MENU Le Forum Vive les rondes Connexion

Avoir toujours était ronde ou l'être devenue? Quoi de pire?

112 ans Bretagne 1920
Je suis entièrement d'accord avec Gurgle. J'ai moi aussi beaucoup souffert d'être grosse enfant, les brimades continuelles, les réflexions, les regards moqueurs, c'était horrible je ne voudrais revivre mon enfance  
pour rien au monde.

Dire que c'est plus facile d'avoir toujours été grosse, c'est méconnaître notre souffrance d'enfants mal dans leur peau et complexées.
56 ans Région nîmoise 1567
Citation:
Quelque part, je me dis que j'ai quand même eu la chance d'avoir une enfance et une adolescence sans subir de moqueries de la part de mes petits camarades d'école, parce que je crois que ça, ça doit vraiment être dur.


Je plussoie, je triploie, je quadruploie...
Pour ma part, j'aurais été bien dans mon corps si je n'avais été sujette à des moqueries et comportements très violents de la part du personnel d'encadrement dès la petite section maternelle...et ça, une fois que ça a été vécu, tu ne peux ni l'effacer, ni le modifier.
Chaque fois que je rencontre quelqu'un qui a grossi ado ou adulte, je ne peux m'empêcher de penser : "Certes, mais au moins pendant X années, on t'a foutu la paix". Peu de gens dans mon entourage peuvent mesurer à quel point j'aurais voulu l'avoir, cette paix... :cry:
N
37 ans 5
bonsoir à toute!
Tout d'abord meci pour vos réponses!
Je tenais à préciser que au travers d maquestion, je ne voulais pas dire qu'il y avait un degrès de "plus pire" ou "moins pire".
Bien entendu chacune souffrance est diférente, difficile...
Donc j'espere avoir rectifié le tr si ma question, mal formulée a bléssée certaines, ela n'étai bien évidementpas mn intention...
Pour ma part, comme je vous l'ai dit,j'étais plutot rondellette pendant 2ans CM1/CM2, puis entrée au collège j'ai perdu toutmes rondeurs, j'ai randit et je me suis affinée j'étais "mince" taille 38 toute mon adolescence et en terminal j'ai pis un peu de poids, je commencais à faire un 40...et puis les 10Kg en trp de maintenant...
Enfin voilà je n'ai pas subi les moqueries des camarades pendant toute mon adolescence, certes, juste un moment, mais
avec ma famille même lorsque je faisais un 38 ils me faisaient sentir grosse, donc dans le fond je ne me suis JAMAIS sentie "mince", tjrs compléxée, ne pas montrer les rondeurs, ne
etc...
C'est tout aussi dur de n jamais etre atsfaite, so corps, ar quel que soit le poids, lorsque l'on se voit trop forte, dans le mirroir, on es jamais heureuse je pense....
P
35 ans 858
nina990 a écrit:
bonsoir à toute!
Tout d'abord meci pour vos réponses!
Je tenais à préciser que au travers d maquestion, je ne voulais pas dire qu'il y avait un degrès de "plus pire" ou "moins pire".
Bien entendu chacune souffrance est diférente, difficile...
Donc j'espere avoir rectifié le tr si ma question, mal formulée a bléssée certaines, ela n'étai bien évidementpas mn intention...
Pour ma part, comme je vous l'ai dit,j'étais plutot rondellette pendant 2ans CM1/CM2, puis entrée au collège j'ai perdu toutmes rondeurs, j'ai randit et je me suis affinée j'étais "mince" taille 38 toute mon adolescence et en terminal j'ai pis un peu de poids, je commencais à faire un 40...et puis les 10Kg en trp de maintenant...
Enfin voilà je n'ai pas subi les moqueries des camarades pendant toute mon adolescence, certes, juste un moment, mais
avec ma famille même lorsque je faisais un 38 ils me faisaient sentir grosse, donc dans le fond je ne me suis JAMAIS sentie "mince", tjrs compléxée, ne pas montrer les rondeurs, ne
etc...
C'est tout aussi dur de n jamais etre atsfaite, so corps, ar quel que soit le poids, lorsque l'on se voit trop forte, dans le mirroir, on es jamais heureuse je pense....


