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La RA: par où commencer?

S
89 ans 4951
amielune a écrit:

Et oui j'ai bien lu le message de saralou(merci beaucoup même si déjà dis aillerus qu'ici) sur mon blog que j'ai d'ailleurs conservé...


oui, merci pour ton  
message ;)
53 ans Corbeil Essonnes 11342
saralou a écrit:
je rajouterais aussi qu'il y a une question d'age également et je pense qu il y a une certaine limite ou le corps souffre plus, qui comme le dit faustine est propre a chacun, aux nombres d années etc,,.

Quand j'avais un bmi de 43 je souffrais beaucoup, j'ai du perdre un peu en plus de me refaire une musculature pour me sentir bien.

De plus, nier la souffrance de quelqu'un est quelque chose qui peut etre vécu très douloureusement et je ne vois pas très bien ce que cela peut amener.

Quand tu es mal et qu'on te dit en gros que tu exageres ton mal etre.... je me mets à la place d'amielune, à fleur de peau déja, euh pas facile.


:kiss: merci...avec les yeux dans l'eau..
37 ans 1547
Honnêtement, je trouve le message de risperdalconsta déplacé, mais j'ai l'impression que je ressens souvent ses interventions comme déviées et déviant ce qui à moi me paraît important dans l'échange (chacun est interpellé différemment). Ça reste un ressenti, mais zut.

Dans ce que j'en ai ressenti elle ne nie pas le fait qu'on souffre physiquement mais l'intensité de la situation, et là dessus, il n'y a vraiment qu'amielune et des médecins qui peuvent en parler, qui n'en ont justement pas le droit ;), donc on n'a rien à en dire.
Tout à fait d'accord avec Saralou pour la violence que cela représente d'être questionné sur sa propre souffrance, surtout de cette manière.

Cela dit, ça me fait quand même penser à quelque chose qu'on retrouve ici et ailleurs. Je me demande comment s'engager dans une RA si l'on est mobilisé par une vive angoisse dans le rapport au corps, notamment aux douleurs corporelles (vécues ou anticipées).
Personnellement, dès que j'ai mal quelque part, j'ai aussi peur.
J'ai l'impression que l'angoisse d'un corps malade, immobilisé, douloureux n'est pas toujours proportionnelle à la situation de maladie et d'immobilité vécu dans le moment présent, mais peut suffire à elle seule à donner lieu à des réponses moins subtiles (régime, jeûne, chirurgie, hospitalisations, etc.).[Le mot subtil n'est pas approprié mais c'est le seul que j'ai trouvé ]

Ça vous parle ? Comme je lis avec intérêt des expériences très différentes de personnes je me dis que ça doit vraiment être très changeant selon les gens.

Je me suis posée deux questions quand j'ai commencé à comprendre le principe de la RA:
- est-ce que je peux tolérer psychologiquement de vivre avec un corps aussi gros si je ne perds pas de poids ?/plus gros si j'en prends ?
et
- qu'est-ce qu'il en est de ma santé si c'est le cas ?

Parce que j'ai vécu un moment où je ne pouvais plus marcher, tenir debout, plus de une ou deux minutes sans avoir de douleurs intenses qui me donnaient le sentiment que j'allais m'effondrer au sol dans l'instant. A cette époque, même si c'est un abus de langage, j'ai, pour moi, "perdu la marche". Je ne mesurais pas 1m10, j'étais très jeune, j'avais un IMC proche de 60.
Ces souvenirs sont encore très vifs et je me suis vraiment demandée comment ne pas dévier la RA dans ses principes (essayer de contrôler malgré tout) avec le spectre de ces expériences physiques là.
S
89 ans 4951
c'est très intéressant ce que tu dis papille.

Effectivement, avant ma non opération, je n'aurais pas du tout été réceptive à la RA.

Ce qui m'a libéré, c'est ce que de descendre au bloc représentait pour moi. C est à dire que je devais affronter une perte du controle de mon corps totale (anesthésie et le fait que l on dispose de mon corps quand je suis inconsciente) qui par rapport à mon vécu représentait quelque chose d'extremement douloureux.

De plus, la notion de mort était très présente chez moi avec une peur extremement forte de ne pas me réveiller (ce qui montre à quel point je pensais que mon obésité était insupportable puisque je prenais le risque de laisser ma famille).

Le fait de me réveiller, non opérée a réveillé plusieurs choses en moi. En tout premier lieu, quand l'anesthésiste m'explique pourquoi je n'ai pas pu etre intubée et le risque que cela aurait représenté de continuer d essayer,je me suis dit "pff, meme cela j'ai pas réussi" cela c'est les vieux restes de non confiance en moi.

Deuxième sensation qui a balayé tout le reste, c'est un soulagement intense qui m'a envahi, j'étais vivante, j'avais réussi à affronter une des pires peurs de ma vie.

