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conséquences allaitement bib/sein

O
103 ans 10517
ils sont TOUS obsédés par les nibards, de toutes façons :lol:
38 ans 2879
grande_ourse a écrit:
ils sont TOUS obsédés par les nibards, de toutes façons :lol:

Pas les homosexuels non, enfin je ne pense pas. :o
40 ans 1307
grande_ourse a écrit:
ils sont TOUS obsédés par les nibards, de toutes façons :lol:


:lol:

Je crois que c'était l'hypothèse suivante dans notre super conversation existentielle !


Okapi aucun souci !! Ca me conforte dans l'idée de lui en parler à Pâques. Mais comme je l'ai dit à Schnauzer, je doute vraiment que ça serve à quelque chose. Je n'arrive jamais à avoir une vraie conversation intéressante avec ma mère. Elle ne fait qu'éluder, dire n'importe quoi, tout confondre, mentir ! (ouh la belle liste :roll: )
S
89 ans 4951
pimpf a écrit:

Donc non, ce topic n'a pas réellement d'importance pour moi. Je vis très bien mon allaitement et ma décision d'allaiter au départ. Ce topic n'était pas pour moi, c'était de la curiosité.

Quant au fait que j'aie été mise au régime à l'âge de 3 mois, ça c'est autre chose ! Je pense effectivement qu'il faudrait que j'en sache un peu +, car cette histoire me perturbe. Je ne comprends pas qu'on puisse faire ça. Je n'en ai pas encore parlé avec elle, on est trop occupées à se prendre la tête sur d'autres trucs. Mais je vais le faire à Pâques, car clairement, en l'état, je lui en veux.


j'avais compris que ce n'était pas la différence sein biberon qui te perturbait, mais plutot ton histoire en tant que bébé.

C'est sur ce point que je te demandais s'il pourrait etre judicieux de réfléchir à ce qui te dérangeait exactement dans cet agissement de ta mère avant de lui en parler avec ta mère.

Tu lui en veux d'avoir écouté ce pédiatre et comme dit okapi c'est important de pouvoir revisiter les points de notre histoire qui sont douloureux.

Le rêve étant que nos parents reconnaissent s'etre plantés sur certaines choses, sans vouloir le faire pour la plupart (en dehors de la maltraitance).

Ce n'est pas toujours le cas, le passé ne peut pas être trop abordé chez moi, je fais avec. Mon père a demandé pardon avant de mourir et ma mère a une fois dit qu'elle savait avoir fait des erreurs, mais qu'elle avait essayé du mieux qu'elle avait pu à ce moment là, mais si je lui parlais des choses qui m'avaient fait souffrir, soit elle se mettait en colère, soit elle pleurait.

Mais il est important de garder à l'esprit que nos enfants souffriront de certaines choses également, meme si on a voulu de toutes nos forces que cela ne soit pas le cas.

De le reconnaitre, aide l'enfant à passer dessus, il a été entendu, reconnu, il peut donc se rendre compte que ses parents ont fait du mieux qu'ils pensaient ou qu'ils pouvaient à se moment là.

Après je ne connais pas ton passé, le comportement de ta mère en dehors de cet épisode et c'est toi qui sait le mieux.

Il existe des parents toxiques malheureusement.
38 ans 2879
pimpf a écrit:

Okapi aucun souci !! Ca me conforte dans l'idée de lui en parler à Pâques. Mais comme je l'ai dit à Schnauzer, je doute vraiment que ça serve à quelque chose. Je n'arrive jamais à avoir une vraie conversation intéressante avec ma mère. Elle ne fait qu'éluder, dire n'importe quoi, tout confondre, mentir ! (ouh la belle liste :roll: )

Ah on a la même : elle en arrive à justifier l'injustifiable :lol:

Pour ma part du coup j'ai abandonné l'idée, je fais sans explications. Mais j'aurais aimé pouvoir compter sur elle là-dessus, ça aurait pu aider. Enfin, on fait avec ce qu'on a ! ;)

Sinon, si ton bébé avait été une fille et non un petit garçon, elle aurait aussi été une obsédée des nichons ? :P
40 ans 1307
Okapi a écrit:


Sinon, si ton bébé avait été une fille et non un petit garçon, elle aurait aussi été une obsédée des nichons ? :P


Tu sous-entends de façon subtile que notre hypothèse était pourrie ??! \:D/

Autant pour moi Saralou, je pensais que tu parlais du sujet de ce topic ! Faut dire aussi qu'il y a un sujet à part dans le sujet, c'est confusant ! #-o

Je réfléchis aux différentes choses pour lesquelles j'en veux à ma mère. Effectivement, l'idéal serait juste d'être écoutée, comprise et prise en compte. Le passé ne peut pas être changé, ce qui est fait est fait. Mais la démarche de lui en parler aurait juste pour but d'être prise en compte. Mais pour ce faire, il faudrait que je sois prise au sérieux et vraiment écoutée. Malheureusement, j'imagine déjà la discussion et je ne pense pas être prise en compte.
C'est d'ailleurs un problème que j'ai depuis toute petite (le souvenir le + lointain et le + douloureux étant une très grosse insomnie à l'âge de 10 ans et mes parents ne se levant pas pour me réconforter).
Je pense que tous nos conflits sont d'autant de tentatives de ma part pour être écoutée, et autant d'échecs...

