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Psychiatre et labos pharmaceutiques

44 ans 04 5576
Mais je ne capte pas : on n a pas besoin d être sur le point de tuer pour devoir se faire soigner, si ? Le père bipolaire d helvetia,  
par exemple, ok il ne fera de mal à personne (encore que. Pour avoir connu un couple dont le demoiselle était bipolaire, ce n était une partie de plaisir ni pour l un ni pour l'autre) mais pourquoi le laisser claquer les économies d une vie sur un coup de tête et pas une décision réfléchie si des médocs peuvent l aider. Pour le laisser dans la mouise ensuite ?

Pourquoi cherches tu sans arrêt à faire des comparaisons avec les autres ? Tu as une une expérience "extrême" de la psychothérapie, si je puis dire, ce n est pas le cas de la plupart des gens. Je ne pense pas que tu puisses comparer les personnes qui vont chez un psy des personnes internées, donc je ne pense pas que tu puisses conseiller objectivement ces personnes sur la base de ton vécu, tant que tu n'auras pas ce recul. Le vécu de ton conjoint est encore différent, tu peux témoigner et en tant qu épouse de quelqu un qui voit un psy mais pas à sa place. Pour ma part, je te vois un peu comme un rescapé de la guerre qui ici, maintenant, en France, donnerait des conseils aux gens pour marcher dans la rue en évitant les bombes. Tu vois la disproportion ?
A côté de cela, tu remontes pas mal de sujets ayant peu ou prou trait aux problèmes psychiques. Pourquoi faire si ce n'est que pour ressortir ton histoire en boucle, sans proposer de solution ? Oui, c est dangereux de faire peur aux gens qui, ne t en déplaise, pourraient avoir besoin d un psy ou de médicaments et qui du coup ne tenteraient pas le coup ou le retarderaient.

Déjà, une question simple, à supposer que tu y répondes cette fois ci : crois tu qu il faille éradiquer tous les psys et psychotropes du monde ou admets tu que ça peut aider des gens ? Si oui, pourquoi n arrives tu pas à avoir un peu de recul sur le sujet ?
49 ans Paris 9874
risperdalconsta a écrit:
D'ailleurs dans le cas de ton père "bipolaire", les bipolaires ont des grands mouvements d'humeur, un coup ils sont complétement maniaques, de l'autre complétement dépressifs (d'où l'ancienne terme de maniaco-dépressif). Dans les phases maniaques ils sont plus énervés mais ils sont plus du genre à claquer toutes leurs économies en une journée pour aller à miami, mais j'en ai connu des tonnes et AUCUN n'allait tuer personne.


Même lorsqu'on essaie de te dire qu'on est intimement touché par une question, dans sa famille, son quotidien, tu es capable de venir faire la leçon car tu sais tout de toutes les maladies psy (forcément, soit tu en as rencontré en HP, soit tu as lu un article en anglais, donc tu SAIS). C'est absolument obscène de ta part. Tu n'as de toute évidence aucune idée de ce qu'est la bipolarité (non sans blague? y'a des moments maniaques et des moments dépressifs? merci l'expert!), et en particulier de la souffrance de la famille, sinon tu fermerais ta trop bavarde bouche. A chaque fois je me dis qu'il faut arrêter de parler avec toi, mais je retombe dans le panneau, parce que ce que tu dis est trop choquant de bêtise.

Je ne fais pas cette remarque à ton attention, Risper, car elle ne changera rien à ton comportement, mais à l'attention des filles qui me lisent et qui tombent dans le même panneau. Certaines ont réussi à ne plus te parler, je vais essayer de faire de même... mais j'ai toujours cette crainte que des nouvelles tombent sur tes dires sans réponse contradictoire en face.
44 ans 04 5576
poupoule a écrit:
C'est absolument obscène de ta part.


