Merci pour vos réponses, c'est agréable de pouvoir discuter de ce genre de choses (et d'autres) avec vous! :rainbowafro:
Evidemment, cette hypothèse n'est pas applicable à tout le monde, mais je constate qu'elle fait visiblement écho chez certaines d'entre-vous.
Personnellement, j'en suis venue à penser cela suite aux différentes réflexions que je me suis faites ces derniers mois, et je me dis que cet aspect "existentiel" a peut-être joué un rôle dans ma prise de poids.
Iseult, oui, c'est un peu triste effectivement, mais ça peut permettre de mieux comprendre certaines choses sur soi-même pour "dédramatiser" et ensuite avancer tout en faisant des choix conscients, non? Bien sûr, les remises en question sont toujours difficiles, douloureuses, mais si l'on arrive à les surmonter, on en sort grandit et plus épanouis (du moins j'espère, parce que si non, flûte quand même! :roll: :lol:).
Quant à la question "exister, mais à quel prix?", j'ai l'impression qu'elle peut (malheureusement) être appliquée à des tas de situations...
Mais ce que tu dis est vrai je trouve, ça reste triste. Triste que ce soit parfois le seul moyen que notre cerveau (ou esprit, ou tête, ou ce que vous voulez ^^) ait trouvé pour nous permettre d'exister aux yeux de certaines personnes...
Quant à savoir si je suis philosophe... là j'ai plutôt l'impression de faire de la psychologie de bazar en empruntant certaines de ses théories à papy Freud et certaines réflexions "new age" et bizarres que me sort parfois ma môman (:lol:), mais merci du commentaire: pour une étudiante en philosophie, c'est quand même assez flatteur :D.