Ah, c'est sympa de réaliser ça... :(
S
89 ans 4951
pimpf a écrit:


Je réfléchis aux différentes choses pour lesquelles j'en veux à ma mère. Effectivement, l'idéal serait juste d'être écoutée, comprise et prise en compte. Le passé ne peut pas être changé, ce qui est fait est fait. Mais la démarche de lui en parler aurait juste pour but d'être prise en compte. Mais pour ce faire, il faudrait que je sois prise au sérieux et vraiment écoutée. Malheureusement, j'imagine déjà la discussion et je ne pense pas être prise en compte.
C'est d'ailleurs un problème que j'ai depuis toute petite (le souvenir le + lointain et le + douloureux étant une très grosse insomnie à l'âge de 10 ans et mes parents ne se levant pas pour me réconforter).
Je pense que tous nos conflits sont d'autant de tentatives de ma part pour être écoutée, et autant d'échecs...

Ah, c'est sympa de réaliser ça... :(


c'est douloureux, ses souvenirs du passé.

Je trouve que c'est une bonne chose de mettre des mots dessus, sortir ce qui nous a fait mal.

Ensuite, l'idéal étant d'être entendue et reconnue bien sur. Mais cela n'est pas toujours le cas, car cela demande de se détacher de pas mal de choses d'entendre cela de nos enfants.

Parfois quand les parents parlent, on se rend compte qu'il est plus facile d'entendre son enfant parler de ce dont il a souffert de notre part, quand on a fait la paix avec nos souffrances, le ressenti est différent je pense.

Ma mère qui a 79 ans, pleure encore quand elle parle de ses souffrances d'enfant. Elle n'a pas pu entendre les notres, car cela la renvoyait à son passé. Elle comparait en nous disant "si vous aviez eu la vie que j'ai eu, vous seriez heureuse de la vie que vous avez". Sa souffrance était trop envahissante dans sa vie, pour laisser la place à la notre.

J'ai quand meme choisi de faire la paix avec mon passé, dans ma thérapie, car comme j'avais remarqué que ma mère parlait tout le temps de son passé quand j'essayais de parler de mon présent, je me disais qu'il fallait que je me libère de cela, pour que mes enfants puissent un jour me parler et que je puisse les entendre sans que cela me renvoie à mon passé.

La naissance d'un enfant fait remonter pas mal de choses je trouve, j'ai trouvé cela plutot comme une chance finalement car j'ai pu laisser de côté les ombres du passé avec le temps.

Si le dialogue passe mal entre ta mère et toi, tu pourrais coucher sur papier ton ressenti dans un premier temps ?

Et autrement, je me répète, mais il existe aussi des parents toxiques avec qui la seule chose qui reste à faire c'est de prendre nos distances, seul toi peut juger ce qui est le mieux.
38 ans 2879
N'oublions pas que si le parent n'est pas conscient que tout enfant aura des points irrésolus, des critiques, alors il risque d'être très brusqué par ce genre de discussions, dans laquelle il verra une mise en accusation.

Il y a quelques temps ma mère a fouillé dans sa mémoire pour apporter une réponse à quelque chose qui a été très dur pour moi. Je sais à quel point ça a été difficile pour elle, car sur le moment elle s'était fâchée et se sentait très mal.

Je lui suis reconnaissante de ce gros effort, et je pense ne pas pousser plus loin mes investigations, pour la préserver, car je sais qu'elle n'a pas la disposition d'esprit pour prendre ces paroles autrement que douloureusement.

Avoir des explications est important, mais voir au présent sa mère essayer d'être là à sa façon, telle qu'elle est, à vouloir nous donner de son attention, ça aide à s'en passer.
Car dans tout ça, n'est-ce pas douter que sa mère nous aime réellement ?

J'accepte maintenant que ma mère soit différente de moi, et j'arrive à reconnaître ses preuves d'amour. On a toujours du mal dans la communication mais je crois qu'on est arrivées à un palier plus calme, et j'espère qu'on pourra faire encore mieux.

Voilà pour mon expérience sur le sujet :)
40 ans 1307
Jusque là j'étais bien consciente que tout faire pour ne pas reproduire les erreurs de mes parents était primordial.
Mais grâce à cette conversation, je réalise aussi qu'il est indispensable de me détacher de ces fameuses erreurs et du mal qu'elles m'ont fait.

