A y est, j'ai pris le temps de me pencher sur le sujet.
PS
Je créerai en cinq ans 60 000 postes supplémentaires dans l’éducation. Ils couvriront tous les métiers. Je mettrai en place un prérecrutement des enseignants avant la fin de leurs études. Pour tous, je rétablirai une formation initiale digne de ce nom.
J’aimerai connaître la proportion d ‘enseignants.
Plus d’enseignants ok, les autres métiers je ne sais pas s’il y a un réel besoin.
( voir cette vidéo pour les chiffres
http://www.soseducatio.../greve27septembre/indexIE.html )
Je ferai en sorte que les enfants de moins de trois ans puissent être accueillis en maternelle. Je donnerai la priorité à l’acquisition des savoirs fondamentaux et d’un socle commun de compétences et de connaissances. Nous transformerons, avec les enseignants, les méthodes pédagogiques. Les élèves les plus en difficulté bénéficieront d’un accompagnement personnalisé pour que, à la fin du quinquennat, le nombre de jeunes qui sortent sans qualification du système scolaire soit divisé par deux. Je renforcerai et valoriserai les filières d’enseignement professionnel et technologique. Je veux lutter contre la précarité des jeunes. J’offrirai à tout jeune déscolarisé de 16 à 18 ans une solution de formation, d’apprentissage ou un service civique.
Ok sauf pour les enfants de moins de 3 ans.
Je pense que leur place est plutôt dans de petites structures plus maternantes et avec des activités d’éveil et non d’enseignement.
Donc je serais plus pour des crèches ou des sortes de pré-école gratuites, sur le même principe que l’école, mais qui ne soient pas encore vraiment l’école. Bien sûr ça a un coût mais les crèches gratuites seraient aussi une solution pour que les mères ne galèrent pas à trouver un mode de garde.
Dans l’affectation des nouveaux personnels, ma priorité ira aux écoles maternelles et primaires, car c’est là que les premières difficultés se manifestent et que l’échec scolaire se forme, ainsi qu’aux zones en difficulté. Dans l’intérêt de nos enfants, je reverrai les rythmes scolaires, qui n’ont aucun équivalent en Europe.
Ok il y a des choses à faire mais j’aimerai des détails sur les rythmes dont il parle.
Je réformerai les premiers cycles de l’enseignement supérieur, en décloisonnant les filières à l’université afin d’éviter une spécialisation trop précoce des étudiants, en renforçant les passerelles entre toutes les formations du supérieur, notamment entre universités et grandes écoles. Je réformerai la loi LRU pour garantir une autonomie réelle des établissements, avec des moyens et une gouvernance plus collégiale et démocratique. Je créerai une allocation d’études et de formation sous conditions de ressources dans le cadre d’un parcours d’autonomie. J’encadrerai les stages pour empêcher les abus. Je donnerai une impulsion aux échanges entre universités françaises et étrangères. J’abrogerai la circulaire sur les étudiants étrangers. Je simplifierai l’organisation du financement de la recherche, notamment pour que les chercheurs et les enseignants - chercheurs puissent se consacrer à leurs véritables tâches. J’accélérerai la mise en œuvre des Investissements d’avenir et je veillerai, en favorisant les coopérations et les mises en réseau, à ce que ne se constituent pas de déserts universitaires et scientifiques.
Ok sauf la spécialisation pas trop précoce des étudiants.
Les entreprises ont besoin de personnels spécialisés et je trouve à ce niveau là qu’il y a trop de différences avec les grandes écoles.
(A moins qu’on ne destine les universitaires qu’à la recherche et l’enseignement, mais ça fait beaucoup d’étudiants.)
Par contre je suis pour une plus grande facilité de changement de parcours avec des passerelles et des remises à nouveau en cas de changement d’orientation.
Je garantirai pour tous les jeunes, valides ou non, la possibilité de pratiquer le sport dans un club ou une association. Je renforcerai la solidarité de l’économie du secteur professionnel vers le secteur amateur. Je m’appuierai sur le mouvement sportif pour organiser en France de grandes compétitions internationales.
Aucun inconvénient.
Mais faudrait peut-être en priorité faire appliquer les lois existantes sur le handicap.
[U]]
UMP(/U]
Faire confiance aux familles et accompagner les parents dans leur mission éducative
Le premier lieu de l’éducation, c’est la famille. À l’opposé de la gauche qui se défie d’elle en la considérant d’abord comme une cause d’inégalité, l’UMP fait confiance aux familles et veut aider les parents à remplir leur mission éducative.
Déjà pas d’accord avec « Le premier lieu de l’éducation, c’est la famille ».
Ca devrait l’être mais dans les faits les enfants passent souvent beaucoup plus de temps avec des étrangers qu’avec leur famille.
On ne peut pas d’un côté demander à ce que tout le monde travaille, et travaille plus, et d’un autre demander à des parents de réussir à éduquer leur enfant 1 heure le soir et le week-end.
Le développement de l’aide à la parentalité est un axe majeur de la politique familiale du XXIe siècle. Nous encouragerons
les « maisons pour les familles », lieux ouverts aux parents pour qu’ils puissent rencontrer d’autres parents ou échanger
avec des intervenants bénévoles ou professionnels.
Perso ça ne m’intéresse pas vraiment, on sait tous et on a tous toujours su comment élever nos enfants.
C’est le temps qui nous manque pour mettre en pratique de façon efficace.
Et puis il existe déjà des associations bénévoles qui proposent des « Ecoles des parents », je ne vois pas ce qu’il y a de nouveau.
Nous souhaitons aussi donner la possibilité aux parents de fractionner le congé parental pendant les quinze premières années de l’enfant.
Oui ça peut être pratique pour ceux qui le souhaitent ou qui ont une difficulté à une période donnée avec un enfant.
Mais il en a déjà parlé de ça à l’époque où il a fait passé le congé parental plus court et mieux rémunéré au 3 ième enfant non ?
Pourquoi il ne l’a pas fait avant ?
Nous voulons miser sur la responsabilité des parents, en proposant un appui à ceux qui en ont besoin, mais aussi en sanctionnant les manquements manifestes et répétés de l’autorité parentale. C’est la logique que nous avons développée avec succès en suspendant les allocations familiales pour les familles qui ne jouaient pas leur rôle contre l’absentéisme scolaire. Nous la poursuivrons.
Quand la gauche remet en cause le quotient familial et confond politique familiale et politique sociale, nous réaffirmons le caractère universel de la politique familiale.
Pas d’accord du tout avec la suppression des allocs.
Dans une famille de plusieurs enfants s’il y en a un qui fait le con, les autres sont aussi punis.
Et de toute façon pour moi je ne vois pas en quoi les parents sont responsables.
Qui n’a jamais séché un cours ? C’était la faute de vos parents ? Pas dans mon cas.
áRenforcer la maîtrise des savoirs fondamentaux et les références communes à tous les Français
Nous souhaitons qu’aucun élève n’entre au collège sans maîtriser les savoirs fondamentaux, c’est-à-dire sans savoir lire, écrire, compter. Nous voulons donc que la maîtrise des savoirs fondamentaux soit évaluée tout au long de la scolarité à l’école primaire. En fonction des résultats obtenus, un accompagnement personnalisé des élèves en difficulté doit être mis en place avant l’entrée au collège. Les résultats de ces évaluations, par établissement, doivent être rendus publics. Ils serviront également de base
pour généraliser les méthodes d’apprentissage les plus efficaces et abandonner celles qui ne font pas leurs preuves.
Heu … ok le CP ça sert à apprendre à lire et écrire, sérieux ?
Je ne comprends pas comment on peut arriver au collège sans connaître le programme du CP.
Ah c’est parce qu’on supprime le rased et que les redoublements coûtent cher ? Ah ok.
Oui on ne devrait déjà même pas passer au CE2 si on n’a pas le niveau !
Par contre les évals et les rendre publiques je suis contre.
Tout simplement car les évals c’est à un instant T et un gamin peut se planter alors qu’il connaît bien le sujet.
Cet esprit de compétition m’agace au plus haut point.
Ca fait des enfants stressés et sans cesse à se comparer et à forcément se dévaloriser.
Par ailleurs, nous souhaitons renforcer la transmission d’un socle culturel commun à tous les jeunes de notre pays.
