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Ce qu'Ambre demande c'est si nous jugeons que l'utopie présentée par les contes de fée est saine ou non pour notre progéniture en sachant qu'un jour elle découvrira que le prince charmant n'existe pas mais s'appelle raymond, charcutier dans le bas Rhin, et militant pour Philippe de Villiers.
Et alors, typique ça, on hurle au scandale parce que ces livres de comptes euh de contes frustrent vos petites princesses à deux boules (d'ailleur j'aimerais tout de même te préciser que ton poste est insultant envers les bouchers qui, de part leur matière première (enfin celle de leur job, hein), sont à mes yeux l'avatar même du prince charmant. J'ajouterais même que le simple son du mot "boucher" me donne envie de virer ma cutille juste pour en épouser un tellement je me taperais bien un piti steack saignant!) mais on parle jamais de la frustration du pauvre apprenti prince charmant à qui on a bourrés le mou avec des histoires de dragon et qui finit par se rendre compte qu'en fait de dragon il devrait gerroyer contre un tas de vaisselle, une brosse à chiotte et le caca du chat. Et imaginez en plus, cerise sur le haubert, on lui apprend que non content de ne pas pouvoire occire la vile sorcière de belle-mère il doit en plus sourire et faire comme si elle était humaine tout en mangeant ses pommes empoisonnées à toutes les fêtes de fin d'année.
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Ta question est très pertinente....
...voila
(vous noterez le gain de place!)
Ma femme et moi avons étés élevés avec les mêmes anderson, grimms, playboy, perrault que tout le monde. Je jouais à des jeux de garçons (sisi) et elle à des jeux de filles. Resultat: Ben rien, on se partage les tâches ménagères....
Tout ça pour dire que ce mouvement extremo-feministe de négation autodafique des contes ça me fout les glandes. On se bat pour détruire les contes et trois postes plus bas on pleurniche parce que la technologie détruit le rêve et les gammins actuelles blablabla...
En résumé, je n'aurais qu'une chose à dire aux anti-contes (ou anti-rêve): :bad-words: