SoDark a écrit:Citation:Je trouve à titre personnel, tout aussi stupide d'affirmer qu'on n'est pas femme sans pénétration que de nier le réel plaisir qu'on peut éprouver à ça, c'est la même logique, juste inversée...
On est pas toutes faites pareilles, il y a des femmes qui n'aiment pas ça, sans idéologie, en ayant essayé. Le plaisir avec la pénétration vaginale n'est pas universel à toutes les femmes, et pas nécessaire à une sexualité épanoui pour toutes les femmes. Comme je l'ai dit, certaines ne peuvent s'en passer, d'autre apprécient à l'occasion et d'autre pas du tout. Ce qui est stupide à mon avis c'est de définir la féminité ou l'épanouissement d'une sexualité en fonction de la pénétration. C'est une pratique sexuelle parmi d'autre et à mon avis elle doit être traitée comme telle et pas comme la condition sine qua non d'une relation sexuelle (comme c'est souvent le cas pour les relations hétérosexuelles, pas de pénétration = pas de relation sexuelle pour beaucoup)
Ah mais je n'ai pas dit le contraire :) J'ai bien dit que
certaines pensaient comme ça.
Mais j'ai eu des discours assez aberrants, de filles qui me juraient que la pénétration ne pouvaient donner aucun plaisir, et que je simulais :roll: ... Quand on se renseigne, on découvre que de toutes manières il est fort probable que le plaisir ressenti lors d'une pénétration vaginale (ou anale aussi remarque) soit lié au clitoris, celui-ci entourant le vagin et pouvant être stimulé intérieurement aussi.
Je ne me focalise pas plus sur la pénétration que sur la non-pénétration. Pourquoi imposer une norme dans un sens ? Si untelle ne veut pas être pénétrée, bah si elle veut, si untelle veut être pénétrée à chaque fois, bah si elle veut aussi. Le seul critère qui devrait être retenu est celui du plaisir. La manière pour l'obtenir peut être variée, et en fait j'aimerais qu'on cesse de nous parler de pénétration, ou de telle pratique sexuelle qui serait indispensable pour jouir. <on fait comme on veut, il n'y a pas de guide, ni d'anti-guide.
LuxLisbon a écrit:Pour ce qui est du reste, qu'elle veuille faire un enfant seule ou en couple, ça la regarde. On sait tous que de nombreux enfants sont élevés avec un seul parent, pour des raisons diverses et variées, et ils n'en sont pas forcément plus traumatisés pour autant.
Là je suis d'accord. Mais j'avoue être quand même dérangée par l'idée qu'elle n'ait connue aucune relation amoureuse, quelle qu'elle soit (ou j'ai peut-être mal compris ?), ça me semble une base préalable.