Ensuite mon mari qui est arrivé et qui me serrait si fort en me disant combien il était heureux que je sois là, combien il avait eu peur quand il avait entendu le nom du chirurgien au téléphone (il lui avait dit, je vous appelle pas avant 14h, si je vous appelle avant c'est qu'il y aura un souci). Il m'a dit qu'il avait eu l'horrible sensation que j'étais morte.

Je ne connaissais pas encore le gros et j'ai d'abord repris contact avec mon ancienne dièt que je trouvais très humaine. On est reparti sur un régime (meme si elle n'emploie pas ce mot)mais très très large et déculpabilisant. Je me suis inscrite sur vlr, ou mon premier message n'a pas eu un succès foudroyant étant donné que je parlais de la dièt et de mon "non régime". Une personne m'a gentiment expliqué et redirigé vers le site du GROS et là, seulement révélation.

Toute cette tartine pour dire qu'il m'a fallu je pense toucher ce fond, etre convaincue dans mes tripes que la RA était LA solution et je suis honnete, c'est le fait que j'ai perdu assez rapidement le 10% de mon poids qui m'a conforté dans mon choix, je n'aurais pas supporté de prendre du poids à ce stade physique.

Il y a des moments ou la souffrance balaie tout, qu'elle ait des causes physiques, psychologiques, peu importe je dirais, mais elle prédomine dans notre vie et empeche parfois de prendre des chemins, mais rien ne dit que c'est pour la vie et heureusement.

pour ma part, je sais que tous ces changements dans ma vie ont mis du temps, chaque fois que j'ai voulu mettre une pression de réussite, j'ai échoué, j'ai un type de caractère qui s'épanouit beaucoup plus dans le lâcher-prise.
47 ans Paradise island 524
saralou a écrit:
La dièt que je consulte, m a dit tout récemment que quand elle a suivi les cours avec Zermati, elle avait été surprise d apprendre que dans les cas de RA réussie ou il faut quand meme une perte de poids, il préconisait les opérations de chirurgie bariatrique, .

Car s il est clair qu'on peut perdre beaucoup de poids avec une RA, on peut aussi ne rien perdre ou peu.

Cette info est toute récente chez moi, donc je ne sais pas si c est de cela qu'Happiness parlait.


oui c'est exactement ça.je considère ma RA réussie puisque je n'ai plus de compulsions,je n'utilise plus la nourriture comme un calmant,etc MAIS je n'ai pas maigri avec ça pour autant.Et d'ailleurs ce n'était pas le but premier très sincèrement.Je dissocie complètement les 2 d'ailleurs (RA et sleeve)
47 ans Paradise island 524
poupoule a écrit:
happinesstherapy a écrit:
Poupoule,j'ai bien compris ton irritation et comme tu dis c'est le jeu des forums...;tu auras essayé.
Par contre,quand tu dis "rdv dans 2 ans pour une conversation sur la sleeve" je te suis moins.J'ai eu une sleeve suite à 2 ans de thérapie avec Zermati et je ne considère pas ça comme un échec de ma RA,mais alors pas du tout.


Dire "tu risques de revenir parler sleeve dans deux ans" ne signifie pas que la sleeve serait un échec, mais que le régime serait un échec, qui appellerait à chercher d'autres solutions.
Un régime qui entraîne reprise de poids est un échec.
Une RA sans maigrir n'est pas forcément un échec, on est d'accord ;)

(ps: j'ai moi-même parlé chir avec Zermati)



Je sais que Zermati accompagne des futurs opérés bien plus qu'on ne le pense,peut-être parce qu'on a vu des exemples fameux où la perte se fait "facilement",sauf que bon,le poids de départ n'est pas forcément le même pour tous.
Au début de ma thérapie,JAMAIS je n'aurais imaginé me faire opérée c'était pour moi le truc le plus barbare au monde.Puis on a touché le problème,on est allés au fond et enfin j'allais mieux,me faire opérer m'a paru une suite "logique" pour boucler la boucle (je ne donne pas volontairement les détails du problème que j'ai eu à régler)..j'aurai très bien pu ne pas avoir ce besoin après ma RA,qui sait,en tout cas ni cette issue avec opération ni celle que j'aurai pu avoir (sans opération) ne sont un échec de RA.
C'est toi ou lui qui a parlé chir?
48 ans Paris 9874
happinesstherapy a écrit:
poupoule a écrit:
happinesstherapy a écrit:
Poupoule,j'ai bien compris ton irritation et comme tu dis c'est le jeu des forums...;tu auras essayé.
Par contre,quand tu dis "rdv dans 2 ans pour une conversation sur la sleeve" je te suis moins.J'ai eu une sleeve suite à 2 ans de thérapie avec Zermati et je ne considère pas ça comme un échec de ma RA,mais alors pas du tout.


Dire "tu risques de revenir parler sleeve dans deux ans" ne signifie pas que la sleeve serait un échec, mais que le régime serait un échec, qui appellerait à chercher d'autres solutions.
Un régime qui entraîne reprise de poids est un échec.
Une RA sans maigrir n'est pas forcément un échec, on est d'accord ;)

(ps: j'ai moi-même parlé chir avec Zermati)



Je sais que Zermati accompagne des futurs opérés bien plus qu'on ne le pense,peut-être parce qu'on a vu des exemples fameux où la perte se fait "facilement",sauf que bon,le poids de départ n'est pas forcément le même pour tous.
Au début de ma thérapie,JAMAIS je n'aurais imaginé me faire opérée c'était pour moi le truc le plus barbare au monde.Puis on a touché le problème,on est allés au fond et enfin j'allais mieux,me faire opérer m'a paru une suite "logique" pour boucler la boucle (je ne donne pas volontairement les détails du problème que j'ai eu à régler)..j'aurai très bien pu ne pas avoir ce besoin après ma RA,qui sait,en tout cas ni cette issue avec opération ni celle que j'aurai pu avoir (sans opération) ne sont un échec de RA.
C'est toi ou lui qui a parlé chir?


C'est lui, quand le poids n'arrêtait pas de monter et que mon imc a atteint 35. J'étais effrayée par l'idée que ça continue, et je demandais mais que vais-je faire?? Il m'a dit qu'il faudrait peut-être alors envisager la chirurgie. Incrédule, j'ai demandé: vous voulez dire une lipo? Non, non, une chirurgie de l'estomac.

Ça ma fichu un sacré coup, car je ne croyais pas faire partie des gens qui pouvaient y "penser"... puis j'ai cessé de lui vouloir d'avoir prononcé le mot. C'était sûrement une façon de me dire: même si le poids continue à monter, il y aura toujours une solution.
47 ans Paradise island 524
poupoule a écrit:
happinesstherapy a écrit:
poupoule a écrit:
happinesstherapy a écrit:
Poupoule,j'ai bien compris ton irritation et comme tu dis c'est le jeu des forums...;tu auras essayé.
Par contre,quand tu dis "rdv dans 2 ans pour une conversation sur la sleeve" je te suis moins.J'ai eu une sleeve suite à 2 ans de thérapie avec Zermati et je ne considère pas ça comme un échec de ma RA,mais alors pas du tout.


Dire "tu risques de revenir parler sleeve dans deux ans" ne signifie pas que la sleeve serait un échec, mais que le régime serait un échec, qui appellerait à chercher d'autres solutions.
Un régime qui entraîne reprise de poids est un échec.
Une RA sans maigrir n'est pas forcément un échec, on est d'accord ;)

(ps: j'ai moi-même parlé chir avec Zermati)



Je sais que Zermati accompagne des futurs opérés bien plus qu'on ne le pense,peut-être parce qu'on a vu des exemples fameux où la perte se fait "facilement",sauf que bon,le poids de départ n'est pas forcément le même pour tous.
Au début de ma thérapie,JAMAIS je n'aurais imaginé me faire opérée c'était pour moi le truc le plus barbare au monde.Puis on a touché le problème,on est allés au fond et enfin j'allais mieux,me faire opérer m'a paru une suite "logique" pour boucler la boucle (je ne donne pas volontairement les détails du problème que j'ai eu à régler)..j'aurai très bien pu ne pas avoir ce besoin après ma RA,qui sait,en tout cas ni cette issue avec opération ni celle que j'aurai pu avoir (sans opération) ne sont un échec de RA.
C'est toi ou lui qui a parlé chir?


C'est lui, quand le poids n'arrêtait pas de monter et que mon imc a atteint 35. J'étais effrayée par l'idée que ça continue, et je demandais mais que vais-je faire?? Il m'a dit qu'il faudrait peut-être alors envisager la chirurgie. Incrédule, j'ai demandé: vous voulez dire une lipo? Non, non, une chirurgie de l'estomac.

Ça ma fichu un sacré coup, car je ne croyais pas faire partie des gens qui pouvaient y "penser"... puis j'ai cessé de lui vouloir d'avoir prononcé le mot. C'était sûrement une façon de me dire: même si le poids continue à monter, il y aura toujours une solution.


