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Elle est ben belle, ta nouvelle blonde. Ben ben belle.

E
43 ans 144
AieCaramba a écrit:

Ça vous arrive, vous, de faire le bilan? De vous demander: bon, qu'est-ce que j'ai appris de cette épisode de merde?



Oh que oui!! Et  
même parfois trop, et même si ce n'était pas du tout un épisode de merde. La volonté de comprendre, absolument, ce que tu as fait, pas fait, ce que tu aurais pu faire, n'aurais pas pu faire, pourquoi ça c'est passé comme ça, est-ce que je suis sincère avec moi-même, est-ce que l'autre l'est avec lui, l'est-on entre nous...arrrrrrrrgghhhhh!!!

Je me pose beaucoup trop de questions, dès qu'il s'agit de relation qui bien entendu n'engage pas que moi, à plus forte raison si ladite relation est d'ordre sentimental.

Jusqu'au masochisme, aussi : c'est parce que j'ai ce travers là, ce bourrelet là, parce que j'ai dit ça et que j'aurais vraiment, vraiment mieux fait de la boucler. Donc il aurait fallu me contraindre...Me contraindre à être quelqu'un d'autre que moi. Et là, il faut bien, nécessairement, que le masochisme s'arrête, parce que ce qui n'est alors qu'un malaise devient un profond mal-être.

On en finit, avec les remises en question perpétuelles, à se dénigrer, puis se nier soi-même, en voulant absolument être quelqu'un d'autre, quelqu'un qu'on estime meilleur pour l'autre (et là, ce n'est pas que d'ordre sentimental, même si bien entendu ça prend une dimension beaucoup plus particulière sur ce point).

J'apprends, en tous les cas j'essaie, et c'est vraiment, vraiment très pénible, de ne pas tomber dans ce défaut de la remise en question constante. Si ça ne peut pas fonctionner et que oui, les efforts ont été faits, il faut arrêter de se torturer... :?

ça paraît complètement con, et il y aurait encore un paquet à dire, mais je suis déjà hors sujet ;)
32 ans 113
Je comprends très très bien ce que tu veux dire, Aptera... Et tant pis pour le hors-sujet, on discute, moi j'aime ça! (Et surtout je trouve pas ça con, mais pas du tout.)

T'as parlé des perpétuelles remises en question.

J'ai fait ça souvent aussi, dans le passé, et encore, j'suis pas guérie.

À vrai dire, c'en est même devenu un problème. Il m'a donc fallu assister à de nombreuses conférences de psychologues, parallèlement à ma propre thérapie, pour comprendre un certain nombre de choses à ce sujet.

Par exemple, que les remises en question continuelles surviennent, pas exclusivement mais plus particulièrement, chez ceux et celles qui ont une rupture émotivo-rationnelle.

Comme moi. Mais comme j'ai dit, ça se soigne.

Autrement dit, pour un certain nombre de raisons que je n'aborderai pas ici, il arrive qu'on ne soit plus apte à se fier à notre intuition ou au gutfeeling ou au dedans, ou appelle-ça comme tu veux. Dans ce temps-là, notre cerveau tente de compenser en jouant aussi le rôle du coeur (encore une fois, prend le mot que tu préfères, à la limite j'men balance!). Mais ça aide pas beaucoup, ça, et pour deux raisons majeures:

1) Le cerveau est binaire.

Exemple: une personne qui a une rupture émotivo-rationnelle se demande si elle devrait continuer sa relation avec tel garçon. (Vous aurez peut-être deviné que je sors un exemple personnel provenant justement de me relation avec l'ex dont je vous parle depuis tantôt...dans les dents, le supposé hors-sujet! 8) )

Son cerveau lui montrera des raisons pourquoi OUI, elle devrait, et tout de suite après, des raisons pourquoi NON, elle ne devrait pas, et ainsi de suite. Croyez-moi, ce jeu peut durer TRÈS longtemps.

