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Présidentielle : Une semaine, une mesure à débattre

34 ans 2571
C'est sûr que ça n'est pas du tout la dynamique du moment... Ma soeur est en terminale L cette année, c'est désolant, mais vraiment. Ils n'ont rien à faire, ils  
ne lisent même pas (c'est vrai hein, ma soeur est première de sa classe alors qu'elle a un niveau très moyen et qu'elle ne lit jamais rien), je trouve que c'est dommage qu'il n'existe pas de vraie filière L de qualité. Ma soeur m'a quand même dit que Jaccottet c'était pas de la littérature, parce qu'il y a pas de métaphores... SOS pour les lettres lol...

Tu enseignes en quelle classe toi ? :)
38 ans 3267
Salammbo a écrit:
C'est sûr que ça n'est pas du tout la dynamique du moment... Ma soeur est en terminale L cette année, c'est désolant, mais vraiment. Ils n'ont rien à faire, ils ne lisent même pas (c'est vrai hein, ma soeur est première de sa classe alors qu'elle a un niveau très moyen et qu'elle ne lit jamais rien), je trouve que c'est dommage qu'il n'existe pas de vraie filière L de qualité. Ma soeur m'a quand même dit que Jaccottet c'était pas de la littérature, parce qu'il y a pas de métaphores... SOS pour les lettres lol...

Tu enseignes en quelle classe toi ? :)


Hélas, je vois parfaitement ce que tu décris...
J'ai deux première, une ES et une STG, et une seconde dont je suis prof principal.
46 ans Sous le chant des cigales ^^ 3642
A y est, j'ai pris le temps de me pencher sur le sujet.

PS

Je créerai en cinq ans 60 000 postes supplémentaires dans l’éducation. Ils couvriront tous les métiers. Je mettrai en place un prérecrutement des enseignants avant la fin de leurs études. Pour tous, je rétablirai une formation initiale digne de ce nom.

J’aimerai connaître la proportion d ‘enseignants.
Plus d’enseignants ok, les autres métiers je ne sais pas s’il y a un réel besoin.
( voir cette vidéo pour les chiffres http://www.soseducatio.../greve27septembre/indexIE.html )

Je ferai en sorte que les enfants de moins de trois ans puissent être accueillis en maternelle. Je donnerai la priorité à l’acquisition des savoirs fondamentaux et d’un socle commun de compétences et de connaissances. Nous transformerons, avec les enseignants, les méthodes pédagogiques. Les élèves les plus en difficulté bénéficieront d’un accompagnement personnalisé pour que, à la fin du quinquennat, le nombre de jeunes qui sortent sans qualification du système scolaire soit divisé par deux. Je renforcerai et valoriserai les filières d’enseignement professionnel et technologique. Je veux lutter contre la précarité des jeunes. J’offrirai à tout jeune déscolarisé de 16 à 18 ans une solution de formation, d’apprentissage ou un service civique.

Ok sauf pour les enfants de moins de 3 ans.
Je pense que leur place est plutôt dans de petites structures plus maternantes et avec des activités d’éveil et non d’enseignement.
Donc je serais plus pour des crèches ou des sortes de pré-école gratuites, sur le même principe que l’école, mais qui ne soient pas encore vraiment l’école. Bien sûr ça a un coût mais les crèches gratuites seraient aussi une solution pour que les mères ne galèrent pas à trouver un mode de garde.

Dans l’affectation des nouveaux personnels, ma priorité ira aux écoles maternelles et primaires, car c’est là que les premières difficultés se manifestent et que l’échec scolaire se forme, ainsi qu’aux zones en difficulté. Dans l’intérêt de nos enfants, je reverrai les rythmes scolaires, qui n’ont aucun équivalent en Europe.

Ok il y a des choses à faire mais j’aimerai des détails sur les rythmes dont il parle.

Je réformerai les premiers cycles de l’enseignement supérieur, en décloisonnant les filières à l’université afin d’éviter une spécialisation trop précoce des étudiants, en renforçant les passerelles entre toutes les formations du supérieur, notamment entre universités et grandes écoles. Je réformerai la loi LRU pour garantir une autonomie réelle des établissements, avec des moyens et une gouvernance plus collégiale et démocratique. Je créerai une allocation d’études et de formation sous conditions de ressources dans le cadre d’un parcours d’autonomie. J’encadrerai les stages pour empêcher les abus. Je donnerai une impulsion aux échanges entre universités françaises et étrangères. J’abrogerai la circulaire sur les étudiants étrangers. Je simplifierai l’organisation du financement de la recherche, notamment pour que les chercheurs et les enseignants - chercheurs puissent se consacrer à leurs véritables tâches. J’accélérerai la mise en œuvre des Investissements d’avenir et je veillerai, en favorisant les coopérations et les mises en réseau, à ce que ne se constituent pas de déserts universitaires et scientifiques.

Ok sauf la spécialisation pas trop précoce des étudiants.
Les entreprises ont besoin de personnels spécialisés et je trouve à ce niveau là qu’il y a trop de différences avec les grandes écoles.
(A moins qu’on ne destine les universitaires qu’à la recherche et l’enseignement, mais ça fait beaucoup d’étudiants.)
Par contre je suis pour une plus grande facilité de changement de parcours avec des passerelles et des remises à nouveau en cas de changement d’orientation.

Je garantirai pour tous les jeunes, valides ou non, la possibilité de pratiquer le sport dans un club ou une association. Je renforcerai la solidarité de l’économie du secteur professionnel vers le secteur amateur. Je m’appuierai sur le mouvement sportif pour organiser en France de grandes compétitions internationales.

Aucun inconvénient.
Mais faudrait peut-être en priorité faire appliquer les lois existantes sur le handicap.



[U]]UMP(/U]

Faire confiance aux familles et accompagner les parents dans leur mission éducative
Le premier lieu de l’éducation, c’est la famille. À l’opposé de la gauche qui se défie d’elle en la considérant d’abord comme une cause d’inégalité, l’UMP fait confiance aux familles et veut aider les parents à remplir leur mission éducative.

Déjà pas d’accord avec « Le premier lieu de l’éducation, c’est la famille ».
Ca devrait l’être mais dans les faits les enfants passent souvent beaucoup plus de temps avec des étrangers qu’avec leur famille.
On ne peut pas d’un côté demander à ce que tout le monde travaille, et travaille plus, et d’un autre demander à des parents de réussir à éduquer leur enfant 1 heure le soir et le week-end.

Le développement de l’aide à la parentalité est un axe majeur de la politique familiale du XXIe siècle. Nous encouragerons
les « maisons pour les familles », lieux ouverts aux parents pour qu’ils puissent rencontrer d’autres parents ou échanger
avec des intervenants bénévoles ou professionnels.

Perso ça ne m’intéresse pas vraiment, on sait tous et on a tous toujours su comment élever nos enfants.
C’est le temps qui nous manque pour mettre en pratique de façon efficace.
Et puis il existe déjà des associations bénévoles qui proposent des « Ecoles des parents », je ne vois pas ce qu’il y a de nouveau.

Nous souhaitons aussi donner la possibilité aux parents de fractionner le congé parental pendant les quinze premières années de l’enfant.

Oui ça peut être pratique pour ceux qui le souhaitent ou qui ont une difficulté à une période donnée avec un enfant.
Mais il en a déjà parlé de ça à l’époque où il a fait passé le congé parental plus court et mieux rémunéré au 3 ième enfant non ?
Pourquoi il ne l’a pas fait avant ?

