bébé handicapé ou malformation et avortement....

nubya59 a écrit:
Exactement, je n'ai absolument pas confiance dans ce tri test. Ma gygy était géniale là dessus. Aux échos, elle me disait que la clarté nuquale était parfaite, donc si je voulais pas faire le tri test, elle était d'accord avec moi.

pour une trisomie 21, non je ne pourrais pas avorter

ça ne me semble pas un handicap assez grave pour ôter la vie .....

par contre, si c'est une malformation qui engendre d'énormes souffrances pour l'enfant
si il a peu d'espoir de survie après la naissance
si il doit vivre quelques mois/années mais très difficilement, en étant uniquement à l'hôpital ....
là je pense que je ne ménerais pas ma grossesse à terme

parce que faire souffrir un tout petit quand on peut l'éviter, non ça je pourrais pas


en fait, tout dépend du degrès de gravité du problème

par contre, pour avoir abordé le sujet avec mon mari, lui me disait qu'il refuserait d'avoir un enfant trisomique :(
m'enfin, je ne sais pas si il a déjà vraiment bien réfléchit à la question

Dès que je me découvre enceinte*, j'avorte que l'enfant soit malade ou pas donc pour moi le choix est clair et simple.

* entre l'absence actuelle de relations hétérosexuelles, l'emploi du préservatif, la prise de pilule et mes problèmes thyroïdiens y'a peu de risques en même temps...

Je crois que j'avorterai, je sais c'est triste mais mon mari ne le supporterai pas.Son frère est trisomique 21 et il ne veut pas revivre ca, je le comprend mais je le ferai a contrecoeur. :(

Eveange a écrit:
Tu ne veux pas d'enfant ?

et bien moi je disais et pensais porfondément non je le garderais quoiqu'il ait puis j'ai rencontré il y a quelques années un couple adorables de 70 ans qui ont un seul enfant handicapé mental suite à un problème d'occigénation à l'accouchement. Après avoir longuement discuté avec eux, j'ai changé d'avis. Ils l'ont élevé avec beaucoup d'amour en des temps où la tolérance n'était pas une évidence mais ils m'ont avoué que leur vie avaient été brisée et même aujourd'hui dans leurs vieux jours ils ne sont pas heureux car ils pensent à ce qu'il va devenir... Il a 47 ans, il est placé en centre pour le sociabiliser et lui donner de l'indépendance mais chaque week end il doit rentrer chez ses aprents sinon il devient très violent et ingérable. Certains de ces enfants évoluent d'autres non mais alors que faire de ces adultes ??? ces parents sont tristes, écrasés par leur "responsabilité" comme ils disent et s'angoissent pour leur fils que les institutions spécialisées n'arrivent même plus à gérer...

oh mon dieu la faute dorthographe à oxygénation !!!!! désolée :oops:

J'avorterais car je ne me sens pas capable d'assumer un enfant qui aurait un grave handicape :roll: .

Aprés pour plusieurs autres raisons:

-J'ai déjà 3 enfants et j'aurais peur de les délaisser pour celui qui serait handicapé( et c'est sans doute ce qui se passerait).
- Que notre vie à tous dépende totalement de l'enfant.
- D'avoir mal pour lui vis à vie du regard des autres et de leur méchanceté parfois.
- De passer le reste de mes jours à me demander ce qu'il deviendra quand nous ne serons plus de ce monde.
- De m'en vouloir à vie pour lui avoir donner une vie pareille, surtout si je le sens malheureux et qu'il souffre( moralement et physiquement) alors que je connaissais les risques.
- De ne pas assumer financièrement pour tout ce qui lui faudrait, qui coûte chers sans être remboursé.

Etc...

Bisous :kiss: !

