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Vos pire moment de solitude

P
48 ans 39
A peine arriver et j ouvre un nouveau poste :oops: ,
ils nous aient tous arrivé des moments de honte, de grande solitude, une envie folle de se  
cacher.... Mais qui qq années apres nous font bien marre.
Ce topic ce veux avant tout drole et divertissant , autant eviter les traumatismes ici :?
Bon ben je commence.
Je devais avoir 24 25 ans, tout romantique comme je suis je propose a ma compagne de l epoque d aller un week end a la campagne pour denicher un petit restaurant. Une fois le petit resto trouve et apres avoir bien mange bien bu, je paye on sort et la enorme envie d aller au toilette ( comparable a cette envie qui nous prends a chaque fois qu'on cherche les cles de chez soit pour ouvrir sa porte ). Je me voyais mal revenir dans le resto pour prevenir le patron que j avais oublié de pisser avant de partir. Je repere une pallisade sous un porche ou je peux me soulager. Pendant que je vidai ma vessie la pallisade c est revele etre un porte qui c est ouverte avec un curé et un petit groupe de personne munis d appareil photo...
Finissage de pissé, remontage de braguette et bougeage vite fait ....
Ma copine morte de rire et pour moi grand moment de solitude.
40 ans Bruxelles 1226
Moi c'est quand j'était a Grenoble , je devais avoir 16 ans..
On jouais a " action ou verité " avec les amis
mais parmis ces amis se trouvait un certains " Johnny " que j'aimais pas du tout , pas le feeling ni rien..

Puis tout le temps il se moquais de moi !
Puis un soir en jouant a " action ou verité " ca m'est tombé dessus!
Ce que je redoutais le plus !!
Embrasser ce " Johnny "..
Très timide j'ai dis , oki mais derrière les buissons comme ca personnesn ous regarde!
Je l'ai fait , et le pire arrive..
C'est le lendemain j'ai attraper une allergie aux levres....a croire que j'était allergique a ce " Johnny "...
Puis de là j'ai commencé a le chambrer en disant que j'était allergique a lui.. je faisait ma petite maline devant un groupe de 7/8 garcons..
Jusqu'a moment ou un chien est passé et a tiré avec ses dents sur ma jupe!!! :roll:

J'vous laisse imaginer la suite..
Tout le monde a tout vu !
Moi je pleurais , j'ai meme ete me cacher chez mon oncle!
Tout le monde s'était fouttue de moi mais bon
Aujourd'hui j'en rie ;)
44 ans Aurillac 42
moi j'avais 14-15 ans j'étais amoureuse d'un certain"dominique"(oui comme moi :lol:) et nous passions bcp de temps ensemble (sans rien évidement).
Donc un jours chez mes parents nous préparions un spectacle avec mes soeur pour leur anniversaire de mariage et il y avait Dominique.
J'écrivais beaucoup de poème comme toute bonne romantique rêvant du prince charmant, j'en trouve un qui pouvais à peu près convenir à l'anniversaire de marige, le regarde droit dans les yeux, lui fait comprendre que c'était pour lui que je l'avais écris à la base et là la Honte de ma vie pendant un blanc pour marquer l'émotion,un mal de ventre terrible et j' ai fais un "pet" terrible. :oops:
Aujourd'hui j'en ris de bon coeur,mais il ya 10 ans je ne passais plus devant lui et je ne voulais plus le voir.
Quel mélodrame pour un bruit :lol: :lol:
53 ans Montereau fault yonne (77) 62
Je devais avoir 18-19 ans mes parents étaient absents et j'étais seule à la maison avecmon ptit copain de l'époque. Nous étions en plein calin (assez bruyant :oops:), quand on entend la porte d'entrée s'ouvrir, à l'époque j'avais un chat qui sautait tjs après la porte d'entrée quand il voulait rentré à la maison, surpris dans nos ébats on fait une pause et rassurée je dis à mon copain : "c'est rien c'est la chat qui essaie d'ouvrir" !!!! Nous reprenons donc nos petites affaires (tjs assez bruyamment) et d'un seul coup j'entend la voix de ma mère qui crie du bas de l'escalier qui mène aux chambres : "C'est nous on est arrivés" :oops: :oops: :oops:

Triple méga honte, rhabillage en deux temps trois mouvements et plus jamais de calins bruyants !!!!! Et pas longtemps après fin de l'histoire avec le petit copain de l'époque :onfire:
44 ans En enfer 1577
désolé de vous decevoir mais je en me souviens d aucune histoire de ce genre ...
bon oki jsuis encore jeune mais bon ...
13610
et tu pourra trouver ici de plus amples informations :

histoires

bon ok c'est pas tiré sur le même forum mais tu peux toujours aller voir
1415
Je comprends pas trop le terme "solitude" ici... :?:
13610
Ali Baba a écrit:
Je comprends pas trop le terme "solitude" ici... :?:


moment de solitude.
quand tu te tape trop la honte et que tu es seul avec toi même!
quand tu te tape trop la honte que tu voudrais te transformer en petite souris pour te cacher.

c'est une expression...