Voilà. C est ce que je n arrivais pas à exprimer.
42 ans aude 792
risperdalconsta a dit: Citation:
Parce que oui, prescrire des médocs pour le psychiatres est UN de ses rôle, rôle qu'il accompagne de thérapie. Et non, un psychiatre ne fait pas QUE de la thérapie, pour faire QUE de la thérapie les psychologues sont mieux formés parce qu'ils ne font QUE ça durant leurs 5 années de psychologie. Le psychiatre a la même durée de l'internat, mais il n'étudie pas QUE la thérapie mais aussi les médocs. Il étudie leurs effets, la neurobiologie, leurs interactions, bref ça prend du temps. Ah oui et le psychiatre fait une dizaine d'années d'études de médecine, mais les 6 premières années n'entrent pas dans l'étude de la psychiatrie, c'est le socle commun à tous les médecins. Autant le préciser.


Tu oublies que chaque psychiatre est un être humain, qui a sa personnalité, ses idées, ses opinions, sa conscience, son vécu. La deuxième phrase de mon psy quand il m'a vue a été de me conseiller la relaxation, la sophrologie, la taï chi, le yoga, ... ou une autre médiation corporelle. Rien que des abominations médicamenteuses, donc. Et, je l'ai dit, il m'a marqué Stresam et était pour Euphytose. Ce n'est pas parce que les psychiatres connaissent les médicaments (et heureusement) qu'ils en prescrivent aveuglément à tire-larigot.
Mon psy s'est formé aux thérapies TCC et Analyse Transactionnelle alors qu'il était déjà en exercice. Il trouvait qu'il ne l'avait pas assez approfondi en fac. Il a choisi de creuser ça de lui-même parce que ça lui semblait intéressant. Comme d'autres s'intéressent à la méditation, aux arts comme thérapie,...

Citation:


Citation:
Je te trouve très dangereuse parce que je me dis que si quelqu'un te lis en sous-marin et qu'il a VRAIMENT besoin de médicaments, il risque d'essayer d'arrêter son traitement et il pourrira la vie de ses proches car la maladie aura pris le dessus, ou il tuera quelqu'un, ou il finira SDF... Tout est une question de bénéfice/risque quand on prend un médicament.
Par exemple, mon père doit avaler à peu près 18 médocs par jour (psychotropes and co)parce qu'il est bipolaire. HEUREUSEMENT qu'il les prend, sinon je me serais flinguée depuis longtemps, et toute ma famille aurait fait de même. Je suis infiniment reconnaissante au psychiatre qui les lui prescrit.


Ben voyons, ça me rapelle le discours d'un certain président qui était en oeuvre y a pas si longtemps et son nom commençait par S. Il préconisait d'enfermer tous les schizophrènes parce qu'ils sont dangereux. Non tous les gens à l'HP qui prennent une grande quantités de médocs ne sont pas des fous dangereux. D'ailleurs dans le cas de ton père "bipolaire", les bipolaires ont des grands mouvements d'humeur, un coup ils sont complétement maniaques, de l'autre complétement dépressifs (d'où l'ancienne terme de maniaco-dépressif). Dans les phases maniaques ils sont plus énervés mais ils sont plus du genre à claquer toutes leurs économies en une journée pour aller à miami, mais j'en ai connu des tonnes et AUCUN n'allait tuer personne. Moi je prenais 22 pilules pendant un jour fut il un temps et la psychiatre m'a qualifiée de "personne moins dangereuse que les autres". De toute manière j'ai jamais dit à qui que ce soit d'arrêter son traitement, parce que non, il ne faut pas, dans certains cas c'est nécessaire et de toute manière il y a des gros effets de sevrage parfois, mais shooter et blinder de traitements c'est pas l'idéal non plus.



Là, tu essaies de décrédibiliser moi et toute ma famille, donc merci. Je connais malheureusement largement mieux que toi la maladie de mon père et la souffrance qui est et a été celle de son entourage depuis 30 ans. Mais ça ne compte pas, puisque Citation:
Ben voyons
tu sais tout mieux que moi.

Tu ne peux pas comparer les vécus, tu ne peux pas éliminer les témoignages qui ne vont pas dans le sens que tu désires, tu ne peux pas nier que chaque personne est différente et que, malade ou pas, elle a peut-être fait un cheminement qui contredis tes théories.
J'accepte que ton expérience soit ce qu'elle est, maintenant accepte que les autres aient d'autres expériences.