Moi c'est un peu pareil, je faisais un 38 de 12ans à 15ans, j'ai pas mal grossi après parce que je mangeais trop, faisait des périodes de diète, était mal dans ma peau et trainais pas mal d'intolérances médicamenteuses et alimentaires.

A 12ans, mon 38 était "celui d'une fille grande et mince", à 15ans, on me disait de faire attention à mon poids. J'avais grossis mais j'avais aussi changé de corps et grandi.

Je ne me suis jamais sentie mince mais petite je n'ai jamais eu de moquerie parce que j'étais "rondouillette", à vrai dire en voyant les photos je ne l'étais pas.

Maintenant je suis redescendue au 38/40 sans rien faire mais je ne me vois pas du tout comme une fille mince, d'ailleurs personne ne me voit comme tel, mais comme une fille grosse (et là encore, y a pas tant de gens qui me trouvent grosse sauf quand je porte des vêtements trop larges, je dois refaire ma garde robe).

Je ne pense pas qu'il y ait un degré de pire ou moins pire, je pense que ça dépend de l'environnement et de l'individu. Comme tu le dis, on peut nous faire culpabiliser pour un 38 tout comme nous admirer pour cette même taille. J'ai un côté de ma famille qui me trouve grosse parce qu'il y a des gens très minces, de l'autre je suis mince parce qu'il y a une tendance au surpoids.
Les gens dans la rue et dans les écoles ? C'est là que ça va mal, petit il faut apprendre à vivre avec les moqueries mais on s'en reçoit pour tout : lunettes, dents, taille, poids, nom de famille, prénom. Les maigres, les gros, celui qui a un nez en forme de patate, les cheveux roux ou un grain de beauté. Les enfants se moquent et répondent aux moqueries par la moquerie. Mais c'est dur à vivre.
Adulte, la douleur est très personnelle, ça changera d'une personne à l'autre. Le regard des autres importe mais ce n'est pas la moquerie qui sera la première blessure.
Remarquez qu'un enfant enlèvera ses lunettes pour les autres. Adulte, on ne verra plus ça comme "les autres" mais comme "moi" même si ça vient d'un passé ou de préjugés d'enfance (psychologie de comptoir je sais mais c'est comme ça que je le vis).
Quelqu'un qui a toujours été mince peut le vivre très mal pour plusieurs raisons : ce qu'on lui a appris, ce qu'il a vu étant gamin, ses propres paroles envers les gros dans le passé comme dans le présent, etc...

Au fond, je ne dirais pas que la douleur est plus grande pour quelqu'un qui était mince avant, je dirais qu'elle est plus grande pour l'adulte en général puisqu'il finit par ne plus voir la moquerie comme de la moquerie.
On se moquait de mes lunettes quand j'étais petite mais j'en reporte volontiers maintenant. J'ai une amie qui en est incapable parce qu'elle s'imagine laide avec, sa vision d'elle-même est déformée par les moqueries.

Je ne sais pas vous, mais moi, petite, je n'ai jamais vu mon image à travers les moqueries, en grandissant tout ça s'installe et on peut se voir comme un être affreux, avant c'est plus rare.
A
40 ans 3124
gurgle a écrit:
Citation:

rétrospectivement, ça me fait quand même doucement rigoler (jaune) de voir que certain(e)s se trouvent immonde avec juste 10 kg de trop...

ok ok je sais que tout le monde n'appréhende pas ses kilos de la même façon, et je m'en voudrais de minimiser leur peine, leur complexe face à ça.. mais bon je trouve ça un peu déplacé...tant pis si ça choque certains!


ça ne me choque pas, je comprend que ça puisse paraitre "déplacer" d'évoquer son mal être avec une prise de poids de 10kg, mais au final, la souffrance est là...parce que tu n'es pas habituée à ce corps, parce que les autres ne se gênent pas pour te balancer ça en pleine tronche, à croire que prendre du poids est une tare de l'humanité...il y a beaucoup de parce que, mais prendre du poids d'un coup que ce soit 10 ou 40 kg, même si ça na pas le même impact sur la validité de la personne, ça peut être perturbant...
35 ans Vie de... (-_-)' 1067
Il n'y a rien de pire qu'être "en trop" depuis toujours ou le devenir! La souffrance est différente mais similaire en même temps, le degré d'importance est le même parce qu'en gros, être gros c'est naze sur casi tout les points pour moi.

établire une échelle la dessus est aussi *absurde que dire que **l'extermination des juifs est plus grave que la diapora noir et son esclavage, l'extermination des indiens d'amérique, les arménien...

Quand tu es gros, aux yeux de beaucoup tu ne mérite pas grand chose ou alors, tu es la bonne copine point barre. Personne ne veux de toi, en général en primaire (c'était pas mon cas) au lycée, à l'unif et au boulot.
Tu te sens vite seule démunie et abandonnée.

Quand j'étais en primaire, j'étais bien, jamais insulté, aimée de tous, plein d'amis...La chute à étté d'autant plus dure lorsque je suis entrée dans le secondaire...Personne!
Et puis je me suis toujours demandé comment on se sentait (niveau mouvement, aisance, support du corps) au poids normal, qu'est-ce que ça faisait de pouvoir porter ce que l'on veux!

*Ce terme n'est pas destiné à l'auteur qui a bien précisé qu'elle ne voulait en aucun cas faire une classification. Je le destine à ceux qui le pense réellement (il y en à malheureusement)
**attention, j'ai pris cette exemple juste pour montrer la gravité de certaine comparaison même si ici dans ce post elle n'est pas du tout au même niveau.
HSON: En plus beaucoup de gens pense comme ça!!! Comme si les juifs étaient plus important que les autres!!!! HSOFF
E
49 ans france 40
Bin moi etant petite je n'etais pas grosse,ni rondelette et ca na pas empeche les insultes,moqueries et humiliations,tous ca car j'etais tres timide et j'avais du mal en math!Meme le professeur s'y mettait et croyez moi mais je lui en veut encore aujourdhui.

Moi j'ai put mange comme 2 jusqua environ 20 ans et la ca a commence,mais pas a cause de la nourriture mais a cause de mon salopard d'ex qui ma fait vivre un veritable souffrance,jai plonge dans la depression et a partir du moment ou jai pris des antidperesseur javais pris une taille.
Tous doucement de plus en plus,je comprenait pas j'ai reagi bien trop tard que ca venait des medocs car javais arrete,mon poids etait de 42/44,puis redepression,re antidepresseur et re taille en plus 46/48 et la un autre medecin ma dit que effectivement ca fait grossir selon les personnes,mais c'etait deja trop tard .

Aujourdui je peut plus me supporter quand je vois els photos de mon enfance j'ai envie de hurler et je me dit pourquoi je suis tombe sur ce salopard,j'en serai aps la.
Alors pour moi c'est etre devenu ronde.
Mon copain me dit toujours qu'il me prefere comme ca mais je sais tres bien que c'est pour me rassurer.
Quand a mes parents c'est limite ils on honte de moi et quand je mange chez eux je suis surveiller et on parle de regime alors que chez moi le probleme nai aps la nourriture mais les medicaments que javais pris.Mon pere est un macho,la femme doit rester mince et faire regime pour son homme,pff n'importe quoi :roll: .
Ma mere n'hesite pas une seconde a me foutre a la figure qu'elle es plus mince que moi,que ce vetement lui va et pas a moi et patati et patata et ceci devant mon copain et devant mon pere.Ou a me foutre sous le nez que la fille de celui ci a fait regime et a perdu tant et tant.


Mon poids es stable depuis pourtant je mange pareil,normalement et j'ai change d'antidepresseur,car je suis retombe dans la depression depuis peu a cause de ma famille.

Ca suffit pas de se sentir mal dans sa peau non il faut que els parents en remettent une couche.

J'envie les filles qui se sentent bien dans leur peau car moi j'ai du mal.
43 ans 685
(Ah tiens on vient d'atteindre le point Godwin :/)

J'ai commencé à grossir à l'âge de 7 ans aussi.
Les moqueries de cours de récréation, je connais que trop bien.
L'isolement.
La dépression infantile.
Les pleurs tous les jours dans la cour, dans mon coin.
Mon mutisme à la maison.
Les reproches obsessionnels de ma maman parce que je grossissais, parce que je mangeais.
La culpabilité qui s'installe et qui n'est plus jamais partie. Une coloc' cérébrale qui ne me laissera plus jamais en paix.
Les humiliations des garçons à l'adolescence : on faisait des paris pour savoir qui allait embrasser la grosse.
Avoir l'impression d'être le faire-valoir des copines "Avec toi, je me sens pas en concurrence avec les garçons"
Avoir tenue la chandelle. Avoir les copines qui demandent à leur flirt d'amener un copain pour moi.
Se murer.
Entendre sa famille dire qu'on est socialement inadaptée à cause de son poids.
Se faire insidieusement recalée aux entretiens d'entrée de concours.
...

Le pire c'est toujours et inlassablement le regard des autres. Je me serai acceptée facilement si mon entourage l'avait fait. Je me serai pas fait autant de mal si autour de moi, on me surveillait pas et qu'à la moindre bouchée, mes parents ne me faisaient pas les gros yeux ou d'entendre "mais qu'est ce que tu manges"... Je ne serai surement pas devenue anorexique puis boulimique si finalement, on m'avait pas "tapé sur la tete" en me disant que c'est pour ton bien ma chérie...
56 ans Région nîmoise 1567
Spounette a écrit:
(Ah tiens on vient d'atteindre le point Godwin :/)

J'ai commencé à grossir à l'âge de 7 ans aussi.
Les moqueries de cours de récréation, je connais que trop bien.
L'isolement.
La dépression infantile.
Les pleurs tous les jours dans la cour, dans mon coin.
Mon mutisme à la maison.
Les reproches obsessionnels de ma maman parce que je grossissais, parce que je mangeais.
La culpabilité qui s'installe et qui n'est plus jamais partie. Une coloc' cérébrale qui ne me laissera plus jamais en paix.
Les humiliations des garçons à l'adolescence : on faisait des paris pour savoir qui allait embrasser la grosse.
Avoir l'impression d'être le faire-valoir des copines "Avec toi, je me sens pas en concurrence avec les garçons"
Avoir tenue la chandelle. Avoir les copines qui demandent à leur flirt d'amener un copain pour moi.
Se murer.
Entendre sa famille dire qu'on est socialement inadaptée à cause de son poids.
Se faire insidieusement recalée aux entretiens d'entrée de concours.
...

Le pire c'est toujours et inlassablement le regard des autres. Je me serai acceptée facilement si mon entourage l'avait fait. Je me serai pas fait autant de mal si autour de moi, on me surveillait pas et qu'à la moindre bouchée, mes parents ne me faisaient pas les gros yeux ou d'entendre "mais qu'est ce que tu manges"... Je ne serai surement pas devenue anorexique puis boulimique si finalement, on m'avait pas "tapé sur la tete" en me disant que c'est pour ton bien ma chérie...


Hélas, entièrement d'accord avec toi même si j'ai eu la chance de ne pas avoir le même entourage "familial" que toi. Pour moi le poids c'est un peu comme l'accent "du midi" : tu ne l'as que par rapport à d'autres.
Toutefois, en te lisant, je ne pouvais m'êmpêcher de penser à quel point une majorité de personnes a besoin de blesser les autres pour pouvoir exister...et ça, c'est un autre problème sacrément préoccupant :cry:
35 ans seine et marne 637
1) cas, je suis ronde depuis toujours :
si on n'est mal entouré ,on entre dans la vie
avec un sentiment d'arnormalité et une mauvaise estime de sois


2) cas, je suis mince et je deviens ronde :
je pense que c'est vécus comme une humiliation
parce que sa fait décendre d'un pieds d'éstale
le regard des ses amies et de sa famille.

si je me trompe.. dites moi le moi c'est juste une théorie lol
A
40 ans 3124
C'est triste, mais on a tendance à être cruellement influencer par ces autres...notamment quand ça vient de personnes proches.

Je me souviens de ma première prise de poids à l'adolescence...au collège tout le monde me disait avec une moue de dégout "purée, qu'est-ce que t'as grossi", imaginez comme ça fait gamberger à cet âge où l'on se cherche...

Je pense concrètement qu'on serait sûrement plus apte à s'accepter si l'entourage et la société n'était pas aussi discriminante et méchante...
104 ans Sur une comète 1981
Je ne peux pas répondre à ta question. Je n'ai pas toujours été ronde (photos à l'appui), mais on m'a toujours dit que je l'étais, et moi je l'ai cru. J'ai donc enchaîné les régimes, commencé par grossir lentement avec frustrations alimentaires, et le jour où j'allais vraiment mal, boum 30kg en un an. Régimes, yoyo... Et me voilà vraiment ronde.

