!!! aspartame et glutamate de sodium = poisons !!!

Bonjour bellreveuse,

Tu peux nous en dire plus sur ce qui t'es arrivé ?

Il s'agit a priori de réaction allergique aux excitotoxines,
voir ce lienque j'ai déjà cité Citation:
ou ce lien http://www.ladietetiquedutao.com/aspartame.html sur mission possible france

Et bien pour ma part j'ai réussi à arrêter l'aspartame, au lieu d'une "bûchette" d'aspartame dans mon thé j'ai commencé par mettre deux sucres (roux), puis un, et maintenant je le bois avec un demi, tout ça en l'espace de deux ou trois semaines. Je suis fière de moi :D

J'ai jamais réussi à l'absorber, ce truc: ça me laisse un gout poudreux dans la bouche et j'ai beau avaler ma salive, j'ai toujours la bouche collante.

Faut se méfier des produits soi-disant light et le pire c'est qu'il y en a même dans les produits dits "normaux". Sans compter les c*******s du style "patisseries à l'aspartame" (j'en ai vu!!! :shocked!: ) alors que c'est un dérivé de l'acide chlorhydrique et que ça ne doit pas être chauffé!! :roll:

Voici une lettre que j'ai posté sur un site consacré aux candidoses et qui résume les grandes lignes de mon parcours :

." De fil en aiguille le puzzle prend forme...

Avec la survenue soudaine de symptômes douloureux, parfois à la limite du supportable, cela fait 16 ans que je vis un véritable cauchemar. Ma vie s'est arretée en 1989.


Je n'ai jamais compris pourquoi en Nov 89 ma vie avait ainsi basculé d'un coup. J'ai consulté alors une trentaine de mèdecins. On m'a fait de nombreux examens (de sang, urine, selles, échographie, radio, scanner, fibroscopie, coloscopie et j'en passe...) qui ne m'ont pas appris grand chose... J'ai pris bcp de médicaments chimiques en tous genres (bcp d'antidépresseurs, médicaments pour les problèmes ORL, pour la digestion, bcp de sédatifs pour calmer la douleur etc etc) ce qui n'a fait qu'aggraver la situation.
Ce n'est qu'après la dépose des amalgames dentaires (intoxication au mercure) en 1998, que les douleurs sont devenues d'année en année + supportables. Je croyais alors avoir résolu l'énigme... Et j'aurais pu me satisfaire de cette "demi-vie" si tout ne s'était écroulé par la prise d'aspartame de février à sept 05.
Difficile de faire le tri lorsque plusieurs pathologies ont de nombreux symptômes en commun...
En sept 05 j'ai pris contact avec la représentante en France de l'association MISSION POSSIBLE INTERNATIONALE et avec elle j'ai pu mieux comprendre le cheminement qui m'a amené jusqu'ici. Il manquait une pièce au puzzle :

Pourquoi aurais-je sombré d'un coup en 89 à cause d'une intoxication au mercure, alors que tout le monde sait que l'effet cumulatif du mercure se fait sur plusieurs années...?? Réponse : il a fallu que j'absorbe une substance qui accélère le relargage du mercure de mes 6 ou 7 amalgames ===) L'ASPARTAME !!
Un grand merci à Corinne Gouget pour ses lumières et son soutien. Effectivement j'ai consommé de cette substance hautement toxique dans mon café, yaourts etc.
En février 05 j'ai de nouveau recommencé à en consommer. Trés vite j'ai eu des effets étranges, que je mettais sur le dos des omégas3 que j'ai commencé à prendre à la même époque... Cela a commencé par une impression de déjà vu / déjà vécu, on peut presque parler d'allucinations "émotionnelles". Dans ces moments là, il n'y avait plus d'inhibition, plus de limite, c'était la porte ouverte à n'importe quoi... Moments intenses sur le plan émotionnel, je me sentais vraiment vivre. Mais qq semaines + tard, les émotions se sont émoussées assez rapidement, pour laisser place à un état dépressif où je ne suis pas sortie encore... (Est-ce que ça ne rappelle pas l'effet de certaines drogues ???...)
En juillet dernier, j'entame alors un régime draconien pour lutter contre une candidose systémique : donc plus du tout de sucre. Pour la transition, je m'autorise l'aspartame dont j'augmente généreusement la consommation (gâteaux, flans, café etc).
Ca va de mal en pis. S'ajoutent alors des maux de tête, des douleurs à l'estomac... et je plonge encore plus profondément dans la dépression (avec brouillard mental, problèmes de mémoire, faiblesse visuelle, humeur maussade, et surtout indifférence affective et impossibilité de ressentir des émotions, j'en oublie sans doute...). Des symptômes qui m'éloignaient du monde et de la réalité, ajoutés à des sensations d'ébriété... Je sombrais dans la folie ???
Je pensais que l'accentuation de mes troubles étaient dus à la libération des toxines par les candidas morts !! Je n'ai donc tjs pas fait le lien avec l'aspartame, continuant mon chemin, en pensant bien faire. Ce n'est que mi-sept que j'ai compris. Grace à ce forum, et à la lecture d'un article très instructif. Et là, j'ai enfin pris au sérieux ce que je prenais pour une simple rumeur... J'ai stoppé net ma consommation. Pdt la semaine qui a suivi (sevrage) je n'ai pas arrété de dormir, même dans la journée ! D'un sommeil très profond...
Les douleurs digestives et les maux de tête ont très vite disparus, mais pour le fonctionnement cérébral les progrès sont bcp plus longs. J'ai commencé une médication isothérapique (aspartam 30CH) et J'ai arrété le traitement de la candidose (antifongiques etc) pour ne pas mélanger les genres, et de toute façon mon organisme trop fragilisé ne suivrait pas.

Alors voilà, on part de peu de chose au départ, et les choses s'enchaînent pour vous entraîner au fond.

Prise d'aspartame (neurotoxique) qui accélère l'intoxication au mercure qui lui même prépare le terrain pour le dévellopement d'une candidose généralisée...

J'espère que mon parcours vous aura été de qq utilité..."



Je viens de découvrir au fond d'un tiroir, une vieille analyse d'urine (acides organiques urinaires) qui dâte d'octobre 2001.
C'est une analyse assez "pointue" qu'aucun mèdecin n'a su interpréter (ça dépassait leurs compétences). Le mèdecin qui me l'avait prescrite était le Dr Melet, conseiller scientifique de l'association NON AU MERCURE DENTAIRE, qui est malheureusement décédé. Il n'a jamais reçu le double des résultats et n'a donc jamais eu l'occasion de me les expliquer...
J'ai beaucoup de résultats en dehors des "fourchettes", mais un d'entre eux est peut-être d'un grand intérêt...

PHENYLLACTATE : 56.7 (on ne doit pas dépasser 20)
Il semblerait que ça soit le métabolite de la phénylalanine ?... (composant de l'aspartame).
Affaire à suivre...

Ce document http://courses.washing...ectures/ppt/18.AromaticAAs.ppt met en relation la production de Phenyllactate avec la phenylcétonurie dans sa page 4. Si tu as un problème de phénylcétonurie, il est normal que tu ais des problèmes avec l'aspartame.

c'est un document PPT, une visionneuse PPT peut être nécessaire, soit open office, soit ici http://www.microsoft.c...77-4CBA-4A75-86F3-9FF96F68E491 power point viewer.

Je n'ai pas de problème de phénylcétonurie, sinon je le saurais depuis longtemps ! J'ai quand même passé 28 ans de ma vie sans avoir le moindre problème de santé (ou soucis mineurs, comme tout le monde), et sans avoir à suivre de régime sans protéines comme lorsqu'on est atteint par cette triste maladie.

Ce n'est pas aussi évident :
Citation:
Citation:

Donc, puisque tu as 44 ans, il est plus que possible que tu n'es pas été dépistée pour cette maladie à la naissance. Et si ton déficit enzymatique est très léger, cette maladie peut ne pas avoir eu sur toi les effets la font redouter.

C'est comme tout : avec modération !!
l'aspartam, si on remplace tout les sucres de l'alimentation quotidienne par de l'aspartam, c'est dangereux...
Mais avaler de temps à autre des plats contenant de l'aspartam n'a jamais fait de mal à personne.
D'ailleurs contrairement à ce que l'on pense, l'aspartam existe aussi sous certaines formes dans la nature.

