M
Ploufplouftagada,
As-tu lu les livres de Zermati et Apfeldorfer ?
Si tu ne peux pas t'accepter comme tu es, tu peux peut être commencer par les exercices qui permettent de ne plus avoir d'aliments tabous.
Par exemple, pour 4 jours, tu ne manges que des Kinder buenos, mais selon ta faim, c'est très important. Tu verras qu'au bout des 4 jours tu en auras moins envie.
Moi, mon problème c'était le Nutella et les gâteaux sucrés ou salés. Pour le Nutella, le doc m'a prescrit (même ordonné !) d'en manger touts les matins ! ça a durer longtemps, genre plus d'un mois mais petit à petit je me forçais même à en manger. Et puis maintenant, bah ça va. Quand j'en veux, j'en mange mais ça se fait de plus en plus rare. J'achetais des pots en avance pour être sûre d'en avoir toujours, donc pas de stress de ce côté là.
Pour les gâteaux apéros, je me suis obligé à en manger en peu tous les soirs. Certains soirs, je n'ai mangé que ça, car j'en ai mangé beaucoup et puis d'autres soirs, au bout de quelques uns, j'arrivais à m'arrêter sans problème sachant que le lendemain j'en aurais d'autre. Maintenant, les gâteaux apéros ne me posent plus aucun problème.
J'ai aussi accepté que le fait de manger un peu en rentrant du boulot, pour décompresser c'est normal ! Plein de gens le font et pas que des gros ! Et même se faire un repas de gâteau, certains vrais minces le font de temps en temps ! Donc y'a pas à culpabiliser !
Surtout que si on culpabilise en mangeant, on ne satisfait pas nos émotions donc on aura encore envie de manger. C'est un cercle vicieux.
J'étais vraiment comme toi avant, convaincue que la démarche est la bonne mais pas capable de l'appliquer. J'ai donc résolu mes problèmes un à un : le nutella, les gâteaux apéros, le goûter en rentrant du boulot, ... et récemment, j'ai enfin eu le déclic qui me permet de manger QUE quand j'ai faim et de m'arrêter à satiété.
ça a été long, dégourageant parfois car j'avais l'impression de ne pas avancer assez vite, que je n'aurais jamais le déclic, que jamais je n'arriverais à ne manger que quand j'ai faim ... et pourtant je pense vraiment être sur la bonne voie maintenant !
Désolée pour le pavé !
As-tu lu les livres de Zermati et Apfeldorfer ?
Si tu ne peux pas t'accepter comme tu es, tu peux peut être commencer par les exercices qui permettent de ne plus avoir d'aliments tabous.
Par exemple, pour 4 jours, tu ne manges que des Kinder buenos, mais selon ta faim, c'est très important. Tu verras qu'au bout des 4 jours tu en auras moins envie.
Moi, mon problème c'était le Nutella et les gâteaux sucrés ou salés. Pour le Nutella, le doc m'a prescrit (même ordonné !) d'en manger touts les matins ! ça a durer longtemps, genre plus d'un mois mais petit à petit je me forçais même à en manger. Et puis maintenant, bah ça va. Quand j'en veux, j'en mange mais ça se fait de plus en plus rare. J'achetais des pots en avance pour être sûre d'en avoir toujours, donc pas de stress de ce côté là.
Pour les gâteaux apéros, je me suis obligé à en manger en peu tous les soirs. Certains soirs, je n'ai mangé que ça, car j'en ai mangé beaucoup et puis d'autres soirs, au bout de quelques uns, j'arrivais à m'arrêter sans problème sachant que le lendemain j'en aurais d'autre. Maintenant, les gâteaux apéros ne me posent plus aucun problème.
J'ai aussi accepté que le fait de manger un peu en rentrant du boulot, pour décompresser c'est normal ! Plein de gens le font et pas que des gros ! Et même se faire un repas de gâteau, certains vrais minces le font de temps en temps ! Donc y'a pas à culpabiliser !
Surtout que si on culpabilise en mangeant, on ne satisfait pas nos émotions donc on aura encore envie de manger. C'est un cercle vicieux.
J'étais vraiment comme toi avant, convaincue que la démarche est la bonne mais pas capable de l'appliquer. J'ai donc résolu mes problèmes un à un : le nutella, les gâteaux apéros, le goûter en rentrant du boulot, ... et récemment, j'ai enfin eu le déclic qui me permet de manger QUE quand j'ai faim et de m'arrêter à satiété.
ça a été long, dégourageant parfois car j'avais l'impression de ne pas avancer assez vite, que je n'aurais jamais le déclic, que jamais je n'arriverais à ne manger que quand j'ai faim ... et pourtant je pense vraiment être sur la bonne voie maintenant !
Désolée pour le pavé !