50 ans
à la maison !
10072
Et est-ce que tu sais d'où viens cette peur ?
O
je viens de voir ce post..!!
et je me reconnais dans la description de la panique que tu fais dans le post initial.
sauf que moi je panique tout le temps au
et je me reconnais dans la description de la panique que tu fais dans le post initial.
sauf que moi je panique tout le temps au
volant. j'ai le permis depuis 2 ans, je me suis forcée à la passer, vu que j'habite une ville où sans voiture c'est pas vraiment possible. 28h de conduite, je l'ai eu du 1er coup. les moniteurs me disaient qu'avec le temps la panique s'effacerait parce que je maitrisais assez bien la technique de conduite
j'ai acheté une voiture assez rapidement après avoir obtenu le permis, pour ne pas trop perdre. et bien je panique complètement à chaque fois que je dois prendre le volant. je ne sais plus où je suis, ce que je dois faire, mon cœur s'emballe, je vois flou.. c'est une vraie catastrophe. et du coup évidemment je suis dangereuse. le pire de l'angoisse étant les voies d'insertion ou les lieux où il y a beaucoup de piétons qui se jettent sous les roues. ne parlons pas vitesse, même en ville j'ose pas monter à 50... je ne sors donc jamais de ma ville. jamais.
et c'est surtout super handicapant. je refuse beaucoup de sorties, ou je ne fais pas des ballades ou des visites qui me tenteraient parce que je ne peux pas conduire. ma voiture me sert à aller au supermarché à 2.5km de chez moi, ou des tous petits trajets uniquement dans la ville, mais je mets 10 minutes au moins à mettre le contact.
j'ai essayé beaucoup de méthodes aussi, mais rien n'a marché.
et les gens ne comprennent pas, j'ai honte. "tu pourrais faire un effort quand même; si tu conduis pas, tu ne seras jamais à l'aise; bouge toi, on est tous passé par là; force toi un peu, arrête de te faire trimballer par tout le monde.... enfin c'est sans arrêt sans arrêt. et ça me fait beaucoup culpabiliser et me fait perdre toute confiance en moi. je panique, je ne fais pas la comédie.
j'ai acheté une voiture assez rapidement après avoir obtenu le permis, pour ne pas trop perdre. et bien je panique complètement à chaque fois que je dois prendre le volant. je ne sais plus où je suis, ce que je dois faire, mon cœur s'emballe, je vois flou.. c'est une vraie catastrophe. et du coup évidemment je suis dangereuse. le pire de l'angoisse étant les voies d'insertion ou les lieux où il y a beaucoup de piétons qui se jettent sous les roues. ne parlons pas vitesse, même en ville j'ose pas monter à 50... je ne sors donc jamais de ma ville. jamais.
et c'est surtout super handicapant. je refuse beaucoup de sorties, ou je ne fais pas des ballades ou des visites qui me tenteraient parce que je ne peux pas conduire. ma voiture me sert à aller au supermarché à 2.5km de chez moi, ou des tous petits trajets uniquement dans la ville, mais je mets 10 minutes au moins à mettre le contact.
j'ai essayé beaucoup de méthodes aussi, mais rien n'a marché.
et les gens ne comprennent pas, j'ai honte. "tu pourrais faire un effort quand même; si tu conduis pas, tu ne seras jamais à l'aise; bouge toi, on est tous passé par là; force toi un peu, arrête de te faire trimballer par tout le monde.... enfin c'est sans arrêt sans arrêt. et ça me fait beaucoup culpabiliser et me fait perdre toute confiance en moi. je panique, je ne fais pas la comédie.
O
je suis une angoissée de nature
j'ai toujours l'impression que je ne vais pas y arriver, que je ne suis pas capable (pour n'importe quoi dans ma vie)
j'ai peur de créer un accident (que je meurs c'est pas grave, mais que je puisse faire du mal ou tuer quelqu’un..)
et j'ai beau avoir analyser (et avoir été aidée à analyser) d'où ça vient, ça ne m'aide pas du tout à dépasser cette panique...
j'ai toujours l'impression que je ne vais pas y arriver, que je ne suis pas capable (pour n'importe quoi dans ma vie)
j'ai peur de créer un accident (que je meurs c'est pas grave, mais que je puisse faire du mal ou tuer quelqu’un..)
et j'ai beau avoir analyser (et avoir été aidée à analyser) d'où ça vient, ça ne m'aide pas du tout à dépasser cette panique...
49 ans
région parisienne
5831
organic, est-ce qu'il y a des situations où tu as plus ou moins peur? tu as plus peur quand quelqu'un est avec toi ou quand tu es seule? Quand il fait nuit ou pas? Quand il pleut, neige, fait beau?
organic a écrit:
ce n'est pas vrai du tout: perso, je n'ai jamais eu d'attaques de panique, même au début, et j'en connais beaucoup qui n'ont même jamais été mal à l'aise en conduisant... Donc cela n'a rien à voir avec le fait de "faire un effort", ceux qui disent cela n'ont jamais dû avoir vraiment de problèmes de panique...
organic a écrit:
"tu pourrais faire un effort quand même; si tu conduis pas, tu ne seras jamais à l'aise; bouge toi, on est tous passé par là"
ce n'est pas vrai du tout: perso, je n'ai jamais eu d'attaques de panique, même au début, et j'en connais beaucoup qui n'ont même jamais été mal à l'aise en conduisant... Donc cela n'a rien à voir avec le fait de "faire un effort", ceux qui disent cela n'ont jamais dû avoir vraiment de problèmes de panique...
O
oui surement ces gens n'ont jamais connu la vraie panique. mais c'est quasi quotidien que j'entende ça et ils ne se rendent pas compte comme c'est dévalorisant..
bref, pour ta question, je panique quelles que soient les conditions
mais j'ai encore plus peur
si j'ai un passager
s'il pleut/neige/vente
et de la vitesse aussi
bon en fait, j'ai vraiment tout le temps peur, la peur panique
bref, pour ta question, je panique quelles que soient les conditions
mais j'ai encore plus peur
si j'ai un passager
s'il pleut/neige/vente
et de la vitesse aussi
bon en fait, j'ai vraiment tout le temps peur, la peur panique
38 ans
Orgrimmar
6511
Organic j'avais la même réaction de la part de certains proches.
Alors, je leur ai demandé de se représenter leur plus grosse phobie (en général, c'est les araignées ou les insectes), et que je leur tienne le même discours.
Et quand ils me répondaient gênés, que c'était pas pareil, je leur disais non, c'est pas pareil. Un insecte ça te tue pas, la route, ça peut. Donc me fais pas chier avec la légitimité ou non d'avoir peur.
C'est comme ça, pis c'est tout.
Alors, je leur ai demandé de se représenter leur plus grosse phobie (en général, c'est les araignées ou les insectes), et que je leur tienne le même discours.
Et quand ils me répondaient gênés, que c'était pas pareil, je leur disais non, c'est pas pareil. Un insecte ça te tue pas, la route, ça peut. Donc me fais pas chier avec la légitimité ou non d'avoir peur.
C'est comme ça, pis c'est tout.
O
Yuutsu a écrit:
bonne comparaison! pour ceux qui connaissent les phobies en tout cas :D
Organic j'avais la même réaction de la part de certains proches.
Alors, je leur ai demandé de se représenter leur plus grosse phobie (en général, c'est les araignées ou les insectes), et que je leur tienne le même discours.
Et quand ils me répondaient gênés, que c'était pas pareil, je leur disais non, c'est pas pareil. Un insecte ça te tue pas, la route, ça peut. Donc me fais pas chier avec la légitimité ou non d'avoir peur.
C'est comme ça, pis c'est tout.
Alors, je leur ai demandé de se représenter leur plus grosse phobie (en général, c'est les araignées ou les insectes), et que je leur tienne le même discours.
Et quand ils me répondaient gênés, que c'était pas pareil, je leur disais non, c'est pas pareil. Un insecte ça te tue pas, la route, ça peut. Donc me fais pas chier avec la légitimité ou non d'avoir peur.