Pour le glutamate, c'est un des 21 acides aminés qui sont essentiels à la vie, qui composent les protéines.
si l'on est pas atteint d'allergie à cet acide aminé, il FAUT en manger. Sinon, on meurt, c'est aussi simple que ca. Si on est atteint d'allergie, il faut compenser par un fac-similé.
Mais comme tout, il faut pas abuser.

je doute fort que l'on meurt de ne pas consommer des plats industriels contenant des additifs qui par nature, ne sont pas présents naturellement dans les aliments mais ajoutés à des fins de conservation ou autres ...

après que cette substance existe sous une forme naturelle est autre chose, on n'a pas la composition d'une tomate affichée sur sa peau, ni les acides aminés présents dans un steack, donc la question ne se pose pas, éviter un additif ne veut donc pas dire nécessairement éviter une substance dans tous les cas.

petitefraisedesbois a écrit: J'ai mangé des asticots dans mon fromage quand j'étais enfant justement parce que la France et l'Europe n'ont réatteint la suffisance alimentaire suite à la deuxième guerre mondiale que dans les années [19]60 et les famines ont tué durant longtemps.
Maintenant mettre de l'insecticide dans les pommes de terre (ancienne technique de conservation) est-ce meilleur ou pire que les ioniser, je n'en sais rien. Mais sans l'un ou l'autre, une chose est certaine, les pommes de terre germent avant la fin de l'hiver. Par contre, il est normal que chacun puisse savoir si ses pommes de terre ont ou non subi un traitement de conservation et lequel.

je maintiens que l'industrie agro-alimentaire ne peut justifier ses méthodes par le fait que les famines aient sévi jusque pendant le 20e siècle, on peut nourrir les populations sans utiliser d'additifs nocifs, sans ioniser et sans aspartame.
ces produits leur servent en général à accroître leur bénéfices, et non à améliorer la qualité nutritive de leurs produits.

l'industrie a apporté des améliorations mais le tout indutriel est aussi délétère que l'âge archaïque. la voie juste est celle du milieu et certainement pas celle des lobbys agro-alimentaires, des semences stériles (vous rendez-vous compte que bientôt on ne pourra même plus replanter une partie des récoltes et que chacun devra obligatoirement acheter ses semis ? ce qui signifie que la survie alimentaire sera détenue dans quelques mains uniquement) ou génétiquement modifiés, etc, etc, etc...

une petite association (kokopelli) qui tente de sauvegarder le patrimoine alimentaire dans sa diversité (semences variées non stériles, races anciennes) est poursuivie par des grosses multinationales pour concurrence déloyale...
je suis révoltée de cet état de fait.
mais où va-t-on franchement ?

Il est intéressant que tu regroupes dans un même post les cas de Kokopelli et de Monsanto
Car ce que reproche Baumax à Kokopelli, c'est entre autre de commercialiser des graines sans en faire enregistrer les caractéristiques à l'INRA. Aurions-nous su sans cela que Monsanto voulait commercialiser des graines terminator pour des plantes alimentaires en 1999 ? Quant au procédé terminator en lui même, autour de moi j'entends certaines personnes dire :"finalement, pour les OGM cultivées en vase clos..."

Bien sûr, il y a aussi derrière le jeu de la concurence. Rien n'est gratuit.

Citation: Bien sûr, mais nous n'avons pas la même définition du milieu. Pour moi, le milieu est ce qui permet à tous le monde de se nourrir sans énormes difficultés. Et l'existence des resto du coeur montre que ce n'est pas forcément le cas.

Il faut que j'ajoute qq chose de très important à mon post précédent :

Cette analyse concernant le phényllactate a été effectuée en oct 2001. Or, j'avais arreté ma consommation d'aspartame en début de grossesse, en février 96. Ce qui confirme ce que je soupçonnais : L'aspartame dans l'organisme a un effet cumulatif. Une fois emprisonné dans les cellules, il est difficile à déloger. (un peu comme l'intoxication aux métaux lourds).
Ma fille (9 ans) a également consommé de ce produit neurotoxique de février à mi-sept 05. Elle était devenue agressive, instable, angoissée, son teint pâle et les cernes sous ses yeux faisaient peine à voir... A l'arret de ce poison les progrès ont été extrêment longs, me faisant douter...
Ce n'est que 4,5 mois plus tard et grace à la prise d'un isothérapique (aspartam 30CH) que j'ai vraiment retrouvé ma petite puce. Voici ces propres paroles :
"Maman, tu sais, c'est comme si j'étais sortie d'un bocal. Je me sens libre."