(Ndlr: le possessif aurait dû être "mon", mais cela éliminait lesdits vagues sous-entendus scabreux. La licence poétique a donc été votée collégialement à l'unanimité. Bisous bisous.)
C'est un des meilleurs souvenirs de ma vie, ce devoir sur table où vers 9h20, on a tous plus ou moins levé le nez avec panique pour voir si on allait se faire allumer à la correction pour notre esprit malade ou si on comprenait bien le texte :lol:.
Le porno soft, permets que je te pique la parole, Blueb', c'est quand on voit pas de b*te ni de ch*tte. Ah, et généralement, la lumière est délicieusement tamisée.
Le porno soft, permets que je te pique la parole, Blueb', c'est quand on voit pas de b*te ni de ch*tte. Ah, et généralement, la lumière est délicieusement tamisée.
Le porno soft, permets que je te pique la parole, Blueb', c'est quand on voit pas de b*te ni de ch*tte. Ah, et généralement, la lumière est délicieusement tamisée.
Ce que tu appelles excédé je l'utilise pour dubitatif, interrogatif (comme ici).
Le porno soft est donc l'érotisme des films à la M6 des années 80-90.
Pour moi, c'est à peu près la même chose, sauf que je pense que "soft porn" est une expression anglaise qui est venu faire concurrence à notre mot à nous. Je tire ça de mon chapeau, hein, j'en sais que dalle.
Aah le latin en prépa, Doo, tu éveilles en mon esprit de doux souvenirs... Et certaines traductions du respectable Gaffiot, genre au lieu de " faire connaissance" tu as " s'enfoncer dans l'intimité de quelqu'un"... :lol:
Aah le latin en prépa, Doo, tu éveilles en mon esprit de doux souvenirs... Et certaines traductions du respectable Gaffiot, genre au lieu de " faire connaissance" tu as " s'enfoncer dans l'intimité de quelqu'un"... :lol:
Aah le latin en prépa, Doo, tu éveilles en mon esprit de doux souvenirs... Et certaines traductions du respectable Gaffiot, genre au lieu de " faire connaissance" tu as " s'enfoncer dans l'intimité de quelqu'un"... :lol:
Oh je me rappelais pas, j'aime :lol:!!!
Dire que certains voient les khâgneux comme des gens sérieux le nez dans les livres et le nez boutonneux... :lol:
Alors là pardon mais (HS pour HS, hein?) après avoir loupé Sciences Po, je suis passée en khâgne moderne et les nénettes elles étaient sur leur 31 à se faire boucler/lisser les cheveux tous les jours et les mecs ils étaient beaux gosses et je déprimais sec jusqu'au jour où on a eu anglais avec les classiques et ils sont arrivés en file indienne, tous vêtus de noirs, les cheveux gras, des lunettes et des boutons pleins la gueule et j'ai reconnu ma famille. À la fin du cours, j'ai demandé à passer en classique où j'ai raté deux fois l'ENS.
Donc viens pas me dire à moi que les khâgneux n'ont pas une sale gueule, c'est sur ce critère que je les ai rejoints :lol:.