ClauBreizhPolska a écrit:Ca n'est pas "que je m'accroche" à ceux de 45 ans mais que je ne peux envisager quoi que ce soit avec ceux de plus de 54 :oops:
Je n'y peux rien, j'ai une image de "vieux cochon" qui se met en place. Certainement à cause de souvenirs d'enfants. De gestes déplacés voire d'actes qui ont failli faire basculer ma vie de cette époque.Ce qui fait que je n'ai aucun attrait pour cet âge-là.
je pense que cela serait intéressant de travailler là dessus en thérapie, ou toute seule évidemment.
En effet, la remarque de trash est assez logique, c'est pas à 55 ans qu'on devient pervers, on l'était avant.
Je pense que le fait de fixer une telle limite d'age te ferme à beaucoup de possibilités, et que maintenant que tu as pu exprimer ce que j'ai quoté c'est un point de départ sur un travail sur toi.
Je sais que c'est pas évident de passer sur les traumatismes d'abus sexuels, pourtant je trouve que de s'en libérer est aussi un moyen de se prouver que nos agresseurs n'ont pas gagné qu'on est pas une éternelle victime.
Pour moi, là tu as touché quelque chose d important en te rendant compte que tu projettes une fausse image de pervers sur des hommes de plus de 54 ans (meme si bien sur cela peut exister, mais ils l'étaient jeunes également). C'est l 'age de mon mari et je peux t'assurer que je ne crois qu'il ne va pas se tranformer en pervers pépère l'année prochaine.
J'ai 48 ans et très franchement, je ne le vois pas comme vieux, je pense meme avoir un coté plus vieux que lui, par certains cotés.
Je pense que tu te mets des barrières, apres, tu commences a en entrevoir les raisons, cela peut etre ton nouveau but dans la vie, changer de regard sur les hommes plus agés par exemple.
Et Renarde, petit hs, mais l'histoire de ton amie est touchante et elle me plait bien et ce n'est de loin pas la seule que je connais de ce genre. :D