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regard sur soi, regard sur les autres

50 ans à la maison ! 10072
Suite à la réaction de certaines d'entre vous aux propos de GO, j'aimerai savoir si vous portez le même regard sur les autres que sur vous ? Est-ce que vous  
pensez que quelque chose qui nous dérange chez nous peut ne pas nous déranger chez les autres ? est-ce que vous pensez que c'est de l'indifférence, de l'égoïsme ou est-ce que c'est simplement parce qu'un complexe, c'est toujours centré sur soi-même ?
41 ans Toulouse 817
Oui et non.
Disons qu'en me regardant dans la glace je me trouve grosse. Quand je vois une personne comme moi ou plus grosse je vais pas forcément penser a ça en premier par contre. Je vais pas la trouver mince non plus mais je pourrais me dire qu'elle porte bien mieux que moi des kilos, qu'elle est plus jolie que moi etc. Je pourrais aussi me dire a l'inverse que ses vêtements lui vont plus ou moins bien. En fait chez les autres on voit plus facilement la globalité de la personne alors que sur soi même ok reste focalisé sur une seule chose a la fois et on en perd de vu le reste et une souvent les qualités du coup.

Ceci dit, quand une jeune femme avec a peine 10kg en trop commence a parler de régime ça m'agace. Quand elle parle de son mal être a cause de son mini ventre qu'elle trouve énorme ça m'agace aussi. Mais je sais que c'est parce qu'au fond je suis un peu jalouse. La jeune femme n'y est pour rien donc je ne l'accable pas mais je peux pas non plus aller jusqu'à compatir a ses malheurs. Je serais pourtant bien placée pour la comprendre mais je n'arrive pas car je suis encore trop tournée sur moi même concernant certains aspect et celui du poids notamment.

D'un aiutee côté, ayant remarqué ce problème chez moi, je ne m'amuse pas non plus a me plaindre devant des jeunes femmes plus rondes que moi, car de toute façon je n'obtiendrais pas le soutien recherché et je risque au contraire de blésser ce qui n'est pas le but recherché. Je m'interdit pas de parler de poids avec elles mais pas en me dépréciant autant. Par exemple je me traiterai pas de baleine car si moi je suis une baleine ça sous entendrait que je traite mes amies de quoi ? Bref quand je parle j'essais de me mettre a la place de qui écoute mon discours. Je suis pas parfaite je fais encore des erreurs mais je lutte chaque jour.
42 ans Sous les pins!!! 7782
Je pense que je suis beaucoup plus dure avec moi qu'avec les autres. C'est assez logique je pense.
Par contre je suis consciente que les complexes ne sont pas les mêmes chez tous le monde. Perso je me sens bien, je m'accepte malgré mon poids à 3 chiffres. Mais je n'irai pas jeter la pierre à une personne bien plus fine que moi et qui se trouve énorme ou qui ne supporte pas son image.
Bien sur des fois je me dis qu'elle devrait regarder autour d'elle et voir qu'il y a bien pire si je puis dire, mais je comprends aussi que quelques soit la taille quand on fait une fixette sur une partie de notre corps et bien on aura beau avoir "pire" à côté on ne verra que ce qu'il y a chez nous.
38 ans Orgrimmar 6511
Quand j'aime une personne, je la trouve belle.
Quand je ne la connais pas, elle me laisse indifférente, à moins qu'elle ait un charme auquel je sois sensible. Souvent, je trouve que les gens ont l'air méchant et/ou égoiste, de prime abord. Mais j'ai bien conscience que c'est moi qui projette.
Quand je n'aime pas une personne, je la trouve laide.