*Attention. Je ne dis pas que le doute est mauvais. Moi, je dis vive la logique, vive l'intelligence, vive la raison... en autant qu'elles sont utilisées en partenariat sérieux avec nos insides. Sinon, ça foire un peu.Dans mon cas, beaucoup :lol: . *

2)Le cerveau est rempli d'inductions.

Une induction est quelque chose que nos parents/la pub/les stéréotypes/tant d'autres éléments/moi, peut-être :lol: ont pu nous implanter dans le cerveau. Une induction peut être bonne ou mauvaise. Hélas, généralement, ceux qui ont une rupture émotivo-rationnelle, c'est justement parce qu'il y a eu biiiiiien du négatif dans leur vie... Et alors bonjour les inductions négatives. (À ce sujet, il est bien de savoir qu'à chaque fois qu'on se traite comme du poisson pourri, il y a lieu de se demander quelle est l'induction derrière . C'est un exercice qui augmente vachement l'amour de soi!)

Exemple: Une personne se demande si son ex l'a quitté à cause des ses bourrelets. Ça peut être la vérité (et le cas échéant, reste à savoir qu'est-ce qu'on lui aurait alors implanté dans sa tête de con, à cet ex là!:lol:) mais ça peut être aussi le signe de plusieurs inductions négatives provenant du passé et qui font souffrir plus qu'autre chose.

Tout ça pour dire que oui, comme Mi-k-l a dit, j'ai fait un remake de "tout ce qui ne tue pas rend plus fort".

Seulement, c'est une certitude que j'ai acquise par une expérience intérieure. Pour vous, c'est que de la théorie, mais pour moi, c'est vraiment quelque chose d'empirique, au sens où j'ai "senti" ce "JE N'AI PLUS RIEN À PROUVER" jubilatoire et libérateur. C'est donc encourageant, pour moi, de voir que mon lien émotivo-rationnel est en train de se reconstruire.

En somme, ma leçon est ressortie de mon canevas intérieur, et non pas du continuel yoyo mental. Voilà donc pourquoi je crois que cet épisode a été constructif pour moi.
E
43 ans 144
Et bien mlle AieCaramba,

Bis repetita : quelle qualité de réflexion et d'expression, pour si jeune femme!

Ce que tu m'apprends du fonctionnement, allez, irais-je-je vais, soyons fous!- du conditionnement cérébral, j'ai connu, sans pouvoir mettre les raisonnements inductifs/binaires dessus.

Où ça me mène, cette belle réflexion, à cette heure : à une certitude réelle qui doit devenir un fait, et un fait pas trop éloigné : je dois consulter un psychothérapeute...

Alors non, ni humour, ni ironie ni cynisme dans l'assertion que je viens d'asséner, mais une réalité, un besoin qui repose sur des faits, justement, des discussions avec moi-même, avec les autres aussi, pour me rendre compte et accepter que oui, j'ai un problème, et que je ne peux pas le régler toute seule comme une grande.

Parfois il est des vérités dures à admettre, mais une fois qu'elles sont admises, il est plus simple de les franchir. Cette question de la psychothérapie se pose depuis quelques années chez moi, et j'ai pensé longtemps que non, je n'en avais pas besoin, au diable les Dr, etc, vade retro et tutti quanti, ben mon oeil...

Bon, ben je l'ai dit. Va falloir y aller maintenant. Et pas à reculons. :lol:
32 ans 113
:multi: =D>

J'ai fait des pas de géants depuis que j'ai accepté que j'avais besoin d'aide. Je te souhaite le meilleur pour la suite ;)

(Jte souhaite surtout un bon psychothérapeute, apparemment qu'ils courent pas les rues... Mais généralement, plus ils sont été honnêtes avec eux-mêmes, plus ils sont allés loins dans leur propre cheminement, plus on peut les considérer compétents. Aussi, pour savoir s'ils vont bien faire la job, y a le bon vieux feeling :P Parfois difficile de s'y fier surtout considérant les points au-dessus, mais pas impossible. De toute façon, 90% de la job susmentionnée, c'est toi qui doit la faire. Bonne chance!)
1834
C'est vraiment très agréable à lire. :P


Tu pourrais expliquer un peu plus précisément ce que tu nommes une rupture "émotivo-rationnelle" ? :-k
32 ans 113
D'accord. J'aurais peut-être dû faire un autre sujet là-dessus mais bon ça adonne comme ça, c'est pas grave.