Nous voulons miser sur la responsabilité des parents, en proposant un appui à ceux qui en ont besoin, mais aussi en sanctionnant les manquements manifestes et répétés de l’autorité parentale. C’est la logique que nous avons développée avec succès en suspendant les allocations familiales pour les familles qui ne jouaient pas leur rôle contre l’absentéisme scolaire. Nous la poursuivrons.
Quand la gauche remet en cause le quotient familial et confond politique familiale et politique sociale, nous réaffirmons le caractère universel de la politique familiale.

Pas d’accord du tout avec la suppression des allocs.
Dans une famille de plusieurs enfants s’il y en a un qui fait le con, les autres sont aussi punis.
Et de toute façon pour moi je ne vois pas en quoi les parents sont responsables.
Qui n’a jamais séché un cours ? C’était la faute de vos parents ? Pas dans mon cas.

áRenforcer la maîtrise des savoirs fondamentaux et les références communes à tous les Français
Nous souhaitons qu’aucun élève n’entre au collège sans maîtriser les savoirs fondamentaux, c’est-à-dire sans savoir lire, écrire, compter. Nous voulons donc que la maîtrise des savoirs fondamentaux soit évaluée tout au long de la scolarité à l’école primaire. En fonction des résultats obtenus, un accompagnement personnalisé des élèves en difficulté doit être mis en place avant l’entrée au collège. Les résultats de ces évaluations, par établissement, doivent être rendus publics. Ils serviront également de base
pour généraliser les méthodes d’apprentissage les plus efficaces et abandonner celles qui ne font pas leurs preuves.

Heu … ok le CP ça sert à apprendre à lire et écrire, sérieux ?
Je ne comprends pas comment on peut arriver au collège sans connaître le programme du CP.
Ah c’est parce qu’on supprime le rased et que les redoublements coûtent cher ? Ah ok.
Oui on ne devrait déjà même pas passer au CE2 si on n’a pas le niveau !

Par contre les évals et les rendre publiques je suis contre.
Tout simplement car les évals c’est à un instant T et un gamin peut se planter alors qu’il connaît bien le sujet.
Cet esprit de compétition m’agace au plus haut point.
Ca fait des enfants stressés et sans cesse à se comparer et à forcément se dévaloriser.

Par ailleurs, nous souhaitons renforcer la transmission d’un socle culturel commun à tous les jeunes de notre pays.
À ce titre, nous voulons réaffirmer la place de l’enseignement de l’histoire et de la géographie de la France en primaire et
au collège. Nous attachons de l’importance à l’instruction civique et morale dans la formation des futures générations.

Pourquoi pas.

áDonner un nouvel élan à l’école en accordant plus d’autonomie aux établissements Afin de responsabiliser les directeurs d’établissements scolaires primaires et secondaires et de leur permettre de s’adapter aux priorités locales, nous voulons
leur donner plus d’autonomie. Cette autonomie doit concerner d’abord la gestion, par une maîtrise plus forte des budgets par les chefs d’établissement. Elle doit toucher également la gestion du corps enseignant, en leur confiant la responsabilité d’évaluer les profes seurs, de les recruter et de gérer les remplacements temporaires. Enfin, cette autonomie doit conduire à renforcer la communauté éducative avec des projets ambitieux. Ainsi, dans le respect des programmes nationaux, les directeurs d’établissement doivent être plus autonomes dans leur projet pédagogique, en ce qui concerne les horaires, les matières d’approfondissement, ou
toute autre initiative visant à renforcer la communauté scolaire (code vestimentaire au sein de l’établissement, accompagnement
des parents dans le suivi scolaire de leurs enfants…).

Sans opinion, je ne connais pas le sujet.

áDévelopper l’accompagnement personnalisé des élèves et revaloriser le métier d’enseignant
Pour développer l’accompagnement personnalisé de tous les élèves dans l’enseignement primaire et secondaire, nous
souhaitons que les enseignants soient plus présents dans l’établissement.
Cette disponibilité accrue pourra être modulée entre cours, accompagnement et tutorat.
En contrepartie, nous souhaitons revaloriser le métier d’enseignant, notamment en améliorant la rémunération.
Nous souhaitons également renforcer la formation pédagogique des enseignants, notamment au début de leur carrière, et
garantir l’autorité et le prestige de cette mission essentielle dans la société.
Et, pour dégager du temps pour cet accompagnement personnalisé, nous allongerons la durée de l’année scolaire
en réduisant les vacances d’été, et nous allègerons la journée des élèves pour mieux tenir compte de leur rythme.
Le déploiement des outils numériques dans tous les établissements servira également l’accompagnement personnalisé
de nos enfants.

A ben fallait peut-être pas supprimer les IUFM monsieur !
Le boulot d’un prof ne se limite pas aux heures passées en classe, donc des profs plus disponibles non, mais plus de profs pour qu’il puisse y avoir du tutorat, … oui.
Mieux payés évidement, mieux formés aussi mais pas seulement en début de carrière.
Combien de profs ne savent pas gérer un handicap comme la dyslexie, … ?
Combien de profs ne s’ouvrent pas à d’autres formes de pédagogies ?

Allonger la durée de l’année scolaire non, les enfants sont sans cesse sollicités et fatigués.
Alors moi ça m’arrangerait bien par rapport au boulot parce que je n’ai pas deux mois de vacances à poser, mais je pense d’abord à mes enfants. Alléger la journée des élèves ok et il y a sûrement d’autres moyens que de leur pourrir les vacances.

De toute façon c’est parfaitement hypocrite car on sait bien qu’il ne suivent pas les cours jusqu’au bout à cause des examens du brevet, du bac, … souvent ils arrêtent mi juin !

Et quand un prof est absent, si les gamins n’ont pas cours pendant trois mois ça n’inquiète personne.
Je pense qu’il y a beaucoup de temps gaspillé par rapport à la quantité et la qualité des connaissances acquises.
Pour moi c’est plutôt là-dessus qu’il faut travailler. Avec moins d’élèves par classe on augmente en efficacité.
Avec moins de déplacements entre chaque cours aussi.

áPour que l’école favorise la réussite de chacun, passer du collège unique au collège pour tous
Nous souhaitons également diversifier les parcours pour mieux prendre en compte les attentes des jeunes.
Ainsi, pour que le collège soit une réussite pour chacun, nous souhaitons passer du collège unique au collège pour
tous avec une plus grande personnalisation des parcours. La transition entre le primaire et le collège doit être plus
douce. C’est pourquoi, nous limiterons le nombre d’enseignants par classe en 6e et en 5e. Nous voulons également
expérimenter des collèges organisés par classes (6e-5e et 4e-3e) plutôt que par quartiers, pour sécuriser les enfants qui
entrent au collège et casser les ghettos scolaires.

Pourquoi pas même si j’ai pas le sentiment que ça traumatise les gosses d’arriver en 6ième.
Mais ça veut dire quoi ? Que le prof de math va enseigner le sport ? Le prof de dessin le chant ?
Il va falloir revoir les concours alors, on ne sera plus prof me français mais de francais/histoire/latin, ou de math/physique/bio ?

J’aurais plutôt penché pour que les profs changent de salle à la place des élèves …
Des collèges par tranches d’âge pourquoi pas aussi mais ça risque d’être beaucoup moins pratique à gérer quand on a des gamins d’âge rapprochés mais pas dans la même tranche.

Nous souhaitons aussi diversifier l’offre d’enseignements dès la 4e avec des classes « métiers-études » permettant de
découvrir des métiers sans sortir de l’enseignement général. Ces classes permettront à ceux qui le souhaitent d’entrer en
apprentissage dès 14 ans. áPromouvoir l’égalité des chances et la méritocratie républicaine.

Peut-être … Mais est-ce qu’à 14 ans on sait déjà qu’on est foutu pour les filières générales et on est sûr du job qu’on voudra faire plus tard ?

Nous souhaitons atteindre l’objectif de 20000 places en internat d’excellence qui permettent aux élèves défavorisés
de bénéficier de meilleures conditions d’études dès lors qu’ils ont de bons résultats scolaires et qu’ils sont volontaires
et motivés.

Je suis pour l’égalité, ça veut dire que je veux qu’on donne les même chances à tous d’atteindre les mêmes buts, pas qu’on favorise des gens qu’on a laissé s’enliser car on ne voulait pas s’occuper d’eux avant.
C’est pas ça pour moi l’égalité.
C’est quoi « défavorisé » ? Le principe de l’école publique c’est de donner le même enseignement à tous, alors pourquoi après parler de « défavorisés » ?
Pour moi si ces enfants ont de bons résultats scolaires ils devraient accéder aux mêmes études que les autres.
On laisse les « défavorisés » entre eux pour ne pas qu’ils se mélangent aux autres ? Ou on les enlève de leur milieu parce que ça va les empêcher de réussir ?
J’avoue ne pas comprendre le concept là.
Moi ce que je voudrais c’est que défavorisé ou pas, on puisse avoir le même bagage et accéder aux mêmes études.

Nous voulons aussi ouvrir au moins deux « classes préparatoires aux études supérieures » par académie. Ces classes
sélectionnent après le bac les meilleurs élèves boursiers pour une année de transition vers les classes préparatoires aux
grandes écoles. Elles permettent à des élèves qui auraient un bon potentiel mais des lacunes à combler d’accéder à des
filières très sélectives, sans baisser les exigences de la méritocratie républicaine.

Pourquoi pas mais là encore je comprends pas boursier = moins bon ?

Nous poursuivrons également le développement des places en Épide (établissement public d’insertion de la défense),
en continuant à les cibler sur les jeunes en difficulté scolaire, sans qualification professionnelle ni emploi, en risque de
marginalisation et volontaires, pour les réinsérer durablement.

Pourquoi pas, c’est un métier comme un autre.

áPoursuivre la modernisation de l’enseignement supérieur L’autonomie des universités et les investissements massifs dans le supérieur au cours de ce quinquennat sont des avancées majeures pour la France. Nous voulons les poursuivre et amplifier cette
dynamique.
Je ne me rends pas compte des impacts, je n’ai pas d’opinion.

Nous voulons également rendre les licences pluridisciplinaires pour ouvrir de nouveaux horizons aux étudiants et éviter une spécialisation trop précoce.

Tiens j’ai déjà lu ça dans un autre programme, et je suis toujours pas d’accord (s’ils sont d’accord tous les deux c’est que je dois me planter).

Nous proposons aussi de développer fortement l’alternance et l’apprentissage à l’université pour rapprocher davantage les établissements supérieurs et les entreprises.

Ok.
38 ans Orgrimmar 6511
Bon en général je me la ferme quand on parle politique, mais là j'ai juste une petite précision à apporter sur un point du programme:

Pour avoir bossé en REP en très petite section (cad une classe qui accueille les enfants de moins de 3 ans) j'ai vu l'utilité que ça avait pour des enfants qui par exemple n'ont pas la possibilité de pouvoir parler français chez eux. En effet le retard qu'ils auraient pu avoir à cause de ça au CP était gommé.
Evidemment les activités étaient adaptées et surtout basées sur la découverte et la sociabilisation, mais on voyait bien l'évolution de certains bouts de choux!

Et les enfants y étaient très heureux :)
34 ans 2571
Merci d'avoir pris le temps de répondre! :D Heureusement que certains continuent de LIRE les programmes...

Comme l'école n'a pas l'air de passionner les foules lol, partons sur la famille ?

Allez, partons sur MLP pour changer :

Instituer une véritable politique familiale volontariste, nataliste et ambitieuse.

Création d’un revenu parental, dès que les finances le permettront, destiné à offrir, pendant la période souhaitée, aux mères ou aux pères de famille la possibilité de choisir librement entre l’exercice d’une activité professionnelle et l’éducation de leurs enfants : versement d’un revenu équivalent à 80% du SMIC pendant 3 ans à partir du 2ème enfant, renouvellement d’une durée de 4 ans pour le 3e enfant.
Mise en place d’un statut juridique et social dans le cas du choix de ce revenu parental, pour la mère ou le père concerné : protection sociale, droit renforcé à la formation professionnelle.
Abaissement de l’âge de la retraite pour les mères ayant élevé au moins trois enfants ou ayant élevé un enfant handicapé.
Aide à la garde des enfants afin que chaque Français(e) puisse plus facilement concilier une vie professionnelle épanouie et une vie familiale heureuse.
Lutte contre la vulnérabilité et l’accroissement de la pauvreté des familles monoparentales françaises en les accompagnant dans leur recherche de logement et en mobilisant les grandes entreprises sur leurs conditions de travail (flexibilité des horaires).
Les allocations familiales, réservées aux familles dont un parent au moins est français, seront revalorisées et indexées sur le coût de la vie. Elles retrouveront pour objectif la couverture d’une partie conséquente du coût réel de l’enfant à charge.
Si une telle politique crée des droits, elle implique aussi des devoirs. Les facilités qu’elle procure supposent que les parents assument leurs responsabilités vis-à-vis de leurs enfants. En cas de manquement, ils devraient en être partiellement ou même totalement privés, sur décision de justice. Les sommes qui ne leur seraient pas versées reviendraient à un fonds de soutien collectif aux familles.
Le libre choix pour les femmes doit pouvoir être aussi celui de ne pas avorter : une meilleure prévention et information sont indispensables, une responsabilisation des parents est nécessaire, la possibilité d’adoption prénatale doit être proposée, une amélioration des prestations familiales pour les familles nombreuses doit être instaurée
Amélioration du statut des familles d’accueil : tout en exerçant un contrôle strict afin d’éradiquer la maltraitance des enfants (qui devra être sévèrement sanctionnée), il faut impérativement humaniser le statut de ces familles d’accueil qui se voient retirer du jour au lendemain des enfants malgré de forts liens d’affection qui se sont tissés avec eux.
La réussite française que représente l’école maternelle doit être préservée, alors que de plus en plus depuis 2007 les enfants de moins de 3 ans en sont exclus, pour des raisons purement comptables.
Le préfet de département veillera à ce que les collectivités territoriales privilégient le développement des crèches dans leurs budgets
Veiller à ne pas instaurer la CSG, comme prévu dans le projet de la loi de financement de la Sécurité Sociale minorant de 6% le CLCA (complément de libre choix d’activité), prestation permettant d’aider le parent qui fait le choix de réduire partiellement ou totalement son activité professionnelle à s’occuper de son enfant de moins de trois ans


Protéger et valoriser la famille

Suicide des enfants : une récente étude effectuée par le psychiatre Boris Cyrulnik indique de façon très alarmante que le suicide touche désormais de très jeunes enfants (26 suicides dénombrés en 2008 chez des enfants âgés de 5 à 14 ans). Rappelons que le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les adolescents. Cet état dépressif et cette grave détresse des jeunes et des enfants sont le résultat de la destruction de la cellule familiale, ayant perdu ses repères, sa valeur d’exemple, d’absences de limites clairement définies (autorité, respect mérite), de la situation économique précaire particulièrement des mères seules pour élever leurs enfants, de l’isolement moral et psychique créé par internet, face book et autres jeux vidéo sans surveillance. Il est donc tout à fait impératif de remettre la protection familiale au centre des préoccupations gouvernementales.
Défendre la structure familiale : institution irremplaçable, la famille représente le caractère central de la société, la famille doit se fonder exclusivement sur l’union d’un homme et d’une femme et accueillir des enfants nés d’un père et d’une mère. Nous nous opposerons donc à toute demande de création d’un mariage homosexuel et/ou d’une adoption par des couples homosexuels. Pour autant, la vie commune suscitant des intérêts matériels communs, le PACS apporte une solution suffisante et ne sera pas remis en cause.
Défendre l’enfant contre la violence : la loi de juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse et l’action renouvelée et encouragée des associations familiales doivent permettre une meilleure protection des enfants contre toutes les formes de violence, y compris la violence pornographique et la violence morale via internet. Tout acte de maltraitance, de violence, a fortiori de pédophilie envers les enfants devront être très sévèrement punis.

Je ne sais même pas quoi dire tellement ça me désole lol.
47 ans Lille 7000
DDounette a écrit:
A y est, j'ai pris le temps de me pencher sur le sujet.

PS

Je créerai en cinq ans 60 000 postes supplémentaires dans l’éducation. Ils couvriront tous les métiers. Je mettrai en place un prérecrutement des enseignants avant la fin de leurs études. Pour tous, je rétablirai une formation initiale digne de ce nom.

J’aimerai connaître la proportion d ‘enseignants.
Plus d’enseignants ok, les autres métiers je ne sais pas s’il y a un réel besoin.
( voir cette vidéo pour les chiffres http://www.soseducatio.../greve27septembre/indexIE.html )

pr avoir travailler qq années ds l'éducation nationale en tps que pionne et pr cotoyer régulièrement les instit' des écoles de mes enfants, je dirais qu'il y a aussi besoin d’assistants d'éducation pr maintenir un certain climats de sérénité ds les écoles, et pr les petis écoles de secrétaire ( supprimés depuis cette année et c'est la merde depuis)... ms surtt des profs remplaçants parce que là on atteint le fond du fond, vu que les arrêts de travail ne sont pas remplacés, et les congés mat' posent aussi de gros soucis...
46 ans Sous le chant des cigales ^^ 3642
En fait je ne voulais pas dire qu'il n'y avait pas de besoins mais que je ne savais vraiment pas quels étaient les besoins ni s'il n'y avait pas aussi une mauvaise gestion.

Je sais qu'il manque aussi d'autres postes car mon fils aurait besoin par exemple du rased ou d'une avs et on n'arrive pas à l'avoir.

En fait ce que je ne voudrais pas c'est qu'ils créent surtout des postes administratifs, c'est pour ça que j'aurais aimé plus de précisions, des postes dans l'éducation c'est assez vague.

@Yuutsu : il n'y a pas qu'à l'école qu'on parle français.
Quand je parle de crêches ou de jardins d'enfant, je n'envisage pas d'y faire travailler du personnel qui ne parlerait pas français. Et je trouve que de toute façon, enseigner à des gamins de 10 ans ou de 2 ans, ce n'est pas tout à fait le même métier.
46 ans Sous le chant des cigales ^^ 3642
Instituer une véritable politique familiale volontariste, nataliste et ambitieuse.

Création d’un revenu parental, dès que les finances le permettront, destiné à offrir, pendant la période souhaitée, aux mères ou aux pères de famille la possibilité de choisir librement entre l’exercice d’une activité professionnelle et l’éducation de leurs enfants : versement d’un revenu équivalent à 80% du SMIC pendant 3 ans à partir du 2ème enfant, renouvellement d’une durée de 4 ans pour le 3e enfant.
Mise en place d’un statut juridique et social dans le cas du choix de ce revenu parental, pour la mère ou le père concerné : protection sociale, droit renforcé à la formation professionnelle.
Abaissement de l’âge de la retraite pour les mères ayant élevé au moins trois enfants ou ayant élevé un enfant handicapé.
Aide à la garde des enfants afin que chaque Français(e) puisse plus facilement concilier une vie professionnelle épanouie et une vie familiale heureuse.
Je demande à en savoir plus.

J’ai cru comprendre que c’était moins intéressant que de toucher le RMI, mais quid des familles où l’un des deux à un revenu ? La femme a-t-elle droit au RMI ? Cela remplace-t-il le congé parental actuel ? Cela vient-il en complément ? Par exemple une femme qui aurait un bon poste dans un entreprise et qui prendrait un congé parental avec pour finalité le retour dans cette entreprise toucherait-elle ces 80% pendant son congé ? L’histoire du renouvellement signifie qu’on pourrait toucher ça jusqu’aux 7 ans du 3ième enfant ? Serait-il possible que les deux parents en profitent en même temps ou à tout de rôle ?
Bref c’est trop flou pour me prononcer, il y a à la fois une bonne intention, et en même temps c’est trop vague, on se demande si le but n’est pas le retour des femmes à la maison.

Pour l’abaissement de l’âge de la retraite je trouve ça bien, mais pour les mères ou les pères qui ont stoppé leur activité pour élever leurs enfants, pas juste pour les mères. Sinon ça existe déjà pour les mères.

L’aide à la garde ça existe déjà par le biais de la caf, que propose-t-elle de concret et de différent ou mieux ?

Lutte contre la vulnérabilité et l’accroissement de la pauvreté des familles monoparentales françaises en les accompagnant dans leur recherche de logement et en mobilisant les grandes entreprises sur leurs conditions de travail (flexibilité des horaires).
Flexibilité des horaires ok. Le concept existe déjà puisque les accords sur l’égalité salariale (plus de 50 salariés) peuvent le proposer. Il suffit de négocier et si le patron est ok il l’inclus dans l’accord.
Que propose-t-elle de plus, de les obliger à le faire ?
Accompagner les recherches de logement ok, mais comment et à quoi ça sert ? Ca ne va pas créer plus de logement, le problème pour en trouver, c’est qu’il en manque, pas qu’on cherche mal.

Les allocations familiales, réservées aux familles dont un parent au moins est français, seront revalorisées et indexées sur le coût de la vie. Elles retrouveront pour objectif la couverture d’une partie conséquente du coût réel de l’enfant à charge.
Oui, et aussi pour les enfants français, même si leurs parents ne le sont pas. Eux sont français, donc égalité des droits. Après en ce qui concerne les étrangers je n’ai pas d’avis tranché. Ca dépend de pas mal de choses, si en contrepartie ils ne sont pas obligés de cotiser pour ça, on peut l’envisager, sinon non.

Si une telle politique crée des droits, elle implique aussi des devoirs. Les facilités qu’elle procure supposent que les parents assument leurs responsabilités vis-à-vis de leurs enfants. En cas de manquement, ils devraient en être partiellement ou même totalement privés, sur décision de justice. Les sommes qui ne leur seraient pas versées reviendraient à un fonds de soutien collectif aux familles.
Pas d’accord, les conneries d’un enfant ne doivent pas impacter sur toute une famille. Les parents ne sont pas seuls responsables quand leur enfant fait une connerie. Et qu’appelle-t-elle « manquement à leur responsabilités » ? De quoi parle-t-elle ? D’absentéisme à l’école, de délinquance, d’autre chose ? On ne sait pas de quoi elle parle.

Le libre choix pour les femmes doit pouvoir être aussi celui de ne pas avorter : une meilleure prévention et information sont indispensables, une responsabilisation des parents est nécessaire, la possibilité d’adoption prénatale doit être proposée, une amélioration des prestations familiales pour les familles nombreuses doit être instaurée
Heu pourquoi ? On n’avait pas le choix de ne pas avorter ???

Non pas pour l’adoption prénatale, pour moi le parent bio a la priorité sur l’adoptant. Et le parent bio peut changer d’avis tant qu’il n’a pas tenu son enfant dans les bras.

Pourquoi pas améliorer les prestations pour les familles nombreuses, oui… et en même temps ça aidera pas à faire fermer leur clapet à ceux qui disent « Les gens qui ont des familles nombreuses font des gosses pour les allocs ».
Amélioration du statut des familles d’accueil : tout en exerçant un contrôle strict afin d’éradiquer la maltraitance des enfants (qui devra être sévèrement sanctionnée), il faut impérativement humaniser le statut de ces familles d’accueil qui se voient retirer du jour au lendemain des enfants malgré de forts liens d’affection qui se sont tissés avec eux.

Oui, c’est vrai que parfois c’est mal foutu, je connais des enfants retirés à la famille d’accueil alors que tout le monde était heureux, juste parce que les liens qu’ils avaient tissé étaient trop forts. C’est triste.

La réussite française que représente l’école maternelle doit être préservée, alors que de plus en plus depuis 2007 les enfants de moins de 3 ans en sont exclus, pour des raisons purement comptables.
Le préfet de département veillera à ce que les collectivités territoriales privilégient le développement des crèches dans leurs budgets
Même avis que plus haut, même à trois ans je les trouve petits pour rester concentrés assis sur une chaise à faire des activités imposées, donc oui à la préscolarisation mais pas dans les mêmes structures que des grands. La plupart des enfants ne sont propres que vers 3 ans. Quand on voit déjà des gamins de 3 ans revenir de l’école avec les traces de pneu, j’imagine des gamins de deux ans qui portent des couches. Va-t-on forcer leur rythme biologique pour qu’ils rentrent dans le moule de l’école ? L’école n’acceptera-t-elle que les moins de 3 ans qui sont propres ?
Oui pour plus de crèches.
Mais pour bien faire je serais plutôt pour des crèches gratuites, comme l’école, plutôt que de faire intégrer l’école trop tôt à des tout petits.

Veiller à ne pas instaurer la CSG, comme prévu dans le projet de la loi de financement de la Sécurité Sociale minorant de 6% le CLCA (complément de libre choix d’activité), prestation permettant d’aider le parent qui fait le choix de réduire partiellement ou totalement son activité professionnelle à s’occuper de son enfant de moins de trois ans
Sans opinion.
La CSG est le pire impôt inventé ! La CSG c’est un impôt sur de l’argent qu’on n’a pas touché.
Moi je préférerait plutôt la supprimer complètement mais si elle est partout, pourquoi pas ici aussi ? Qu’en est-il des autres allocations de la caf ? Soumises à CSG aussi ?

Protéger et valoriser la famille

Suicide des enfants : une récente étude effectuée par le psychiatre Boris Cyrulnik indique de façon très alarmante que le suicide touche désormais de très jeunes enfants (26 suicides dénombrés en 2008 chez des enfants âgés de 5 à 14 ans). Rappelons que le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les adolescents. Cet état dépressif et cette grave détresse des jeunes et des enfants sont le résultat de la destruction de la cellule familiale, ayant perdu ses repères, sa valeur d’exemple, d’absences de limites clairement définies (autorité, respect mérite), de la situation économique précaire particulièrement des mères seules pour élever leurs enfants, de l’isolement moral et psychique créé par internet, face book et autres jeux vidéo sans surveillance. Il est donc tout à fait impératif de remettre la protection familiale au centre des préoccupations gouvernementales.

Et elle veut faire ça comment ?

Défendre la structure familiale : institution irremplaçable, la famille représente le caractère central de la société, la famille doit se fonder exclusivement sur l’union d’un homme et d’une femme et accueillir des enfants nés d’un père et d’une mère. Nous nous opposerons donc à toute demande de création d’un mariage homosexuel et/ou d’une adoption par des couples homosexuels. Pour autant, la vie commune suscitant des intérêts matériels communs, le PACS apporte une solution suffisante et ne sera pas remis en cause.
Vaste sujet … Je suis pour l’homoparentalité.
Par contre je ne vois pas, à partir du moment où on règlera ce problème là, en quoi le mariage va apporter quoi que ce soit de plus que le Pacs ? A part la parentalité et le côté cérémonie je ne connais pas les différences … Il faudrait que je comprenne leurs motivations et ce que ça va leur apporter pour être pour, mais je n’ai aucun argument pour y être opposé.
Si ce n’est que je trouve curieux de vouloir de quelque chose inspiré de la religion pour officialiser une relation que la religion rejette.
Je ne suis pas mariée, c’est peut-être de là que vient mon incompréhension du sujet.

Défendre l’enfant contre la violence : la loi de juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse et l’action renouvelée et encouragée des associations familiales doivent permettre une meilleure protection des enfants contre toutes les formes de violence, y compris la violence pornographique et la violence morale via internet. Tout acte de maltraitance, de violence, a fortiori de pédophilie envers les enfants devront être très sévèrement punis.
Pourquoi ce n’est pas déjà le cas ?


Ressentit général : elle brasse vraiment du vent, et quand ce n’est pas le cas, je suis rarement d’accord avec elle.
34 ans 2571
Les allocations familiales, réservées aux familles dont un parent au moins est français, seront revalorisées et indexées sur le coût de la vie. Elles retrouveront pour objectif la couverture d’une partie conséquente du coût réel de l’enfant à charge.
Si une telle politique crée des droits, elle implique aussi des devoirs. Les facilités qu’elle procure supposent que les parents assument leurs responsabilités vis-à-vis de leurs enfants. En cas de manquement, ils devraient en être partiellement ou même totalement privés, sur décision de justice. Les sommes qui ne leur seraient pas versées reviendraient à un fonds de soutien collectif aux familles.

Là je ne suis pas d'accord. Si un gamin de 15 ans sèche le collège (pour diverses raisons, généralement souvent il y a déjà des difficultés), faire baisser les revenus de la famille, y compris des autres enfants me paraît injuste. C'est pas en enfonçant les parents qui ont du mal à gérer qu'on va arranger les choses.

Le libre choix pour les femmes doit pouvoir être aussi celui de ne pas avorter : une meilleure prévention et information sont indispensables, une responsabilisation des parents est nécessaire, la possibilité d’adoption prénatale doit être proposée, une amélioration des prestations familiales pour les familles nombreuses doit être instaurée

On a déjà le choix de ne pas avorter lol!! Evidemment, c'est n'importe quoi.
L'adoption prénatale, je suis contre, comme DDounette : un parent peut changer d'avis jusqu'à ce qu'il ait tenu son bébé dans ses bras. c'est inhumain sinon.


Amélioration du statut des familles d’accueil : tout en exerçant un contrôle strict afin d’éradiquer la maltraitance des enfants (qui devra être sévèrement sanctionnée), il faut impérativement humaniser le statut de ces familles d’accueil qui se voient retirer du jour au lendemain des enfants malgré de forts liens d’affection qui se sont tissés avec eux.

Ce sont de bons sentiments, sans rien de concret. Personne ne va dire qu'il faut faire le contraire. Comment elle compte s'y prendre ? mystère!

Protéger et valoriser la famille

Suicide des enfants : une récente étude effectuée par le psychiatre Boris Cyrulnik indique de façon très alarmante que le suicide touche désormais de très jeunes enfants (26 suicides dénombrés en 2008 chez des enfants âgés de 5 à 14 ans). Rappelons que le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les adolescents. Cet état dépressif et cette grave détresse des jeunes et des enfants sont le résultat de la destruction de la cellule familiale, ayant perdu ses repères, sa valeur d’exemple, d’absences de limites clairement définies (autorité, respect mérite), de la situation économique précaire particulièrement des mères seules pour élever leurs enfants, de l’isolement moral et psychique créé par internet, face book et autres jeux vidéo sans surveillance. Il est donc tout à fait impératif de remettre la protection familiale au centre des préoccupations gouvernementales.

Idem : oui oui, bla bla, ce sont des évidences, mais quoi de concret ?

Défendre la structure familiale : institution irremplaçable, la famille représente le caractère central de la société, la famille doit se fonder exclusivement sur l’union d’un homme et d’une femme et accueillir des enfants nés d’un père et d’une mère. Nous nous opposerons donc à toute demande de création d’un mariage homosexuel et/ou d’une adoption par des couples homosexuels. Pour autant, la vie commune suscitant des intérêts matériels communs, le PACS apporte une solution suffisante et ne sera pas remis en cause.

Je suis pour l'homoparentalité :
1) les premières expériences ont montré que ces enfants sont exactement comme les autres, ni plus perturbés, ni moins, pareil.
2) de fait, des enfants sont souvent élevés par 2 hommes ou 2 femmes (une mère et sa fille...)
3) dans d'autres cultures, la famille est différemment construite et ça n'a jamais été un souci
4) franchement, je vois pas en quoi la sexualité a la moindre incidence sur la capacité à être parent.
5) les pédopsychiatres disent et répètent que tout ce qui compte, c'est d'avoir des hommes et des femmes dans son entourage élargi, c'est tout
6) a ce moment-là, pourquoi tolérer les familles monoparentales ? Il me semble que c'est pire non, si on suit cette logique ?
7) Avec tous les enfants orphelins en foyers, il serait peut-être temps de les placer dans des couples aimants, ayant envie d'un enfant, sincèrement.

Défendre l’enfant contre la violence : la loi de juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse et l’action renouvelée et encouragée des associations familiales doivent permettre une meilleure protection des enfants contre toutes les formes de violence, y compris la violence pornographique et la violence morale via internet. Tout acte de maltraitance, de violence, a fortiori de pédophilie envers les enfants devront être très sévèrement punis.

C'est déjà le cas. Que propose-t-elle de plus ?


Je me suis déjà exprimée sur le salaire parental, qui me paraît dangereux et plein d'effets pervers surtout en cette situation de crise : s'il devient plus avantageux pour une famille de laisser la femme à la maison et de privilégier la carrière du père, eh bien elle ne va pas hésiter. C'est une catastrophe en terme de féminisme, à mon avis.
T
53 ans 77
Je reviens poster le programme sur l'école d'MLP : je le mets en entier, tout ce qu'il y a sur le site du FN.

Cela ne concerne que l'école : il y a une autre partie sur l'enseignement supérieur que je ne mets pas.

Ce n'est pas vraiment mon domaine, aussi, ne vous attendez pas à ce que je critique aussi adroitement que vous ce sujet sur n'importe quel candidat.

J'ai quelques a priori, mais pas suffisament pour établir une critique.

C'est parti !

Ecole

L’école est un service organique de la République. A l’école, se prépare l’avenir de la Nation. Elle instruit le citoyen, capable de penser par lui-même et d’assumer sa liberté. Mais la République a besoin de savants, de techniciens et de cadres. L’école doit donc assurer la sélection des meilleurs par la promotion de tous. L’élitisme républicain, qui repose sur une exigence collective et sur l’effort individuel, est le meilleur levier pour assurer l’égalité des chances. Le laxisme scolaire enferme les plus défavorisés sur le plan culturel et social et permet la reproduction héréditaire des élites. C’est l’objectif inverse qu’il faut viser.

ANALYSE
L’école va mal, et le quinquennat de Nicolas Sarkozy n’aura fait qu’aggraver la situation : suppression déraisonnable de postes d’enseignants, dans une optique purement comptable et sans vision globale de réorganisation, laxisme face aux violences scolaires en progression continue, dispersion des apprentissages au détriment du français et du calcul, mise à l’arrière-plan de l’histoire de France, pour des raisons essentiellement idéologiques.
Platon a écrit : « Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne, alors c’est là en toute beauté et en toute jeunesse le début de la tyrannie. »
Ce qui n’était à l’époque qu’une réflexion philosophique très juste est aujourd’hui devenue réalité dans bon nombre d’établissements scolaires. Depuis une quinzaine d’années, l’insécurité à l’école n’a cessé de progresser, de l’ordre de 10% par an d’après les chiffres officiels. Or la transmission du savoir ne peut s’effectuer ni dans le chaos, ni dans l’anarchie.
L’autre chantier essentiel qu’il nous faut ouvrir rapidement concerne les savoirs. Inutile de le nier : le niveau des élèves baisse d’année en année. Des études confirment ce sentiment partagé par tous et chacun. Le ministère de l’Education nationale a publié en janvier 2009 une étude réalisée en 1987 puis en 2007 auprès de 4000 élèves de CM2. Ses résultats sont sans appel : aussi bien en lecture qu’en calcul ou en orthographe, le niveau a chuté. Quand les élèves faisaient en moyenne 11 fautes à une dictée en 1987, ils en font aujourd’hui 15 sur la même dictée.
La préparation à la citoyenneté est un autre défi. Elle doit être instillée dès l’école maternelle en appelant au respect de la loi et du savoir-vivre ensemble, par une éducation civique élémentaire et par la formation à la morale républicaine.
Pour que le futur citoyen puisse au moins appréhender les termes du débat public et y participer, la priorité doit être donnée à l’apprentissage du français, nécessaire à tout échange. Le français, langue latine s’écrivant dans un alphabet latin, seule la méthode syllabique est appropriée pour apprendre à le lire et à l’écrire correctement. Son enseignement comprend le vocabulaire, l’orthographe, la grammaire et l’approche des grands auteurs.
S’y ajoutent d’une part des notions solides sur l’histoire de France, à partir de la chronologie et de figures symboliques qui se gravent dans les mémoires, d’autre part une connaissance de la géographie du pays, reposant sur des cartes. À l’école primaire, s’ajoute encore l’apprentissage du calcul. Tout au long de la scolarité, les enseignements doivent être délivrés dans une langue limpide, d’où sont bannis les termes jargonnant et les dernières modes qui peuvent agiter légitimement les spécialistes. L’objectif n’est pas un savoir de spécialistes, mais un viatique pour vivre ensemble. Pour utiles qu’elles soient, les technologies de la communication ne sauraient remplacer le contact entre le maître et l’élève.
L’école doit aussi donner au citoyen les moyens de subvenir à ses besoins et à ceux des siens, sachant qu’il changera probablement trois ou quatre fois de métier au cours de sa vie active. Les programmes doivent présenter les fondamentaux de chaque matière dans une perspective d’ouverture.
L’école n’est pas « un lieu de vie » où l’enfant construirait son savoir par lui-même. Depuis 1968, les méthodes pédagogistes ont peu à peu démantelé l’école de la République, bloquant l’ascenseur social et faisant de nos enfants des cobayes livrés à toutes les expériences plus catastrophiques les unes que les autres. Au centre de l’école, doit se trouver la transmission des connaissances, acquises difficilement par l’humanité au cours des siècles. Le maître sait, et n’a pas à être tutoyé par l’élève, qui lui doit respect et obéissance pour apprendre grâce à son effort évalué par la notation. Si félicitations et encouragements sont nécessaires, les sanctions sont tout aussi inévitables.

POSITIONS
L’école sanctuaire, lieu de neutralité
- A l’école, la laïcité qui est non seulement la neutralité religieuse mais aussi la neutralité politique sera appliquée avec la plus grande fermeté.
- L’école doit être un sanctuaire, mettant à l’abri des modes et des lubies l’exigence de transmission des savoirs, des connaissances et du goût de l’effort. Les méthodes et l’état d’esprit pédagogistes n’y ont plus leur place.
La valeur centrale de discipline
- L’école est un lieu à part dans la République, ce n’est pas un simple appendice de la société. Il faut donc en revenir à ce principe simple : à l’école tout le monde n’est pas au même niveau. Le professeur est au-dessus de l’élève. Et le parent d’élève n’est pas le client du professeur. L’accent sera mis sur cette évidence dans la formation des enseignants.
- La valeur centrale de respect du professeur retrouvera toute sa place à l’école : cela passe par des choses simples : se lever quand le professeur entre en classe, bannir le tutoiement par l’élève de l’enseignant.
- Les professeurs devront pouvoir s’appuyer sur leur administration et leur hiérarchie dans l’entreprise de rétablissement de leur autorité.
La lutte contre les violences scolaires et les atteintes aux professeurs : tolérance zéro
- L’insécurité à l’école doit être traitée de la même manière que l’insécurité en général : tolérance zéro. Les établissements les plus dangereux seront équipés de portiques de détection des métaux, même temporairement.
- Alourdissement des peines pour les personnes coupables d’avoir agressé physiquement ou verbalement un enseignant.
Se centrer sur les savoirs fondamentaux
- L’accent sera mis dès la maternelle, et plus encore à l’école élémentaire, sur l’apprentissage des savoirs fondamentaux : français, calcul.
- Augmentation en conséquence du nombre d’heures consacrées à ces matières, qui a sans cesse baissé depuis les années 1970. En 1976, un élève qui sortait du collège avait reçu 2800 heures d’enseignement du français depuis son entrée en CP. En 2004, c’était 2000 heures, soit 800 de moins, l’équivalent de deux ans et demi de cours.
Les parents d’élèves
- Instauration de cours de français obligatoires pour les parents qui ne maîtrisent pas notre langue nationale, pour inciter les parents à franchir le seuil de l’école et à discuter avec l’équipe éducative de la scolarité de leur enfant.
Méthodes d’enseignement : la fin de l’aventure pédagogiste
- Fin de l’aventure pédagogiste : la méthode syllabique sera obligatoire en CP, l’histoire sera apprise de façon chronologique tout au long de la scolarité. La géographie sera enseignée sur des cartes, et l’apprentissage de la géographie française obligatoire.
- L’histoire de France retrouvera sa place au cœur de l’apprentissage
- Maintien obligatoire de la note
La priorité : le redressement de l’école primaire
- L’école primaire doit donc être réformée en profondeur. Il faut en particulier revoir le statut de l’école, créer un nouveau type d’établissement public sur le modèle des collèges et lycées.
- En parallèle, un statut du directeur d’école devra lui donner les moyens d’accomplir complètement ses missions. Une revalorisation de la rémunération et une amélioration du régime de décharge sont indispensables pour pallier les problèmes actuels de recrutement, qui sont préoccupants.
Revalorisation des filières manuelles
- Suppression progressive sur le quinquennat du collège unique qui a été un terrible échec.
- Les filières techniques et manuelles seront revalorisées
-L’apprentissage à 14 ans sera rétabli
- Maintien du baccalauréat, qui doit retrouver son caractère sélectif : refus de tout contrôle continu : seul l’examen national permet l’égalité.
L’égalité sur les territoires
- Pas de remise en cause de la décentralisation des collèges et des lycées aux départements et aux régions, qui date de 1984, mais mise en place des mécanismes de péréquation nécessaires à une vraie égalité entre les élèves sur le territoire national.
- La décision de fermer les petits collèges de moins de 200 élèves à la campagne sera revue. Les méga-structures ne réussissent pas nécessairement. La proximité a d’immenses vertus.
- Le ministère de l’Education nationale devra faire une place toute particulière aux problématiques rurales dans son organisation interne, et les intérêts ruraux seront mieux représentés dans les cabinets ministériels.
Les enseignants au cœur de l’école
- La politique du « 1 sur 2 » (non remplacement d’un enseignant partant à la retraite sur deux) cessera : l’intégralité des départ à la retraite sera remplacée. Il n’y aura cependant pas de créations de postes supplémentaires, dans un souci de responsabilité budgétaire.
- Les efforts de réduction d’effectifs seront concentrés sur l’administration centrale du ministère de l’Education nationale
46 ans Sous le chant des cigales ^^ 3642
ok, on attend maintenant ton opinion là dessus.
46 ans Sous le chant des cigales ^^ 3642
Moi je donne la mienne.


A l’école, la laïcité qui est non seulement la neutralité religieuse mais aussi la neutralité politique sera appliquée avec la plus grande fermeté.
Pourquoi c’est pas déjà le cas ? Des exemples ?

L’école doit être un sanctuaire, mettant à l’abri des modes et des lubies l’exigence de transmission des savoirs, des connaissances et du goût de l’effort. Les méthodes et l’état d’esprit pédagogistes n’y ont plus leur place.
Ca veut dire quoi ? Elle parle de Montessori, Freinet, … ?
Pfiou, c’est vrai que les gamins qui sortent de là sont des ratés :shock:

L’école est un lieu à part dans la République, ce n’est pas un simple appendice de la société. Il faut donc en revenir à ce principe simple : à l’école tout le monde n’est pas au même niveau. Le professeur est au-dessus de l’élève. Et le parent d’élève n’est pas le client du professeur. L’accent sera mis sur cette évidence dans la formation des enseignants.
Il me semble que c’est déjà comme ça que ça fonctionne, enfin tous les gens que je connais pensent comme ça. Ceci dit si hiérarchiquement il est au dessus, humainement il est à égalité.
Bon elle sous entend quoi au final, que tous les parents passent leur temps à pourrir la vie des profs ?

La valeur centrale de respect du professeur retrouvera toute sa place à l’école : cela passe par des choses simples : se lever quand le professeur entre en classe, bannir le tutoiement par l’élève de l’enseignant.
Ok, je trouve que la politesse et le respect c’est bien mais chaque enseignant est libre dans sa classe de choisir de se faire vouvoyer ou de demander que les élèves se lèvent. Il est où le problème en fait ?

Les professeurs devront pouvoir s’appuyer sur leur administration et leur hiérarchie dans l’entreprise de rétablissement de leur autorité.
Oui c’est quoi le « rétablissement de leur autorité », les chatiments corporels ? :lol:
Non sérieux ? Elle parle de ça ?

