49 ans
Paris
9874
Deux choses qui peuvent peut-être t'aider:
1. travaille d'abord sur la faim, c'est plus compliqué souvent de ressentir la satiété;
2. la faim ce n'est pas seulement le ventre qui gargouille... et la ra ne recommande pas d'attendre ce moment pour manger. Le gargoullis (ou la tête qui tourne) sont des signes de souffrance du corps, des signes que l'on a déjà trop attendu pour manger. Il faut essayer de manger quand la faim est présente mais encore modérée: tu penses aux aliments avec plaisir, tu en as envie, tu sens qu'il vont t'apporter ce dont tu as besoin à ce moment-là, tu salives à leur évocation, etc.
Cf. l'expression "avoir la pépie" ;)
L'un des exercices de la ra consiste à mesurer sa faim (et sa satiété) sur une échelle de 0 à 10. Au début, on mange quand la faim est proche de 10 (creux au ventre, vertige d'hypoglycémie) car on veut être sûr de bien faire l'exercice et que la faim soit vraiment là. Puis on apprend à commencer à manger quand la faim est autour de 5. Idem pour la satiété: il faut s'arrêter quand la satiété est moyenne (ni le simple évitement du tomber dans les pommes, ni le mal de ventre trop plein). Ca m'a beaucoup aidée de comprendre que faim et satiété n'étaient pas des boutons ON/OFF mais plutôt des variateurs... ;)
1. travaille d'abord sur la faim, c'est plus compliqué souvent de ressentir la satiété;
2. la faim ce n'est pas seulement le ventre qui gargouille... et la ra ne recommande pas d'attendre ce moment pour manger. Le gargoullis (ou la tête qui tourne) sont des signes de souffrance du corps, des signes que l'on a déjà trop attendu pour manger. Il faut essayer de manger quand la faim est présente mais encore modérée: tu penses aux aliments avec plaisir, tu en as envie, tu sens qu'il vont t'apporter ce dont tu as besoin à ce moment-là, tu salives à leur évocation, etc.
Cf. l'expression "avoir la pépie" ;)
L'un des exercices de la ra consiste à mesurer sa faim (et sa satiété) sur une échelle de 0 à 10. Au début, on mange quand la faim est proche de 10 (creux au ventre, vertige d'hypoglycémie) car on veut être sûr de bien faire l'exercice et que la faim soit vraiment là. Puis on apprend à commencer à manger quand la faim est autour de 5. Idem pour la satiété: il faut s'arrêter quand la satiété est moyenne (ni le simple évitement du tomber dans les pommes, ni le mal de ventre trop plein). Ca m'a beaucoup aidée de comprendre que faim et satiété n'étaient pas des boutons ON/OFF mais plutôt des variateurs... ;)