



quand j y pense , ptet parcequ il prend soin de moi , qu il a peur qu il m arrive quelque chose , mais tt ca c'est selon son humeur , parfois sans que je lui fasse rien il me parle bizzarement comme si je lui es fé quelque chose ou bien il est distant il vx pas que je le touche en publique ect ....
2122
Bonsoir,

Je veux bien donner mon avis et répondre mais encore faut il que je puisse lire ton message
Peux tu l'éditer pour l'aérer et ré écrire les mots sms ?

Je suis certaine que tu auras plus de réponses ainsi

Bavarois
C
49 ans là 2187
HS : Eva, j'admire le fait que tu aies conscience de cette possibilité de dépendance et non plus d'amour entier. J'aurais aimé pouvoir analyser les choses comme ça bien plus tôt ;)

Souna dans mon pavé, je t'exprime le même sentiment qu'Eva.
C
49 ans là 2187
Le gars que j'aimais tant, est passé du chaud au froid durant des années, avant que je comprenne qu'il faisait passer ses intérêts avant les miens.
Il me disait qu'il tenait beaucoup à moi, et faisait mine de se vexer quand je disais qu'il me "donner" peu comparé à ce que moi je lui donné.
Pour lui, il était "là", il me parlait, même contre l'avis de sa femme. Il ne donnait rien d'autre, mais je devais selon lui me montrer heureuse de cet "effort" qu'il faisait pour garder vivante notre relation.
On s'était promit un jour d'être toujours "là" l'un pour l'autre. Il était là point barre. Mais sans plus.

Il m'a dit en "partant" que ça lui faisait mal, qu'il était toujours mon ami, que c'est juste qu'il ne me parlait plus tant que sa femme ne donnerait pas son accord (il croit à la poupée qui tousse ! pour cela faudrait qu'elle trouve qqu'un d'autre et se serve de moi pour détourner son attention).
J'ai obtenu un "salut" en octobre (après 10 mois de silence de sa part). Pour me dire qu'il est toujours là. D'autres fois, j'ai craqué le suppliant qu'on reprenne nos conversations (c'est minuscule par rapport à ce que j'ai pu espérer de lui), mais il n'a pas craqué.

Une de mes victoires, avoir réussi à lui ordonner de ne plus m'envoyer les messages collectifs qu'il envoit à sa liste d'amis. C'était trop frustrant, ça me remettait dans l'attente, dans l'espoir. Résultat je refrustrée, je resouffrais, je l'attendais.
J'ai réussi à apprivoisé l'absence, je la préfère à la frustration perpétuelle.

J'ai retrouvé mes fidèles amies, je me suis inscrit au dojo de mon village, et j'ai trouvé un contrat de 8 mois dans ma branche, mois qui n'avait fait que galérer d'emplois saisonniers en emploi saisonnier depuis 6 ans.

Ecoute-toi. Redeviens-toi. Et vois s'il t'aime, ce qu'il fait. Essaye d'espacer tes appels. J'ai réussi à ne plus avoir envie de lui téléphoner (à craindre même), alors que je pouvais pas m'en passer. A une épôque on pouvait passer des heures au téléphone, matin et soir. Si je peux le faire, y'a pas de raison que tu n'y arrives pas ! :)

Accroche-toi ! Pense à toi un peu plus, et un peu moins à lui. Tu verras que tu sauras faire petit à petit le tri dans tes sentiments, tes envies et tes priorités dans la vie.
37 ans 64
Passiflore a écrit:
HS : Eva, j'admire le fait que tu aies conscience de cette possibilité de dépendance et non plus d'amour entier. J'aurais aimé pouvoir analyser les choses comme ça bien plus tôt ;)

Souna dans mon pavé, je t'exprime le même sentiment qu'Eva.


vraiment merci pour vos conseilles , gros bisou a vous deux
37 ans 64
Passiflore a écrit:
Le gars que j'aimais tant, est passé du chaud au froid durant des années, avant que je comprenne qu'il faisait passer ses intérêts avant les miens.
Il me disait qu'il tenait beaucoup à moi, et faisait mine de se vexer quand je disais qu'il me "donner" peu comparé à ce que moi je lui donné.
Pour lui, il était "là", il me parlait, même contre l'avis de sa femme. Il ne donnait rien d'autre, mais je devais selon lui me montrer heureuse de cet "effort" qu'il faisait pour garder vivante notre relation.
On s'était promit un jour d'être toujours "là" l'un pour l'autre. Il était là point barre. Mais sans plus.

