by pass et cancer de l'estomac

Cela arrive souvent qu'on a du mal à gérer au début la boisson mais il suffit de garder patience car finalement ça part avec le temps. On réapprend c'est normal.

Ce qui est marrant c'est ceux qui ont du mal à gérer mon appétit. Ils n'arrivent pas à s'imaginer manger peu et donc ils imaginent que je suis en souffrance et ils ont de la peine. T'es obligé de les rassurer. :lol:

Je ne pense pas que tu te poses trop de questions, je trouve ça au contraire sain.
C'est ta manière à toi de t'aider à prendre ta décision.

Pour la suite je te souhaites plein de courage.

Pour ZENIBA :
Oui je suppose que cela doit surprendre de voir quelqu'un s'alimenter si peu.
Mais n'as tu jamais un sentiment de frustration par rapport à la quantité que tu manges, à savoir que tu aimerais peut être en avoir un peu plus en bouche à savourer.
Certe l'estomac te rappelerais à l'ordre en cas d'excès mais je parle de l'envie de plus.....

Pour NATURE :
Oui je pense que le jour où je franchirais le pas je serais un maximum informé de ce qu'il m'attend. Sauf évidemment l'imprévu... mais ça on ne peut jamais savoir.
Merci pour tes encouragements.

Je vous dis à bientôt à toutes les deux.
Diam

Bien sûr ça m'arrive encore, on doit sûrement garder ce réflexe de temps en temps comme le fait que même les gens avec comportement normal mange parfois leurs émotions et au début il y a aussi le fait d'habituer ton cerveau à la nouvelle quantité.

Dans mon cas ces envies de plus sont liés à mes tcas et expriment autre chose que juste une envie de se nourrir. C'est là en général que j'essaye de comprendre qu'est ce que je veux manger quand ça m'arrive.

Je rabâche souvent mais c'est tellement vrai l'opération ne résout pas tout. Si tu as un trouble du comportement alimentaire, il reviendra après l'opération.

J'ai effectivement pu comprendre en te lisant sur plusieurs sujets que pour toi le coté psychologique est très important quant aux comportements que l'on a par rapport à l'alimentation.
Je pense effectivement que certains gestes sont liés à ce que l'on a dans la tête et non pas ce que l'on ressent comme faim dans l'estomac.
Je pense que c'est effectivement un travail sur soit qu'il faut aborder et l'aide d'un psy peut être très utile.
Moi il m'arrive de penser dans ma voiture à ce que je vais bien pouvoir manger quand je vais arriver chez moi après le travail. Je débauche tôt et j'arrive chez moi à 16h30 à savoir heure du gouter..... je te laisse imaginer.
C'est presque comme un rite, donc très mauvais. Je sais qu'il faut que je contrôle ça.

Je connais bien même si maintenant je suis loin des situations extrêmes que j'ai vécu à une époque où je cherchais la souffrance.

Je trouve que le contrôle le rend encore plus indispensable et encore plus angoissant de l'arrêter. Tant que j'étais dans la restriction et dans la maîtrise de soi, je restais dans un cercle vicieux entre contrôle et crise.
En plus on nous inculque cela comme quelque chose de mal, de mauvais et je trouve que ça n'aide pas pour s'en sortir.

Pour moi, je le faisais pour exprimer mes émotions que je ne savais exprimer autrement parce que chez moi on avait pas le droit de se plaindre et que j'avais aussi un statut de soutien qui ne devait pas flancher.
Aujourd'hui c'est encore un peu ma galère, je n'ai pas vraiment encore trouver comment exprimer cela. J'envie parfois les gens qui ont leurs hobbies.

Je ne sais pas si tu connais www.gros.org et la rééducation ça permet de travailler sur son rapport avec l'alimentation.

Je suis déjà allé sur "gros.org" mais sans approfondir sur le site, donc je ne sais pas exactement de quoi il s'agit.

Je ne sais pas pourquoi j'ai eu ce comportement là par rapport à la nourriture qui m'a fait prendre tout ce poids.
Est ce les suites et les conséquences de la dépression ?
Je ne me l'explique pas trop. J'ai laché prise et les kilos se sont installé petit à petit.

Longtemps je ne me suis pas aimé, je donnais l'impression d'être sure de moi alors que je ne l'étais pas et pour jouer ce role je prennais sur moi. Le regard et l'avis que les autres portaient sur moi étaient très important, trop important.
Enfin bref.... j'arrête là car je n'ai pas trop envie d'en dire plus et de m'ouvrir plus devant tout le monde.
C'est certain que j'ai été en souffrance et que ça explique peut être où j'en suis maintenant.

A bientôt.

Je comprends pas tout à fait, tu n'étais même pas obligé de m'en dire plus, de toute façon c'est un travail que tu feras toute seule et avec ton psy :D

Oui je crois bien que ça ne fera pas de mal....
A bientôt.
J'ai pris plaisir de discuter avec toi en tout cas.

Moi de même bonne continuation :D

diam64 a écrit: