48 ans
Paris
9874
a-nonyme a écrit:
Je ne crois pas que ce soit vrai (même si des années de restriction cognitive finissent par quasi nous convaincre qu'on est incapble de redevenir un mangeur régulé).
En revanche, on peut tout à fait dire: je ne VEUX pas lâcher prise, ma vie me convient comme ça, j'aime avoir des "garde fous", etc.
Il n'y a aucune obligation à changer, la majorité des femmes et de plus en plus d'hommes vivent en restriction cognitive.
Il faut lutter contre si on est en souffrance, si on ne sait plus comment fonctionner en atteignant un certain degré de confort et de bonheur.
Je ne suis pas pour sortir tout le monde de la restriction, il y a des gens à qui ça peut ne pas convenir du tout (au sens de provoquer des symptômes pires que ce qu'on veut combattre).
Dans mon cas particulier, je n'avais juste plus aucune porte de sortie, plus de plaisir pris à la nourriture (pizza ou barre protéinée, tout avait le même goût c'est-à-dire aucun) et plus de capacité à empêcher mon poids de monter. Je n'avais pas le choix, je DEVAIS sortir de la restriction sous peine de péter vraiment les plombs. Mais tout le monde n'a pas le même parcours et chez certains les régimes et la pensée "aliments sains" peuvent avoir fait moins de dégâts que chez moi. Attention cependant à l'effet bombe à retardement...
c'est qu'est ce que je pensais : je suis incapable de ce lâcher-prise :oops:
Je ne crois pas que ce soit vrai (même si des années de restriction cognitive finissent par quasi nous convaincre qu'on est incapble de redevenir un mangeur régulé).
En revanche, on peut tout à fait dire: je ne VEUX pas lâcher prise, ma vie me convient comme ça, j'aime avoir des "garde fous", etc.
Il n'y a aucune obligation à changer, la majorité des femmes et de plus en plus d'hommes vivent en restriction cognitive.
Il faut lutter contre si on est en souffrance, si on ne sait plus comment fonctionner en atteignant un certain degré de confort et de bonheur.
Je ne suis pas pour sortir tout le monde de la restriction, il y a des gens à qui ça peut ne pas convenir du tout (au sens de provoquer des symptômes pires que ce qu'on veut combattre).
Dans mon cas particulier, je n'avais juste plus aucune porte de sortie, plus de plaisir pris à la nourriture (pizza ou barre protéinée, tout avait le même goût c'est-à-dire aucun) et plus de capacité à empêcher mon poids de monter. Je n'avais pas le choix, je DEVAIS sortir de la restriction sous peine de péter vraiment les plombs. Mais tout le monde n'a pas le même parcours et chez certains les régimes et la pensée "aliments sains" peuvent avoir fait moins de dégâts que chez moi. Attention cependant à l'effet bombe à retardement...