Bon. La rupture émotivo-rationnelle:

La personne qui vit ça pense le senti, il ne le ressent pas.

Autrement dit, il y a un conflit entre ce qu'il pense et ses émotions.

Je vais servir de guinea pig si vous voulez bien.

Moi, pendant très longtemps, je n'arrivais vraiment pas à dire mes émotions, pour la simple raison que j'étais enfermée dans ma tête. Ça ne veut pas dire que je n'en avais pas: je pouvais pleurer, je pouvais rire, je pouvais rager, mais j'étais incapable de dire précisément ce qui se passait en moi. J'étais donc esclave de mes émotions.

Ce qui est grave en soi puisque tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime.


C'est la règle.

Et comme de fait, incapable de dealer avec mes émotions, je suis devenue boulimique, puis hyperphage. (Entre autres dépendances.)

Ce genre de maladie, c'est pas pour rien que ça arrive.

(Par contre je n'aborderai pas ici les vraies causes. Parce qu'au fond, on ne naît pas avec une rupture émotivo-rationnelle, c'est un moyen de défense, vous vous en doutez bien.)


Quand on me demandait, suite à, mettons, un événement fâcheux, comment je me sentais, je répondais de brillante façon. Mais justement: je répondais quelque chose d'intellectuel. Presque comme si je raisonnais, au fond: "PUISQU'IL m'a fait ça, JE PENSE que je me sens ainsi"... etc. C'est un exemple exagéré mais représentatif.


La personne en harmonie avec son ressenti pourra recevoir une idée, y penser (niveau logique), la «goûter» (niveau émotif et niveau affectif), et même se servir de son instinct (niveau intuitif) pour finalement exprimer ce ressenti (retour au niveau logique, pour faire des jolies phrases :P). J'aimerais vous montrer le schéma mais je n'ai pas de scanner. Mais si vous me suivez bien, vous verrez qu'il y a un aller retour tête-coeur-tête. (Bon on s'entend le processus se fait extrêmement rapidement et pas nécessairement décomposé de cette façon-là. Vous comprenez hein.)

Pour une personne qui a une rupture émotivo-rationnelle, l'aller retour se fait de la façon suivante: tête-tête-tête-tête... etc. Et voilà, il sombre dans l'indécision.

C'est important de savoir qu'il y a de vraies conséquences à cette fameuse rupture émotivo-rationnelle. J'en ai tout un document chez moi. Pour résumer, disons que ça vient avec un beau kit de conflits psychiques.

Mais pour la enième fois, ça se soigne.

En passant, je me répète, mais je n'ai pas de statistiques à donner. Je ne sais pas c'est quoi la norme par rapport à ça, et à vrai dire, je m'en fous -- de la norme, s'entend. Je doute que ce soit la majorité de la population qui ait une harmonie parfaite entre pensées et émotions. Ceci-dit, c'est possible. Je connais des gens qui sont capables d'identifier leurs émotions n'importe quand, à la seconde où on le leur demande. J'aspire à ça, mais c'est vrai que ça demande un certain travail. Je sais néanmoins que plus j'm'améliore à ce niveau-là, plus les autres aspects de ma vie s'améliorent aussi: je me sens plus sécure, plus fière de moi, plus sereine avec la bouffe, plus aimée, plus belle même, etc. Ça m'a pris du temps mais je commence à voir que la vie me veut du bien. De bonnes choses m'arrivent sans arrêt depuis que je me suis décidée à changer. Avec de l'aide bien sûr.