Salut,
Moi tout d'abord j'ai eu une IVG avant mes 2 petit bout car cela ne faisait que 2 mois que j' était avec mon mari et j'avais 20 ans et encore a l école et je ne me sentais pas du tout prête pour rendre heureux un bébé.
Je suis quasiment sûre aussi que si j'avais un bébé trisomique ou gravement mal formé je ne le garderais pas. Non seulement s il nous arrivait qqch je ne veut pas que mes enfants doivent consacres leur vie a s'occuper de leur frère ou soeur et en plus pardonner le manque de tact mais il faut un minimum de revenu pour pouvoir subvenir au besoin de l' enfant. Avant leur 18 ou 20 ans on a des aides ( même si a mon avis cela ne suffit peut-être pas) mais aprés ..... :( :(
Ma cousine a avorter en novembre 2004 car il était trisomique, elle a bcp ouffert mais elle ne le regrette pas.

la decision serait difficile a prendre d'autant plus que je suis en pma pour essayer de fonder une famille mais j'ai un oncle handicapé mental de 56 ans ,donc je réalise très bien ce que c'est d'assumer un enfant handicapé et honnetement je ne m'en sentirais pas capable.

Dans le cas d'une trisomie, on envisage une IMG (Interruption Medicale de Grossesse) et non plus une IVG. L'IMG se fait avec autorisation d'un conseil de médecin tout le long de la grossesse tandis que l'IVG se fait dans les douze semaines de grossesse et la décision n'appartient qu'à la femme enceinte (non le papa n'a rien à dire légalement...)
Pour répondre à la question je ne me sens pas capable d'élever un enfant trisomique ou ayant une autre malformation/maladie grave. Je choisirai donc l'IMG même si je sais que ce sera très dur, mais je ne veux ni me détruire ni détruire mon couple, ni risquer un jour d'en vouloir à mon enfant !
Ceci dit, si on ne s'en rend pas compte et qu'il naît, je ne rejetterait en aucun cas cet enfant, et je l'aimerai évidemment. Seulement, si je peux l'éviter, et mon amour est d'accord avec moi, je le ferais.
Déjà que je risque de lui refiler la mienne de maladie... ça m'angoisse beaucoup... mais c'est pas le sujet

J'y pense de temps en temps, et ce d'autant plus que j'ai un groupe sanguin pas très courant et qui est très souvent lié à des maladies génétiques graves (au niveau physique, mais aussi au niveau retardement mental). Je sais d'ailleurs pas comment j'ai fait pour ne pas avoir ce type de problème :? Bref... j'y pense et je me dis que je risque de "refiler" ce type de maladie à mes enfants. Et je ne sais toujours pas comment je réagirais si un jour on me disait que j'attends un enfant qui sera gravement handicapé... si c'est tellement grave qu'il ne pourrait survivre qu'en restant à l'hôpital ou en souffrant énormément, là j'avorterais, pas question de lui donner juste la douleur en guise de vie.
Par contre, si c'est un retard mental ou un handicap physique tout à fait vivable... je ne sais pas.
Le plus important est le bonheur de cet enfant. Si je suis en mesure de le rendre heureux, je ne sais vraiment pas...

Bonjour je vous avouerai ke cette kestion ma souvent torturé lesprit et avec mon copain on a déjà parlé davoir d enfants; et on a réflechi ensemble si jamais on devai voir a l'echographie ke notre bébé est malformé , on a décidé ke nou ne le garderions pas et donc ke nou orions recours a lavortement ou lavortement par médicaments.
c klr ke c pas facile délever un enfant handicapé et dc si vou ne vou sentez pas le courage de pouvoir le faire, il vo mieu avorté.

aujourdui on a la possibilité de bénéficier des soins médicaux et de faire no propres choix concernant tt ceci dc a vou de faire votre choix. nou on la fait et je pense kon le respectera.

si seulement la médecine pouvait dès le diagnostic intra-utérin nous dire quel sera le degré du handicap, oui ça faciliterait (un peu) notre prise de décision. mais nous n'en sommes pas là, à part pour quelques maladies/malformations (quelqu'un a parlé plus haut de la maladie des os de verre par exemple).
j'ai une cousine handicapée, physique uniquement, une maladie génétique, jamais apparue dans la famille par ailleurs; elle va avoir 40ans, on nous avait prédit une espérance de vie d'una quarantaine d'années...elle finira grabataire, tout en se voyant se dégrader lentement mais sûrement; médicalement, il est possible de la "prolonger" un bon bout de temps avec des machines lorsque son état le nécessitera...
personnellemnt, je ne me vois pas assumer ce genre de chose, je ne sais pas si cet avenir vaut la peine d'être vécu. mais comme vous, le jour où l'on est confronté à cette décision avec l'incertitude du diagnostic, pas évident certainement!