À ce titre, nous voulons réaffirmer la place de l’enseignement de l’histoire et de la géographie de la France en primaire et
au collège. Nous attachons de l’importance à l’instruction civique et morale dans la formation des futures générations.
Pourquoi pas.
áDonner un nouvel élan à l’école en accordant plus d’autonomie aux établissements Afin de responsabiliser les directeurs d’établissements scolaires primaires et secondaires et de leur permettre de s’adapter aux priorités locales, nous voulons
leur donner plus d’autonomie. Cette autonomie doit concerner d’abord la gestion, par une maîtrise plus forte des budgets par les chefs d’établissement. Elle doit toucher également la gestion du corps enseignant, en leur confiant la responsabilité d’évaluer les profes seurs, de les recruter et de gérer les remplacements temporaires. Enfin, cette autonomie doit conduire à renforcer la communauté éducative avec des projets ambitieux. Ainsi, dans le respect des programmes nationaux, les directeurs d’établissement doivent être plus autonomes dans leur projet pédagogique, en ce qui concerne les horaires, les matières d’approfondissement, ou
toute autre initiative visant à renforcer la communauté scolaire (code vestimentaire au sein de l’établissement, accompagnement
des parents dans le suivi scolaire de leurs enfants…).
Sans opinion, je ne connais pas le sujet.
áDévelopper l’accompagnement personnalisé des élèves et revaloriser le métier d’enseignant
Pour développer l’accompagnement personnalisé de tous les élèves dans l’enseignement primaire et secondaire, nous
souhaitons que les enseignants soient plus présents dans l’établissement.
Cette disponibilité accrue pourra être modulée entre cours, accompagnement et tutorat.
En contrepartie, nous souhaitons revaloriser le métier d’enseignant, notamment en améliorant la rémunération.
Nous souhaitons également renforcer la formation pédagogique des enseignants, notamment au début de leur carrière, et
garantir l’autorité et le prestige de cette mission essentielle dans la société.
Et, pour dégager du temps pour cet accompagnement personnalisé, nous allongerons la durée de l’année scolaire
en réduisant les vacances d’été, et nous allègerons la journée des élèves pour mieux tenir compte de leur rythme.
Le déploiement des outils numériques dans tous les établissements servira également l’accompagnement personnalisé
de nos enfants.
A ben fallait peut-être pas supprimer les IUFM monsieur !
Le boulot d’un prof ne se limite pas aux heures passées en classe, donc des profs plus disponibles non, mais plus de profs pour qu’il puisse y avoir du tutorat, … oui.
Mieux payés évidement, mieux formés aussi mais pas seulement en début de carrière.
Combien de profs ne savent pas gérer un handicap comme la dyslexie, … ?
Combien de profs ne s’ouvrent pas à d’autres formes de pédagogies ?
Allonger la durée de l’année scolaire non, les enfants sont sans cesse sollicités et fatigués.
Alors moi ça m’arrangerait bien par rapport au boulot parce que je n’ai pas deux mois de vacances à poser, mais je pense d’abord à mes enfants. Alléger la journée des élèves ok et il y a sûrement d’autres moyens que de leur pourrir les vacances.
De toute façon c’est parfaitement hypocrite car on sait bien qu’il ne suivent pas les cours jusqu’au bout à cause des examens du brevet, du bac, … souvent ils arrêtent mi juin !
Et quand un prof est absent, si les gamins n’ont pas cours pendant trois mois ça n’inquiète personne.
Je pense qu’il y a beaucoup de temps gaspillé par rapport à la quantité et la qualité des connaissances acquises.
Pour moi c’est plutôt là-dessus qu’il faut travailler. Avec moins d’élèves par classe on augmente en efficacité.
Avec moins de déplacements entre chaque cours aussi.
áPour que l’école favorise la réussite de chacun, passer du collège unique au collège pour tous
Nous souhaitons également diversifier les parcours pour mieux prendre en compte les attentes des jeunes.
