58 ans
strasbourg
2204
gurgle a écrit:
oui bon j'imagine que ça partait d'un bon sentiment :cry: je suppose qu'elle ne se rend pas compte que j'ai du mal à assumer parfois, que je complexe un peu la dessus.. et vu qu'elle n'a pas de problème de ce côté là, elle n'imagine sans doute pas que c'est le cas des autres...
les critiques mystic, c'est difficile de dire ce que tu préconises quand ça vient de ta vieille grand-mère ou de ta mère (que soi dit en passant, j'adore...à part quand elles commencent à critiquer mon aspect) je me sens un peu rejetée du coup quand ça arrive, je deviens un peu agressive, et ils ne comprennent même pas pourquoi...enfin bon j'imagine que je ne suis pas la seule à avoir ce genre de souci d'incompréhension au sein de sa famille!
Les remarques que j'ai noté sont plus pour des gens de l'extérieur que de la famille. Je suis tout à fait d'accord avec toi. On ne parle pas ainsi à sa famille......
Mais il faut absolument leur faire comprendre le mal que leurs réflexions te fait. Ils ne peuvent pas comprendre parce qu'ils ne le vivent pas? He bien fait leur comprendre!
Tu ne peux pas leur trouver des excuses à chaque fois et cacher la douleur et le mal qu'ils te font.
Personne n'est parfait et l'on a tous des complexes. Trouve ceux de ta famille et donne leur des exemples de réflexions méchantes dessus. Fais ça devant plusieurs personnes et ils comprendrons peut-être ta gène.
Il n'y a pas de raison que tu te laisse faire de la sorte.
Je sais que je suis très très impulsive et que lorsque je suis en colère, ce n'est pas beau à voir! :evil: :evil:
Mais j'ai tellement souffert de l'ignorance des autres, de leurs réflexions soit disant pas méchantes, de leurs attitudes (normales pour eux)mais tellement génantes pour moi et surtout douloureuses..... que je ne VEUX plus subir tout cela.
J'ai encore dans ma tête, des réflexions méchantes et très cruelles que l'on m'a fait alors que je n'avais pas 10 ans....Si je m'en souviens autant, c'est que la douleur est toujours là.
Mais ce n'est pas le sujet du topic alors je m'arrêterais là.
oui bon j'imagine que ça partait d'un bon sentiment :cry: je suppose qu'elle ne se rend pas compte que j'ai du mal à assumer parfois, que je complexe un peu la dessus.. et vu qu'elle n'a pas de problème de ce côté là, elle n'imagine sans doute pas que c'est le cas des autres...
les critiques mystic, c'est difficile de dire ce que tu préconises quand ça vient de ta vieille grand-mère ou de ta mère (que soi dit en passant, j'adore...à part quand elles commencent à critiquer mon aspect) je me sens un peu rejetée du coup quand ça arrive, je deviens un peu agressive, et ils ne comprennent même pas pourquoi...enfin bon j'imagine que je ne suis pas la seule à avoir ce genre de souci d'incompréhension au sein de sa famille!
Les remarques que j'ai noté sont plus pour des gens de l'extérieur que de la famille. Je suis tout à fait d'accord avec toi. On ne parle pas ainsi à sa famille......
Mais il faut absolument leur faire comprendre le mal que leurs réflexions te fait. Ils ne peuvent pas comprendre parce qu'ils ne le vivent pas? He bien fait leur comprendre!
Tu ne peux pas leur trouver des excuses à chaque fois et cacher la douleur et le mal qu'ils te font.
Personne n'est parfait et l'on a tous des complexes. Trouve ceux de ta famille et donne leur des exemples de réflexions méchantes dessus. Fais ça devant plusieurs personnes et ils comprendrons peut-être ta gène.
Il n'y a pas de raison que tu te laisse faire de la sorte.
Je sais que je suis très très impulsive et que lorsque je suis en colère, ce n'est pas beau à voir! :evil: :evil:
Mais j'ai tellement souffert de l'ignorance des autres, de leurs réflexions soit disant pas méchantes, de leurs attitudes (normales pour eux)mais tellement génantes pour moi et surtout douloureuses..... que je ne VEUX plus subir tout cela.
J'ai encore dans ma tête, des réflexions méchantes et très cruelles que l'on m'a fait alors que je n'avais pas 10 ans....Si je m'en souviens autant, c'est que la douleur est toujours là.
Mais ce n'est pas le sujet du topic alors je m'arrêterais là.