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Végétariens/végétariennes?

S
37 ans 1093
Etant végétarienne et ancienne vegan, je peux comprendre ce que vous vivez.

Je vais cependant me faire l'avocat du diable. Il y a une grosse dimension sociale et culturelle dans  
le fait de partager ses repas et de boire ensemble. Ce n'est pas qu'un acte individuel mais un vrai acte collectif, tissu social, surtout en France. Le fait de manger séparément, de ne pas boire, met une distance entre soi et les autres et ça peut énerver les gens qui inconsciemment se sente obligés de défendre leur "groupe" et de vous "punir" pour refuser de vous intégrer. C'est un peu comme la communion chez les catholiques si je puis dire.

C'est, à mon avis aussi pour ça que le végétarisme passe si mal en France, alors que dans d'autres pays ce n'est pas le cas. Le partage des repas est un moment socialement très fort et les choix alimentaires, régionaux par exemple, sont très marqué par l'identité. Refuser un plat de viande, une boisson alcoolisée, c'est d'un point de vue inconscient "insulter" l'identité de la personne, c'est comme refuser une poignée de main.

Je ne cautionne pas du tout ça, mais j'essaie d'apporter une explication, parce que si on regarde les choses rationnellement c'est très incompréhensible de ne pas laisser les gens faire ce qu'ils veulent tant qu'il ne nous cassent pas les pieds.
51 ans 35 10308
saralou a écrit:
Et non, tu n'as pas besoin d'une psychothérapie de la cuisine tu sais

Je dis çà parce qu'en réfléchissant autour de cette discussion (et d'autres sur ce thème ces derniers jours) je me rend compte que la cuisine et le partage des repas c'est super important pour moi (en fait ça rejoint un peu le post de SoDark juste au dessus), et surtout je me rends compte que j'ai du mal à comprendre (ou accepter même peut-être?) que ça n'est pas aussi important pour tout le monde. Du coup je me sens un peu intolérante et ça ne me plait pas trop, mais c'est assez fort en moi comme sentiment.

Ceci dit je peux parfaitement déjeuner d'un bout de pain et un abricot sur le bord de la route, je n'ai pas besoin de m'asseoir à table à tous les repas et de faire la cuisine à tous les repas, mais pour moi faire la cuisine et partager les repas c'est un acte qui est important et donc le fait que ça ne soit pas important pour tout le monde c'est assez déstabilisant pour moi (c'est pour ça que je dis qu'il me faut une thérapie! ;) ).
34 ans Tours 2857
Robinneterie je crois vraiment qu'on connait la même personne XD

Saralou je comprends ce que tu dis mais dans son cas c'est vraiment un caprice. Un jour elle va manger une pomme mais le lendemain elle n'en veut pu. Tout ça parce que ses parents sont à ses ordres (elle vit encore chez eux). Si elle a décidé de manger tel chose tel midi, elle ne mangera pas tant qu'elle ne l'aura pas. Quitte à ce que sa mère se lève en plein repas pour lui préparer. Sauf que chez moi ça ne fonctionne pas comme ça. Je fais de la nourriture que tout le monde aime et peut manger (végétarienne + adaptée aux gouts de tous). Donc elle me gave carrément à ne pas vouloir manger parce qu'aujourd'hui elle ne veut pas du cake qu'elle avait adoré la semaine dernière. Tu dis être assez difficile mais je présume que si tes hôtes te prépare un plat que tu apprécie tu vas en manger. Tu ne vas pas dire "ah non mais je veux autre chose". Ba elle elle est comme ça ^^.
S
89 ans 4951
SoDark a écrit:
Etant végétarienne et ancienne vegan, je peux comprendre ce que vous vivez.

Je vais cependant me faire l'avocat du diable. Il y a une grosse dimension sociale et culturelle dans le fait de partager ses repas et de boire ensemble. Ce n'est pas qu'un acte individuel mais un vrai acte collectif, tissu social, surtout en France. Le fait de manger séparément, de ne pas boire, met une distance entre soi et les autres et ça peut énerver les gens qui inconsciemment se sente obligés de défendre leur "groupe" et de vous "punir" pour refuser de vous intégrer. C'est un peu comme la communion chez les catholiques si je puis dire.

C'est, à mon avis aussi pour ça que le végétarisme passe si mal en France, alors que dans d'autres pays ce n'est pas le cas. Le partage des repas est un moment socialement très fort et les choix alimentaires, régionaux par exemple, sont très marqué par l'identité. Refuser un plat de viande, une boisson alcoolisée, c'est d'un point de vue inconscient "insulter" l'identité de la personne, c'est comme refuser une poignée de main.

Je ne cautionne pas du tout ça, mais j'essaie d'apporter une explication, parce que si on regarde les choses rationnellement c'est très incompréhensible de ne pas laisser les gens faire ce qu'ils veulent tant qu'il ne nous cassent pas les pieds.


C'est une réflexion intéressante sodark , cela me parait moins fort en suisse, mais peut être que je me trompe.

J'ai essayé de donner mon point de vue pour faire comprendre que ce n'est pas toujours pour embêter la personne, comme je l'ai dit dans la mesure du possible pour moi, je goute et je me force, mais la pieuvre par exemple, je ne pourrai jamais gouter, ni même une crevette, ni un lapin car sans vouloir vexer personne, si je vomis ou que j'ai seulement envie mais que cela se voit, je pense que l'offense serait pire.

Et c'est vrai que je ne suis pas reconnue pour mes bons petits plats. Je fais des trucs simples, bons, mais sans plus, à part les salades que tout le monde me réclame, mais je pense que les gens viennent passer un bon moment. Je me suis longtemps culpabilisée de cela, je me rendais malade de faire une invitation par exemple, un jour une amie, m'a dit, mais arrête, ne te casse pas la tête comme cela, fais simple on passe de toute façon un bon moment chez toi.

Mon père était aussi assez difficile et mangeait souvent à part maintenant que j'y pense. Il se faisait souvent des pâtes en fait. C'est ma mère qui me faisait avaler des tas de trucs que je détestais (mon père allait dès que ma mère avait le dos tourné jeter le reste de l'assiette aux toilettes car il comprenait mieux mes dégouts).

C'est vrai que je n'accorde pas autant d'importance que d'autres au repas proprement dit, quand je suis invitée, je vais essayer du coup d'être plus attentive à cela, car il me semblait que cela ne posait pas de problèmes à mes amis, mais je vais leur poser la question en fait, comme cela je serai fixée.

En tout c'est un post intéressant pour moi, du point de vue de la réflexion que cela peut m'amener. :D
34 ans Tours 2857
J'ai pas eu le temps de corriger les fautes désolée :cry:
S
89 ans 4951
zazanounette a écrit:
Robinneterie je crois vraiment qu'on connait la même personne XD

Saralou je comprends ce que tu dis mais dans son cas c'est vraiment un caprice. Un jour elle va manger une pomme mais le lendemain elle n'en veut pu. Tout ça parce que ses parents sont à ses ordres (elle vit encore chez eux). Si elle a décidé de manger tel chose tel midi, elle ne mangera pas tant qu'elle ne l'aura pas. Quitte à ce que sa mère se lève en plein repas pour lui préparer. Sauf que chez moi ça ne fonctionne pas comme ça. Je fais de la nourriture que tout le monde aime et peut manger (végétarienne + adaptée aux gouts de tous). Donc elle me gave carrément à ne pas vouloir manger parce qu'aujourd'hui elle ne veut pas du cake qu'elle avait adoré la semaine dernière. Tu dis être assez difficile mais je présume que si tes hôtes te prépare un plat que tu apprécie tu vas en manger. Tu ne vas pas dire "ah non mais je veux autre chose". Ba elle elle est comme ça ^^.


et non je ne suis pas comme cela. La seule chose que j'aimais beaucoup et que j'aime beaucoup moins maintenant c'est le nutella, mais pas au point d'être dégoutée, je vous rassure, s'il y en a dans le dessert cela me va très bien.

Le genre de personnes que tu décris, ben tant pis si elle ne mange pas, s'il y a plein de choix différents, c'est à elle de s'adapter. Tu lui dis, je ne savais pas quoi faire de spécial pour toi à cause du fait que tu as changé de gout plusieurs fois, donc c'est mieux si tu prends ce que tu veux avec toi. C'est à elle d'assumer pas à toi. Je pense quand même que cela dénote un problème(genre un besoin de contrôle sur le monde extérieur ? ou autre mais je ne suis pas psy) mais bon c'est un avis extérieur uniquement, c'est vous qui connaissez le mieux la situation. :D
51 ans 35 10308
Saralou je ne cherchais pas à te culpabiliser, j'étais plutôt en train de m'interroger moi-même sur l'importance que j'accorde à la cuisine, je me dis que peut-être il faudrait que je m'en détache aussi, peut-être que j'embête certaines personnes avec ça! ;)
Je suis sûre que j'aurais beaucoup de plaisir à partager une soirée et un repas avec toi de toute façon!
S
89 ans 4951
Angia a écrit:
Saralou je ne cherchais pas à te culpabiliser, j'étais plutôt en train de m'interroger moi-même sur l'importance que j'accorde à la cuisine, je me dis que peut-être il faudrait que je m'en détache aussi, peut-être que j'embête certaines personnes avec ça! ;)
Je suis sûre que j'aurais beaucoup de plaisir à partager une soirée et un repas avec toi de toute façon!


t'es chou, mais non, t'inquiètes, je ne me sens pas coupable, mais comme je t'apprécie beaucoup je me disais que cela m'aurait bien embêté de te poser un souci si je mangeais chez toi, du coup je voyais la situation sous un autre angle, ce que j'apprécie de faire.

Etant donné le plaisir que j'ai à échanger avec toi, je suis convaincue que cela se serait très bien passé (et je ne cherchais à culpabiliser personne non plus en apportant mon témoignage ;) ).
34 ans Tours 2857
[quote="saralou" Je pense quand même que cela dénote un problème(genre un besoin de contrôle sur le monde extérieur ? ou autre mais je ne suis pas psy) mais bon c'est un avis extérieur uniquement, c'est vous qui connaissez le mieux la situation. :D

Je n'y avais jamais réfléchis sous cet angle. C'est une piste de reflexion interessante. On fait rudement marcher nos neurones cet aprem!
51 ans 35 10308
saralou a écrit:
du coup je voyais la situation sous un autre angle, ce que j'apprécie de faire.

Bon, ben tout pareil pour moi, en fait! :kiss:
S
37 ans 1093
saralou a écrit:


C'est vrai que je n'accorde pas autant d'importance que d'autres au repas proprement dit, quand je suis invitée, je vais essayer du coup d'être plus attentive à cela, car il me semblait que cela ne posait pas de problèmes à mes amis, mais je vais leur poser la question en fait, comme cela je serai fixée.

En tout c'est un post intéressant pour moi, du point de vue de la réflexion que cela peut m'amener. :D


Si tes amis sont de vrais amis ils s'en fichent, ils n'ont pas besoin de ce support pour être en lien avec toi :D
57 ans Nancy 5676
saralou a écrit:
zazanounette a écrit:
Robinneterie je crois vraiment qu'on connait la même personne XD

Saralou je comprends ce que tu dis mais dans son cas c'est vraiment un caprice. Un jour elle va manger une pomme mais le lendemain elle n'en veut pu. Tout ça parce que ses parents sont à ses ordres (elle vit encore chez eux). Si elle a décidé de manger tel chose tel midi, elle ne mangera pas tant qu'elle ne l'aura pas. Quitte à ce que sa mère se lève en plein repas pour lui préparer. Sauf que chez moi ça ne fonctionne pas comme ça. Je fais de la nourriture que tout le monde aime et peut manger (végétarienne + adaptée aux gouts de tous). Donc elle me gave carrément à ne pas vouloir manger parce qu'aujourd'hui elle ne veut pas du cake qu'elle avait adoré la semaine dernière. Tu dis être assez difficile mais je présume que si tes hôtes te prépare un plat que tu apprécie tu vas en manger. Tu ne vas pas dire "ah non mais je veux autre chose". Ba elle elle est comme ça ^^.


et non je ne suis pas comme cela. La seule chose que j'aimais beaucoup et que j'aime beaucoup moins maintenant c'est le nutella, mais pas au point d'être dégoutée, je vous rassure, s'il y en a dans le dessert cela me va très bien.

Le genre de personnes que tu décris, ben tant pis si elle ne mange pas, s'il y a plein de choix différents, c'est à elle de s'adapter. Tu lui dis, je ne savais pas quoi faire de spécial pour toi à cause du fait que tu as changé de gout plusieurs fois, donc c'est mieux si tu prends ce que tu veux avec toi. C'est à elle d'assumer pas à toi. Je pense quand même que cela dénote un problème(genre un besoin de contrôle sur le monde extérieur ? ou autre mais je ne suis pas psy) mais bon c'est un avis extérieur uniquement, c'est vous qui connaissez le mieux la situation. :D



Je ne sais même pas si , ce qui peut apparaître comme un caprice en est réellement un. Je connais quelqu'un ,de très proche, qui est ainsi. Et ça ne vient pas d'un caprice, je le classerais bien aussi dans les TOC... (si besoin est ,réellement, de classifier les choses.)

Je rejoins cependant l'idée que c'est enquiquinant, pour préparer quelque chose...mais bon, perso,je fais avec.
J'ai appris à composer avec les changements de cette personne.
Pendant à peu près, allez, (au pif parce que ,en fait, ça change tout le temps ...) 1 mois, ça va être" paninis frites" et du jour au lendemain, salade salade salade...et exit les paninis jusqu'à la prochaine fois, où ça reviendra.

Et même si, petit, c'était peut être des caprices, je ne serais pas étonnée qu'à présent, ça soit irrépressible, et très angoissant d'aller à l'encontre de ça, donc, un TOC...

La même personne regarde déjà si ce qu'elle voit semble" propre", sinon, pas question de manger. Là, elle ne parle pas de la propreté "hygiène" mais de l'aspect du plat. Tout ça ,critères très subjectifs... J'ai appris à reconnaître à peu près ce que ça peut donner quelque chose de "pas propre" et ça va, je ne le vis plus mal.

Au début, c'était très difficile, de composer avec ça, à présent, ma foi...

J'ai,de plus, renoncé depuis longtemps à l'idée que ce que X ou Y va préparer à manger peut plaire à tout le monde...

Les rares fois où je vais manger dans ma famille, qui ne supporte pas l'idée de popoter et de manger, je rame...alors je prends un peu de salade SANS VINAIGRETTE MERCI ( ah, t'es bizarre toi quand même hein..mais bon, on s'y fait :mrgreen:!); et un peu de fromage et hop...
Parce que les conserves, non, merci, je ne peux plus en avaler ( même quand j'étais dans une galère NOIRE, je préférais me nourrir de riz et de thé vert plutôt que manger des plats en conserve...), à part ce qui est en bocal, à la rigueur et encore, ça dépend de ce que c'est...

Encore + ce que moi, je prépare à manger, si je ne pense qu'à ce que j'aime moi. :roll: ...

J'ai souvenir du dernier boulot que j'ai eu, où certaines avaient lancé l'idée que chacune amène à manger, tour à tour, et j'avais entendu" bon, euh , ptete pas toi Sandrine, parce que ça fait peur hein... pas de viande, pas de sauce, des trucs bizarres, des légumes, on n'a pas trop envie, t'es vraiment trop space comme nana..."

OK...

Ça ne m'empêche pas d'être restée amie avec une des anciennes collègues, de l'inviter de temps à autres à la maison, à déjeuner ,et je fais bien attention à ne pas préparer des trucs qui ne vont pas la "choquer", et voilà... il y a toujours un compromis possible, je trouve.

J'ai grandi dans un environnement où j'ai toujours entendu" tout ce qui entre fait ventre, alors mange, tu ne sais pas qui te mangera demain!" ...et" pffft, fait suer, faut encore faire à manger ET manger"...

Ça ne m'a pas empêchée d'aimer préparer des bons petits plats parce que je trouvais ((et trouve toujours d'ailleurs) que la cuisine c'est comme de la magie...

C'était plus facile, certes, quand je mangeais encore" comme tout le monde". Mes boeufs bourguignons, mes gratins dauphinois avec une 'tite couche de viande (donc entre le dauphinois et le parmentier), mes choucroutes n'ont jamais pu faire de restes, il n'y en avait jamais assez...Sans parler des poulets en croûte de sel;-)...et des tartes aux pommes avec un peu de crème fraîche...



A présent, ça change, c'est certain, mais une constante demeure :

je ne prépare à manger qu'avec PLAISIR et AMOUR ,quelque part, de la "tâche" parce que, sinon, je sais que ça aura un gout différent... Alors, si je n'ai vraiment aucune envie de faire quelque chose, je me contenterai de faire cuire des pâtes, et voilà...

J'aspire juste, à présent, à ce que les diverses personnes qui composent notre joli kaléidoscope sociétal soient, comment dire, tolérantes...oui, ça doit être le mot...tolérantes... Et ça viendra, j'en suis certaine...Juste encore un peu de patience, et de travail, en profondeur...^^
34 ans Québec 465
Merci Saralou pour les explications quant à tes goûts, parce que j'avoue que j'étais un peu intolérantes envers ces gens qui «ne mangent rien»... Mais d'après ce que tu dis, tu ne rends pas la situation plus compliquée pour tes hôtes, ce qui montre bien que ce ne sont pas des caprices. Les gens capricieux font en général tout pour qu'on soit à leur service, qu'on s'occupe d'eux. Après c'est comme moi avec les boissons... sauf que c'est pas parce que je vais vomir, mais bien parce que je n'ai simplement pas le réflexe de boire «pour le plaisir», donnez-moi un whisky et je vais le boire d'un trait, je ne comprends pas l'idée de siroter un verre pendant une heure, je bois parce que j'ai soif (mais bref, ça je l'ai déjà dit...)

Ce sont les vraiment les capricieux qui m'énervent en fait de bouffe, ils te regardent manger et n'arrêtent pas avec leurs «beurk» «ça a tellement l'air dégueu» «franchement comment tu fais» et etc. C'est qu'au bout d'un moment, on a compris.

J'ai un oncle qui vient des maritimes (Nouveau-Brunswick), il était très pauvre étant jeune et ils n'avaient que du poisson à manger, et souvent des restes de poissons, et pas très frais, alors du coup, aujourd'hui, il ne peut plus en manger, ça le dégoûte et ça je comprends. C'est comme un autre de mes oncles, pauvres aussi dans sa jeunesse (ben oui, c'est fait comme ça), il vient des Alpes et ils trayaient leur lait à même la chèvre, pas filtré rien, et il se souvient juste qu'ils devaient serrer les dents pour boire sans avaler de poils et autres saletés. Maintenant, il ne bois pas de lait de chèvre, et ne mange pas de fromage de chèvre.

Quand les gens ont ce genre d'aversion, ou des tocs, ou des goûts très spécifiques, ou qu'ils sont végétariens ;) , mais qu'ils le savent et s'arrangent pour manger ce qu'ils peuvent ou qu'ils s'emmènent un petit truc, il n'y a pas de problème!
S
89 ans 4951
libellule333 a écrit:


Ce sont les vraiment les capricieux qui m'énervent en fait de bouffe, ils te regardent manger et n'arrêtent pas avec leurs «beurk» «ça a tellement l'air dégueu» «franchement comment tu fais» et etc. C'est qu'au bout d'un moment, on a compris.



Je comprends tout à fait que ce genre de réflexions soit soulantes. Je pense que je dirais "en même temps comme je ne te force pas à en manger, je crois qu'on peut passer à un autre sujet de conversation" :D .
57 ans Nancy 5676
En parlant de végétariens... ;) http://www.lexpress.fr...x-jeux-olympiques_1145200.html
B I U