(y'a bigard qui a fait un excellent sketch là dessus)
1415
ah... ben merci pour l'explication, je ne connaissais pas l'expression :)
*
48 ans Niort 183
zool a écrit:
Je devais avoir 18-19 ans mes parents étaient absents et j'étais seule à la maison avecmon ptit copain de l'époque. Nous étions en plein calin (assez bruyant :oops:), quand on entend la porte d'entrée s'ouvrir, à l'époque j'avais un chat qui sautait tjs après la porte d'entrée quand il voulait rentré à la maison, surpris dans nos ébats on fait une pause et rassurée je dis à mon copain : "c'est rien c'est la chat qui essaie d'ouvrir" !!!! Nous reprenons donc nos petites affaires (tjs assez bruyamment) et d'un seul coup j'entend la voix de ma mère qui crie du bas de l'escalier qui mène aux chambres : "C'est nous on est arrivés" :oops: :oops: :oops:

Triple méga honte, rhabillage en deux temps trois mouvements et plus jamais de calins bruyants !!!!! Et pas longtemps après fin de l'histoire avec le petit copain de l'époque :onfire:



et ta mere vous a pas entendu ?
55 ans Var 2447
Moi y en a eu quelques uns mais ce souvenir me fait rire maintenant alors qu'à l'époque.....si j'avais pu rentrer sous terre.

C'est l'été il fait chaud, je suis en tongs, T-shirt, jupe légère. Je rentre avec ma mère, ma soeur à la mairie qui a un parterre immense avec de grandes marches en "marbre".

On reste deux plombes dans la mairie allant de bureaux en bureaux et entre temps un orage d'été gronde et une bonne averse s'abbat au dehors.

Donc deux heures plus tard on sort, ma soeur et ma mère devant moi, dehors c'était trempé, les marches luisaient......
Ma soeur me dit : "attention sabrina les marches en descendant elles gliss....."

Trop tard : un grand BOUM et j'ai dévalé ce p***** d'escalier sur les fesses pour me receptionner aux bas la jupe sur ma tête devant une foule de personnes (hyper bien fringuées) qui attendaient pour célébrer un mariage....

La honte, la grosse honte. Je suis partie en boitant, mouillée de la tête aux pieds, le visage rouge (de honte bien sûr) entourée de deux femmes hilares :evil: :evil: ma SOEUR et ma MERE !!!

J'me revois encore !!! :lol:
53 ans Montereau fault yonne (77) 62
Pour être franche BOUM, je pense que justement ma mère nous avait entendu et que c'est pour ça qu'elle s'est manifesté en bas des escaliers, mais tu sais je ne lui ai jamais demandé si elle nous avait entendu ou pas car même aujourd'hui 14 ans plus tard, j'aurais tjs trop la honte si elle me répondait : "bien sur que je vous ai entendu :oops: :oops: :oops:
*
48 ans Niort 183
bon je m y colle :
en 3eme, cours de natation obligatoire.

avec les filles ont sors avant les garcons des vestiaires et on va direct dans les bassins.

le cours se passe, nous revenons dans les vestiaires. et on entend du brouhaha dans le vestiaire des garcons...

on commence a se secher, et on frappe a la porte de notre vestiaire. là on entend notre prof (une dame ) nous dire "les filles c est madame .....je vais entré"
et là que vois je dans sa main ????? mon soutif et une de mes chaussettes !!!!!!
les enfoirés de garcons etaient rentré dans notre vestiaire apres notre depart au bassin !! et ils avaient fouillés dans mon sac !! puis s etaient amusés à essayer mon soutif et a se le refilerde l un a l autre.


grrrr je vous raconte pas la honte que j ai eu en sortant de la piscine!!!
54 ans Paris 460
Mon pire moment de solitude

Des grands moments de solitude, j’en ai vécu quelques uns. C’est une des catégories des moments de la vie que j’affectionne particulièrement. Malheureusement, étant doté d’une mémoire de poisson rouge, j’ai tendance à les oublier assez rapidement (ou peut-être s’agit-il d’un ingénieux réflexe de mon cerveau afin que je ne perde pas définitivement tout amour propre). Il en est un, pourtant, qui me restera en mémoire à vie (d’autant, que, je l’avoue, je me plais à le raconter régulièrement, ravivant alors les connexions neuronales de ma mémoire, l’empêchant, le dit « moment de solitude » de disparaître à jamais).

C’était en 1996, à San Francisco où je vivais et travaillais comme journaliste correspondant permanent pour des magazines de jeux vidéo français depuis quelques mois. Je venais de manger dans un petit restaurant Thaïlandais réputé, situé à la frontière du quartier italien et chinois, un bouiboui qui ne payait pas de mine mais qui attirait les foules; les ricains étant particulièrement fans des « petites adresses du moment ». En bon mouton, je me devais de goûter à la cuisine de l’endroit.
Délicieux. Formidable, quoi qu’assez violemment épicée, la cuisine était effectivement hors norme. La communauté asiatique étant omniprésente à San Francisco, les cuisiniers n’ont pas à adapter leurs préparations aux goûts des occidentaux et se lâchent donc généreusement sur la puissance des épices. Me voilà heureux et armé pour répondre positivement aux questionnements incessants « tu as mangé dans ce resto Thaïlandais ? » : maintenant je pouvais répondre « yes ! » (ouais chui bilingue de la gueule grave, vous avez remarqué ?).
Bref, n’ayant rien à faire de mon après-midi, je décidais alors de traîner dans le quartier, avec un objectif précis dans la tête, faire un tour dans un des nombreux Peep-Show du quartier. J’entre dans une cabine, balance un quarter dans la machine, les poches pleines de ses petites sœurs : j’étais prêt à passer un bon moment. Que je croyais…
Le rideau métallique à peine levé, une douleur foudroyante me transperce le bide. J’avais eu à peine le temps d’apercevoir les demoiselles qui se trémoussaient derrière la vitre. Je me plie en deux. La douleur disparaît, aussi brusquement qu’elle était apparue, pour revenir en force presque aussitôt accompagnée de gargouillis et de « bulles dans le bide » particulièrement inquiétantes. Impossible de rester debout. Je m’accroupis, calant le talon de mon pied gauche sur mon anus (vous voyez la position ? Comme pour lacer ses chaussures) car je le sentais maintenant une chiasse terrible m’envahissait : j’allais me chier dessus.
Fausse alerte, pris de tremblement, j’arrive tant bien que mal à me retenir mais je dois dégager d’ici au plus vite. Je sors de la cabine comme une furie. Je vous rappelle que je venais à peine d’y entrer, les tauliers auprès de qui j’avais fait de la monnaie à peine deux minutes plus tôt doivent se tordre de rire encore aujourd’hui, me prenant probablement pour le plus rapide éjaculateur précoce de l’humanité. Ma fierté en prenait un coup, mais je ne me sentais pas le courage de leur donner des explications qui, de toutes façons, sonneraient probablement comme de minables excuses bidons : « hey, faut que j’y aille, c’est à cause de la chiasse Thaïlandaise que j’ai dans le bide… ».
Je n’étais qu’au début de mon enfer.
Obligé de marcher lentement, en prenant beaucoup de précautions (par peur « d’ouvrir les vannes »), je décidais de rentrer chez moi pour rejoindre le confort de mes toilettes king-size avec douche à proximité, ce qui pourrait s’avérer bien pratique. Direction Geary Street pour prendre le bus. Grâce à ce dernier je serais chez moi en dix minutes.
Re-douleur foudroyante. Re-tordage de bide infernal. Elles apparaissaient maintenant à intervalle régulier, toutes les 40 secondes environ. A chaque fois j’adoptais le même stratagème, je m’accroupissais, feignant de refaire mon lacet, le talon gauche tentant tant bien que mal de me boucher l’anus.
Et puis ça n’a pas duré. Je veux dire, que cette façon de m’empêcher de me vider en pleine rue avait atteint sa limite. Accroupis, je me suis mis à me chier dessus. C’était très chaud, brûlant même, j’étais incapable de dire la quantité de chiasse que je venais de lâcher. Je me relevais et reprenais ma marche, sentant avec horreur des petits paquets de merde me glisser derrière les cuisses pour venir s’accumuler derrière les genoux, j’étais au bord de la panique.
Les 30 minutes qui ont suivi, j’étais maintenant obligé de rentrer à pieds vu que je ne me sentais pas capable de prendre le bus avec de la merde qui me coulait le long des jambes, furent un véritable enfer. Toutes les 30 secondes je m’arrêtais pour faire mes lacets. Toutes les 30 secondes je me chiais un peu plus dessus. Bientôt des morceaux de merde me tombaient sur les chevilles, puis sur les chaussures, je ne pouvais même plus toucher mes fameux lacets sous peine de m’en mettre plein les doigts. Je n’osais me retourner, persuadé d’être en train de revisiter le conte du Petit Poucet : Le Petit Caca Poucet, qui sème des bouts de merde derrière lui pour retrouver son chemin.

Je suis rentré chez moi. J’ai jeté mes fringues dans un sac poubelle. J’ai pris une douche. Je me suis couché.


Sebansky./
13610
je suis pliée en 4 et je pleure de rire (c'est rare)
merci Seb.
B I U