Dois-je considérer la réalité ? (je n'ai pas été toujours grosse, je le suis devenue). Ou mon ressenti ? (on m'a toujours dit que je l'étis et je l'ai cru)
38 ans 92 201
Je suis une ancienne maigre, devenue très mince, devenue "un peu ronde".
Jusqu'a 21 ans je faisais un 36-38, je fais maintenant un bon 40 en haut et un 44 en bas. En gros j'ai pris entre 20 et 25 kilos en 3 ans.

Je ne me suis pas vue grossir alors j'avais pas de complexe particulier. Mais ce sont les autres qui me l'ont fait remarquer et ont dit quantité de remarques qui m'ont fait très vite me sentir mal dans ma peau.

Il m'a fallu une bonne année pour finalement les envoyer tous chier et m'accepter.
Le plus dur ça a été de tolérer la cellulite et les vergetures et d'arrêter d'être dégoutée par mes bourrelets de ventre, mon double menton et mes joues de hamster.
Maintenant j'en ai plus rien à foutre.

En plus je suis passée d'un 85 a à un bon 90 C et ça ça me plait :roll:

Il ya un truc qui fait bizarre aussi au début, c'est quand t'es mince tu te fais draguer tout le temps et une fois que tu prends du poids plus personne te remarque. C'est assez surprenant. Mais en fait c'est mieux ;)

Le truc vraiment chiant : trouver des vêtements adaptés à sa morphologie. Pourquoi les pantalons sont tous taille basse??? On fait comment quand on a des poignées d'amour??
Je n'avais jamais eu à me prendre la tête pour m'habiller auparavant et c'était vraiment génial, ça devient tellement compliqué de trouver des trucs adaptés à ma morpho que je m'habille tjs pareil :/

Et je fais pourtant encore une taille standard alors j'imagine quand on fait une taille supérieure.. :evil:

Je suis contente également de ne pas avoir été ronde petite et ado. J'avais déjà des remarques blessantes parce-que j'étais toute maigre alors j'imagine si ça avait été l'inverse...


Ce que je me rends compte en ayant grossi : On est jamais comme les gens veulent qu'on soit, ils projettent leurs complexes, leurs peurs ou leurs jalousie sur toi, quelle que tu sois.

J'étais maigre : t'as pas assez de formes, tas pas de seins , tu vas perdre un os
Je suis "pulpeuse" : t'as encore grossi, regarde moi ton ventre, ahhh t'as de la cellulite, fais du sport, arrete de grossir ça va faire con si tu deviens bcp plus imposante que ton mec...

BLA BLA BLA BLA ....
50 ans je suis a paris 719
BONSOIR JE ME PERMETS DE M4INCRUSTER MOI JE NE ME SOUVIENS PAS AVOIR été mlince jai tjrs été grosse voir meme tres et trop grosse la je pèse 119kg et je me sens bien par rapport aux vetements grace a vous mesdemoiselles et a la bav mais mon corps est fatigué jai perdu pas mal de poids il y a quelues années je pesais alors 75 kg
jétais bien dans ma tete et moncorps meme si jetais encore en surpoids
cest la honte dans notre société detregros si tes gros cest que tu manges trop
jai subi des humiliations au collège au lycée compas dans le dos colle sur la veste moquerie a la cantine jai fait une ts a cause e cela depuis je suis quelquun de méfiant de timide qui naime pas les gens car les gens ne mont jamais aimé
la société ma fait devenir quelquun de dur mais jessaie de maméliorer de prendre sur moi mais lorsque je croise une personne qui sest foutu de moi lorsque jetais plus jeune je la fusille du regard et pas de pardon possible au nom de la maturité de lage adulte
S
34 ans 3465
Comme la majorité, je ne pense que l'un soit plus difficile que l'autre.

Le niveau de souffrance et différent c'est tout. Je pense que quand on l'a toujours été, ça doit surtout être l'épuisement, la lassitude, d'entendre toujours la même chose, de subir toujours les mêmes regards etc...

Quand on le devient, je pense que c'est d'avantage l'estime qu'on a de soit. Effectivement on descent d'un pied d'estal, on tombe de haut! Quand on passe de " Dieu que t'es belle" au " Dieu que t'es grosse!"
B I U


Discussions liées