C
Bonjour et bienvenue :D
Puisque tu demandes quelques conseils, je vais te dire ce qui m'a aidée concernant le carnet: y écrire ce que je consomme sur 24h, certes, mais surtout dans quelles conditions je mangeais, mes états d'esprit ou états d'âme.
Sinon concernant la nourriture, être très à l'écoute de son corps et de ses sensations et au départ c'est fastidieux: à chaque bouchée ou presque, se demander si on a encore faim ou juste envie de continuer à manger, si le goût s'est modifié (satiété) et si on veut finir son assiette/paquet/plaquette alors qu'on n'a plus faim, chercher à savoir pourquoi et ne pas vouloir s'en empêcher à tout prix, pour éviter la frustration.
Apprendre aussi à manger quand on a faim, donc pas forcément aux heures dites des repas (ça, ça ne dure pas forcément longtemps ;) ).
Et plus d'aliments tabous, le chocolat et le fromage ne font pas plus grossir que des pommes ou des carottes ;) .
Si tu vis avec ta famille, tu n'es pas obligée de leur en parler, mais ils te demanderont forcément à un moment donné pourquoi tu ne manges pas avec eux mais à 16h... Pourquoi ne pas leur expliquer le principe de la rééducation alimentaire et leur dire que tu veux tenter de te réconcilier avec la nourriture?
Cela peut t'éviter des yeux gros comme ça :shock: s'ils te voient faire un repas de crunch :lol: .
Tu as la possibilité de te préparer à manger, faire les courses? Et ton copain, il en pense quoi? Parce qu'en ce qui me concerne, j'ai été un peu pénible au début: très axée sur moi, concentrée sur mes modes d'alimentation, c'était pas évident à comprendre pour mon entourage...
Sinon, je ne les ai pas lus, mais il semblerait que les livres de Zermatti et Apfeldorfer peuvent aider à mieux cerner nos problèmes avec la nourriture, ça peut être une piste aussi.
Voilà, je te souhaite bon courage et n'hésite pas à lire les différents témoignages de cette section ;) .
Puisque tu demandes quelques conseils, je vais te dire ce qui m'a aidée concernant le carnet: y écrire ce que je consomme sur 24h, certes, mais surtout dans quelles conditions je mangeais, mes états d'esprit ou états d'âme.
Sinon concernant la nourriture, être très à l'écoute de son corps et de ses sensations et au départ c'est fastidieux: à chaque bouchée ou presque, se demander si on a encore faim ou juste envie de continuer à manger, si le goût s'est modifié (satiété) et si on veut finir son assiette/paquet/plaquette alors qu'on n'a plus faim, chercher à savoir pourquoi et ne pas vouloir s'en empêcher à tout prix, pour éviter la frustration.
Apprendre aussi à manger quand on a faim, donc pas forcément aux heures dites des repas (ça, ça ne dure pas forcément longtemps ;) ).
Et plus d'aliments tabous, le chocolat et le fromage ne font pas plus grossir que des pommes ou des carottes ;) .
Si tu vis avec ta famille, tu n'es pas obligée de leur en parler, mais ils te demanderont forcément à un moment donné pourquoi tu ne manges pas avec eux mais à 16h... Pourquoi ne pas leur expliquer le principe de la rééducation alimentaire et leur dire que tu veux tenter de te réconcilier avec la nourriture?
Cela peut t'éviter des yeux gros comme ça :shock: s'ils te voient faire un repas de crunch :lol: .
Tu as la possibilité de te préparer à manger, faire les courses? Et ton copain, il en pense quoi? Parce qu'en ce qui me concerne, j'ai été un peu pénible au début: très axée sur moi, concentrée sur mes modes d'alimentation, c'était pas évident à comprendre pour mon entourage...
Sinon, je ne les ai pas lus, mais il semblerait que les livres de Zermatti et Apfeldorfer peuvent aider à mieux cerner nos problèmes avec la nourriture, ça peut être une piste aussi.
Voilà, je te souhaite bon courage et n'hésite pas à lire les différents témoignages de cette section ;) .