!!! aspartame et glutamate de sodium = poisons !!!

quelques liens :

http://biogassendi.ifrance.com rubrique "alzheimer, restaurant chinois" pour infos sur l'aspartame et le glutamate monosodique
www.jeunesse-ardente.net/Diaporamas/Aspartame.pps
diaporama powerpoint

dvd : "Sweet Misery : A Poisoned World"
revue anglaise : the ecologist numéro spécial aspartame septembre 2005
livre : guide "additifs danger !" de Corinne Gouget

conférence : de Corine Gouget le 12 mai 2006 à 19h salle du forum organisé par l'assos Objectif Notre Santé
renseignements : http://ons-asso.org

Il y a aussi les déodorants à base de sels d'aluminium, ils sont eux aussi soupçonnés de donner le cancer du sein. Bon moi ça me rend un peu parano, j'ai même arrêté la pilule, je me méfie des hormones aussi.

petitefraisedesbois a écrit: Ca tombe bien, c'est le lien que j'ai aussi donné, même s'il est mal ressorti. Citation: J'en ai profitté pour supprimer l'espace qui invalidait le lien

Les autre sites que tu donne sont également des sites bio et des sites naturopate. Il est évident que de tels sites sont orienté dans leur point de vue. De ce fait, ils manipulent des info vraies :
Citation:. A remarquer, cette maladie très rare est systématiquement dépistée à la naissance. Un régime sans aucune protéïne est alors mis en place de manière très stricte sous surveillance médicale les 4 premières années de la vie. Il est peu à peu assoupli pour laisser une alimentaition normale à l'âge adulte.
Citation: Autrement dit, le glutamate est indispensable, mais dans des cas particuliers, la machine s'enraye avec des conséquences dramatique. Sachant que le sel favorise les caillots sanguin et que le monoglutamate de sodium favorise une alimentation moins salée, où est la réalité du danger du monoglutamate de sodium pour un organisme sain ?Citation:

Alors, que, dans une démarche naturopathe, tu condamnes pour toi la consommation d'aspartam, de monoglutamate de sodium et de fraise tagada, tout aussi chimique, c'est ton droit. C'est aussi mon droit de te dire qu'il s'agit d'une démarche partisane. Ce qui ne veut pas dire pour moi qu'elle est mauvaise. Mais elle est bien plus vaste que l'aspartam et le glutamate en eux-même. Par contre, détourner des info réelles pour conforter cette démarche c'est cela que je n'admets pas.

En fait, personellement, j'adhérerai à la conclusion de biogassendi, à un détail près :
Citation:
Vu les réponses que j'ai trouvé sur internet bien postérieures à 1992, je dirai "a été".
Et pour mon compte, mais ça n'engage que moi et mes goûts alimentaires, je ne jetterai ni mon pot de monoglutamate de sodiium (j'aime la cuisine chinoise), ni mon pot d'aspartam, même si je consomme assez peu de l'un et de l'autre.

Ouh là là, si je vous écoutais, je deviendrai anorexique. C'est sûr que ces produits sont (au moins certains d'entre eux) toxiques, mais on va quand même pas retourner à l'âge de pierre!

Plus d'infos sur le glutamate :



Brèves et Dépêches Nutrition et Physiologie, le 26 01 2006


Un additif qui renforce la saveur... et la faim

Le glutamate monosodique ou E-621 est un produit naturel utilisé en tant qu'additif pour son innocuité. Toutefois, des études menées sur le rat par Jesús Fernández-Tresguerres, directeur du Département de Physiologie de la Faculté de Médecine de l'Université Complutense de Madrid (UCM), ont montré que cet additif augmente la sensation de faim de 40%.

Chez l'homme, l'inhibition pharmacologique de ce composé peut induire des pertes de poids. Ainsi, cette découverte pourrait apporter de nouvelles pistes pour lutter contre l'actuelle épidémie d'obésité.

Le glutamate est un acide aminé naturel que l'on trouve dans presque tous les aliments, en particulier ceux riches en protéines (produits laitiers, viande, poisson, légumes). Ajouté aux aliments, le glutamate monosodique est un véritable exhausteur et ajoute un cinquième goût appelé "umami", qui rappelle le goût d'un bouillon ou d'une viande.

Les spécialistes considèrent que l'épidémie d'obésité qui affecte les pays industrialisés n'est pas seulement due à un problème d'équilibre entre calories ingérées et celles dépensées, mais que le sédentarisme, une mauvaise alimentation et des facteurs génétiques, neurologiques et endocriniens en sont aussi la cause. Les chercheurs se sont aussi demandés si un autre élément présent dans l'alimentation pourrait aussi influencer cette prise de poids.

