Pff, ça m'apprendra de lire les autres au lieu de d'abord m'occuper de mon topic :lol: ça fais 2h30 que je tente de répondre ^^, bref:
Déjà, je suis surprise de voir que certaine trouve que j'avance, j'ai l'impression de patauger moi :oops:. Je suis aussi très touché par ton message (mon verneuil à côté me semble merdique). Je suis contente que tu en soit arrivé à quelque chose avec ton corps :kiss:
Par contre Poupoule, je ne comprends pas la distinction entre s'aimer et se plaire. Je trouve que ton s'aimer ressemble plus à du je tolère si on enlève le côté bienveillant (je tolère parce que je n'ai que ça). Pour moi l'un entrîne nécessairement l'autre, donc je ne me plais pas, je ne m'aime pas CQFD pour moi :?
Sinon, je n'éprouve pas de bienveillance pour ce corps (et je suis en plus de mauvaise volonté de ce point de vu là :? j'ai pas envie d'en avoir).
Pour moi être en paix avec son corps, c'est s'aimer, se plaire (pas se trouver umtra mignonne ou beau) mais savoir que si on met ses atouts en avant, il y a des chances. Savoir qu'on est pas reppoussant et qu'avec de la volonté, on peut arriver à quelque chose.
Pour Lerenard: oui, je sais que s'accepter est une démarche qui demande de la volonté, pas de soucis. Moi ce que je me demande, c'est si nous sommes toutes égales devant nos rondeur et au conséquences qu'elles ont sur nos vie et qui fait qu'on les rejette? Et donc de la possibilité à les accepter? Je ne parle pas de dégré de souffrance (une grosse qui souffre, c'est une grosse qui souffre)Mais est-ce que les circonstance ne font pas qu'une arrivera un jour (à court ou long terme) et d'autres jamais?
Pourquoi toujours penser qu'une prise de poids est nécessairement un truc ultra profond et que une fois réglé, tout ira bien niveau physique, je m'aimerai avec mes 50kg en trop.
J'avous avoir du mal à m'accepter parce que le poids contrairement aux autres caractère physiques, je "peux" le changer, beaucoup d'autres le changent pour être là où ils veulent, volontairement ou non(entre guillemets parce que c'est plus complexe que ça, du fait que je ne parle pas de contrôle absolu à coup de régime, je ne sais pas si on me suit :?). Ce n'est pas comme avoir un trop gros nez, telle couleur de peau, des seins trop si ou ça. C'est quelque chose qui peut naturellement changer et c'est ça qui fait que je ne veux pas l'accepter, pourtant je suis grosse depuis toujours!!
J'ai des cicatrices (énormes), je m'en suis déjà plaint ici, pourtant, je sais qu'elle ne sont pas là pour rien, c'est un moindre mal, donc je les accepte, mon seul réel soucis est plutôt le regard de l'autre (enfin plutôt à mon futur :oops: si j'en ai un, un jour).
La différence entre ces cicatrices et le fait d'être grosse est:
- si tu es grosse, les regards seront malsains sur toi, on ne tentera pas de te comprendre, c'est de ta faute, on se détourne de toi.
- Si t'as des cicatrices à moins d'être con, aussi rebutant qu'elles soient, les gens savent sans que tu leur explique que tu n'avais pas le choix, et tente de t'accepter (pour ne pas dire qu'ils s'en foutent royalement).
Après ceux qui se moque des caractères physiques (tels que le gros nez) cassent toujours plus sévèrement le gros que l'autre au petit défaut.
Enfin bref, ce que je veux dire, c'est que le poids est réversible dans tout les sens et ce sans chiurgie, c'est pour ça que je n'ai pas d'autres complexes (je vous jure que je relativise mes autres "défaut") et que je préfère garder mon nez, ma bouche,mes seins (et Dieu sait que je voudrais les remonter)... Et ce grosse ou pas.
Mon poid est mon seul obstacle physique à l'acceptation.
Voilà.
Ps: Pour Sarnia et Rossia, tant que les dires sont en rapport avec le topic, pour moi, ce n'est pas de l'empiètement, donc, il n'y a pas de problème
Biz à tous :kiss: :kiss: