49 ans
Paris
9874
Steph_Hassan a écrit:
Tout à fait d'accord! quand on cesse de se dire "j'ai le droit à mon quota de jouissance epissetou je vous dis merde"... alors on peut se calmer un peu et en fait mieux organiser sa jouissance pour la rendre plus grande.
Quand je lisais qu'on pouvait manger "par peur de la faim"... je ne voyais pas trop ce que ça voulait dire. Peur d'avoir faim? mais j'ai pas peur! je sais bien que ça ne fait pas mal voyons! Au contraire les ex-régimeuses savent très bien jeûner de longues heures et même profiter de l'euphorie que cela procure au bout d'un moment... Et puis j'ai fini par traduire la formule "peur de la faim" par mes propres mots et là j'ai vu qu'elle avait bien un sens: peur de ne pas avoir son "quota" de jouissance. C'est très bizarre mais c'est vrai. Un truc aussi simple que jouir de la bouffe (qui n'a pas un distributeur de barres caramel dans son périmètre immédiat??) me tenait pourtant en esclavage. Le paquet de bonbons, fallait le mettre en moi avant vite vite que qqn d'autre le mette en lui!
Je trouve que ça rejoint un peu ton "pain au chocolat qui ne peut pas ne pas faire envie".
Pour moi la solution est dans le fait de prendre la question de la détection de la faim sous un angle ludique... tiens, si je m'observais, si j'attendais la faim comme on pose les mains quelques cm au-dessus d'un buzzer prêt à donner la bonne réponse? c'est maintenant! ah non zut raté... c'est là! oui c'est bon là je suis sûre :D
Dans tous les cas, cet exercice ne doit jamais être synonyme de restriction ou de tristesse. Pour moi c'est le secret.
Et toi ladybugette, du nouveau de ton côté?
Je pense que la clé c'est de désacraliser un peu la nourriture, enfin de me trouver d'autres sources de plaisir...
Tout à fait d'accord! quand on cesse de se dire "j'ai le droit à mon quota de jouissance epissetou je vous dis merde"... alors on peut se calmer un peu et en fait mieux organiser sa jouissance pour la rendre plus grande.
Quand je lisais qu'on pouvait manger "par peur de la faim"... je ne voyais pas trop ce que ça voulait dire. Peur d'avoir faim? mais j'ai pas peur! je sais bien que ça ne fait pas mal voyons! Au contraire les ex-régimeuses savent très bien jeûner de longues heures et même profiter de l'euphorie que cela procure au bout d'un moment... Et puis j'ai fini par traduire la formule "peur de la faim" par mes propres mots et là j'ai vu qu'elle avait bien un sens: peur de ne pas avoir son "quota" de jouissance. C'est très bizarre mais c'est vrai. Un truc aussi simple que jouir de la bouffe (qui n'a pas un distributeur de barres caramel dans son périmètre immédiat??) me tenait pourtant en esclavage. Le paquet de bonbons, fallait le mettre en moi avant vite vite que qqn d'autre le mette en lui!
Je trouve que ça rejoint un peu ton "pain au chocolat qui ne peut pas ne pas faire envie".
Pour moi la solution est dans le fait de prendre la question de la détection de la faim sous un angle ludique... tiens, si je m'observais, si j'attendais la faim comme on pose les mains quelques cm au-dessus d'un buzzer prêt à donner la bonne réponse? c'est maintenant! ah non zut raté... c'est là! oui c'est bon là je suis sûre :D
Dans tous les cas, cet exercice ne doit jamais être synonyme de restriction ou de tristesse. Pour moi c'est le secret.
Et toi ladybugette, du nouveau de ton côté?