C'est comme ça, pis c'est tout.
bonne comparaison! pour ceux qui connaissent les phobies en tout cas :D
38 ans
Orgrimmar
6511
Ceux qui n'ont peur de rien ont quand même une peur: celle d'un jour, avoir peur! :p
45 ans
1114
Je fais comme Yuutsu pour les remarques, sauf que moi j'attends que la personne soit en "situation", aux prises avec sa phobie ou même sa simple névrose.
Et là je lui dis "ben force-toi un peu, prends sur toi!"
Ca marche très bien, surtout quand la personne vient de faire une remarque sur mes attaques de panique.
Exemple:
un jour j'arrive chez ma meilleure amie. Elle habite à 100 bornes de chez moi.
J'ai tenté de prendre l'autoroute, à 20 bornes de chez elle j'ai craqué et pris la nationale.
En arrivant chez elle je suis encore sous le coup de l'émotion, limite tremblante.
Elle me sort que c'est handicapant, quand-même, que j'aurais dû me forcer à finir mon trajet sur l'autoroute, prendre sur moi.
Elle prend des gants et tout, et je sais qu'elle ne veut pas me faire de peine. Elle veut m'aider, mais est maladroite.
Seulement moi ça m'aide pas, au contraire je me sens nulle du coup.
quelques minutes après, nous allons partir en soirée, et elle me dit qu'elle doit passer un coup d'aspi d'abord.
Mon amie est une névrosée du ménage. Pas une miette, pas un grain de poussière, aspi constamment.
Je lui demande si elle ne peut vraiment pas prendre sur elle pour ne pas passer l'aspi parce qu'on va être en retard.
Elle me regarde, comprend l'allusion et me dit "oui c'est vrai, moi c'est ça et toi c'est l'autoroute. Et non, je ne peux pas ne pas passer l'aspi.
Là j'enfonce le clou en ajoutant que ça doit être handicapant, quand-même...
Je n'ai plus jamais eu de remarque de sa part.
Sinon tu dis que tu as analysé le raisons de cette panique. Es-tu satisfaite de cette analyse? As-tu ressenti comme un déclic quand tu as compris d'où ça venait?
Et là je lui dis "ben force-toi un peu, prends sur toi!"
Ca marche très bien, surtout quand la personne vient de faire une remarque sur mes attaques de panique.
Exemple:
un jour j'arrive chez ma meilleure amie. Elle habite à 100 bornes de chez moi.
J'ai tenté de prendre l'autoroute, à 20 bornes de chez elle j'ai craqué et pris la nationale.
En arrivant chez elle je suis encore sous le coup de l'émotion, limite tremblante.
Elle me sort que c'est handicapant, quand-même, que j'aurais dû me forcer à finir mon trajet sur l'autoroute, prendre sur moi.
Elle prend des gants et tout, et je sais qu'elle ne veut pas me faire de peine. Elle veut m'aider, mais est maladroite.
Seulement moi ça m'aide pas, au contraire je me sens nulle du coup.
quelques minutes après, nous allons partir en soirée, et elle me dit qu'elle doit passer un coup d'aspi d'abord.
Mon amie est une névrosée du ménage. Pas une miette, pas un grain de poussière, aspi constamment.
Je lui demande si elle ne peut vraiment pas prendre sur elle pour ne pas passer l'aspi parce qu'on va être en retard.
Elle me regarde, comprend l'allusion et me dit "oui c'est vrai, moi c'est ça et toi c'est l'autoroute. Et non, je ne peux pas ne pas passer l'aspi.
Là j'enfonce le clou en ajoutant que ça doit être handicapant, quand-même...
Je n'ai plus jamais eu de remarque de sa part.
Sinon tu dis que tu as analysé le raisons de cette panique. Es-tu satisfaite de cette analyse? As-tu ressenti comme un déclic quand tu as compris d'où ça venait?
O
ton exemple est très parlant effectivement :)
pour répondre à ta question, ça n'a pas été franchement une surprise, mais même de savoir consciemment le pourquoi du comment ne m'empêche pas de paniquer.
c'est irrationnel, je le sais, j'ai conscience que je ne suis pas une si mauvaise conductrice que ça, mais vu que je panique, je deviens limite dangereuse.
en même temps, en faisant le parallèle avec la phobie, même si on sait que c'est pas rationnel et qu'on sait pourquoi on panique, ce n'est pas pour autant qu'on arrive à le surmonter..
