V
Câline a écrit:
Mais si "j'y vais", comme tu dis, sans lutter, je mange sans m'arrêter et une fois anesthésiée, je ne peux plus réfléchir efficacement !
Me laisser aller, à mon avis, c'est un piège pour moi.
Les crises sont toujours là.
Parfois je crois que je vais être assez forte pour ne pas y céder et finalement non.
Je ne sais plus quoi faire.
J'ai les clés, mais... c'est tout. En fait je vois la lutte là où je dois me motiver férocement pour agir ! Exemple : faire la vaisselle, le ménage, les paperasses, tout tout tout me demande un effort terrible. Si je ne le fournis pas, c'est hyperphagie à gogo.
Ce matin je me désespère parce que j'ai fait une crise, alors qu'hier aussi. Ca devient usant.
...Où y aller sans lutter et en t'autorisant à te regarder pour une fois avec compassion et tendresse ?
Mais si "j'y vais", comme tu dis, sans lutter, je mange sans m'arrêter et une fois anesthésiée, je ne peux plus réfléchir efficacement !
Me laisser aller, à mon avis, c'est un piège pour moi.
Les crises sont toujours là.
Parfois je crois que je vais être assez forte pour ne pas y céder et finalement non.
Je ne sais plus quoi faire.
J'ai les clés, mais... c'est tout. En fait je vois la lutte là où je dois me motiver férocement pour agir ! Exemple : faire la vaisselle, le ménage, les paperasses, tout tout tout me demande un effort terrible. Si je ne le fournis pas, c'est hyperphagie à gogo.
Ce matin je me désespère parce que j'ai fait une crise, alors qu'hier aussi. Ca devient usant.