39 ans
Paris
1810
Pour moi tu n'as pas à culpabiliser. Ce n'est pas comme si tu t'étais abaissée à son niveau en cherchant à l'humilier publiquement. Tu t'es juste réjouie de la voir ressentir de la gêne, c'est "l'arroseur arrosé", point barre. Une leçon de vie pour elle.
Sincèrement le "quand on est jeune on est con", avec moi ça ne passe pas. La méchanceté n'a rien à voir avec l'âge. Je n'aurais même pas pu imaginer faire la moitié des saloperies qui m'ont été infligées durant mon adolescence. Fait pas bon être une tête de classe un peu marginale et pas intéressée par la mode quand on est au collège-lycée :roll: ...
Il m'est arrivé de jubiler également. Quant, à l'occasion de soirées, je revoyais une de ces petites garces qui m'avaient pourri l'existence par leur harcèlement, et que cette fois-ci, j'avais l'ascendant. Parce qu'elles s'étaient empâtées, qu'elles avaient un job de merde, vivaient avec un pauvre gars ou autre... Oui j'ai été contente, sous couvert de sourires et fausses gentillesses, de leur exhiber ma réussite, une réussite qu'elles n'avaient pas (plus) dans le seul but de les rabaisser ou de les mettre en rage. Et désolée mais je n'en ai aucun remords, bien au contraire. Pour moi, il n'y a pas de date de péremption, pas d'excuses à posteriori, rien qui me fera pardonner l'enfer qu'elles m'ont fait vivre.
La vengeance est un plat qui se mange froid, qu'on se le dise... Et encore, je trouve qu'une soirée à se sentir une nullité, c'est franchement peu cher payé...
Sincèrement le "quand on est jeune on est con", avec moi ça ne passe pas. La méchanceté n'a rien à voir avec l'âge. Je n'aurais même pas pu imaginer faire la moitié des saloperies qui m'ont été infligées durant mon adolescence. Fait pas bon être une tête de classe un peu marginale et pas intéressée par la mode quand on est au collège-lycée :roll: ...
Il m'est arrivé de jubiler également. Quant, à l'occasion de soirées, je revoyais une de ces petites garces qui m'avaient pourri l'existence par leur harcèlement, et que cette fois-ci, j'avais l'ascendant. Parce qu'elles s'étaient empâtées, qu'elles avaient un job de merde, vivaient avec un pauvre gars ou autre... Oui j'ai été contente, sous couvert de sourires et fausses gentillesses, de leur exhiber ma réussite, une réussite qu'elles n'avaient pas (plus) dans le seul but de les rabaisser ou de les mettre en rage. Et désolée mais je n'en ai aucun remords, bien au contraire. Pour moi, il n'y a pas de date de péremption, pas d'excuses à posteriori, rien qui me fera pardonner l'enfer qu'elles m'ont fait vivre.
La vengeance est un plat qui se mange froid, qu'on se le dise... Et encore, je trouve qu'une soirée à se sentir une nullité, c'est franchement peu cher payé...