Rupture en étant toujours amoureux?

Merci de vos réponses.
Tout ce que vous dites est vrai, et je le sais. Même s'il n'est pas un monstre et sait parfois se montrer gentil, les moments désagréables sont plus nombreux.

De toute façon ma décision de partir est déjà prise, ça c'est certain... il va falloir que je me fasse ma vie à moi.

J'ai quand même pris un rendez vous chez une psychologue mardi prochain pour en parler avec quelqu'un de neutre et lacher mon sac, je pense que ça ne peux que me faire du bien.

Merci à vous d'être là. :kiss:

une-souris-verte a écrit:
Cool, c'est super que tu aies pris une décision pour toi :D... Tiens-nous au courant ! :kiss:

Pas de problèmes ;)

C'est une très bonne idée d'aller chez la psy pour vider ton sac !

J'espère que tout ira bien pour toi, que tu vas pouvoir te reconstruire une belle vie près des tiens qui t'aiment...

Bon courage. :kiss:

Merci Ossiane :kiss:

Je suis donc allé chez la psychologue hier, ça m'a fais du bien, elle est très sympa, j'ai bien fais de me fier à mon intinct.

Je lui ai dis que j'appréhendais tout ça, le départ, la séparation, etc... elle m'a demandé déjà pourquoi je n'étais pas parti avant... c'est mon premier amour, j'ai encore des sentiments, comment m'organiser, quelques soucis financiers et le chien qui a une grosse importance dans ma vie.
Et puis, le boulot, que je n'en peux plus, j'y suis retourné depuis lundi et c'est une cata... je n'y arrive plus, je n'ai plus envie, il y a des moments dans la journée où je me demande ce que je fou là.

Alors, on a discuté 1 heure et elle m'a conseillé d'attendre d'aller chez mes parents et de commencer à régler tout ça après.

Heureusement, je n'ai qu'une semaine à attendre. Sinon je ne pense pas que j'aurais tenu.

Je lui ai dis que j'aimerais quand même aller voir un psychiatre pour voir ce qu'il en pense, si j'aurais besoin d'un traitement pour m'aider, elle m'a donné un numéro. Je vais prendre rendez vous.

Voilà, c'est dur... de continuer de vivre avec une personne pour qui vous avez des sentiments mais que vous savez pertinement que vous ne ferais plus noël ensemble, ni les anniversaires... m'enfin, on ne les fêtait pas vraiment non plus :? pas très fête de famille ici...

Je vous remercie encore toutes, je vous tiens au courant.
Bises :kiss:

Je trouve que tu "évolues" vite dans tes décisions et je trouve ça formidable. Je t'admire même... C'est qu'il en faut du courage !

Je pense que le quitter te laissera forcément un pincement au coeur, mais finalement tu t'épanouiras tellement plus auprès d'une famille présente et aimante...

Et puis si tu repars du bon pied, je ne doute pas que tu trouveras vite un nouveau boulot qui te plaira.

:kiss:

Bien sûr, c'est dur de tourner une page... Et ça prend du temps pour s'y faire... Mais on sent que tu es sur la voie qui te convient, et quand on est convaincue c'est beaucoup plus facile de changer sa vie.. ;)
Donc tiens bon, je suis sure que tout se passera bien pour toi ;)

A l'époque, voir un psychiatre m'a beaucoup aidé. Je ne faisais que pleurer... mon médecin ne voulait rien me donner, et m'avait conseillé cette consultation. Le psychiatre ne m'a rien donné non plus, et c'est vrai que finalement, rien que le fait de parler, de pouvoir tout sortir, a suffit.
En fait je savais très bien où j'en étais, je m'analysais bien. J'avais juste besoin de le dire à quelqu'un, qui ne jugerais pas.
Cela m'a permis de passer plus rapidement un cap très difficile.

Provence a écrit:
En fait, moi mon médecin n'a pas compris l'état dans lequel je suis actuellement, pourtant il voit bien depuis plusieurs mois que j'ai des problèmes de sommeil, et je lui ai dis que j'étais très fatigué et ras le bol du boulot... je n'arrête pas de pleurer dès que je dois y aller et même quand j'y suis!

J'ai 2 jours de formation lundi et mardi, comment voulez vous que je reste assise toute la journée avec plusieurs personnes sans pleurer 5 min. ce n'est pas possible.

Là je suis dans une impasse niveau job puisque mon médecin ne veut pas m'arrêter, tout ça parcequ'il a peur d'un contrôle (il me l'a dit texto!)
Questceque je peux faire? :(

Euh... va voir un autre médecin ? :?
Je connais ce problème, notre médecin est pareil, quand mon homme se fait mal, il donne des arrêts au compte-goutte...
Il faut que tu trouves quelqu'un qui te prenne au sérieux...

Provence a écrit:
Un autre généraliste? mais le fait d'arriver comme ça, tu crois qu'il va me faire un arrêt... j'ai des doutes :?

Ou il faut encore que j'attende et je me fais arrêter par le médecin de ma maman quand j'irais la semaine prochaine, il est très compréhensif et humain.

C'est sûr que le mieux serait que je sois en arrêt jusqu'au moins fin novembre voir fin de l'année, comme ça je pourrais m'organiser pour déménager.

Si tu peux tenir encore une semaine, oui, c'est une bonne idée.
Sinon directement le psychiatre. Et lui peut aussi t'arrêter. Au pire, si tu n'y es pas envoyé par ton médecin traitant, tu paieras un peu plus cher la première consultation. Mais même, si tu expliques ton cas, certains médecins cochent quand même la case ;)

Tu pourrais aussi ne pas aller à ta formation, et consulter ton généraliste ce jour-là. Essayer de lui réexpliquer. Tu ne lui demandes pas une faveur, tu vas vraiment mal... :?

Provence a écrit:
Mais le psychiatre j'ai pris un rendez vous, et je ne l'ai pas avant le 12 novembre.

Rooooo j'ai la tête pleine!

La je pars jusqu'à demain soir avec mon copain dans la maison qu'il a acheté, ça m'évite d'être seule, et c'est en pleine nature... ça me repose... un peu...
Et je travail ce week end, samedi et dimanche.

Bon, et bien... :?

Hier je suis retourné voir mon médecin généraliste pour qu'il me représcrive de l'alprazolam, parceque ça m'aide dans mes crises d'angoisse.
Alors je lui ai tout expliqué, que j'allais quitter la région, etc... que je pleure tout les jours, même au travail.
Il n'a pas voulu me faire d'arrêt, pour lui c'est mieux que je travaille, ça me change les idées... mais non, pas du tout! bien au contraire... il ne veut rien entendre :(

Je ne sais plus quoi faire, hier j'ai eu une grosse crise de larmes, je suis tellement triste et mal, mon copain était là, il m'a soutenu et serré dans ses bras, ça m'a fait du bien.