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Probleme relationnel avec ma mere en raison de mon poids...

57 ans le pays de Cocagne bien sur 4169
Juriste, à 13 ans tu as inversé les roles pour soutenir ta mère, tu ne vas pas revenir sur le passé, c'est fait et tu n'as pas pu t'en empécher  
parce que tu n'as pas vu d'autres solutions à l'époque. Sauf que maintenant il faut forcer ta mère à reprendre son indépendance affective, ça sera douloureux pour elle mais elle n'est plus en situation d'urgence, alors elle doit ne plus être dépendante affective de toi... donc réduit les calins, réduit ta présence petit à petit, et ne te fais pas avoir au chantage affectif qu'elle te fera quand elle se rendra compte de ce que tu fais. C'est nécessaire pour elle qu'elle apprenne à être adulte, sans sa mère morte et à coté de tous ces enfants adultes, elle vieillira bien mieux et en harmonie avec vous tous, dis toi que si tu fais ça tu te prépares de meilleures relations avec ta mère pour le futur et aussi pour ton frere qui a l'air d'en souffrir un peu
42 ans 3006
Câline a écrit:
Câline a écrit:


Citation:
Mais ne penses tu pas qu'à 28 ans, tu aies encore besoin d'être "maternée" ?

Je voulais écrire "penses tu encore à 28 ans avoir besoin d'être maternée ?" pffff


euh, non, je crois que tu vas beaucoup, beaucoup trop loin. Je ne suis pas "maternée", mais l'amour maternel, c'est très bon, même jusqu'à la mort des parents, on a des discussions de mère à fille, où je lui expose mon problème, et elle me donne ses conseils par rapport à sa propre vie, son propre ressenti. Mère et fille adultes. Elle ne vient pas non plus me torcher les fesses, hein, redescend un peu sur terre ! Ce que je voulais dire, c'est qu'elle peut maintenant donner l'amour maternel, sans plus de parasites...

Pour Miss Juriste : je suis totalement d'accord avec Cocagne, mon histoire a justement été débloquée après mon départ du nid familial. Malheureusement, si ta maman est autant en demande d'affection auprès de toi, et qu'en plus ça en fait pâtir ton couple (puisque ton homme subit des crises qui sont induites par ta mère, pas par lui, enfin j'extrapole un tit peu là..) il va bien falloir finir par prendre le taureau par les cornes. Tu as donc dit que tu as eu de violentes disputes, mais ça n'a pas l'air d'avoir été efficace. As-tu essayé la résistance tranquille ? Rester maitresse de toi, expliquer calmement, clairement les choses, et si elle commence soit à chercher à lancer le truc dans le chantage affectif, en pleurant, en t'accusant, ou autre, soit à partir en dispute, à crier, tu pars sans un mot, ou avec un "on continuera cette discussion (insiste bien là dessus ;) ) plus tard, quand tout le monde sera calme (pas de quand tu seras calmée, ça fait très maman ça :P )".

Ton père est toujours avec ta mère, son rôle de mari serait d'ailleurs plus de la rassurer que toi... Tu peux la rassurer, lui dire que tu l'aimes, mais tu as toujours ta vie à mener. Le coup du téléphone parceque tu es partie, une mère normale n'aurait pas donné ce coup de téléphone, c'est normal que tu partes et que tu rentres chez toi, sans forcément l'attendre.
F
41 ans Lorraine 791
Juriste-rondelette a écrit:

Elle ne voulait manger que ce que JE lui cuisinais, que ce que JE cultivait (c'est a dire les haricots de mon potager) , bref... A ce moment la de ma vie je ne me suis pas posée de question: soit je la soutenait soit elle tombait (ce qui aurait été je pense fatal pour elle).


Ca s'est du chantage affectif, de la manipulation, les trucs de pervers. C'est délirant!
56 ans Out of Africa... 4355
Aspha a écrit:
[Elle ne vient pas non plus me torcher les fesses, hein, redescend un peu sur terre !


J'y suis bien sur terre, justement, pas de problème à ce niveau. Et je ne parlais pas de torchage de c** : c'est d'aileurs un coté très réducteur de l'amour maternel !!! :lol:

C'est juste que tu as toi-même écrit :

Citation:
Mais ça lui a aussi permis de gagner des rapports de mère avec moi plus sereins, plus maternels justement


donc je me suis demandée que pouvait bien dire "plus maternel" une fois adulte.
F
41 ans Lorraine 791
Câline a écrit:


Citation:
Mais ça lui a aussi permis de gagner des rapports de mère avec moi plus sereins, plus maternels justement


donc je me suis demandée que pouvait bien dire "plus maternel" une fois adulte.


Ca veut dire non plus des conseils qui sont presques des sentances, des vérités absolues, des ordres, mais des conseils comme on demande à une amie, à quelqu'un qui a déjà vécu plus de choses que soi, qui a de l'expérience et qui nous reconnaît comme un égal qui a un peu moins d'expérience.

Avec l'âge et particulièrement la maternité de la fille, il y a une réorganisation de la cellule familiale, tout le monde grimpe d'une niveau: la mère devient grand-mère, la fille devient mère...
Au cours de cette réorganisation les rapports entre la mère et la fille deviennent moins fusionnels, la mère recule, prend de la distance car sa fille, à son tour est devenue mère; alors la fille peut aller voir sa mère pour lui demander des conseils (notamment sur l'éducation, les trucs et astuces que sa mère utilisait pour la calmer quand elle était petite...).
La mère d'éducateur passe à un rôle de guide moins prononcé, elle n'a plus à gronder, à empêcher de faire des bêtises, elle peut être plus "maternelle" dans le sens où elle accueille, donne des conseils si on lui demande et aide sans punir ou s'imposer comme doit le faire parfois une mère avec un enfant.

Dans la situation de Juriste-rondelette, cela n'est pas possible étant donné que sa mère refuse le fait que sa fille grandit et devient un être de plus en plus indépendant ou est censée le devenir, car cela la reverrait au fait qu'elle même viellit, elle ne peut accepter de risquer de grimper d'une génération, de se rapprocher de la mort.
Malheureusement,j'y vois là un phénomène de génération, un phénomène qui semble s'amplifier jusqu'à devenir courant: la vieillesse n'est plus respectée pour son expérience, son vécu, elle est assimilée à la mort, la maladie, la douleur. Les médias le montrent bien, on cache ses cheveux blanc, on utilise de l'antiride, on se fait botoxer, lifter... tout ça pour refuser de vieillir, mais au final on n'a pas le choix. Refuser de vieillir c'est refuser la vie, et le respect de la vie.

HS: J'ai 26 ans et j'ai pas mal de cheveux blanc (ça ne se voit pas tout de suite, mais juste si on regarde attentivement), j'en suis très fière, car j'ai eu des années douloureuses, et pour moi, ses cheveux blanc sont associés au fait que j'ai réussi à surmonter mes douleurs, à mon expérience qui au final m'a enrichie.
56 ans Out of Africa... 4355
Freudette, merci d'avoir répondu.

Sinon pour Juriste-rondelette, j'ai l'impression d'une inversion des rôles : la fille devient la mère de sa mère et a pour mission de lui donner ce qu'elle n'a jamais reçu de sa propre mère. Mission impossible pour les deux et particulièrement toxique pour Juriste qui prend une place qui n'est pas la sienne. J'ai l'impression aussi que Juriste se prend en pleine poire toute la colère, et la cruauté, que sa mère a accumulé et non exprimé envers sa propre mère.
C'est lourd, toxique, et encombrant.
Pour le reste oui, on dirait que vieillir est devenu une insulte ! :?
42 ans 3006
Merci Freudette d'avoir répondu aussi clairement, là je n'avais pas trop la possibilité d'organiser ma pensée ;) !

Juste, désolée Câline si je t'ai semblée un peu sèche, en effet je l'ai été. Pourquoi ? Je n'arrive pas à accepter la généralisation de ton cas, dans le sens où tu as dû faire le deuil d'un amour que tu n'aurais pas, du vivant de ta mère. C'est malheureusement le pire des cas dans des relations mère/fille toxiques, mais il y a des fois où les personnes réagissent autrement, ne l'oublie pas. Il y a des fois où la mère fait enfin ce travail sur elle-même dont la relation avait besoin. Je suis sincèrement désolée d'avoir été sèche. C'est aussi le cas dans le "mal aimer" ou le "pas aimer". Ne pas savoir aimer n'est pas la même chose que ne pas avoir la volonté d'aimer. Ce que ma mère a vécu, le non amour de sa mère pour elle, n'est pas du tout l'amour maladroit qu'elle m'a porté. Là où il y a volonté, il y a possibilité d'amélioration.

Là, pour Juriste-rondelette, sa mère ne la déteste pas, elle l'aime maladroitement, elle est dans la projection, elle est bloquée par sa propre histoire de vie, ce qui toxifie leur relation mère/fille. Je suis d'ailleurs d'accord avec toi, et avec Freudette...

Juste une chose, Juriste. N'oublie pas que si les choses deviennent moralement trop dures à porter, si tu as besoin de conseils pour t'aider à supporter les choses, à les améliorer et les comprendre de ton côté, et savoir comment réagir, le mieux est que tu en parles à un thérapeute. Nous, on ne peut que te parler de nos relations mère/fille, mais ce sera toujours imparfait et incomplet, car nous ne sommes pas dans la même situation entièrement que toi. Ca ne nous empêche pas de te comprendre, loin de là, mais c'est une situation tellement délicate, et tellement "fil de rasoir" qu'il vaudrait peut-être mieux que tu aies une aide extérieure mais ... plus "vivante" que nous, une personne de confiance et pas du tout intéressée, à qui tu pourras expliquer l'histoire en long, en large et en travers, avec qui tu pourras réfléchir en direct, qui pourra t'aider à faire le tri dans tout ça.
56 ans Out of Africa... 4355
Ne t'inquiètês pas ;) C'est intéressant - et constructif -pour moi aussi de lire d'autres avis.

Je n'ai pas l'impression de généraliser à partir de mon cas en fait. Juste que je pense qu'une personne qui n'a pas été aimée dans son enfance aura bien du mal à savoir ce qu'est l'amour à l'âge adulte. Je n'ai pas cette croyance que tous les parent aiment forcément leurs enfants. Tout dépend de l'histoire personnelle de chacun.
Pour moi c'est plutôt positif de dire à une personne que si elle n'a pas été aimé enfant ce sera dur plus tard pour elle d'aimer ses propres enfants (mais pas impossible) plutôt que de lui dire "Mais si tu aimeras tes enfants. Tous les parents aiment leurs enfants"
Parce que du coup, la personne qui a des difficultés n'osera pas en parler, (= profonde culpabilité de ne pas être comme tous les autres parents sensés aimer leurs enfants)
Quant aux autres parents autrement toxiques, ils ne se poseront de toute manière pas la question.

Comme tu le dis si bien :
Citation:
Là où il y a volonté, il y a possibilité d'amélioration


mais si la personne n'a pas la volonté, tu pourras faire ce que tu veux, tu ne pourras rien y changer tout au plus y laisser ta santé ! On ne peut changer que soi-même. Pour ta mère, je pense que c'est possible pace qu'elle est aujourd'hui honnête avec toi et reconnais ses "torts" ? (la mienne nie tout en bloc ! Je suis une menteuse)

Et je suis bien d'accord avec toi que rien ne vaut un vrai thérapeute.
42 ans 3006
Câline a écrit:
Ne t'inquiètês pas ;) C'est intéressant - et constructif -pour moi aussi de lire d'autres avis.

Je n'ai pas l'impression de généraliser à partir de mon cas en fait. Juste que je pense qu'une personne qui n'a pas été aimée dans son enfance aura bien du mal à savoir ce qu'est l'amour à l'âge adulte. Je n'ai pas cette croyance que tous les parent aiment forcément leurs enfants. Tout dépend de l'histoire personnelle de chacun.
Pour moi c'est plutôt positif de dire à une personne que si elle n'a pas été aimé enfant ce sera dur plus tard pour elle d'aimer ses propres enfants (mais pas impossible) plutôt que de lui dire "Mais si tu aimeras tes enfants. Tous les parents aiment leurs enfants"
Parce que du coup, la personne qui a des difficultés n'osera pas en parler, (= profonde culpabilité de ne pas être comme tous les autres parents sensés aimer leurs enfants)
Quant aux autres parents autrement toxiques, ils ne se poseront de toute manière pas la question.