L’insécurité à l’école doit être traitée de la même manière que l’insécurité en général : tolérance zéro. Les établissements les plus dangereux seront équipés de portiques de détection des métaux, même temporairement.
Mouais, c’est une idée mais ça va coûter combien par rapport au nombre d’armes qui pénètrent réellement en cours ? Je n’ai pas de chiffres, là je pose juste une question.

Alourdissement des peines pour les personnes coupables d’avoir agressé physiquement ou verbalement un enseignant.
Enseignant ou pas, il s’agit d’une agression, pourquoi une peine alourdie ? Une peine juste, et c’est tout.

L’accent sera mis dès la maternelle, et plus encore à l’école élémentaire, sur l’apprentissage des savoirs fondamentaux : français, calcul.
Avec des enfants en maternelle et en primaire, je dirais que c’est le cas. Elle veut changer quoi ?

Augmentation en conséquence du nombre d’heures consacrées à ces matières, qui a sans cesse baissé depuis les années 1970. En 1976, un élève qui sortait du collège avait reçu 2800 heures d’enseignement du français depuis son entrée en CP. En 2004, c’était 2000 heures, soit 800 de moins, l’équivalent de deux ans et demi de cours.
Bon, elle compte diminuer quelles matières pour augmenter les maths et le français ?

Instauration de cours de français obligatoires pour les parents qui ne maîtrisent pas notre langue nationale, pour inciter les parents à franchir le seuil de l’école et à discuter avec l’équipe éducative de la scolarité de leur enfant.
Faut arrêter avec ça, la plupart des gens qui s’installent en France connaissent très vite les bases du français, ils sont obligés pour trouver du travail, faire des démarches administratives ou avoir une vie sociale. Ca concerne vraiment combien de personnes ?

Fin de l’aventure pédagogiste : la méthode syllabique sera obligatoire en CP, l’histoire sera apprise de façon chronologique tout au long de la scolarité. La géographie sera enseignée sur des cartes, et l’apprentissage de la géographie française obligatoire.
Bon alors la plupart des maitresses font un mix des deux méthodes, celles que je connais sont plutôt dirigées vers la syllabique. Pour info ça fait quelques années qu’on a réintroduit la syllabique.
L’histoire et la géo je ne sais pas, elle font comment les maitresses aujourd’hui ?

L’histoire de France retrouvera sa place au cœur de l’apprentissage
Pareil je ne connais pas les programmes mais il me semble qu’on apprend surtout celle de France. L’histoire de Chine ou du Royaume Uni j’en ai pas grands souvenirs.

Maintien obligatoire de la note
Moi je suis plus pour des apréciations comme acquis, non acquis, en cours d’acquisition.
Mais les notes existent toujours, mon fils me ramène des TB, B, 8/10, 6/10, 15/15. Bref des notes quoi.

L’école primaire doit donc être réformée en profondeur. Il faut en particulier revoir le statut de l’école, créer un nouveau type d’établissement public sur le modèle des collèges et lycées.
C'est-à-dire ? Que les enfants de primaire aient plusieurs profs et se déplacent de classe en classe ? Non, pas d’accord.

En parallèle, un statut du directeur d’école devra lui donner les moyens d’accomplir complètement ses missions. Une revalorisation de la rémunération et une amélioration du régime de décharge sont indispensables pour pallier les problèmes actuels de recrutement, qui sont préoccupants.
Oui c’est possible qu’il y ait un problème et des progrès à faire mais ça ça va avec le plus d’enseignants, et ça sera réglé.

Suppression progressive sur le quinquennat du collège unique qui a été un terrible échec.
Le collège unique ? Elle veut le remplacer par quoi ?
Les filières techniques et manuelles seront revalorisées
Oui pourquoi pas, il faut de tous les métiers, pourquoi trainer dans les trucs théoriques si on n’est pas fait pour. Mais c’est pas contradictoire avec le début ? Avec la reproduction héréditaire des élites ?

L’apprentissage à 14 ans sera rétabli
Je sais pas, comme dit plus haut, peut-être que c’est bien quand on a un gamin perdu qui s’en fout de l’école mais est-ce que c’est pas un peu jeune pour savoir vraiment ce qui nous interresse vraiment dans la vie ?

Maintien du baccalauréat, qui doit retrouver son caractère sélectif : refus de tout contrôle continu : seul l’examen national permet l’égalité.
Et bien le bac a du changer depuis que je l’ai passé, pour moi ce n’était pas un contrôle continu.
Je pense que ça peut permettre à un enfant qui a des capacités d’avoir son bac même s’il se plante à l’exam, et vice et versa un cancre devra faire un super effort pour avoir son bac s’il s’est glandé toute l’année. Donc je ne vois pas où est le mal.

Pas de remise en cause de la décentralisation des collèges et des lycées aux départements et aux régions, qui date de 1984, mais mise en place des mécanismes de péréquation nécessaires à une vraie égalité entre les élèves sur le territoire national.
Alors là je suis un manche pour donner un avis. Cependant que veut-elle dire par mécanismes nécessaires à une égalité ?

La décision de fermer les petits collèges de moins de 200 élèves à la campagne sera revue. Les méga-structures ne réussissent pas nécessairement. La proximité a d’immenses vertus.
Oui, ok.

Le ministère de l’Education nationale devra faire une place toute particulière aux problématiques rurales dans son organisation interne, et les intérêts ruraux seront mieux représentés dans les cabinets ministériels.
Oui. Bon une place et être représenté c’est bien, mais concrètement elle prévoit quoi ?

La politique du « 1 sur 2 » (non remplacement d’un enseignant partant à la retraite sur deux) cessera : l’intégralité des départ à la retraite sera remplacée. Il n’y aura cependant pas de créations de postes supplémentaires, dans un souci de responsabilité budgétaire.
Bon c’est déjà pas mal mais y’a peut être autre chose à faire en complément ? Sinon ça va rien changer, vu que aujourd’hui le 1 sur 2 qui n’est pas encore à la retraite il est déjà là ? Ca va changer quoi ?

Les efforts de réduction d’effectifs seront concentrés sur l’administration centrale du ministère de l’Education nationale
Oui, peut-être qu’il y a trop d’administratifs, ça je ne peux pas vraiment juger je ne bosse pas avec.


En fait elle ne dit jamais rien de concret et de détaillé, elle énonce des faits et dit qu'elle va résoudre les problèmes associés mais elle ne dit pas comment.
En fait quand on le lit comme ça on se dit, oui pourquoi pas, et puis en fait c'est hyper creux ce qu'elle propose.
M'enfin les gens ne lisent vraiment pas les programmes, c'est désespérants !
T
53 ans 77
J'ai écrit :

"Ce n'est pas vraiment mon domaine, aussi, ne vous attendez pas à ce que je critique aussi adroitement que vous ce sujet sur n'importe quel candidat"

Il me semble qu'il y a des profs parmis vous : c'est plutôt à elles de nous donner leur avis.

Ils font tous de belles promesses pour l'école : après, quel est le programme qui intéresse le plus les profs, pour l'avenir de nos enfants ?
46 ans Sous le chant des cigales ^^ 3642
Donc en fait tu soutiens un programme et un parti parce que son programme te plait mais que t'as pas d'opinion sur le fond du programme ? :shocked!:
En plus c'est toi qui a tenu à parler de l'éducation !

Je me sens seule #-o
46 ans Sous le chant des cigales ^^ 3642
Et je viens de passer une heure à étudier un texte sans fond, ininterressant et pour lequel je ne vais pas voter, pour donner mon opinion et que personne ne débatte en face.
#-o #-o #-o

Bon ben je vais me coucher.
B I U