Il faut juste vouloir... j'pense :)
1834
Bon... et c'est combien la consultation chez toi ? :mrgreen:

Tu fais des études de psycho non ?
Tu t'es pas levée un matin en pensant tout ça par toi-même hein, rassure-nous ?!

Mais c'est très intéressant ce concept. Ça me parle pas mal.

Reprends-moi si je me trompe, mais c'est un peu une façon de vivre sa vie à la troisième personne non ?
C'est souvent comme ça que je vois les choses, sans pour autant l'associer à tout un raisonnement comme tu le fais ici.

On est trop détaché de sa propre vie, on intellectualise trop - ce qui est parfois bénéfique -
mais utilisé à outrance ça finit par enlever toute saveur aux choses, on ne vit plus vraiment.
On se regarde vivre, on regarde le film défiler devant nos yeux en simple spectateur.
Alors forcément quand vient le miroir ou l'oreiller et qu'on est seul face à la réalité,
on se la reprend en plein face puisque le reste du temps on l'évite, et du coup ça se passe mal...


Enfin bon, si toi tu en es déjà là à 18 ans, ça va je crois qu'on peut te prédire un bel avenir ! :lol:
32 ans 113
«Vivre sa vie à la troisième personne.»

Exact, Mi-k-l, c'est vraiment ça.

Et le pire, c'est qu'on a pas l'air de ça, hein?

On le cache bien.

«Viens voir les comédiens»...

Pour te rassurer, je n'ai pas de mérite, c'est clair que je ne me suis pas levée un matin en pensant à tout ça. Tout ce que j'ai fait, c'est le vivre et à un moment donné, réaliser que je ne voulais plus ça.

Ce n'est pas en psycho que j'étudie mais je m'intéresse beaucoup à la chose et ça fait plusieurs mois que j'assiste à des conférences hebdomadairement, de mon propre gré.

C'est très, très éclairant, mais la théorie ne vaut RIEN sans la pratique.

Et la pratique, c'est pas que fouiller dans ses bibittes... faire juste ça, c'est s'exposer à une vie encore plus malheureuse.

En passant, ça me fait plaisir que des gens manifestent leur intérêt et ça me fait plaisir que vous vouliez bien que je vous donne un brin de ce que j'ai reçu. Comme disait Aldous Huxley, une société saine commence par un individu sain.

Bonne journée :)
E
43 ans 144
Comment ne pas manifester son intérêt?

Te lire est toujours un régal, c'est clair, limpide, drôle aussi, bien écrit, bon ok j'arrête, je n'en jette plus!!

ensuite, et tu l'as certes bien pressenti, si d'aucuns d'entre eux manifestent leur intérêt, ce n'est pas seulement (mais c'est déjà beaucoup!!) parce que tes interventions, et donc toi, sont intéressantes, mais aussi parce qu'elles nous interpellent : nous nous y reconnaissons ( et ce n'est pas forcément réjouissant).

C'est ce que je voulais dire, et tes nouveaux posts d'aujourd'hui me confortent dans cette idée, en reconnaissant hier que oui, j'avais un problème : ce n'est pas seulement en te lisant que, allez, illumination, je l'ai vu!!

Des émotions, j'en ressens, la joie et la colère je n'ai aucune peine à les identifier chez moi, je sais quand je suis contente, je sais quand je suis agacée, contrariée, jusqu'à exploser, ou non -je le fais peu, et je devrais peut -être aussi arrêter de ne pas le faire quand je le ressens, cette envie d'exploser.

Le problème, c'est la tristesse : je l'intellectualise, tout le temps, systématiquement. ton fameux tête-tête-tête, ou encore ce que tu dis de la répartie brillante qu'on sort parfois. Je suis quasiment incapable de pleurer quand vraiment quelque chose me fait du mal. Je sais que je suis triste, morose, mais ma pensée prend la place de mon émotion, j'analyse très vite : je suis triste parce que, je ne dois pas l'être parce que...d'où, comme tu l'expliquais fort bien, l'indécision si ça concerne une relation à l'autre et un choix à faire, et, comme Mi-k-l le soulignait ensuite, jusqu'à l'impression de me voir à la troisième personne, avec aussi, l'angoisse de devenir de plus en plus indifférente : des amis m'ont déjà souligné ce trait là : "on dirait que tu t'en fiches, que ça ne te touches pas".