Souvent, je ne m'aime pas dans ma globalité. C'est à ces moments là que je me trouve grosse/moche/bête/méchante etc.
Quand je m'aime mieux (par exemple je viens de faire une action gratifiante), je me trouve plus jolie, et quand c'est jour de bonté, même belle^^

Bref, mon regard, que ce soit sur les autres ou sur moi même, dépend beaucoup de l'affect. Si je juge la personne méchante (qui est à mon sens le plus gros des défauts), je la trouverai moche, même si objectivement j'aurais pu la trouver belle.
C'est comme ça aussi que des gens de mon entourage s'embellissent ou s'enlaidissent selon ce qu'ils font.
Ma meilleure amie, je l'ai toujours trouvée canonissime, je suis IN CA PABLE de vous citer un défaut physique chez elle, pourtant elle doit en avoir, mais je ne les vois pas.
j'avais un regard trés dur sur moi même. je me haïssais grosse.
je suis toujours assez critique avec moi, mais, je me trouve jolie.

MAIS, je suis amoureuse de plusieurs filles ici, plus ronde que je ne le suis ou ne l'ai été. je les trouve sexys, belles, bien habillées.

je crois que j'ai globalement un regard bienveillant sur le physique des autres. je dis bien globalement.et sur le physique.
heu. je ne suis pas gay.
33 ans 1489
Moi, un petit peu comme Faustine, beaucoup plus dure avec moi-même.

Pour les questions de jugements à l'emporte-pièce sur le physique et le mode de vie des autres, j'ai eu la chance d'être très bien éduquée, uniquement par ma mère, qui nous reprenait durement moi et mes frères si on se moquait du physique de quelqu'un, et elle nous invitait toujours à "regarder dans notre assiette".

Quand j'étais ado, j'étais très mal dans ma peau, je tombais dans des comportements alimentaires inquiétants. Peu à peu, en allant mieux, j'ai réalisé que ce qui me dérangeait tant chez moi ne me dérangeait pas chez les autres. L'inverse de ce qu'on peut lire sur certains sites pro ana, c'est-à-dire le dégoût du gras chez les autres, le mépris, etc. Je crois pouvoir affirmer que je n'ai jamais jugé quelqu'un sur son physique. Ce n'est pas une fierté, c'est juste comme ça.. Le gras ne n'évoque pas le laisser-aller, les os apparents ne n'évoquent pas la mort. Si Machin(e) est au régime avec un imc de 17, c'est pas mon problème, si Machin(e) a pris 10kg en 5 minutes ce n'est pas mon problème non plus!

Quand je me sens mal, je sais que c'est un problème entre moi et moi :lol: je sais que c'est difficile de ne pas se comparer pour certaines personnes.. Mais pour moi le malaise se situe rarement dans l'interaction avec les autres, je me suis assez douée pour me créer des problèmes toute seule.

(En fait je ne sais pas si ma réponse réponds à tes interrogations Trashrap ;) mais en tout cas c'est une bonne idée ce post!)
42 ans très au sud 7915
c'est bon t'es gay avec ton chat gaypride Blueb' et tu m'as zépousé alors arrête de nier :nananr:

bref, j'arrête les conneries et je réponds!

Je suis beaucoup plus intransigeante avec moi même qu'avec les autres. Et à tous les niveaux!
Donc avec le physique aussi.
Un exemple tout con: je ne vais pas me supporter avec une jupe/robe au dessus du genou sans legging car je déteste mes genoux. Mais si je vois une personne qui a la même silhouette que moi en porter ça ne va pas me choquer et je ne vais pas dire "beurk ses genoux".
De par mon taf j'entends souvent des jeunes filles se plaindre de leurs 5 kgs en trop. Mais je pense être plutôt bienveillante envers elles. Elles ont une vraie souffrance par rapport à ça et c'est bien souvent là que débute les régimes yoyo. Donc ça me semble important de les écouter afin qu'elles ne se dirigent pas vers des Dukons et qu'elles ne finissent pas vraiment obèses. D'autant que la société a un discours envers elles qui les poussent à lutter contre elles même et ces 5,10 petits kgs.
Il n'y a pas de complexe plus petit ou plus gros en fonction de son poids, par définition un complexe échappe en grande partie à la réalité. Une fille avec 5 kgs de plus peut être bien plus complexée qu'une fille qui en a 20 en trop (je met en trop avec des pincettes hein, parce que si c'est son poids d'équilibre selon la RA il est évident que rien n'est en trop). Je suis bien placée pour savoir que souvent dans un complexe il y a plus que le simple physique, il y a aussi la confiance en soi, son rapport aux autres etc...

Donc non je ne me sens pas mal ou attaquée quand une fille/femme se plaint de ses quelques kilos en trop, je conçois même qu'elle puisse être en grand malaise. Mais je sais aussi que bien souvent le vrai problème est ailleurs et que ces kgs ne sont que la partie émergée de l'iceberg.
49 ans région parisienne 5831
Clairement, je porte un regard différent sur les autres et sur moi-même... Mais il n'est pas toujours plus négatif ou plus positif!

A certains moment, je vais me trouver super jolie, me dire que je suis aussi jolie que telle ou telle star célèbre par exemple (ce qui n'est pas très réaliste :lol: ) et à d'autres moment, je vais trouver que je suis la pire des mochetés sur terre (ce qui n'est pas réaliste non plus :lol: ).

Bref, le regard que je porte sur mon physique est souvent excessif, et il dépend grandement de mon humeur: fatiguée ou en forme, déprimée ou joyeuse.

Pour les autres personnes, j'avoue que je fais assez peu attention à leur physique. Il peut arriver que je pense "tiens, elle est très jolie" ou "il est bien foutu" si quelqu'un sort vraiment du lot à ce point de vue, mais la plupart du temps, je n'y pense pas vraiment.

De façon générale, si je trouve quelqu'un sympa, j'ai tendance à le voir plus beau qu'il n'est objectivement, et si je trouve quelqu'un antipathique, à le voir plus laid qu'il n'est. Mais c'est pas un truc auquel je réfléchis souvent.

Par contre, même dans les moments où je me trouve vraiment laide, je m'astreins à ne pas le dire. D'une part, parce que je sais que ça peut être vexant pour d'autres personnes (par exemple, si je dis que mes fesses sont trop grosses, les filles qui ont des fesses plus grosses ou aussi grosses que moi peuvent se sentir insultées).

D'autre part, parce que je crois que ce n'est pas positif pour soi-même: le fait de dire que je suis grosse ou laide rend la chose plus "concrête", alors que sinon, ça va sortir de mon esprit et je n'y penserai vite plus. Et puis, je crois en la méthode Coué: plus on dit quelque chose à haute voix, plus cela devient réel.
37 ans 1547
Ton sujet m'a turlupiné au début, les réponses aussi. Je me dis que la différence entre soi et les autres, elle est rarement aussi établie dans nos émotions et nos pensées qu'elle ne l'est quand on y réfléchit intellectuellement, de façon rationnelle, posée (peut-être d'autant plus à l'écrit parfois).
Personnellement j'aurais bien du mal à différencier clairement l'autre et "moi" quand je suis aux prises avec mes émotions. Quand je me trouve moche ou belle, ça suppose tout de même que je me regarde un peu comme un objet extérieur. Idem, parfois je trouve les gens très beaux parce que je les aime beaucoup, mais les aimer, ça veut dire quoi ? Avoir pris d'eux en soi (à l'inverse d'un passant, telle personne existe dans ma tête, j'y pense, elle a une place dans ma vie) et avoir mis un peu de nous en eux(de notre investissement), comme si ça y est, quelque chose était accroché entre moi et l'autre et que du coup, la distinction n'était plus aussi radicale qu'avant que je m'attache à lui.
Je me suis souvent dit par exemple que pour me détester autant je m'accordais quand même, quoi qu'il en soit, une sacrée importance ; également, que pour souffrir tellement d'être/me trouver laide c'est qu'une part de moi ne renonçait pas à l'idée que j'aurais pu/dû être une jolie fille - si seulement je n'avais pas été comme ci ou comme ça.
Et puis aussi, est ce que se plaire ce n'est pas déjà se traiter un peu comme autre-que-soi ? S'investir comme quelqu'un ? J'ai de plus en plus l'impression que plaire à quelqu'un ne dépend pas de moi mais de l'autre par exemple. Me plaire, c'est pas tout à fait pareil que simplement me sentir bien. Il y a comme une extériorité qui vient s'ajouter.
Bref, je sais pas trop si je suis claire car tout ça se trame depuis quelques mois en moi, et je sais pas si ça va parler à quelqu'un au final ?
Rien que le fait de complexer c'est ne même plus se considérer entièrement comme quelqu'un, mais isoler tel morceau de soi (que ce soit physique ou dans notre personnalité) devient un truc extérieur inacceptable, in-intégrable à la représentation de soi. En ce sens, je ne suis pas certaine que ça soit aussi "centré sur soi" que cela, même si je comprends bien le sens dans lequel on le dit. Donc bref, entre l'autre et soi, il y a parfois un vrai méli-mélo pas évident à débrouiller. Et sur le forum comme ailleurs, on voit bien comment chacun met de soi dans l'autre (on s'identifie, on se sent compris ou non, etc) et comment l'autre apparaît toujours prendre beaucoup de place en soi, voire comment on se regarde/traite/manipule comme un objet extérieur à nous même.

Allez, j'arrête, voilà que les autres en moi m'intiment de me taire un peu au risque qu'on ait marre de moi (ah la la, c'est-pas-moi-c'est-l'autre quand tu nous tiens ! ;) )
S
89 ans 4951
papille a écrit:
.

Allez, j'arrête, voilà que les autres en moi m'intiment de me taire un peu au risque qu'on ait marre de moi (ah la la, c'est-pas-moi-c'est-l'autre quand tu nous tiens ! ;) )


pour ma part il m'en faudrait bien plus pour que j'aie marre de te lre
Au contraire, j'aime bien tes interventions, elles sont intéressantes.


Pour le sujet du post, c'est pas évident.

Meme quand je me détestais, j'essayais de rester attentive à adapter mes "plaintes" en fonction du vécu de la personne en face.

J ai toujours trouvé beaux les gens que j'aime, je ne m'aimais pas, donc je focalisais sur mon physique. Quand j'étais petite, je focalisais sur mon nez qui allait m'empecher d'être heureuse tellement il me faisait un visage de clown, ensuite quand j'ai pris un peu de poids à l adolescence (c'était plutot des formes simplement) j'en suis venu à rajouter qu'en plus j'étais grosse et moche.

J'avais plutot tendance à me rabaisser, plutot qu'à me dire je suis moins "pire" que telle ou telle avant.

Je n'ai pas souvent été heurtée par les propos de mes amies minces qui se plaignaient de telle ou telle chose, bien sur que je me disais parfois, ben alors je sais pas comment tu me perçois et la réponse était toujours bienveillante.

Les mots de G.O. m'ont touché en premier car je suis moins bien actuellement tout simplement et parce qu'ils ont touché une zone sensible, quand il me fallait affronter les réunions de parents,(déjà que j ai détesté profondément l'école pour moi). Juste avant ma non opération, je suis arrivée a cette réunion de parents soufflant comme un boeuf, rien que de monter les escaliers m'avait mise en sueur, ma surcharge pondérale n'était plus dans ma tete, très clairement.

Je me suis énormément donné de mal pour me sortir de cette condition de mal etre, le parcours n'a pas été sans souffrance, vraiment et cela a réveillé une vieille blessure, c'est tout, je l'ai dit, j'ai relativisé ensuite.

J'ai le sentiment d'avoir un regard assez bienveillant sur les autres, sur moi aussi maintenant.

Pourtant comme mamykro, j'ai parfois mon quart d'heure ou d un coup je me trouve moche.

Au bout d'un moment, quand je prends du recul, je vois que c'est toujours lié à un mal etre pour des raisons autre que le physique dans le fond et j'avance ensuite.
S
34 ans 3465
Comme beaucoup, je suis beaucoup (et le mot n'est pas encore quantitatif pour le décrire...) plus exigeante avec moi-même qu'avec les autres. Je m'impose une discipline quasi militaire (sur la question du sport) et si jamais je manque à mon "devoir" je culpabilise à mort. Quand je me trouve moche, peut importe que ce soit à cause du poids ou pas (ça peut parce que j'ai mal dormi et que du coup j'ai une petite mine), je me dis qu'il faut que je maigrisse. Comme si le fait de maigrir allait me rendre plus belle. :roll: Quand je me trouve belle, je me raisonne et je me dis que j'en ai pas besoin. J'ai en fait un besoin constant de lutter contre moi-même... Difficile à expliquer...

Je ne suis clairement pas aussi sélective avec les autres. Ma meilleure amis à un surpoids visible, pour ne pas dire obèse... Pourtant, ça ne me saute pas aux yeux. Je ne la vois pas grosse pour une raison que j'ignore. Je sais qu'elle l'est et je ne la vois pas mince non plus, mais c'est un détail qui n'attire pas mon attention. Je l'aime, donc pour moi c'est mon amie. Elle n'est ni grosse, ni mince, c'est mon ami un point c'est tout. C'est comme si elle était une tête flottante. Pourtant objectivement, oui, elle est bien là... Par contre, même si je n'aime pas une personne, j'arrive tout de même à poser un regard objectif sur son apparence. Donc je peux reconnaître s'il ou elle est beau/lle - physiquement. Pour résumé, non, je ne projette pas mes complexes sur les autres au niveau de l'allure extérieure.

Par contre quand je retrouve chez les autres mes défauts au niveau de la personnalité, là, oui, ça m'agace au plut haut point. Je ne supporte pas une personne qui a les mêmes traits de caractère négatifs, que moi. Pour exemple, je suis quelqu'un d'assez autoritaire, je ne supporterai pas une personne aussi autoritaire que moi dans mon entourage. J'ai de la peine aussi avec les gens qui se cachent derrière le rire et l'humour (qui portent donc un masque) pour dissimuler un mal-être, parce que je le fais aussi. Du coup ces gens là je les flaire et ils me sortent pas trous de nez. Enfin bref, la liste est longue. Disons que je n'aime pas les gens qui me ressemblent. :lol:
50 ans à la maison ! 10072
Vos réponse font réfléchir en tout cas.
Dans l'ensemble, finalement, notre physique compte plus que celui des autres ? Je retiens que l'image qu'on a des autres dépendrai de notre relation à la personne elle-même : "Untel est beau parce que je l'aime" et non "j'aime untel parce qu'il est beau".

Alors que souvent, quand on parle de soi, on a tendance à dire (penser, ressentir, croire) "je m'aime parce que je suis belle", ou plutôt "je ne m'aime pas parce que je suis moche"(grosse, maigre, trop grande, trop petite, etc...).
38 ans Orgrimmar 6511
Trashrap, pour ma part en tout cas, quand je ne m'aime pas, c'est pour une globalité. Personnalité, comportement, et physique. Mais je crois que c'est un mécanisme de défense au final de se dire que la cause est "l'enveloppe", plutot que de se dire qu'on est pourri en dedans aussi.
Pour ma part, je l'analyse comme ça.
42 ans très au sud 7915
Yuustu, est ce que tu décris c'est pas un peu le truc de Zermati?
Je m'explique. Si t'es grosse c'est parce que t'as pas de volonté (de pas manger ceci, de pas faire cela...). Donc si tu grossis c'est que tu fais des choses que tu devrais pas et que t'arrives pas à t'empêcher de faire. Donc t'es nulle/sans volonté. Donc tu te punis encore plus en mangeant... donc t'es encore plus nulle et bam cercle vicieux!
en fait plus j'avance dans ma propre expérience et plus je me dis qu'il est impossible de séparer corps et esprit. Et que dans notre société occidentale c'est une erreur que nous faisons tout le temps de séparer l'un et l'autre.
B I U