En fait, je pense que les personnes qui détestent le plus les psys sont celles qui en ont le plus besoin. Les personnes psychosées ne savent pas qu'elles le sont, mais 100% de leur entourage le savent et en souffrent. Et quand une personne psychosée accepte de prendre des médicaments, elle reconnaît qu'elle souffre moins, qu'elle est moins angoissée.

Je ne te répondrai plus parce que je n'apprécie pas qu'une inconnue minimise et ridiculise ce que je dis. Comme l'ont dit les filles, c'est obscène.
R
40 ans 835
Bon tant qu'a faire, autant me faire un procès d'intention, accompagné d'adjectifs colorés et excessifs comme "obscène", ça ne coûte rien..

Ou est ce que j'ai décrédibilisé, ridiculisé, minimisé ou quoi ce soit la famille d'helvetia? Je n'ai pas dit que son père n'était pas violent, j'ai dit que ce n'est pas parce qu'on est bipolaire qu'on est violent. Heureusement parce que bipolaire étant un diagnostic à la mode (je suis moi même étiquetée "bipolaire", même si je n'ai plus aucun mouvement d'humeur depuis plus d'un an), on serait dans de beaux draps...

Citation:
En fait, je pense que les personnes qui détestent le plus les psys sont celles qui en ont le plus besoin. Les personnes psychosées ne savent pas qu'elles le sont, mais 100% de leur entourage le savent et en souffrent. Et quand une personne psychosée accepte de prendre des médicaments, elle reconnaît qu'elle souffre moins, qu'elle est moins angoissée.

Oui, tout comme les gens qui disent qu'ils vont se suicider ne le font jamais. C'est bien connu, si on en parle c'est qu'on n'est pas sérieux. C'est un jugement à l'emporte pièce. Vu que je n'aime pas les psys, c'est que mon inconscient les rejette, et que je suis psychotique (un concept de plus en plus contesté en psychiatrie d'ailleurs), et que j'en ai besoin. Ah oui, que j'ai donné là dedans ne compte sans doute pas. Faudrait pas non plus ridiculiser, minimiser mon vécu hein.

tu fermerais ta trop bavarde bouche
=> Devant la puissance dialectique de ta redoutable rhétorique, je dois m'incliner. Sans blague, c'est moi qu'on accuse d'agressivité après?

Ce qui est obscène et risque de faire tomber dans les panneaux, c'est le conseil du psy à tout va. Ici, on a même conseillé à une fille qui ne supportait plus ses chats après avoir accouché d'un bébé d'aller voir un psy. Faire une thérapie pour ça, au risque de se retrouver sous médocs, stone etc... vous trouvez mon discours anti psy dangereux, je trouve le discours "psy à tout va" tout autant.

Après mettre en garde contre le "psy à tout va" m'attire un tas de problème, je passe pour une allumée qui annonce la fin du monde. Le truc c'est que quand les gens parlent de leur mauvaise expérience en chir bariatrique, on leur dit "merci pour l'info", pourquoi pas en psy? C'est une discipline médicale à ce que je sache...
50 ans à la maison ! 10072
Le soucis avec toi, c'est que tu donnes toujours l'impression que ton expérience (vécue ou littéraire) efface celle des autres. On dirai toujours que tu nies ce que les autres vivent ou ont vécu.
On ne dit pas que tu n'as pas une mauvaise expérience des psys, mais toi tu sembles toujours nier qu'on puisse en avoir une bonne.
Ce n'est pas parce qu'une personne va voir un psy qu'elle va forcément se retrouver sous médocs, par exemple.

Je ne sais pas si tu es vraiment comme ça (si tu nies l'expérience des autres, "je sais tout mieux que tout le monde"), ou si c'est ta façon de t'exprimer, mais en tout cas, c'est très désagréable et coupe toute envie de lire tes arguments.
C'est dommage pour toi comme pour les autres car je suis sure que ton expérience pourrait aussi aider les autres.
44 ans 04 5576
Tu as dit sur un autre poste que tu avais une tendance à la paranoïa. De façon générale, ça t empêche de tenter de communiquer quand plusieurs personnes te donnent le même message ?sais tu te remettre en question ou vois tu des complots contre toi partout ?

