C'est beau mais c'est tout!

mouais..n'empeche que je n'aime pas trop lire que je me complains dans mon malheur...je ne me plains jamais a mon entourage il n'y qu'ici que je le fais mais c vrai que je n'ai pas l'impression de savoir ce qu'est le bonheur mais bon.

rossia a écrit:

Se complaire n'est pas se plaindre. On peut taire son malheur aux autres la plupart du temps et pourtant refuser d'en sortir et y trouver une forme de confort, je crois. Et ce n'est pas une manière de te mettre en accusation.

si tu le dis...

Je crois aussi que tu as une très mauvaise image du dépressif, idée que je n'ai pas. Ce sont généralement des gens intelligents et sensibles, pris dans un cercle vicieux.

Et en effet se complaire n'est pas se plaindre. :)

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Je trouve aussi les livres d'Apfeldorfer bien supérieurs à celui de Zermati. L'approche bien plus centrée sur le côté psychologique peut-être.

alors la tu te trompe !!!je vais actuellement bien mais il ya une periode ou (selon mon medecin ) j'avais des tendances depressives,je ne sais pas si c lié ou si c de l'intelligence mais j'i toujours effectivement ete assez receptive aux autres, a leurs personnalite, a l' environnement m'netourant. Mon medecin disait que que j'avais tendance à analser et observer les autres afin de mieux les anticiper et de pouvoir mieux m'integer malgre mon mal-etre (bon je sais pas si c tres clair ;) )

tout ça pour dire que je n'ai aucun a priori sur les depressifs..

Pour en revenir au sujet de depart il ne suffit pas de s'accepter,, de se trouver bien etc..pour attirer les hommes ou la sympathie des autres et se sentir mieux

lilith et poupoule : j'apprècie vos interventions les filles et je me reconnais beaucoup dans ce que vous dites : je suis en dépression je le sais, je me renferme, ne sors quasiment plus..j'arrive pas a voir le bout et je suis sure qu'a force je me complais...j'ai essayé de m'en sortir en voyant une psy mais ca fais un bon mois que je ne lui ai pas donner signe de vie...je compte la rappeler mais j'ai peur...et je vois mon état empiré...désoler ninami d'empiéter sur ton post mais leurs interventions me parlent tellement...

Non Acide, tu n'empiète pas du tout :kiss: Si t'as quelque chose à dire, dis le :) C'est important, moi aussi souvent ce que ces dames raconte me touche (que je sois d'accord ou pas d'ailleurs :D )

D'ailleurs j'aurais une question: Un dépressif n'a t'-il pas envie et ne sort pas du tout, ou alors, peut-il ne faire semblant ou alors tout simplement aimer sortir malgré son état?
Un dépréssif peut-il connaître des moments grisant, des moment qui redonne espoir, le rende fier?

Je demande ça car de un je ne connais de la depression que ce que je vois à la télé et les "on dit", donc je ne peux m'y fier à 100%.

Et puis je me demande avant qu'on me catalogue dans les dépressif ou les tendances (je sais bien Lilith et poupoule que vous ne vous prenez pas pour des Dr, que vous ne proposez que des pistes) Si ce n'était pas tout simplement mon manque cruel de confiance qui me ferait ressembles à une dépressif?

je ne sais pas si je me fais bien comprendre :? mais bon, je me lance :)

Biz!!

Merci Ninami c'est sympa :) et tes questions sont interressantes...pour te répondre de môn point de vu etre en dépression c'est vaste...il y a des symptomes qui reviennent dans plusieurs cas tels que le repli sur soi, l'envie de rien, manque d'apetit, pleurer en abondance ect mais chaque cas est different donc je pense qu'il est possible d'etre en depression et d'apprecier les sorties, avoir une vie sociale etc. Je suis d'ailleur comme toi Ninami en société je montre rien, on me voit meme comme une bonne vivante, je rigole bcq ...mais une fois seule c'est tout le contraire.

J'avais un sentiment de vide enorme, egalement un deisnteret pour tout, une impossibilite totale à me concentrer (meme regarder un film etait trop difficile) et surtout j'etais extremement fatiguée, envie de voir personne aussi et de rester sous la couette...

Je pense que chaque personne le vi differemment, il faut etre entouré et voir un psy avec lequel on se sente en confiance.

je t'envoie tout mon soutien :kiss: , j'aimerai faire plus..

quand j'étais au plus loin du plus bas, chaque journée me semblait comme une horrible montagne à gravir, comme une chose que je n'aurais pas la force de franchir.

je me couchais le soir en pensant à toutes les choses à faire le lendemain en me disant que je n'y arriverai pas, et je me levais le matin avec un sentiment d'écoeurement à l'idée de tout ce que j'allais devoir faire de ma journée.

et de l'extérieur rien ne s'est vu :shock:

j'avais pourtant "tout ce qu'il fallait pour être heureuse", c'est juste que je ne savais pas où j'étais dans ma vie ;)

mais bon, comme le dit Rossia, je pense que chaque dépressif le vit à sa façon ;)

Bon je n'ai lu que la première et dernière page j'avoue alors je repondrais à la première, sujet initial.

Je comprends les premiers témoignages.
Moi perso pour me situer j'oscille entre l'état d'esprit que vous décrivez alors et un bien être fou où je me trouve canon.
Ces changements sont souvent brutaux et lorsque je me trouvais belle et que soudain je "réalise comme je suis moche" la chute fait mal et il me faut un certain temps avant de me relever. Donc bon, fringue, maquillage soins and co suivent mes oscillations. Mais bon je préfère amplement me trouver belle et m'éclater de temps en temps que jamais.

Question à celles qui ont posté les premiers témoignages: juste pour le fun et pas mourir bêtes (lol) vous avez déjà un peu trainé sur des forums FA? Je vous conseille Apple Aisuru ça peut mettre du beurre dans les épinards... En tout cas ça coute rien de jeter un œil...


Pi juste se trouver jolie n'est pas non plus un crime, ok l'excès d'amour propre est polluant, mais a haute dose...
C'est comme la clope que je m'autorise chaque jour en me disant que c'est un moindre mal au milieu de l'air pourri que je respire...

Ellispoire a écrit:


Tout ce qui est en gras c'est exactement ce que je ressens...ce que je "dois" faire la journée c'est comme...une montagne à gravir avec tres peu de ressources et ça me décourage avant d'avoir commencer, ça me "saoule" rien que d'y songer...et quand j'ai rien à faire je stress, j'anticipe l'ennui, ça m'ecoeure aussi...et c'est un cercle vicueux car quand je ne fais rien de ma journée...je me sens davantage vide et inutile, j'ai un gros mal être et une profonde tristesse...

c'est vraiment de pire en pire :?

Et même en ayant un amoureux, cela te fait ça Acide Lyrique ?...
(Je n'ai pas épluché tout ton profil pour mieux comprendre, j'ai simplement remarqué que tu n'es pas seule malgré ma première impression à la lecture de cette réponse.)

PierreLyon a écrit:

J'ai un peu honte de le dire mais...oui.
J'étais déjà en dépression avant de le rencontrer et c'est justement parce que je suis bien avec lui que j'ai encore plus peur de l'abandon...argh!