Sibell a écrit:J'y crois... Oui et non. Disons que pour moi, ce n'est pas quelque chose d'impossible, qu'une histoire commencée à l'adolescence prenne une ampleur plus sérieuse par la suite. Qui entraînera donc mariage ou en tout cas construction de vie commune...
Maintenant est-ce que je pense que l'amour est le même quand on rencontre quelqu'un à 15 ans, de quand on rencontre quelqu'un à 25... Non. Parce qu'il y a tout un cheminement et une expérience qui font que, je pense, on aime de manière plus mature à 25 ans qu'à 15 ans. Donc dans la majorité des cas, c'est supposé être plus sérieux quand on est déjà adulte.
Mais encore là ça dépend des individus, vu qu'on peut-être être très mature à 15 ans et encore un gros bébé à 25. Mais mon hypothèse, et je me base sur une expérience personnelle, clairement à 15 ans je n'aurai pas pu tomber amoureuse "réellement".Et par "réellement", j'entends le fait que... Bien sûr j'avais des béguins, facilement, je me croyais amoureuse quand une personne me plaisait physiquement. Je n'avais pas du tout conscience de qu'était vraiment aimer et de l'importance qu'impliquait ce terme. Aujourd'hui plus mature, je sais que, si le physique peut parfois jouer un rôle important, l'amour, le vrai... C'est tellement plus que ça.
Je suis plutôt d'accord. D'accord dans la mesure ou effectivement, beaucoup de filles ont des béguins et pensent être amoureuses. En même temps c'est normal et y'a pas de mal à ça. Mais je pense qu'au delà du simple béguin, si on fini par connaitre la personne, il arrive qu'on en tombe amoureux/se (ou qu'on découvre que c'est un/e imbécile, ça arrive aussi :D).
Ensuite, je ne pense pas que la manière d'aimer vienne exclusivement de la maturité ou l'expérience. Je pense qu'on aime chaque personne différemment, tout simplement. Là ou nos perception se rejoignent, c'est que c'est vrai que, chez certains, la capacité d'aimer se développe avec le temps. Mais je pense aussi qu'il faut savoir comprendre ses émotions, et ça, beaucoup de gens restent bloqués toute leur vie au même stade, hélas, parce que c'est quelque chose dont on parle peu.