ça me fait comme si mon conscient et mon inconscient arrivaient pas à se mettre d'accord :lol: (bon là je vais passer pour une grosse tarée avec cette phrase :lol: )
pour répondre à ta question, ça n'a pas été franchement une surprise, mais même de savoir consciemment le pourquoi du comment ne m'empêche pas de paniquer.
c'est irrationnel, je le sais, j'ai conscience que je ne suis pas une si mauvaise conductrice que ça, mais vu que je panique, je deviens limite dangereuse.
en même temps, en faisant le parallèle avec la phobie, même si on sait que c'est pas rationnel et qu'on sait pourquoi on panique, ce n'est pas pour autant qu'on arrive à le surmonter..
ça me fait comme si mon conscient et mon inconscient arrivaient pas à se mettre d'accord :lol: (bon là je vais passer pour une grosse tarée avec cette phrase :lol: )
6050
j'ai beau savoir d"où vient ma phobie, elle est là tout de même.
Organic, si un jour on se rencontre,il nous reste le train, hahahah
Organic, si un jour on se rencontre,il nous reste le train, hahahah
O
blueberrycat a écrit:
moi qui voulais t'inviter à boire le café ;)
vive la sncf :lol: (1ère et dernière fois que j'ose dire ça :lol: )
j'ai beau savoir d"où vient ma phobie, elle est là tout de même.
Organic, si un jour on se rencontre,il nous reste le train, hahahah
Organic, si un jour on se rencontre,il nous reste le train, hahahah
moi qui voulais t'inviter à boire le café ;)
vive la sncf :lol: (1ère et dernière fois que j'ose dire ça :lol: )
45 ans
1114
NON les filles. Arrêtez. On ne plaisante pas avec ce genre de choses.
La SNCF c'est le MAL.
Je sais pas trop quoi dire pour aider vu que je pense être encore dedans malgré ma petite victoire.
De plus chaque phobie nous appartient.
Tout ce que je peux dire c'est que lundi, sur l'autoroute, j'ai pris conscience que j'avais du pouvoir sur mon angoisse.
Pas que je pouvais "contrôler" et tout, mais que c'était de moi que ça venait, et pas de l'extérieur.
Que ma peur ne venait pas du dehors, ne m'agressait pas. Qu'elle venait de moi toute seule, qu'elle me servait à me protéger de quelque chose, et que cette protection était en train de devenir obsolète.
Mais ça fait plus de 2 ans que je travaille dessus et là ce sont les premiers vrais résultats, donc le chemin peut être long...
Par contre vous avez pensé à prendre un cours hors forfait dans une auto-école en expliquant votre souci?
Je l'ai fait et ça n'a pas été la guérison soudaine, pas de miracle, mais ça m'a aidé à me sécuriser en repérant des comportements inadaptés de ma part.
Ce que m'a surtout dit le moniteur, c'est que j'étais prudente donc bien, mais que je restais focalisée trop longtemps sur le danger éventuel auquel je venais d'échapper (genre une voiture qui a failli griller le stop, moi je ralentis au cas où, donc prudente, mais après je reste stressée pendant 5 minutes parce que "elle aurait pu griller le stop". En fait je me fais des films.)
En gros il m'a dit de me détendre.
Là j'ai compris que le fait d'être tendue en permanence comme une ficelle de string ne faisait qu'accentuer ma panique en lui laissant la porte grande ouverte.
Je sais que c'est facile à dire et presque impossible à faire, mais je crois qu'il est important dans notre situation de capter notre part de responsabilité là-dedans.
Dans le sens où toute notre attitude est une invitation à la panique.
Comme si nous voulions qu'elle vienne, pour nous empêcher de conduire, et donc de mourir, ou de faire du mal aux autres.
En tous cas c'est comme ça que je le ressens en ce moment...
La SNCF c'est le MAL.