Plus jeune, j'étais une vraie boule d'émotions, pour des raisons diverses, variées, un passé difficile, etc. Pour échapper à la douleur de ce passé, je me suis construit un mur, épais, solide, pour ne pas avoir à supporter la douleur, ne plus avoir à pleurer, à souffrir. Ce que je considérais comme une victoire sur moi-même, je me rends compte aujourd'hui qu'il est devenu un danger, car les émotions qu'on contrôle jusqu'à ne plus ressentir, parce qu'on ne le veut plus, certaines d'entre elles, s'impriment, se cachent et rejaillissent ailleurs, sous diverses formes. Chez moi, des crises d'angoisse dès que je me sens rejetée, un besoin aussi d'être rassurée, excessif dans le cadre d'une relation sentimentale.

Après, tu l'as déjà dit, tu n'es pas psychothérapeute, et je ne vais pas tomber dans la volonté de m'identifier dans ce que tu exposes. ça y ressemble, ce n'est peut-être pas que ça. Mais ça, seul un professionnel pourra me le dire.
32 ans 113
Merci Aptera de nous partager ce que tu vis =) Courage & persévérance; j'te promets, les choses vont s'améliorer pour toi.

Et tu fais vraiment bien de dire ça à la fin:

«Après, tu l'as déjà dit, tu n'es pas psychothérapeute, et je ne vais pas tomber dans la volonté de m'identifier dans ce que tu exposes. ça y ressemble, ce n'est peut-être pas que ça. Mais ça, seul un professionnel pourra me le dire.»

C'était tellement une bonne idée que t'as eu de l'écrire que j'ai eu envie de le marquer en caractères gras :lol: . J'ai tendance à prendre un ton un peu magistral, mais justement, comme tu as dit, je ne détiens pas du touuuuuut la vérité universelle. Je ne commence qu'ààà peiiine à toucher à la vérité d'Aiecaramba. (Pas mon vrai nom hein :P mais vous comprenez. C'est très subjectif.)

Sauf que si en vous la partageant ça vous fait poser des question constructives sur la vôtre, ben là, je suis contente.

Je suis même vraiment contente :)
E
43 ans 144
AieCaramba a écrit:

Je suis même vraiment contente :)


Et tu peux l'être :)

Et même que je te rassure : les choses ne vont pas mal pour moi:) si c'était le cas...je ne l'écrirais pas, ou pas comme ça -oui, c'est paradoxal, mais c'est moi, aussi. Simplement, ce problème là est réel, et l'angoisse qui est derrière, c'est de le voir s'amplifier.
1834
AieCaramba a écrit:

«Vivre sa vie à la troisième personne.»

Exact, Mi-k-l, c'est vraiment ça.

Et le pire, c'est qu'on a pas l'air de ça, hein?

On le cache bien.

«Viens voir les comédiens»...


Ah ben non... Faut croire que t'es assez douée naturellement,
parce que chez d'autres la dissimulation n'est pas forcément évidente.

Je ne dis pas que les gens qui les croisent détectent exactement cette "comédie" précisément,
mais ils sentent que quelque chose cloche quoi, et c'est bien souvent carrément répulsif...

Jouer un rôle au théâtre est une thérapie pour soi-même.
Jouer un rôle dans la vie est une thérapie pour autrui.



Mais le plus important dans ce que tu dis de toute façon est ailleurs.
La clef est évidemment que tout cette réflexion ne reste pas que de
la branlette intellectuelle, mais bien un raisonnement intelligent suivi
de faits concrets pour évoluer. Sans ça, on s'enfonce encore et encore...
B I U


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