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Détresse : je ne sais plus comment combattre !

A
31 ans Paris 72
Bonjour,

Je panique complet à l'heure qu'il est, j'aimerais parler avec vous savoir si certains ressentent parfois la même angoisse que moi et si vous avez des conseils à me donner.

Ancienne  
anorexique, j'ai basculé du côté de la boulimie vomitive depuis maintenant plusieurs années. Après 6 mois d'accalmie, je sens le symptôme m'envahir de nouveau... Et je ne sais plus quoi faire. C'est pas faute d'essayer, mais c'est trop fort et ça fini toujours par gagner.

Samedi dernier j'ai senti le besoin de criser alors j'ai essayer de le contourner : travailler avec une amie, me balader en ville avec ma mère... Et toujours cette pensée obsédante ! Du coup dans ces moments là je deviens très nerveuse, irritable, impatiente mais j'essaye de prendre sur moi. Le soir un ami m'a proposé un resto et un ciné, j'ai accepté (sachant que la crise me guettait chez moi).
Sortie du ciné j'ai commandé un plat équilibré dans un italien(escalope, salade et pâtes) puis arrivée au dessert mon ami a insister pour que l'on en prenne un à deux. Un dessert au chocolat, le truc que je ne peux pas manger sans avoir envie de criser après ! Je me suis dit : "Tu es forte. Tu vas juste te faire plaisir, et tu ne vas pas criser." Mais rien à faire, c'est automatique, du coup crise le dimanche...

Lundi j'étais décalquée avec une gueule pas possible. J'ai fait de légers oedemes, et en plus j'ai une méga conjonctivite avec les yeux ultra gonflés.

Ce matin (mardi) je me réveille à côté de mes pompes, mais je me suis forcée à passer une journée normale. Je me suis préparée, je suis partie à la biblio... Mais je n'arrive pas à me concentrer ! Là je reviens de mon rdv chez l'ophtalmo, j'ai mal aux yeux et je me sens angoissée... La crise plane au dessus de ma tête et je n'arrive pas à me raisonner.

De plus, mon analyste est en vacance. Mon copain en voyage. Je ne sais pas trop quoi faire. Je panique...
37 ans 1547
Tu te sens peut-être fragilisée par l'absence de ton copain et celle de ton analyste.

Dans un premier temps, j'aurais envie de te suggérer de faire une activité qui te détende.
Pas une activité qui t'occupe l'esprit.
Une activité qui te fasse sentir ton corps et te fasse du bien, fasse abaisser la tension, fasse ressentir du plaisir corporel. Dans ces moments là, selon mes possibilités, ça peut correspondre notamment à: aller à la piscine; aller marcher dehors dans des endroits que j'aime; me masser avec une crème doucement, tout le corps ; prendre une longue douche avec des gants de massage qui grattent un peu et me laver les cheveux, les coiffer plus longtemps que d'habitude. Quoi que tu choisisses dans ce qui te procure un bien-être physique, n'hésite pas à prendre vraiment le temps.

Après cela, je te conseille de choisir très honnêtement les aliments que tu as le plus envie de manger, de prendre le temps de te réjouir à l'idée de les manger, et de les savourer le plus doucement possible.
De ralentir le plus possible le comportement où d'habitude tout s'accélère.

Pour les crises, j'ai l'impression que toute l'énergie que tu mets à ne pas les vivre leur donne cette force obsédante.
J'aurais envie de te suggérer de te laisser manger ce dont tu as envie en désamorçant très consciemment cette idée que les manger serait une "crise" à éviter.

En mangeant le plus lentement possible, en cherchant le plus de plaisir gustatif en mangeant. En en profitant vraiment.
Cela peut être très difficile si tu as associé certains aliments à une forme de culpabilité. Si tu n'y arrives pas le premier coup, ce n'est pas grave du tout. Il faut réaménager progressivement ces croyances sur l'équilibre alimentaire, les "bons" et les "mauvais" aliments, pour ensuite pouvoir être plus serein et plus disponible pour déguster.

C'est un cercle vicieux entre la tentative de contrôle et la compulsion qui nous échappe. L'un nourrit l'autre dans une spirale très douloureuse.

Sur du court terme, tout cela peut peut-être t'aider à abaisser la tension que tu ressens depuis quelques jours.
Tu auras le temps au retour de ton psy de comprendre ce qu'il s'est passé pour toi.

Et pour le long terme, tu peux aller lire la rubrique "rééducation alimentaire" du forum, parcourir le site www.gros.org, notamment autour de la restriction cognitive et des troubles du comportement alimentaire qu'elle favorise et/ou renforce.

Bon courage à toi
A
31 ans Paris 72
Je te remercie beaucoup pour ton message et tes conseils !

Effectivement j'ai conscience qu'en me mettant autant la pression (et en ne me laissant pas le droit à l'"erreur"), j'augmente mon angoisse et donc aussi le risque de crise...

Au quotidien c'est invivable, et c'est surement une des raisons pour lesquelles je replonge. Par exemple je suis capable de me prendre la tête toute la journée si je pars le matin à la fac avec un vernis écaillé ou des cheveux rebelles... (Ah! je ris tellement ça parait ridicule)
Comme si je devais toujours être au top...

Même si je fais déjà une psychanalyse, j'ai pensé consulter un nutritionniste en parallèle... Surtout que je fais des carences. J'y pense, mais je n'ai pas encore franchis le cap. Je ne sais pas si c'est une bonne idée ?
51 ans 35 10308
AdeleA a écrit:
Même si je fais déjà une psychanalyse, j'ai pensé consulter un nutritionniste en parallèle... Surtout que je fais des carences. J'y pense, mais je n'ai pas encore franchis le cap. Je ne sais pas si c'est une bonne idée ?

Papille te donnait le lien vers le site du gros.org, c'est une très bonne piste, y compris pour trouver un thérapeute qui comprendrait le lien entre émotions et alimentation et qui t'aiderait à travailler là-dessus. Fais attention au nutritionniste qui te refilerait un régime qui ne ferait qu'empirer tes crises.
Bon courage en tout cas.
N
55 ans 62
moi c pareil , au plus je pense à contrôler mon poids au plus je grossis car au final je mange et mange encore pour étouffer mon angoisse de grossir
bref le serpent qui se mort la queue
du coup je mange ce qui me fait plaisir et évite de penser "attention il faut maigrir" et j'oubli aussi la balance
je fais quand même attention au moins au moment ou je fais les courses de ne pas acheter des "tentations" que je sais que je vais engloutir (nutella et autres ) mais je ne m'évite pas le chocolat ou flamby ou autres
manger doit rester un plaisir , je fais aussi attention quand j'achète à vouloir équilibrer mes repas du coup je pense aux légumes un peu plus , mais sans me dire "fait attention tu es au régime"surtout pas ,je me dis prend des légumes pour éviter les carences
voilà garde le moral , la vie ne doit pas tourner pas qu'autour de notre poids
notre vie est précieuse , il faut se sentir vivre (s'amuser,voir ses amis , prendre du plaisir a faire ...)
51 ans 35 10308
nina830604 a écrit:
je fais quand même attention au moins au moment ou je fais les courses de ne pas acheter des "tentations" que je sais que je vais engloutir (nutella et autres ) mais je ne m'évite pas le chocolat ou flamby ou autres
manger doit rester un plaisir , je fais aussi attention quand j'achète à vouloir équilibrer mes repas du coup je pense aux légumes un peu plus , mais sans me dire "fait attention tu es au régime"surtout pas ,je me dis prend des légumes pour éviter les carences

C'est un peu HS par rapport aux problèmes d'AdeleA mais en fait ta démarche revient toujours à choisir ton alimentation avec ta tête et pas avec ton corps. Si tu as envie de chocolat et pas de légumes, tu peux manger tous les légumes que tu veux, ça ne va pas rassasier ton envie de chocolat, et si jamais tu te retrouves face au chocolat, tu vas en manger d'autant plus que ta frustration va être grande. Alors que si tu arrives à manger ce chocolat qui te fait plaisir en le dégustant, en en profitant bien, en essayant de t'arrêter quand tu n'as plus faim parce que tu sais qu'il sera là dans ton placard si tu en as encore envie, bref si tu n'en fait plus un aliment diabolisé, tu as fait un grand pas sur le plaisir alimentaire, le vrai. Ce n'est pas forcément un travail facile à faire (il faut se faire aider parfois) mais sur le long terme, qu'est ce que c'est payant!

Ca n'est pas toi qui disait sur une autre discussion que tu trouvais le site du gros trop commercial? Je te posais la question de ce que tu entendais par là, et tu n'as pas répondu, pourtant ça m'intéresse (je te remet le lien, c'est peut-être mieux de continuer là-bas cette partie de discussion http://www.vivelesrond...om/forum/viewtopic_407610.htm)
A
31 ans Paris 72
Citation:
Ca n'est pas toi qui disait sur une autre discussion que tu trouvais le site du gros trop commercial?


Non, je ne crois pas que ce soit moi... (Je suis nouvelles sur le forum).
Cependant je suis allée y faire un tour. Je n'ai pas vraiment l'impression que ça réponde vraiment à ma demande... Par exemple dans la ville où j'habite actuellement, on ne me donne qu'une seule adresse de spécialiste. Et il se trouve que c'est un psychothérapeute spécialisé dans les TCA.

Je sors justement d'une psychothérapie qui a duré 4 ans, et comme je n'avançais plus vraiment j'ai entrepris une psychanalyse.
Faire une psychothérapie et une psychanalyse en parallèle ça me semble totalement incompatible ! (dite moi si fais fausse route ?) Pour ma part je cherchais plus l'adresse d'un nutritionniste spécialisé dans les TCA, histoire de pouvoir revivre correctement au quotidien (même si je n'ai pas de problème de poids).
51 ans 35 10308
AdeleA a écrit:
Citation:
Ca n'est pas toi qui disait sur une autre discussion que tu trouvais le site du gros trop commercial?


Non, je ne crois pas que ce soit moi... (Je suis nouvelles sur le forum).

Je posais la question à nina830604 ;)

AdeleA a écrit:
Cependant je suis allée y faire un tour. Je n'ai pas vraiment l'impression que ça réponde vraiment à ma demande... Par exemple dans la ville où j'habite actuellement, on ne me donne qu'une seule adresse de spécialiste. Et il se trouve que c'est un psychothérapeute spécialisé dans les TCA.
Je sors justement d'une psychothérapie qui a duré 4 ans, et comme je n'avançais plus vraiment j'ai entrepris une psychanalyse.
Faire une psychothérapie et une psychanalyse en parallèle ça me semble totalement incompatible ! (dite moi si fais fausse route ?) Pour ma part je cherchais plus l'adresse d'un nutritionniste spécialisé dans les TCA, histoire de pouvoir revivre correctement au quotidien (même si je n'ai pas de problème de poids).

Parmi les praticiens du GROS il y en a qui sont plus "psy" et d'autres qui sont plus "nutrition" (de formation). En effet c'est peut-être un peu compliqué de voir un psychothérapeute et un analyste en parallèle, mais je pense aussi que ça dépend des gens (de toi donc, et des thérapeutes). Peut-être que tu peux essayer un RV pour voir? Ou alors chercher dans les villes proches si il y aurait un praticien ayant une formation plus nutritionniste? Le moteur de recherche de l'annuaire du site est un peu merdique, peut-être que tu peux essayer d'envoyer un mail pour demander la liste des praticiens près de chez toi?

Ceci dit, j'ai l'impression que les problèmes de TCA c'est au moins autant (voire plus) une question pour un psy que pour un nutritionniste (mais je peux me tromper, n'ayant heureusement pas été affectée par ces soucis, donc mes excuses si je suis à côté de la plaque).
A
31 ans Paris 72
Citation:
Ca n'est pas toi qui disait sur une autre discussion que tu trouvais le site du gros trop commercial?

Je te remercie pour le conseil, je vais faire ça !

Citation:
Ceci dit, j'ai l'impression que les problèmes de TCA c'est au moins autant (voire plus) une question pour un psy que pour un nutritionniste

Oui, je le pense aussi... J'ai été prise en charge pendant 1 an en hôpital (service de gastro) et franchement ça n'avait pas vraiment servi à grand chose. J'ai conscience que c'est un "symptôme" que l'on développe, et j'ai beau m'y connaitre en nutrition ça ne change rien à mon comportement auto-destructeur. La psychanalyse me fait déjà du bien, mais c'est long je suppose...
Je vais quand même regarder les nutritionnistes prêts de chez moi, ça ne coûte rien d'essayer ! Merci !
N
55 ans 62
non angia , c'est pas moi non plus
51 ans 35 10308
nina830604 a écrit:
non angia , c'est pas moi non plus

Ben pourtant :
http://www.vivelesrond...m/viewtopic_407610.htm#3961192
;)
37 ans 1547
Je rejoins le conseil d'Angia de regarder si, un peu plus loin, tu ne peux pas trouver un nutritionniste du GROS.
Quitte à faire très peu de consultations mais à avoir un point d'ancrage et à t'aider du livre de zermati, des lectures du GROS et du forum à côté.

Sinon, je suis aussi en analyse. C'est vrai que je n'aurais pas vu de sens à une psychothérapie en plus, j'avais besoin d'aide sur mon comportement alimentaire, j'abordais déjà les dimensions affectives de cela en analyse.

La RA pour moi, c'est plusieurs choses:
1/une rééducation - donc un apprentissage
2/ça touche l'alimentation - donc le comportement d'alimentation et les pensées et émotions liées
3/ça passe par les sensations - donc ça concerne le rapport à son corps et à ce qu'il s'y passe
4/ça vient questionner sur le rapport au contrôle de façon générale

Si tu ne trouves pas de nutritionniste, tu peux aussi découvrir les principes d'une régulation alimentaire sensorielle (la RA donc) par toi-même et te faire aider, si tu en as besoin, dans le rapport que tu as à tes sensations corporelles.

Tu as dit que ça ne te correspondait pas, parce qu'il n'y a pas de nutritionniste du gros dans ta ville ou parce que le principe de régulation sensorielle de l'alimentation ne fait pas sens pour toi ?
A
31 ans Paris 72
Ce qui ne me conviendrait pas, ça serait une psychothérapie (comportementale) en plus de ma psychanalyse.

Je vais tout de même me renseigner pour consulter un nutritionniste spécialisé dans les TCA !

Ah, j'avais une question pour toi...
Tu fais une psychanalyse. Est-ce que tu as aussi des TCA ? Et est-ce que ça t'aide à vivre mieux ?
Depuis un an que je les entrepris j'arrive plus à vivre ma vie, mais pas encore pleinement... Du coup il y a des moments où je désespère ! hehe
37 ans 1547
Personnellement je ne suis pas convaincue que la spécialisation soit la plus importante. En revanche, la sensibilité, l'affiliation ou mieux, la formation au GROS, me paraît plus importante car autrement, je craindrais des pensées de restriction cognitive sous jacentes. CF site du gros pour la notion de restriction cognitive

S'il n'y avait pas eu de nutritionniste du GROS à moins de 200km de chez moi, je pense que j'aurais cherché un nutritionniste capable de s'y sensibiliser avec moi. Tant pis si ce n'était pas déjà son parti pris, si tant est qu'il est capable de m'accompagner dans ce qui me paraît faire sens pour moi. Je suis convaincue que c'est possible même si ça doit être dur de trouver.

Pour l'analyse, je doute que les expériences soient comparables, c'est une expérience extrêmement intime que je trouve difficile à partager. Oui j'avais des TCA. Aujourd'hui cela a changé, mon alimentation dépend encore pas mal de mes émotions et de mes idées mais je vis les choses beaucoup mieux et je ne me sens plus prisonnière comme avant. J'ai le sentiment d'être libérée d'une grande souffrance, même si tout n'est pas pour autant apaisé et que plus j'avance, plus je touche des choses intimes qui sont parfois difficiles à approcher tout en étant plus faciles qu'au début. Donc oui, ça va beaucoup mieux, grâce à l'analyse mais pas seulement. Ça a mis plusieurs années à émerger de façon plus directe. Avant ça, j'ai observé des effets et des ricochets, mais ce serait abusif de dire que l'analyse a solutionné les choses comme l'on peut chercher dans d'autres types de soins la solution directe à un problème bien identifié ou un mieux être uniforme. Ça n'a pas du tout été aussi simple pour moi.

L'analyse ne m'a pas aidée de façon ciblée sur mon alimentation elle-même, ça me paraît assez logique car je ne crois pas que le noyau soit là. Mes TCA me semblent surtout la conséquence d'autres choses qui ont pris relief dans un corps très obèse et un comportement alimentaire devenu une torture obsédante. C'est ces "reliefs" que l'analyse m'a permis de lâcher petit à petit et ce sont ces autres choses qu'en analyse j'ai pu approcher petit à petit. Le rapport à mon corps et aux autres est finalement plus présent que le rapport à la nourriture elle-même. En prenant conscience de façon plus sensible de cela, j'ai été capable de faire de nouvelles expériences qui m'ont aidé à leur tour à aller mieux. La RA est venue récemment, résultat elle-même d'une longue lignée de ricochets, et tremplin à d'autres ricochets encore. C'est une dynamique étonnante à vivre, comment chaque chose vient en créer/révéler une autre.

Voilà, dans mon expérience l'analyse a un rôle important dans les transformations que je vis aujourd'hui, mais ce n'est pas une relation de causalité simpliste: analyse -> guérison des TCA. D'ailleurs, ça ne me dérange pas d'imaginer ma vie avec des besoins de manger émotionnels; ce n'est pas ça le souci pour moi. Ce qui me faisait vraiment souffrir c'est - la violence inouïe que je nourrissais, via cela, contre moi; - le fait que ça embolisait tout le reste; et ne pas pouvoir mettre du sens sur tout cela me faisait vivre un profond désespoir. Le fait de manger trop et vite à tel moment, par émotion, me paraît anecdotique comparé à ces souffrances là. (je ne parle que pour moi bien sûr et je ne relativise pas la souffrance que ça peut être pour d'autres).

La RA pour moi c'est plus un moyen de désamorcer petit à petit les empreintes des années de restriction cognitive et d'apaiser mes inquiétudes concernant le rapport à mon corps sur le plan alimentaire. C'est remettre la nourriture à sa place, en fait, pour mieux l'apprécier et mieux la partager.
Mais honnêtement, dans mon expérience, c'est avec la nourriture que tout flambait, et pourtant, aujourd'hui, je ne suis pas sûre que ça soit là qu'il y avait à mettre le plus d'attention. Avec la RA j'expérimente une nouvelle forme d'attention qui me fait beaucoup de bien même si elle n'est pas facile.

Ce doit être bon pour toi de ressentir déjà un certain apaisement. Bon courage pour la suite et n'hésite pas à nous donner de tes nouvelles et nous dire si tu as trouvé un professionnel qui te convienne.
Je crois qu'Angia l'a déjà suggéré, mais tu peux peut-être téléphoner au psychothérapeute du GROS pour lui demander s'il travaille avec des nutritionnistes qui sont sensibles à cette approche par exemple et qu'il pourrait te conseiller. Chaque professionnel a son propre réseau. Si tu lui expliques ta démarche je ne vois pas de raison qu'il aurait à refuser de te répondre, mais de toute façon, ça vaut le coup d'essayer !
B I U