Comme tu le dis si bien :
Citation:
Là où il y a volonté, il y a possibilité d'amélioration


mais si la personne n'a pas la volonté, tu pourras faire ce que tu veux, tu ne pourras rien y changer tout au plus y laisser ta santé ! On ne peut changer que soi-même. Pour ta mère, je pense que c'est possible pace qu'elle est aujourd'hui honnête avec toi et reconnais ses "torts" ? (la mienne nie tout en bloc ! Je suis une menteuse)

Et je suis bien d'accord avec toi que rien ne vaut un vrai thérapeute.


Et là, je te rejoins pleinement. Ca a été très dur pour ma mère, de ne pas savoir comment on aimait un enfant. Elle est maintenant dans une phase de regrets "j'aurais dû me faire suivre à ta naissance" puisque c'est là que tout s'est déclenché chez elle, pour mes frères, pas de difficultés... Si elle avait SU comment tout se passerait, et à chaque fois je le lui dis : tu ne POUVAIS pas le savoir. Et tu as fait du mieux que tu as pu. Moi, à sa différence, maintenant je sais où je vais. Et je sais ce qui peut arriver.

On va stopper le HS hein :oops: le sujet peut être tellement pris à coeur que des fois ça dérive, j'espère qu'on t'aura pas trop pourri ton poste, Juriste, ou au moins que tu nous en excuseras :oops: ...
J
36 ans 13
Je vous excuse et si j'ai rediger ce poste c'est justement pour pouvoir avoir des avis certes mais aussi des "tranches de vie" comme la mienne, essayer d'avoir un regard exterieur. Apres je ne dit pas que je vais tout appliquer mais ca m'a donné des pistes de reflexion
40 ans France : Lille 3505
Juriste-rondelette a écrit:
Je vous excuse et si j'ai rediger ce poste c'est justement pour pouvoir avoir des avis certes mais aussi des "tranches de vie" comme la mienne, essayer d'avoir un regard exterieur. Apres je ne dit pas que je vais tout appliquer mais ca m'a donné des pistes de reflexion


Content que ça aie pu te servir, et si ça peut t'aider à l'avenir aussi content .

Même si j'avoue on a pas forcément été cool avec toi à la base . :oops:
38 ans la roche sur yon 11
coucou, je connais exatement ton probleme ma mere est exactement pareil ma mere fesait les meme reflexions mechante et blessante, ce n'est pas facile car on a limpression qu'on ne lui plaira jamais, moi étant plus jeune j'etait mince je fesais des défiler de manequins suite a une agression je suis devenu obese elle ne le supporte pas du tous je crois qu'elle regrette sa fille d'autrefois.

moi ce que je te conseillerais c'est reste comme tu es si tu te sens bien, réussis ta vie ne te prive de rien si tu es bien comme cela ne vis pas pour les autres ils aprendront a t'aimer tel que tu es. et je pense aussi qu'elle ne sav pa a quel point ell blesse ell ne se rende pas compt du mal que cela fai kar ell ne l'on jamai vécu et c'est par amour quel fon cela ell pense que c le seul moyen pour nous faire réagir mais etre grosse est une maladie qui ne sgueris pas comme cela un jour je pense elle le comprendron...



moi pour changer tous sa j'ai fais un bypass mais pas pour elle pour moi car je sentais le besoin, ne change que si tu le veux mem pour tes seins se sont les tiens TU vis avec alors ne fais cette opération que si TU le veux.
F
41 ans Lorraine 791
Câline a écrit:
Pour moi c'est plutôt positif de dire à une personne que si elle n'a pas été aimé enfant ce sera dur plus tard pour elle d'aimer ses propres enfants (mais pas impossible) plutôt que de lui dire "Mais si tu aimeras tes enfants. Tous les parents aiment leurs enfants"
Parce que du coup, la personne qui a des difficultés n'osera pas en parler, (= profonde culpabilité de ne pas être comme tous les autres parents sensés aimer leurs enfants)


Là on entre dans les problèmes de résilience, on considère (d'après les derniers chiffres que j'ai eu et qui datent de plusieurs années) que seulement 17% des enfants maltraités maltraitent à leur tour leur enfants, ce qui veut dire que dans la majorité des cas ils ne le font pas, mais c'est tout de même plus que dans la population générale.
Je suis d'accord avec toi, dans le sens où, à mon sens il communiquer le message qu'il n'y a pas de fatalité mais que si on a du mal c'est normal et qu'il ne faut pas hésiter à demander de l'aide.
Mais je ne dirai pas "aimer" mais respecter, éduquer sainement, être un parent acceptable (juste une petite différence dans le choix des mots).

Effectivement la remise en question de soi est essentielle mais elle ne peut se faire que par le biais de l'acceptation. On ne peut pas se pencher sur la merde qu'on peut avoir dans la tête si on n'est pas prêt à accepter qu'il y en aura.
F
41 ans Lorraine 791
Tu pourrais parler avec ton père, en situation de crise, généralement on conseille d'aller voir l'autre parent s'il n'est pas impliqué. Tu dis toi même qu'il est plus cool avec le poids, tu pourrais en parler calmement avec lui, lui répéter les propos qui t'ont choqués, qui t'ont fait mal, lui demander ce qu'il en pense s'il peut en parler avec ta mère (sans toi) et essayer de lui faire comprendre ce que tu ressens et ce qui est acceptable.
On oublie souvent l'importance du rôle du père pour faire tampon entre mère et fille et pour couper le cordon. Dommage qu'on castre autant les pères, ils ont un rôle très important.
56 ans Out of Africa... 4355
Citation:
Mais je ne dirai pas "aimer" mais respecter, éduquer sainement, être un parent acceptable (juste une petite différence dans le choix des mots).


C'est vrai que pour chacun les mots ont un sens précis. Pour moi, ce que tu décris, "respect" - "eduquer sainement" - "parent acceptable" sont des composantes de l'amour parental. Il n'y a pas de vrai respect sans l'amour, sinon, d'après moi, bien souvent ce n'est que peur et soumission.

Citation:
Là on entre dans les problèmes de résilience, on considère (d'après les derniers chiffres que j'ai eu et qui datent de plusieurs années) que seulement 17% des enfants maltraités maltraitent à leur tour leur enfants, ce qui veut dire que dans la majorité des cas ils ne le font pas,...


Si c'était vrai, alors normalement depuis le temps, il ne devrait plus y avoir d'enfant maltraités sur terre #-o (question de logique mathématique ! Sur 100 personnes maltraitées dans leur enfance, 17 seulement maltraitent à leur tour leurs enfants une fois adultes. Donc à la génération suivante, logiquement, ça ne peut plus être le même chiffre. Donc depuis le temps, la maltraitance devrait être éradiquée hors ce n'est pas le cas. Les enfants sont toujours victimes d'abus de pouvoir et de violences diverses de la part des adultes)
Je crois qu'il y a beaucoup de mensonge à cet endroit là aussi
Pour ce qui est de la résilience, Olivier Maurel en parle mieux que moi :lol:
http://www.alice-mille...s_fr.php?lang=fr&nid=82&grp=17

J'entends que c'est super dur de réaliser que nos parents ont pu ne pas nous aimer. Mais si c'est le cas, pourquoi se raccrocher à l'illusoire "ils m'ont aimé, mais mal" ou "ils m'ont aimé à leur manière" ? C'est bcp plus destructeur que la réalité.

Citation:
On ne peut pas se pencher sur la merde qu'on peut avoir dans la tête si on n'est pas prêt à accepter qu'il y en aura


Qu'il y en a déjà d'ailleurs ! Et malheureusement ces notions de résilience enfoncent dans le déni plus qu'elles n'aident

Et oui, la place du père est très importante. Il peut protéger ses enfants. (et vice versa)
B I U


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