MissWillow a écrit:Shit, j'me suis gourrée de discussion XD
:lol: :lol: Et moi qui cherchais le rapport avec la choucroute! :lol: :lol:
Pyflo a écrit:simplement parce qu a renier la facon de penser d une partie de la population, on ne lui laisse plus que la violence pour s exprimer.....
C'est une hypothèse intéressante, mais rien ne le démontre, à mon avis.
A l'échelle d'une classe, par exemple, si j'autorise les élèves à se moquer d'un élève qui a de mauvais résultats, même de façon minime, cela fait rapidement boule de neige et le pov' gars en prend rapidement plein la tronche, de plus en plus (cet effet a été vérifié: c'est l'effet "tête de turc", où rapidement, la tête de turc ne peux plus rien faire sans être critiquée par tous).
Si j'interdis aux élèves de se moquer d'un autre, alors ils peuvent éventuellement s'en moquer dans mon dos, en loucedé, ou à la récré, mais ce ne sera pas systématique, et ce sera beaucoup plus réduit parce qu'ils ne se sentiront pas soutenus et parce qu'ils savent qu'ils peuvent subir les conséquences de leurs moqueries (être puni, collé, exclus...). cela n'ira pas jusqu'à la violence, à moins qu'il se passe d'autres choses.
bref, je ne crois pas à ton hypothèse, je pense que c'est le contraire qui se produit, et il me semble que certaines études l'ont montré: lorsqu'on autorise une violence même minime, il peut y avoir escalade, lorsqu'on l'interdit, je pense que l'escalade ne se produit pas en souterrain, sauf exception.
Ca ne règle sans doute pas le problème, mais j'ai un gros doute sur la capacité à faire changer d'avis une personne raciste, homophobe ou sexiste rien que par la discussion, donc à mon avis, la discussion ne réglera rien du tout non plus.