Ainsi, pour que le collège soit une réussite pour chacun, nous souhaitons passer du collège unique au collège pour
tous avec une plus grande personnalisation des parcours. La transition entre le primaire et le collège doit être plus
douce. C’est pourquoi, nous limiterons le nombre d’enseignants par classe en 6e et en 5e. Nous voulons également
expérimenter des collèges organisés par classes (6e-5e et 4e-3e) plutôt que par quartiers, pour sécuriser les enfants qui
entrent au collège et casser les ghettos scolaires.
Pourquoi pas même si j’ai pas le sentiment que ça traumatise les gosses d’arriver en 6ième.
Mais ça veut dire quoi ? Que le prof de math va enseigner le sport ? Le prof de dessin le chant ?
Il va falloir revoir les concours alors, on ne sera plus prof me français mais de francais/histoire/latin, ou de math/physique/bio ?
J’aurais plutôt penché pour que les profs changent de salle à la place des élèves …
Des collèges par tranches d’âge pourquoi pas aussi mais ça risque d’être beaucoup moins pratique à gérer quand on a des gamins d’âge rapprochés mais pas dans la même tranche.
Nous souhaitons aussi diversifier l’offre d’enseignements dès la 4e avec des classes « métiers-études » permettant de
découvrir des métiers sans sortir de l’enseignement général. Ces classes permettront à ceux qui le souhaitent d’entrer en
apprentissage dès 14 ans. áPromouvoir l’égalité des chances et la méritocratie républicaine.
Peut-être … Mais est-ce qu’à 14 ans on sait déjà qu’on est foutu pour les filières générales et on est sûr du job qu’on voudra faire plus tard ?
Nous souhaitons atteindre l’objectif de 20000 places en internat d’excellence qui permettent aux élèves défavorisés
de bénéficier de meilleures conditions d’études dès lors qu’ils ont de bons résultats scolaires et qu’ils sont volontaires
et motivés.
Je suis pour l’égalité, ça veut dire que je veux qu’on donne les même chances à tous d’atteindre les mêmes buts, pas qu’on favorise des gens qu’on a laissé s’enliser car on ne voulait pas s’occuper d’eux avant.
C’est pas ça pour moi l’égalité.
C’est quoi « défavorisé » ? Le principe de l’école publique c’est de donner le même enseignement à tous, alors pourquoi après parler de « défavorisés » ?
Pour moi si ces enfants ont de bons résultats scolaires ils devraient accéder aux mêmes études que les autres.
On laisse les « défavorisés » entre eux pour ne pas qu’ils se mélangent aux autres ? Ou on les enlève de leur milieu parce que ça va les empêcher de réussir ?
J’avoue ne pas comprendre le concept là.
Moi ce que je voudrais c’est que défavorisé ou pas, on puisse avoir le même bagage et accéder aux mêmes études.
Nous voulons aussi ouvrir au moins deux « classes préparatoires aux études supérieures » par académie. Ces classes
sélectionnent après le bac les meilleurs élèves boursiers pour une année de transition vers les classes préparatoires aux
grandes écoles. Elles permettent à des élèves qui auraient un bon potentiel mais des lacunes à combler d’accéder à des
filières très sélectives, sans baisser les exigences de la méritocratie républicaine.
Pourquoi pas mais là encore je comprends pas boursier = moins bon ?
Nous poursuivrons également le développement des places en Épide (établissement public d’insertion de la défense),
en continuant à les cibler sur les jeunes en difficulté scolaire, sans qualification professionnelle ni emploi, en risque de
marginalisation et volontaires, pour les réinsérer durablement.
Pourquoi pas, c’est un métier comme un autre.
áPoursuivre la modernisation de l’enseignement supérieur L’autonomie des universités et les investissements massifs dans le supérieur au cours de ce quinquennat sont des avancées majeures pour la France. Nous voulons les poursuivre et amplifier cette
dynamique.
Je ne me rends pas compte des impacts, je n’ai pas d’opinion.
Nous voulons également rendre les licences pluridisciplinaires pour ouvrir de nouveaux horizons aux étudiants et éviter une spécialisation trop précoce.
Tiens j’ai déjà lu ça dans un autre programme, et je suis toujours pas d’accord (s’ils sont d’accord tous les deux c’est que je dois me planter).
Nous proposons aussi de développer fortement l’alternance et l’apprentissage à l’université pour rapprocher davantage les établissements supérieurs et les entreprises.
Ok.