Selon les chercheurs, le glutamate agit sur les neurones et empêche le bon fonctionnement des mécanismes inhibiteurs de l'appétit. Les études réalisées sur le rat ont montré que le glutamate stimule la voracité et la faim. Pourtant, le E-621 est considéré par les agences alimentaires, telles que l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l'Organisation sur l'Aliment et l'Agriculture (FAO), la Food and Drug Administration (FDA) ou bien l'Agence Européenne du Médicament, comme un additif non dangereux. Il n'existe pas, pour le moment, de quantités autorisées ni de limites imposées.

Jesus Fernández rappelle que son utilisation croissante dans les aliments pourrait avoir de graves effets sur la tendance à l'obésité en augmentant la sensation de faim. De plus, à partir de certaines quantités, il pourrait aussi avoir des effets toxiques sur l'organisme en détruisant des parties du cerveau impliquées dans le contrôle de l'appétit. Ce composé pourrait aussi diminuer la production de l'hormone de croissance. Pour ces raisons, les experts considèrent que l'utilisation de cet additif et la croissante consommation d'aliments hyper protéinés posent un sérieux problème de santé publique.

Les résultats ont été publiés dans Annals of Human Biology, mais Fernández-Tresguerres signale qu'il est nécessaire d'approfondir cette étude. En effet, le surpoids affecte déjà plus de 30% de la population en Espagne.

(Cette information est un extrait du BE Espagne numéro 48 du 13/01/2005 rédigé par l'Ambassade de France en Espagne. Les Bulletins Electroniques (BE) sont un service ADIT et sont accessibles gratuitement sur http://www.bulletins-electroniques.com)

Source : ADIT

Ces info sont présentes dans l'article de 1992 reproduit par biogassendi.Citation:

Bien sûr que le rôle d'un exhauster de goût est de rendre acceptable des plats qui par ailleurs ne sont pas du tout géniaux, du moins dans le cadre de l'industrie alimentaire.

Comme le sucre et les matières grasses, le monoglutamate de sodium permet de manger plus et plus facilement d'un aliment, c'est certain. Ce point là n'est pas niable. De là à s'acharner à le diaboliser...

Je ne le diabolise pas mais je trouve qu'il est bon de savoir qu'il trompe la faim, surtout dans un site qui prone de manger à sa faim. De plus comme l'aspartam il semble qu'une consommation très excessive soit néfaste.

Ce que tu poses est pour moi est la même que le café sucré ou non sucré, ou un plat salé ou non salé ou n'importe quelle autre épice.
Ou bien le poisson bouilli avec ou sans béarmaise. Je ne boirais pas 2 tasses de café non sucré dans ma journée, mais sucrée, oui. Le poisson bouilli sans sauce et sans épice, surtout de rivière, il faut que je crève de faim pour le manger.
Globalement, j'épice la plus part de mes plats (ne serait-ce que du sel). Mais pour moi, la RA, c'est manger à sa faim et non pas au dela de sa faim de manière régulière, tout met, aussi délicieux soit-il. Je vais peut-être manger une plus grosse portion d'un plat relevé au monoglutamate de sodium à un repas mais j'aurai faim d'autre chose au repas suivant, et régulerai alors. Du moins, pour moi, c'est comme cela que ça se passe. Et si le plat au monoglutamate est une conserve ouverte à la hâte, franchement, ça ne me fait pas manger plus.

Dire que le monoglutamate fait manger plus qu'à sa faim, alors que les consommateur traditionnels de mono glutamate, les asiatiques, connaissent bien moins l'obésité que nous, me semble exagéré.

Pour moi, le monoglutamate de sodium est une épice comme une autre épice. Pas plus que le poivre, le sel ou les piments, il ne me viendrait l'idée d'attaquer le pot à la petite cuillère. Les quantités auquelles le monoglutamate de sotium et l'aspartam sont dangereux, encore une fois, sont sans communes mesure avec leur doses toxiques. Je persite et signe, toutes les attaques répertoriées en 1992 par sciences et vie ont été classées aujourd'hui sans suite, même si on étudie et classifie encore et toujours les plaintes contre les additifs, quels qu'ils soient. http://www.eufic.org/fr/quickfacts/food_additives.htm Et d'ailleurs, certains comme le rouge cochenille, la tartrazine ou l'aluminium sont très allergisants.

Lu sur un pot de préparation pour potage express :
exhausters de gout :
E 621 Monosodium glutamate
E 627 Disodium guanylate
E 631 Disodium inosinate

Pourquoi tant de haine seulement pour le premier, alor que les autres ont strictement la même fonction.

Cela me rappelle le vieux tract de la sorbonne, sur les additifs dangereux. On y trouvait le E300 et le E330. Il a fallu des années avant que la rumeur ne s'éteigne...

Fabounet a écrit:

Pour le glutamate de sodium je vais me pencher sur la question avant de donner mon avis, mais pour l'aspartame je rejoint l'avis de Fabounet.

C'est d'ailleurs pour cela que depuis le debut de la RA j'ai eradiquer de ma cuisine l'aspartame, car prendre un subsititut qui va tromper ma faim ne pourra que m'empêcher d'avancer dans ma RA en faussant mes sensations alimentaires :?

C'est d'ailleurs grâce aux medecins du GROS que j'ai decouvert cela :)

C'est pour cela que j'ai mis un lien sur le texte de l'EUFIC. Ce texte, qui est tout sauf une condamnation des additifs alimentaires, est en filigrane totalement édifiant sur la manière dont l'industrie alimentaire cherche à tromper nos sens pour nous faire manger n'importe quoi et y arrive. Si nous voulons rejetter tout ce arrive à tromper nos sens, il y a du pain sur la planche. Mais c'est un débat que j'accepte parfaitement.

Le test des sirop aromatisés est à mon avis édifiant sur ce point. Lorsque les textes européens sur les nombres E sont sortis, que les plus anciens se rappellent, il y a eu un rejet massif dans la population de tout nombre E sur les étiquettes. Entre autre, pour les colorants dans les sirops. Les fabriquants se sont mis à frabiquer massivement des sirop sans colorant. Cette mode a très peu duré, le consommateur étant revenu rapidement à la consomation massive de produit coloré. Les fabriquant ont suivis. Pourtant tous les tests faits en aveugle montraient que le produit incolore n'était jamais distingué du produit coloré. C'est pour cela que je dis que le problème est beaucoup plus vaste.

Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi on dit aspartam et non édulcorant. La saccharine, l'acésulfam, les cyclamates ou la thaumatine, pour les plus utilidés, ne nous tromperaient pas ? Le sorbitol ou le fructose ne nous tromperaient pas un peu ? Ce que je ne comprends pas non plus, c'est pourquoi on dit monoglutamate de sodium et non exhausteur de gout. Et là, la liste est encore plus qu'impressionante.

Conservateurs, édulcorant, colorants, exhausteur de goût, je crois qu'avec le temps nous découvrirons qu'un certain nombre que nous ne soupçonnons pas encore sont dangereux. Mais certains, dont justement le monoglutamate de sodium sont déjà utilisés depuis des générations dans certaines populations. Croiser des études statistiques sur les populations est aujourd'hui un jeu d'enfant, et cela permet de voir les maladies anormalement fréquentes dans certaines populations, et d'en chercher la cause. Avec les nombres E, les doses journalières admissibles maximales de certains additifs ont été fortement réduites. Je pense que c'est une avancée. Les américains ont fini par retirer le monoglutamate de sodium des aliments pour bébé. Mais c'est la seule limitation qui a étét faite, et surtout pour tranquiliser les parents. Comme les bébés n'ont pas ralé, en opposition aux consommateurs de sirop, inutil de revenir sur cette mesure.

Donc, j'accepte le débat "édulcorant, colorants, exhauster de goût trompent nos sens et nous invitent à manger plus". Même si je pense pour moi qu'ils sont tellement présents aujourd'hui que c'est leur absence qui finit par nous tromper. Lorsque je vois que dans une panière d'oranges ou clémentines de super marché, les vertes sont laissées de côté alors que ce sont celles qui ont le moins reçu de poduits artificiels pour forcer leur coloration, je suis toujours étonnée. Mais les gens me répondent quand je leur pose la question "Ben, elles ne sont pas mures...". C'est bien qu'ils me les laissent, avec mes allergies de contact, je préfère. Ces produits permettent de rendre apétant des fruits moins chers que des fruit non traités. Pour moi le débat est là.