Il m'a dit en "partant" que ça lui faisait mal, qu'il était toujours mon ami, que c'est juste qu'il ne me parlait plus tant que sa femme ne donnerait pas son accord (il croit à la poupée qui tousse ! pour cela faudrait qu'elle trouve qqu'un d'autre et se serve de moi pour détourner son attention).
J'ai obtenu un "salut" en octobre (après 10 mois de silence de sa part). Pour me dire qu'il est toujours là. D'autres fois, j'ai craqué le suppliant qu'on reprenne nos conversations (c'est minuscule par rapport à ce que j'ai pu espérer de lui), mais il n'a pas craqué.

Une de mes victoires, avoir réussi à lui ordonner de ne plus m'envoyer les messages collectifs qu'il envoit à sa liste d'amis. C'était trop frustrant, ça me remettait dans l'attente, dans l'espoir. Résultat je refrustrée, je resouffrais, je l'attendais.
J'ai réussi à apprivoisé l'absence, je la préfère à la frustration perpétuelle.

J'ai retrouvé mes fidèles amies, je me suis inscrit au dojo de mon village, et j'ai trouvé un contrat de 8 mois dans ma branche, mois qui n'avait fait que galérer d'emplois saisonniers en emploi saisonnier depuis 6 ans.

Ecoute-toi. Redeviens-toi. Et vois s'il t'aime, ce qu'il fait. Essaye d'espacer tes appels. J'ai réussi à ne plus avoir envie de lui téléphoner (à craindre même), alors que je pouvais pas m'en passer. A une épôque on pouvait passer des heures au téléphone, matin et soir. Si je peux le faire, y'a pas de raison que tu n'y arrives pas ! :)

Accroche-toi ! Pense à toi un peu plus, et un peu moins à lui. Tu verras que tu sauras faire petit à petit le tri dans tes sentiments, tes envies et tes priorités dans la vie.



Passiflore , imagine que je l'est applé et il ma dit on se vois se soir sur messenger a 23h , il ma fé le meme coup hier , et la je ss conecté a l attendre , il a dit qu il vas voir son frère , vraiment je suporte plus la situation , je doit trouvé une solution sans regretter apres !!
C
49 ans là 2187
Et oui, et pendant ce temps là tu ne vis pas.

Je suis sûre que tu lui demanderais qu'au moins il t'avertisse qu'il a un empêchement, et qu'en général il te laisse en plan, et te donne une excuse le lendemain en ralant de ta possessivité. Alors que d'avertir aurait été la moindre des choses, qu'on attend d'un simple copain qu'on connaîtrait à peine.

Moi aussi j'avais peur de regretter. Ma peur de tout gacher m'empêcher d'agir. J'ai mit longtemps à renoncer. C'est ce qui me coûtait le plus renoncer.

Car pendant qu'on s'accroche à un rêve, à un espoir on ne fait que ça. Le temps passe, on en est consciente, mais on ne peut pas accepter de renoncer. On se dit "M..de ! après tout les sacrifices que j'ai fait !".
Mais, en persistant dans cette attitude, on perd la possibilité de vivre autre chose, d'être heureuse autrement.