Je vais parler du régime à 3 mois à ma mère car je voudrais en savoir + : combien de temps il a duré, en quoi il consistait, etc. Je vais récolter des informations (qui déjà seront pauvres à mon avis), et ça s'arrêtera là.
Il est évident que ma mère reste bloquée sur les erreurs faites par ma grand-mère. Elle en parle tout le temps (j'exagère à peine), elle lui en veut beaucoup. Je comprends donc, avec ce que tu me dis Saralou, que ça ne sert à rien de lui demander de me prendre en compte. Elle n'est pas disponible pour ça.

C'est fou, j'en viens à la même conclusion que dans mon topic sur ma mère et mon fils. En gros, je ne dois rien attendre de ma mère.

Je vais écrire tout ça car j'en ai besoin. Ca sera pour moi et puis c'est tout. Je crois que c'est la seule chose qui me reste à faire. Et éventuellement commencer une thérapie !

Quant au concept de parents toxiques, où est la limite ? Comment on sait si c'est le cas ? Effectivement, moi seule peut juger, mais je suis un peu perdue. Et prendre mes distances, c'est encore ce qui est sorti de mon autre topic... Je ne vois pas ma mère souvent, là ça fera 2 mois qu'on s'est pas vues. Depuis la dernière fois on s'est échangé quelques mails qui étaient horribles, c'est tout.

J'aimerais arriver au stade décrit par Okapi, où je pourrais juste accepter ma mère telle qu'elle est, mais j'ai l'impression d'en être très loin. Faire table rase du passé sans explication et sans prise en compte va m'être super difficile. Je me rends compte que j'en suis bien loin...

En tout cas merci à toutes, et à vous deux particulièrement, pour votre aide !
49 ans région parisienne 5831
En tous cas, Pimpf, je remarque une grande évolution entre ce topic et le précédent: dans le précédent, tu semblais difficilement accepter l'idée d'accepter ta mère telle qu'elle est et de ne pas attendre d'elle ce qu'elle est incapable de te donner, alors que là, je remarque que, petit, à petit, l'idée fait son chemin. ;)

Je remarque aussi que, du coup, ton discours est beaucoup plus serein, et je pense que cela ne peut te faire que du bien. ;)

saralou a écrit:
Ma psy pensait aussi que j'avais eu faim enfant, car je ne pouvais pas affronter le ventre vide par exemple. J'ai posé des questions à ma mère, elle m'a dit, c'est pas possible que tu ais eu faim, car tu ne réclamais pas et tu ne finissais pas ton biberon.


J'ai vécu la même chose que toi: vue ma peur du ventre vide, j'étais persuadée d'avoir eu faim en étant bébé, mais ma grand-mère m'a certifié que non.

Cette histoire m'a trottée dans la tête. Je me suis finalement rendue compte que lorsque ma fille disait "j'ai faim", ma mère répondait toujours immédiatement à cette demande en lui donnant à manger, comme si il y avait urgence. J'ai observé le même comportement chez ma grand-mère, et chez moi aussi!

Du coup, j'ai réfléchi et je me suis dit que c'était peut-être de là que venait ma peur du ventre vide: étant donné que ma mère et ma grand-mère traitent la faim comme une urgence, j'ai sans doute intégré inconsciemment que la faim était dangereuse.

Depuis que je me suis rendue compte de cela, quand ma fille me dit "j'ai faim", je ne me précipite plus pour lui donner à manger. Si le repas n'est pas loin, je lui demande d'attendre. Je lui fais remarquer aussi que ce n'est pas grave d'avoir faim, qu'on peut survivre 15 minutes en ayant faim et attendre le repas collectif.
40 ans 1307
Ah Mamykro tu trouves qu'il y a du mieux ! Merci !
Moi, en revanche, je n'ai pas du tout l'impression d'avancer, mais plutôt de faire du surplace car je me trouve dans une impasse...
Discours + serein je sais pas... Mais je crois qu'il faut effectivement que je fasse un peu de ménage dans ma tête et dans ma vie avec les autres, pour pouvoir être mieux, et du coup être mieux dans mon rôle de mère.

Quant à mon régime à 3 mois, ça m'étonnerait si ma mère me disait que je n'avais pas eu faim.
Je me souviens, quand elle me l'a dit, c'était + dans le sens où "tu vois, t'as toujours eu des problèmes avec la bouffe, t'étais destinée à être obèse. La preuve, à 3 mois déjà t'étais trop grosse et fallait te restreindre".

Perso, je trouve ça assez violent.
38 ans 3170
Plus que la façon de nourrir l'enfant, j'ai remarqué que ce sont les relations mère-enfant qui détermine certaines choses. Evidemment l'enfant a son caractère mais très souvent en pouponnière si la maman était une boule de stress, tu peux être certain que l'enfant se sent en insécurité. Les mamans super zens, qui disent un jolie bonjour, un petit bisou et hop bonne journée, l'enfant était pareil. Alors je ne sais pas si on s'adapte mieux quand la maman est moins fusionnelle ou angoissée à l'idée de laisser son enfant (ou encore que les enfants ont le même type de caractère que la maman mais j'en doute plus..). Bref tout ça pour dire que je n'ai jamais croisé de maman anxieuse et d'enfant zen à l'idée d'aller en crèche car ils ressentent beaucoup de choses..
La façon d'être nourrie ne change rien à mon sens mais je me demande si parfois certains enfants n'ont pas manqué de lait (que ce soit au sein ou au biberon) de façon involontaire. Je ne compte plus le nombre de fois où je lis "j'ai tendance à manger beaucoup car peur de manquer mais je ne sais pas d'où ça vient car j'ai toujours eu à manger". Je me suis souvent demandée si ça ne venait pas de cette période.
38 ans 899
j'ai tout lu, c'était une discussion super intéressante, merci!

ici j'allaite, et pour moi il ne pouvait en etre autrement.
Ma fille est passée par la néonat parce qu'elle a fait des convulsions idiopathiques à son 3e jour de vie (comme moi, comme mon frère, ma nièce et peut etre mon père).
pendant cette période, elle était trop faible pour têter, donc elle avait une sonde...que l'on remplissait de mon lait, tiré au tire lait. dès qu'elle a pu boire seule, je l'ai remise au sein, avec ses électrodes, ses perfusions, ses fils de partout (ma pauvre petite princesse, je la revois comme ça j'ai les larmes aux yeux)... et j'ai été heureuse de mon choix d'allaiter.
clairement l'équipe de néonat m'a dit que c'est grace à l'allaitement,mon contact,mon odeur,le peau à peau, à mon lait, qu'elle n'a pas pleuré d'angoisse, comme le font la plupart des bébés ici. et que c'est grace à ça aussi qu'elle a mieux combattu les convulsions, plus rapidement que d'autres du moins.

ou alors ma fille est une warrior? ^^

parce que non, mon attitude à moi ne pouvais pas la calmer, je pleurais dès que je la voyais si faible, les larmes coulaient sur elle pendant la têtée, quand, dès qu'elle avait fini elle convulsait. et je pleurait quand je devais rentrer à la maison et la laisser à la maternité le soir...

maintenant, ayant vécu moi meme cela, (convulsions a 3 jours, sortie de la mater 10 jours après ma mère) je pense qu'il y a des conséquences.
Ma mère a essayé de m'allaiter. Tant qu'elle le faisait j'allais bien, dès qu'elle a eu du mal, j'ai développé un sentiment d'abandon. Aujourd'hui encore, c'est ma peur la plus vive. J'ai du mal avec les séparations. En néonat, elle tirait son lait, je n'avais pas de contact avec elle, j'étais en couveuse. j'avais son lait, mais pas son contact. Mon psy, et moi aussi, et ma mère d'ailleurs aussi, pensent que la peur de la séparation et de l'abandon a commencé ici...
38 ans région parisienne 1309
mamykro a écrit:

Une copine m'a raconté qu'un dentiste avait immédiatement repéré que son fils avait été allaité rien qu'en regardant sa dentition: le dentiste lui a dit que l'allaitement permettait à la machoire de se mettre correctement en place et diminuait les risques de problèmes dans la structure de la bouche.

Pour revenir sur le développement de la dentition, je vous donne juste l'avis de mon père (orthodontiste) :
En fait les problèmes de croissance de machoire qu'on observe de plus en plus actuellement, ce n'est pas du tant à la différence de suscion allaitement/biberon, mais surtout les habitudes alimentaires après la diversification...
Le fait qu'on donne aux enfants uniquement des trucs mous à manger (purée, steack haché, pain de mie...), forcément les mâchoires travaillent moins, et donc se développent moins ! et on peut observer avant même les 6 ans de l'enfant un retard de croissance de la mandibule... associé à un mauvais positionnement de la langue (position basse), au bout d'un moment forcément un décallage maxillaire sup/mandibule s'installe !
Et après on est "obligés" de passer par la case orthodontie ;)
C'est pas uniquement un problème d'esthétique, comme avec une dent qui chevauche un peu une autre par ex...
D'ailleurs on voit de plus en plus d'articles dans les revues spécialisées, mais aussi dans les magasines pour les jeunes parents, des conseils du style "donnez à votre enfant des batonnets de carotte à mâchouiller", ou "coupez-lui une pomme en morceaux plutôt que lui donner une compote"... ce n'est pas par hasard !
38 ans 3196
Merci Carabine ! C'est très intéressant. Dès que bébé aura plus que deux micro-dents, j'essaierai de me souvenir du conseil !
B I U