Je sais pas trop quoi dire pour aider vu que je pense être encore dedans malgré ma petite victoire.
De plus chaque phobie nous appartient.
Tout ce que je peux dire c'est que lundi, sur l'autoroute, j'ai pris conscience que j'avais du pouvoir sur mon angoisse.
Pas que je pouvais "contrôler" et tout, mais que c'était de moi que ça venait, et pas de l'extérieur.
Que ma peur ne venait pas du dehors, ne m'agressait pas. Qu'elle venait de moi toute seule, qu'elle me servait à me protéger de quelque chose, et que cette protection était en train de devenir obsolète.
Mais ça fait plus de 2 ans que je travaille dessus et là ce sont les premiers vrais résultats, donc le chemin peut être long...
Par contre vous avez pensé à prendre un cours hors forfait dans une auto-école en expliquant votre souci?
Je l'ai fait et ça n'a pas été la guérison soudaine, pas de miracle, mais ça m'a aidé à me sécuriser en repérant des comportements inadaptés de ma part.
Ce que m'a surtout dit le moniteur, c'est que j'étais prudente donc bien, mais que je restais focalisée trop longtemps sur le danger éventuel auquel je venais d'échapper (genre une voiture qui a failli griller le stop, moi je ralentis au cas où, donc prudente, mais après je reste stressée pendant 5 minutes parce que "elle aurait pu griller le stop". En fait je me fais des films.)
En gros il m'a dit de me détendre.
Là j'ai compris que le fait d'être tendue en permanence comme une ficelle de string ne faisait qu'accentuer ma panique en lui laissant la porte grande ouverte.
Je sais que c'est facile à dire et presque impossible à faire, mais je crois qu'il est important dans notre situation de capter notre part de responsabilité là-dedans.
Dans le sens où toute notre attitude est une invitation à la panique.
Comme si nous voulions qu'elle vienne, pour nous empêcher de conduire, et donc de mourir, ou de faire du mal aux autres.
En tous cas c'est comme ça que je le ressens en ce moment...
O
Zolaa, je trouve ça vraiment génial et extrêmement courageux que tu arrives pas à pas à surmonter ta panique de l'autoroute.
je n'en suis pas encore là. pour moi, juste aller au supermarché me parait insurmontable, et c'est encore et toujours ça ma petite victoire. si je m'écoutais, ça ferait belle lurette que j'aurais revendue ma voiture
je n'en suis pas encore là. pour moi, juste aller au supermarché me parait insurmontable, et c'est encore et toujours ça ma petite victoire. si je m'écoutais, ça ferait belle lurette que j'aurais revendue ma voiture
45 ans
1114
organic a écrit:
Bravo de ne pas avoir vendu ta voiture! C'est vrai que c'est une victoire, le coup du supermarché. Ca prouve que tu ne lâches pas l'affaire, que tu es dans une dynamique active.
Donc je suis certaine que tu vas y arriver.
Laisse-toi du temps, ça viendra quand tu seras prête.
On sait pas quand, mais ce qui est sûr c'est que ça viendra.
T'as déjà vu un psy pour ça?
Zolaa, je trouve ça vraiment génial et extrêmement courageux que tu arrives pas à pas à surmonter ta panique de l'autoroute.
je n'en suis pas encore là. pour moi, juste aller au supermarché me parait insurmontable, et c'est encore et toujours ça ma petite victoire. si je m'écoutais, ça ferait belle lurette que j'aurais revendue ma voiture
je n'en suis pas encore là. pour moi, juste aller au supermarché me parait insurmontable, et c'est encore et toujours ça ma petite victoire. si je m'écoutais, ça ferait belle lurette que j'aurais revendue ma voiture
Bravo de ne pas avoir vendu ta voiture! C'est vrai que c'est une victoire, le coup du supermarché. Ca prouve que tu ne lâches pas l'affaire, que tu es dans une dynamique active.
Donc je suis certaine que tu vas y arriver.
Laisse-toi du temps, ça viendra quand tu seras prête.
On sait pas quand, mais ce qui est sûr c'est que ça viendra.
T'as déjà vu un psy pour ça?