J'adore ta réponse "une lippo??" ;) aaah si on pouvait lipposucer au lieu de couper l'estomac!!
Pour moi c'est moi qui ai abordé le sujet,et comme toi ça m'aurait choquée si lui l'avait fait et surtout avant que je me sente prête,je peux te dire que même à un IMC de 40 je ne me sentais pas concernée par ces opérations avant d'avoir "the" déclic,pourtant dieu sait que j'ai une phobie du monde médical,je me demande encore d'ôu ça m'est venu.
Mais oui,je pense que c'était une réponse à ton angoisse que ton poids augmente trop,sachant qu'il sait bien que RA tu peux ne pas perdre,tu peux prendre un peu au début mais je pense difficilement prendre beaucoup,il savait bien que ton poids stabiliserait.
R
40 ans 835
déjà les insultes par message privé amielune c'est pas la peine merci. niveau lacheté et gaminerie là c'est top. deuxio t'as mal lu, j'ai pas dit que tu ne souffrais pas j'ai dit que dire que tu ne peux plus MARCHER a cause de ton poids c'est exagéré. marcher c'est pas souffrir à ce que je sache...
R
40 ans 835
en plus dans le genre pétage de plombs, c'est flagrant. tu te sens aggressée bah désolée mais je ne compatis plus parce que les messages insultants par mp , j'ai VRAIMENT pas apprécié. "va voir un psy" me semble tout à fait adapté icu. surtout péter les plombs à ce point pour des trucs lus sur un forum d'une personne que tu ne connais pas et dont tu t'en fous, c'est disproportionné.

ps: marcher = mettre un pied devant l'autre, se mouvoir. en aucun moment j'ai parlé, évoqué ou nié une souffrance vu que moi même je souffre des genoux et j'ai des complications liées à mon poids. niveau intèrprétation, donc zéro. lis au moins correctement les posts avant de péter les plombs pour rien
42 ans Sous les pins!!! 7782
je crois que tu te rends pas bien compte Risperdalconsta. Tu lui as dit en gros que c'est pas possible de souffrir physiquement de son poids alors que oui c'est possible et elle souffre.
Pourquoi ça te semble impossible de ne pas pouvoir marcher? Que tu ne la crois pas, soit ça te regarde mais tu peux comprendre que tu l'as touché car en gros tu la traite de menteuse? Si tu te blesses et que quelqu'un vient te dire mais non arrête tu peux pas avoir mal c'est pas possible alors que toi tu souffres tu le prendras comment?
42 ans Sous les pins!!! 7782
risperdalconsta a écrit:
en plus dans le genre pétage de plombs, c'est flagrant. tu te sens aggressée bah désolée mais je ne compatis plus parce que les messages insultants par mp , j'ai VRAIMENT pas apprécié. "va voir un psy" me semble tout à fait adapté icu. surtout péter les plombs à ce point pour des trucs lus sur un forum d'une personne que tu ne connais pas et dont tu t'en fous, c'est disproportionné.

ps: marcher = mettre un pied devant l'autre, se mouvoir. en aucun moment j'ai parlé, évoqué ou nié une souffrance vu que moi même je souffre des genoux et j'ai des complications liées à mon poids. niveau intèrprétation, donc zéro. lis au moins correctement les posts avant de péter les plombs pour rien


c'est pas toi qui te sentais agressé sur un autre post à propos des psy??? c'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité!
R
40 ans 835
je ne vois pas où tu lis que j'ai nié unbe souffrance. pour moi pas pouvoir marcher c'est se retrouver en fauteuil parce que envahi par le gras on arrive plus à mettre un pied devant l'autre . c'est pas avoir des douleurs en marchant!!!! ne me faites pas dire ce que j'ai pas dit, je sais encore ce que je dis et ce que je ne dis pas. et rien ne justifie un pétage de plombs d'une telle ampleur ni des messages d'insulte en privé. RIEN
R
40 ans 835
déjà je ne vois pas pourquoi desormais je devrais la ménager. et en cas de pétage de plombs comme ca oui y a des problemes mentaux. moi je dis juste que les psys ca ne sert à rien dans les pbs de bouffe.là c'est pas un pb de bouffe mais clairement des gros problèmes "dans sa petite tête" pour reprendre les qualificatifs qu'elle m'envoie par mp. mais par pitié je ne vais pas encore épiloguer sur mes avis là dessus quand par dessus le marché tout le monde s'en tape!!!!!!
R
40 ans 835
en plus faustine, j'ai éclairci le fait que j'ai dit MARCHER et pas "DOULEURS/SOUFFRANCES en marchant" ... Y a une nuance, si personne ne saisit la différence ici, y a un problème!!! Y a des obèses en amérique qui oui, ont atteint un tel imc qu'ils ne peuvent plus se lever de leur lit, c'est ça dont je parle!!! Ca m'étonnerais que amielune en soit rendue là, désolée mais j'avais quand même de serieux doutes. Y a un moment faut arrêter de tout comprendre de traviole aussi, de voir le mal partout dans mes propos, et de s'exprimer abusivement. Pour votre info je suis quand même en fac de lettres et langues donc je sais encore exprimer ma pensée. Merde quoi, ca devient pénible de devoir se justifier à tout va et qu'en plus, quand on se justifie, ca ne change rien parce que vous avez toujours pas lu correctement. Je dois écrire en quelle langue?
B I U