J'accepte le débat, "il faut préfèrer les aliments sans conservateur", même si je préfère pour moi le fromage sans les asticots. Pour moi, j'ai longtemps bataillé pour trouver mon lait cru, plutôt qu'appertisé. C'est devenu tellement difficil que j'ai rennoncé et que j'accepte maintenant le lait appertisé. C'était bien sur par goût, parce que je ne crois pas du tout que le lait appertisé soit nocif.

Mais, autant je comprends un débat global sur l'ensemble de ces produits, autant je me battrais pour que chaque additif continue à être clairement indiqué sur un produit industriel ou manufacturé, autant je prends le contrepied d'un débat qui s'attaque à un seul produit en invoquant une nocivité avancée depuis des années et que les études faites sur le sujet ont demonté.

C'est justement pour ca que, comme pas mal d'autres filles en RA, je me tourne de plus en plus vers les produits bio.
Déjà le lait, les gateaux, les yaourt, la creme, les pâtes, la purée, le sucre, le sel, l'huile sont systematiquement bio chez moi.

Pour les viandes, poissons, legumes, cereales, pain et fromage .... ce n'est pas encore du tout bio mais j'y viens petit à petit :)

J'evite ainsi pas mal de saloperie qui en plus denature souvent le goût des produits.
Et comme j'en mange moins mon budget et resté le même :)

Quand on lit l'enquête qu'avait fait "30 millions de consommateurs" sur tous les additifs qu'on peut trouver danss la nourriture industriel ca fait frois dans le dos.
Savoir que certains produits toxiques passent sans vergognes dans notre alimentation et qu'il n'y a pas de test, enfin si mais dans plusieurs années ca me revolte !

Voir que maintenant je trouve tous les plats industriels abominablement trop salé ou trop sucre ou trop gras me fait prendre conscience un peu plus à chaque fois de la quantité de saleté qu'ils nous vendent et qui ne nous fait pas du bien.

Au vue du nombre d'additif existant, sans oublier ceux qui viennent ralonger la liste chaque jour, je ne m'amuserais à faire le distinguo entre les 2 3 pas dangereux et les dizaines d'autres toxiques.
Mais de temps en temps en designer un clairement peu sensibiliser ceux qui ne sont pas au courant :)

J'essaye également d'éviter au maximum les conservateurs. Quand il y en trop dans un produit, déjà j'ai la flemme de sortir ma liste pour savoir s'ils sont d'origine animale ou non, alors je repose. J'achète du bio souvent "contrainte et forcée", car certains produits que je consomme n'existent pas en non bio: lait de soja, crème de soja, tofu, seitan... sinon j'essaie de faire un maximum de choses moi-même (exit la soupe en brique, les pâtisseries industrielles et les plats préparés trop salés).

Je m'inscris aussi globalement dans cette démarche vers une nourriture mieux maitrisable. Même si je pense que le risque majeur que posent la très grande majorité des additifs est le risque d'allergie, et particulièrement le risque d'allergies croisées, ce simple problème qui peut nous gacher beaucoup la vie est suffisant pour lutter contre tout envahissement inutil.

Et, même si les additifs sont censés être a priori inoffensifs, comme tu le dis, il est évident que sur le terme plusieurs montreront leur danger. Ce que je reproche, c'est d'utiliser des informations dépassées à cet effet, comme les éléments contenus dans l'article de 1992 de science et vie, ou fausses, comme d'affirmer en plus que rien n'a été dit en France sur le sujet. Pour moi, cela décrédibilise profondément un combat on ne peut plus fondé. Et c'est le sens de mon intervention.

Et bien moi j'ai fait la découverte du glutamate la semaine dernière à Bilbao.
J'étais allée manger chinois avec mon mari. J'avais commandé une soupe et un plat à base de riz.
Une demi-heure après environ, j'ai ressenti un important malaise. C'était comme si mon corps brûlait. J'avais mal derrière la tête. Cela a commencé comme une bouffée de chaleur, avec une légère crise d'angoisse. Mais cela s'est vite transformé en feu intérieur.

J'ai déjà mangé chinois. Je n'ai pas eu de tels symptômes si intenses.
Je n'ai rien contre cette nourriture, ni contre ce peuple.

En revenant en France, j'ai expliqué mes symptômes à mon docteur qui m'a dirigé vers le glutamate. Il est excessivement présent dans les soupes épicées chinoises ou autres.
Depuis, je ne suis pas prête de manger chinois et je regarde désormais la composition des aliments que je mange.

On peut être allergique à n'importe quel âge. J'ai 44 ans!
En tout cas, j'ai eu une de mes peurs de ma vie!!

Amitiés