Juste pour savoir.
R
40 ans 835
trashtrap : Je ne nie pas qu'on puisse avoir une bonne expérience avec les psys. Mon conjoint en a une très bonne, ses médocs l'aident énormement, il dit lui même "qu'il ne pourrait pas vivre normalement sans". Ce que je déplore, particulièrement sur ce site, c'est qu'on conseille le psy pour TOUT. Les histoires de chats, si on manque de pognon, si on est con, pour absolument TOUT. J'ai à vrai dire rarement vu un post sans la fameuse question : "tu vois un psy? tu prends des médocs". Ca, ça m'énerve. De un parce que le psy n'est absolument pas la solution à TOUT, ensuite parce que parfois ça peut foutre dans de beaux draps. Pas systémariquement, mais y a quand même un risque.
Pour l'histoire des psys qui ne prescrivent pas à gogo, je ne le crois pas parce que dans "la vraie vie" je ne connais absolument aucun cas. AUCUN. Donc oui, ça me laisse dubitative.

Pour l'expérience en littérature, non, je ne me prends pas pour une pro. Je suis en fac d'anglais, et on fait majoritairement de la linguistique ou je suis, et j'ai pris option "lettres en mineure", mais je ne me permettrai certainement pas de donner des cours de litté à d'autres, surtout quand je sais que y a des profs de lettres ici qui visent l'agrég. Je suis loin de ce niveau là et j'en ai parfaitement conscience...

Toad : NOn je ne suis pas paranoiaque. J'ai une tendance à la jalousie mais non, je n'adhère pas au complot "tout le monde m'en veut". Absolument pas. Et je trouve ça un peu facile de mettre mes messages qui ne vous plaisent pas sur le compte d'une pathologie mentale. Dire qu'on est "parano" est tombé dans le langage commun, ce n'est plus un terme exclusivement réservé au jargon psy.
44 ans 04 5576
Citation:
(j'ai pas mal de défauts que je reconnais volontiers : l'agressivité, la rancune, l'impatience sous toutes ses formes, la gloutonnerie, un chouya d'arrivisme, la jalousie, parfois une bonne dose de paranoia, entêtement... et encore d'autres) mais la mauvaise foi c'est pas mon truc préféré. Des fois j'en fais un peu, mais je persiste rarement là dedans parce que c'est une posture inconfortable pour moi


http://www.vivelesrond...ewtopic_269365_210.htm#3884174

Faudrait savoir, quand même.
La tu vois, je pense que tu es en plein dans ce que tu as décrit. Du coup, ça ne sert à rien d en discuter avec toi. Par contre tu comprendras j espère qu a chaque fois que tu partiras encore sur de l excessif et que ton message sera dangereux envers les gens, il y aura réaction. Pas d'insulte, ça ne sert à rien, mais disons, une mise en perspective.
50 ans à la maison ! 10072
risperdalconsta a écrit:
trashtrap : Je ne nie pas qu'on puisse avoir une bonne expérience avec les psys. Mon conjoint en a une très bonne, ses médocs l'aident énormement, il dit lui même "qu'il ne pourrait pas vivre normalement sans". Ce que je déplore, particulièrement sur ce site, c'est qu'on conseille le psy pour TOUT. Les histoires de chats, si on manque de pognon, si on est con, pour absolument TOUT. J'ai à vrai dire rarement vu un post sans la fameuse question : "tu vois un psy? tu prends des médocs". Ca, ça m'énerve. De un parce que le psy n'est absolument pas la solution à TOUT, ensuite parce que parfois ça peut foutre dans de beaux draps. Pas systémariquement, mais y a quand même un risque.


Quand on parle de "psy", on ne parle pas forcément de psychiatre... mais aussi de psychologues, psychothérapeutes, et autres psychanalystes... qui ne prescrivent pas de médicaments.

risperdalconsta a écrit:

Pour l'histoire des psys qui ne prescrivent pas à gogo, je ne le crois pas parce que dans "la vraie vie" je ne connais absolument aucun cas. AUCUN. Donc oui, ça me laisse dubitative.

Je connais beaucoup de gens qui prennent des trucs prescrits par leur généraliste, sans accompagnement ni recherche de solution "autre", sans travail sur soi. Je connais plus de gens qui prennent du lexo que de gens qui voient ou ont vu des psys. Et ceux qui en ont vu sont généralement ceux qui ne prennent pas (ou plus) de médocs.

risperdalconsta a écrit:

Pour l'expérience en littérature, non, je ne me prends pas pour une pro. Je suis en fac d'anglais, et on fait majoritairement de la linguistique ou je suis, et j'ai pris option "lettres en mineure", mais je ne me permettrai certainement pas de donner des cours de litté à d'autres, surtout quand je sais que y a des profs de lettres ici qui visent l'agrég. Je suis loin de ce niveau là et j'en ai parfaitement conscience...

Quand je parle de "littéraire", je parle de "livres" en général. J'aurai du mettre "livresque".

Quoi qu'il en soit, c'est l'impression que tu donnes, et si ce n'est pas ce que tu es en réalité, c'est qu'il y a un désaccord entre ce que tu exprimes et ce que tu es ou ressens. Et ce n'est pas aux autres de "traduire", mais à toi de chercher à mieux te faire comprendre.
R
40 ans 835
Toad : t'as sans doute jamais entendu quelqu'un parler dans la rue dire qu'il est "parano" je suppose? C'est pas exactement un diagnostic psy. C'est du jargon psy tombé dans le registre commun. Mais vu que t'as l'air déterminée à me coller une étiquette de cinglée, à vrai dire y a rien que je puisse dire.
Ce que je n'aime pas c'est l'absurde : on m'accuse d'agressivité mais on m'agresse aussi parfois (cf poupoule, toi parfois), certains tournent tout ce que je dis en dérision parce qu'ils ne sont pas d'accord en "personne qui annonce la fin du monde" (cf un de tes posts, t'as envie que je le déterre???).

trashtrap :
Je connais beaucoup de gens qui prennent des trucs prescrits par leur généraliste, sans accompagnement ni recherche de solution "autre", sans travail sur soi. Je connais plus de gens qui prennent du lexo que de gens qui voient ou ont vu des psys. Et ceux qui en ont vu sont généralement ceux qui ne prennent pas (ou plus) de médocs.
=> Moi, je connais quelqu'un qui prend du lexomil depuis 10ans, prescrit par un psychiatre quand c'est interdit de le prescrire plus de 6 mois. Tout est relatif.

Pour la référence au livresque je n'ai rien compris, désolée.
50 ans à la maison ! 10072
risperdalconsta a écrit:


=> Moi, je connais quelqu'un qui prend du lexomil depuis 10ans, prescrit par un psychiatre quand c'est interdit de le prescrire plus de 6 mois. Tout est relatif.


Les gens auxquels je pense (mon père et son meilleur ami, par exemple) en prennent depuis beaucoup plus de dix ans.
R
40 ans 835
c'est illégal d'en prescrire depuis aussi longtemps. J'ose pas imaginer l'état de leur mémoire, et à vrai dire je ne sais pas si les effets sont réversibles. Il faut espérer que si....
51 ans 35 10308
risperdalconsta a écrit:
c'est illégal d'en prescrire depuis aussi longtemps.

Ca fait plusieurs fois que tu dis ça, mais je n'arrive pas du tout à trouver la source. Tu pourrais me donner le texte de loi correspondant?
Je veux bien croire que ça puisse poser des problèmes d'en prendre aussi longtemps et que ça crée des dépendances, mais je ne savais pas qu'il y avait une loi à ce sujet et je voudrais bien savoir ce qu'elle dit exactement.
52 ans Lorraine 4326
poupoule a écrit:
Certaines ont réussi à ne plus te parler, je vais essayer de faire de même... mais j'ai toujours cette crainte que des nouvelles tombent sur tes dires sans réponse contradictoire en face.


c'est bien mon grand problème aussi .
j'ai toujours peur qu'avec une recherche sur google , on tombe sur ses posts completements délirants et surtout faux .
B I U