49 ans
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Juste une petite anecdote avec mon ex( un peu en rapport avec la maitrise d'un individu ivre), je vais peut-être me faire lyncher sur la manière de faire que j'ai eu mais tant pis:
Un soir, il est venu me voir dans un état lamentable( complètement jeté), il faut savoir qu'une soixantaine de kilomètres nous séparait et qu'il venait de les faire en voiture je ne sais comment.
Arrivé chez moi, il voulait rester 5 minutes, juste le temps de boire un verre( un de plus de ceux qu'il avait ingurgité sans aucun doute avant) puis repartir( je ne sais pour quelle raison, d'ailleurs je crois que lui-même ne savait pas non plus).
Je ne pouvais pas le retenir( 1m 86), ni le séquestrer( il aurait été capable de passer par la fenêtre), j'étais seule avec lui sans famille ni amis aux alentours.
Je le voyais mal repartir dans cet état( se tuer, tuer un innocent...), ma "stratétagie" a donc été de le faire boire, sachant qu'il ne savait pas dire non, jusqu'à ce qu'il soit ivre mort et s'endorme.
Au fil des verres, son idée de repartir disparaissait, ses paroles étaient incompréhensibles, puis il est tombé comme une mouche.
Il a peut-être été malade comme un chien, je n'étais pas fière de l'avoir fait boire( c'est la seule façon que j'avais trouvé à ce moment pour qu'il ne reprenne pas le volant) mais j'étais fière qu'il n'y aie pas eu de victime ce jour là et j'avais ma conscience pour moi.
Un soir, il est venu me voir dans un état lamentable( complètement jeté), il faut savoir qu'une soixantaine de kilomètres nous séparait et qu'il venait de les faire en voiture je ne sais comment.
Arrivé chez moi, il voulait rester 5 minutes, juste le temps de boire un verre( un de plus de ceux qu'il avait ingurgité sans aucun doute avant) puis repartir( je ne sais pour quelle raison, d'ailleurs je crois que lui-même ne savait pas non plus).
Je ne pouvais pas le retenir( 1m 86), ni le séquestrer( il aurait été capable de passer par la fenêtre), j'étais seule avec lui sans famille ni amis aux alentours.
Je le voyais mal repartir dans cet état( se tuer, tuer un innocent...), ma "stratétagie" a donc été de le faire boire, sachant qu'il ne savait pas dire non, jusqu'à ce qu'il soit ivre mort et s'endorme.
Au fil des verres, son idée de repartir disparaissait, ses paroles étaient incompréhensibles, puis il est tombé comme une mouche.
Il a peut-être été malade comme un chien, je n'étais pas fière de l'avoir fait boire( c'est la seule façon que j'avais trouvé à ce moment pour qu'il ne reprenne pas le volant) mais j'étais fière qu'il n'y aie pas eu de victime ce jour là et j'avais ma conscience pour moi.