Aujourd'hui, je me dis que si ce garçon doit revenir un jour, il reviendra. Et lorsque je pense ça, je me demande comment je réagirais, est-ce que par fierté je le repousserais ? est-ce que je serais capable d'avoir des rapports équilibrés avec lui ? est-ce que je serais capable de le mettre à l'épreuve et de me faire respecter ?
Je lui ai dit que jamais plus je n'accepterai de revivre ce qu'il m'a fait subir. Je n'accepterai plus aucun interdit. Si je compte pour lui, très bien, mais alors qu'il me laisse être moi.

J'aimerai que tout mes efforts n'aient pas été vain. Mais s'ils doivent "payer" en retour, je ne cesserais plus de vivre en attendant que peut-être... Tu comprends ?

Ca ne sera pas facile, j'ai mit 5 ou 6 ans pour en arriver là (depuis que j'ai commencé à ouvrir les yeux au bout de 3 ans). Ma "chance" qu'une autre femme l'ai éloigné de moi.
C'est bizarre de dire ça aujourd'hui, je n'aurais jamais cru pouvoir penser ça un jour !

Rappelles tes amies d'avant, explique-leur ta situation, que tu t'aies laissé enfermer. Entoure-toi à nouveau d'autres sources d'amour et d'attention. Tu pourras voir que des amis, se comportent mieux que lui.

Et je te souhaite autant que je me souhaite à moi-même, de trouver un jour l'amour, un amour intense mais équilibré, avec un homme qui te donnera autant que tu lui donnes.
37 ans 64
Passiflore a écrit:
Et oui, et pendant ce temps là tu ne vis pas.

Je suis sûre que tu lui demanderais qu'au moins il t'avertisse qu'il a un empêchement, et qu'en général il te laisse en plan, et te donne une excuse le lendemain en ralant de ta possessivité. Alors que d'avertir aurait été la moindre des choses, qu'on attend d'un simple copain qu'on connaîtrait à peine.

Moi aussi j'avais peur de regretter. Ma peur de tout gacher m'empêcher d'agir. J'ai mit longtemps à renoncer. C'est ce qui me coûtait le plus renoncer.

Car pendant qu'on s'accroche à un rêve, à un espoir on ne fait que ça. Le temps passe, on en est consciente, mais on ne peut pas accepter de renoncer. On se dit "M..de ! après tout les sacrifices que j'ai fait !".
Mais, en persistant dans cette attitude, on perd la possibilité de vivre autre chose, d'être heureuse autrement.

Aujourd'hui, je me dis que si ce garçon doit revenir un jour, il reviendra. Et lorsque je pense ça, je me demande comment je réagirais, est-ce que par fierté je le repousserais ? est-ce que je serais capable d'avoir des rapports équilibrés avec lui ? est-ce que je serais capable de le mettre à l'épreuve et de me faire respecter ?
Je lui ai dit que jamais plus je n'accepterai de revivre ce qu'il m'a fait subir. Je n'accepterai plus aucun interdit. Si je compte pour lui, très bien, mais alors qu'il me laisse être moi.

J'aimerai que tout mes efforts n'aient pas été vain. Mais s'ils doivent "payer" en retour, je ne cesserais plus de vivre en attendant que peut-être... Tu comprends ?

Ca ne sera pas facile, j'ai mit 5 ou 6 ans pour en arriver là (depuis que j'ai commencé à ouvrir les yeux au bout de 3 ans). Ma "chance" qu'une autre femme l'ai éloigné de moi.
C'est bizarre de dire ça aujourd'hui, je n'aurais jamais cru pouvoir penser ça un jour !

Rappelles tes amies d'avant, explique-leur ta situation, que tu t'aies laissé enfermer. Entoure-toi à nouveau d'autres sources d'amour et d'attention. Tu pourras voir que des amis, se comportent mieux que lui.

Et je te souhaite autant que je me souhaite à moi-même, de trouver un jour l'amour, un amour intense mais équilibré, avec un homme qui te donnera autant que tu lui donnes.


Merci bc pour ton soutien ca me touche enormement , et j esper que je pourrai y arrivé , j ai les larmes au yeux et de la peine de savoir que c bientot fini et que je vé plus etre avec lui c vraiment tres dure
C
49 ans là 2187
Oui, mais tu vas retrouver une bonne vieille amie déjà, toi-même ! ;) Tu verras, c'est bon de se retrouver dans ses choix, ses goûts, ses idées. Ca m'a toute surprise lorsque j'en ai prit conscience.

Et si ça peut t'encourager, dis-toi que si la solitude est affreuse les premiers mois, tu te rendras plutôt vite compte que tu as moins d'épisodes dépressifs, que tu t'occupes mieux de ta vie et de ton avenir. C'est pour ça que retrouver tes amis est important.

Tu sauras que tu approches de la "guérison", quand le matin, ta 1ère pensée n'ira pas vers lui. Quand tu pourras faire une apr'm shopping avec des copines, regarder un films sans penser même une seconde à lui. C'est bon tu verras !

C'est bien normal pour moi de te parler de mon expérience, moi je ne connaissais personne qui avait vécu la même chose. Je sais que c'est trop horrible à vivre, et si par mon approche je peux te faire gagner qq mois ou qq années de moins dans ce calvaire. Je me dirais que j'ai fait qq chose de bien de cette expérience ;)

Allez bonne nuit ! Je me lève tôt pour aller à mon nouveau travail qui va me permettre de vivre mieux autrement.

Gros bisous.

Et si tu veux tu peux me MP.
37 ans 64
Passiflore a écrit:
Oui, mais tu vas retrouver une bonne vieille amie déjà, toi-même ! ;) Tu verras, c'est bon de se retrouver dans ses choix, ses goûts, ses idées. Ca m'a toute surprise lorsque j'en ai prit conscience.

Et si ça peut t'encourager, dis-toi que si la solitude est affreuse les premiers mois, tu te rendras plutôt vite compte que tu as moins d'épisodes dépressifs, que tu t'occupes mieux de ta vie et de ton avenir. C'est pour ça que retrouver tes amis est important.

Tu sauras que tu approches de la "guérison", quand le matin, ta 1ère pensée n'ira pas vers lui. Quand tu pourras faire une apr'm shopping avec des copines, regarder un films sans penser même une seconde à lui. C'est bon tu verras !

C'est bien normal pour moi de te parler de mon expérience, moi je ne connaissais personne qui avait vécu la même chose. Je sais que c'est trop horrible à vivre, et si par mon approche je peux te faire gagner qq mois ou qq années de moins dans ce calvaire. Je me dirais que j'ai fait qq chose de bien de cette expérience ;)

Allez bonne nuit ! Je me lève tôt pour aller à mon nouveau travail qui va me permettre de vivre mieux autrement.

Gros bisous.

Et si tu veux tu peux me MP.




bonne nuit a toi aussi et merci pr tt a bientot bisou
C
49 ans là 2187
:D

Je reviens juste pour préciser que quand je parlais de la solitude affreuse, je voulais surtout parler du manque. Quand on peut être seule, s'ennuyer, mais ne pas souffrir vraiment. On s'emme..de juste, c'est plus ou moins pénible mais c'est pas atroce.

Le manque, la dépendance peut de faire croire que tu ne supporteras pas de ne plus le voir ou l'entendre. Alors qu'en fait, ce qui te manqueras c'est le bien-être, le réconfort que tu retires des bons moments. Il est probable que tu vis dans l'attente de ces moments-là. Tu frustres à fond en attendant. Et le moindre geste tendre ou toute petite attention, te fait sentir sur un nuage. Tu es sous endorphine et tu espères retrouver cet état de bien-être. C'est une cure de desintox si tu veux, tu peux en tout cas penser les choses comme ça.

Dis-toi que tu as besoin de te retrouver. Une fois que ça sera fait, penche-toi sur tes sentiments pour lui. Et tu verras que finalement c'était pas ça que tu voulais dans la vie.

Cette fois j'y vais vraiment. Salut ! Et essaye de dormir bien.
B I U


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